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FRANCE : 5° puissance économique?


SPARTAN
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Je sort ce topic des oubliettes pour voir ou l'on en est 5 ans après alors que la crise est passè par la.

On a parlé de la place des entreprises françaises dans le monde, de l'attractivité et même du tourisme à l'époque.

La France est encore la 5e puissance économique du monde en 2012 mais avec le 0,XX de croissance prévu, en 2013, on va surement se faire talonné voire rattrapé par le Brésil :

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Je sort ce topic des oubliettes pour voir ou l'on en est 5 ans après alors que la crise est passè par la.

On a parlé de la place des entreprises françaises dans le monde, de l'attractivité et même du tourisme à l'époque.

La France est encore la 5e puissance économique du monde en 2012 mais avec le 0,XX de croissance prévu, en 2013, on va surement se faire talonné voire rattrapé par le Brésil :

Brésil qui est 3 fois plus peuplés que nous, c'est un peu normal.

Par contre l'Iralie et la Corée du Sud sont quasiment aussi peuplés que nous, mais leur économie en est loin.

Même avec la crise, on reste plutôt bien placé.

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Quand on se rapelle que F.Mitterand avait milité pour la reunification de l'Allemagne juste dans l'espoir que dans cette entreprise la grande Allemagne se casse la gueule et la France puisse avançer d'un cran , maintenant au vu de ce tableau il semble que c'est peine perdue ?

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Quand on se rapelle que F.Mitterand avait milité pour la reunification de l'Allemagne juste dans l'espoir que dans cette entreprise la grande Allemagne se casse la gueule et la France puisse avançer d'un cran , maintenant au vu de ce tableau il semble que c'est peine perdue ?

Euh... Tu peux préciser les sources ou le raisonnement te permettant d'affirmer un truc pareil ? :rolleyes:

Sauf erreur de ma part, Mitterand a soutenu la réunification de l'Allemagne parce qu'il était bien plus judicieux de soutenir la réunification en échange de certaines garanties (sur le projet européen notamment), que de s'opposer de façon contre productive à quelque chose qu'il ne pouvait pas empêcher, ce qui est plutôt intelligent et logique.

La fin de l'URSS et une Allemagne réunifié susceptible de renouer tôt ou tard avec certaines vilaines tendances, c'était pas franchement dans l'intérêt de la France, alors imaginer que Mitterand l'ait voulu avec je ne sais quel plan foireux en tête...

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A ma connaissance F. Mitterrand n'était pas vraiment favorable à la réunification allemande. Enfin vu la volonté allemande, c'était peut-être plus facile de suivre le mouvement et d'accepter la réunification que de s'y opposer sans succès et passer pour un con ou un incapable. Déjà qu'à la réunification on allait livrer une limousine présidentielle à la RDA et qu'il restait encore 4 ans sur l'accord de coopération de 5 ans avec la RDA...

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Euh... Tu peux préciser les sources ou le raisonnement te permettant d'affirmer un truc pareil ?

Mitterand ne voyait en la reunification allemande un truc heureux qu'en etant convaincu que l'Union sovietique s'y opposerait y compris par la force.Il y avait bien plus d'un specialiste français ,entourant F.M ,et pas seulement en France , qui pensait que l'absorption de la RDA allait ralentir fortement l'economie allemande .

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Mitterand ne voyait en la reunification allemande un truc heureux qu'en etant convaincu que l'Union sovietique s'y opposerait y compris par la force.Il y avait bien plus d'un specialiste français ,entourant F.M ,et pas seulement en France , qui pensait que l'absorption de la RDA allait ralentir fortement l'economie allemande .

Ils espéraient probablement que la réunification ne se passe pas trop bien, mais ils auraient assurément préféré qu'il n'y ait pas de réunification ! Tant que tu ne cites pas quelques sources (et sérieuses si possible), cela reste un délire habibanesque.
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À propos de la réunification:

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Des archives britanniques révèlent l'ampleur de l'hostilité du président français et de Margaret Thatcher à la réunification.

Vingt ans après la chute du mur de Berlin, le chancelier de la réunification, Helmut Kohl, reste pour les Allemands celui qui a précipité leur destin dans le bon sens. Comme François Mitterrand demeure à leurs yeux un président français qui n'avait pas compris le vent de l'histoire. Les réticences de cet ami de l'Allemagne provoquées par la réunification sont de notoriété publique outre-Rhin. Cependant, quelque 600 pages d'archives britanniques déclassifiées vendredi jettent une lumière plus accablante encore sur le jugement de Mitterrand.

Les notes déclassifiées de Charles Powell, conseiller en politique étrangère de Margaret Thatcher à l'époque, montrent les réticences et les inquiétudes que par­tageaient Mitterrand et la Dame de fer à propos de la réunification allemande. «L'Allemagne n'a jamais trouvé ses frontières. Le peuple allemand a constamment été en mouvement. Et il l'est aujourd'hui», aurait dit Mitterrand lors d'une rencontre avec Thatcher le 8 décembre 1989, selon Powell. Il ajoute que le président français aurait émis de sévères critiques à l'égard de Kohl, jugeant notamment que le chancelier n'avait aucune compréhension pour les «sensibilités des autres nations» et qu'il exploitait le sentiment national allemand.

«Plus étendue que sous Hitler»

Quelques jours plus tôt, le 28 novembre 1989, Kohl avait présenté un programme en dix points pour la réunification de la RFA et de la RDA. Sans consulter ses alliés européens. Ni les membres de la coalition au pouvoir à Bonn. La réunification à marche accélérée envisagée par Kohl avait provoqué une franche colère de Mitterrand.

Le 20 janvier, lors d'une nouvelle réunion avec le premier ministre britannique, Mitterrand enfonce le clou. «La perspective de la réunification a provoqué un choc mental chez les Allemands», aurait-il dit, toujours selon Charles Powell. Choc qui aurait eu pour effet de les «faire redevenir les mauvais Allemands qu'ils étaient». «L'Allemagne peut se réunifier et même reprendre des territoires qu'elle a perdus pendant la guerre, aurait-il ajouté. Elle peut même être plus étendue que sous Hitler».

Mitterrand dira ses craintes de voir la réunification allemande déstabiliser le chef de l'Union soviétique, Mikhaïl Gorbatchev. Pourtant féru d'histoire, Mitterrand ne comprendra pas que l'État est-allemand n'a survécu qu'en raison du Mur, qui symbolisait la volonté soviétique de la voir exister dans son orbite. Fin 1989, le président français se rendra en Allemagne de l'Est célébrer le 40e anniversaire de la RDA apportant sa caution aux caciques d'un régime en déconfiture. Hier, les médias allemands ne cachaient pas leur amertume. «En public, Mitterrand célébrait l'amitié franco-allemande comme son amitié avec Kohl. Derrière les portes closes, il parlait en mal du chancelier», déplore le quotidien de centre gauche Süddeutsche.

Cependant, les archives du Fo­reign Office, le ministère britannique des Affaires étrangères, révèlent que contrairement à Thatcher, le président français n'a jamais cru possible d'empêcher la réunification, qu'il jugeait inéluctable. Son ambition fut d'ancrer cette Allemagne élargie encore plus solidement dans l'Europe, notamment grâce à l'Union monétaire. Celle-ci poussera par la suite les Allemands à renoncer au seul symbole de fierté nationale, le deutschemark, au profit de l'euro. Mitterrand avait aussi une obsession : fixer définitivement la frontière germano-polonaise sur la ligne de démarcation Oder-Neisse.

«Rendez-vous raté»

Hubert Védrine, qui était à l'époque conseiller diplomatique de Mitterrand conteste la portée historique des archives britanniques : «Ce serait une grave erreur de penser que Mitterrand et Thatcher partageaient la même position. La réunification inquiétait ré­ellement Thatcher. Pas Mitterrand. Il voulait s'assurer qu'elle soit bien gérée, démocratique, qu'elle ferait avancer l'intégration européenne et qu'elle ne précipiterait pas la chute de Gorbatchev. Thatcher ne pouvait pas accepter davantage d'intégration européenne».

Ministre des Affaires europé­ennes, Pierre Lellouche, juge que les réticences de Mitterrand ont jeté un trouble dans la relation franco-allemande. «Le doute s'est installé à ce moment-là. Nous n'avons jamais rebâti totalement la confiance», affirme-t-il. Lellouche dit travailler pour faire en sorte que «le rendez-vous raté entre Mitterrand et Kohl il y a vingt ans devienne un rendez-vous réussi entre Nicolas Sarkozy et Angela Merkel», à l'occasion des célébrations de la chute du Mur.

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  • 2 weeks later...

Sur LCP, il y a un débat sur la décision de RENAULT de supprimer 7500 postes en France, après les 8000 suppression de PSA, suite à la chute des ventes automobiles en Europe et en France.

http://lci.tf1.fr/economie/suppression-d-emplois-chez-renault-un-coup-de-massue-pour-les-7775455.html

Alors tous les politiques s'apitoient sur la disparition de l'automobile française à long terme.

Mais je ne comprends pas, je croyais que c'était le but recherché par les politiques depuis 20ans ?  :rolleyes:

Cela fait 20ans que l'on ne cesse de réduire les possibilités de circulation dans les grandes villes, et que l'on multiplie les moyens de transport en commun, Train, Tramway, métro, vélib, etc... Même les villes moyennes comme Dijon sont devenue inaccessible. On divise par 10 les places de stationnement et on triple le prix de l'heur de stationnement. On créer volontairement des bouchon interminable. On a l'un des essence les plus chère d'Europe, l'automobile est le produit le plus taxé du pays. Le permis est de plus en plus chère, pour les jeunes il devient inaccessible, et il n'existe aucune aide d'Etat. Le but affiché est clairement d'habituer la population à se passer d'une automobile de manière définitive.

Les gens ne vont pas acheter des automobiles pour faire jolie dans leur garage. Parfois, je ne pige vraiment pas les politiciens Français. La disparition de PSA et RENAULT sont de bonnes nouvelles. :rolleyes:

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Quand on se rapelle que F.Mitterand avait milité pour la reunification de l'Allemagne juste dans l'espoir que dans cette entreprise la grande Allemagne se casse la gueule et la France puisse avançer d'un cran , maintenant au vu de ce tableau il semble que c'est peine perdue ?

C'est plutôt le contraire. On a même reproché à F.M. qu'il a raté le "train de l'histoire" n'étant pas chaud partisan de la réunification mais davantage un de ceux qui "aiment tellement l'Allemagne qu'ils préfèrent qu'y en a deux".

Edit: j'ai vu le message de Serge après avoir rédigé le mien.

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Mais je ne comprends pas, je croyais que c'était le but recherché par les politiques depuis 20ans ?  rolleyes

Cela fait 20ans que l'on ne cesse de réduire les possibilités de circulation dans les grandes villes, et que l'on multiplie les moyens de transport en commun, Train, Tramway, métro, vélib, etc... Même les villes moyennes comme Dijon sont devenue inaccessible. On divise par 10 les places de stationnement et on triple le prix de l'heur de stationnement. On créer volontairement des bouchon interminable. On a l'un des essence les plus chère d'Europe, l'automobile est le produit le plus taxé du pays. Le permis est de plus en plus chère, pour les jeunes il devient inaccessible, et il n'existe aucune aide d'Etat. Le but affiché est clairement d'habituer la population à se passer d'une automobile de manière définitive.

Les gens ne vont pas acheter des automobiles pour faire jolie dans leur garage. Parfois, je ne pige vraiment pas les politiciens Français. La disparition de PSA et RENAULT sont de bonnes nouvelles.

C'est plutôt catastrophique et malheureusement caractéristique et des politiques de l'Europe de nos jours, partisans de politique et de stratégie qu'ils ne maitrisent pas et dont ils ignorent les effets à long terme....

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Il y a en fait dilemme pour les politicards :

- d'un côté l'envie de faire disparaître la voiture pour des considérations écologiques et urbanistiques (louables soit dit en passant) ;

- de l'autre le fait qu'il est difficile de se passer de la voiture car c'est la pompe  blé (taxes sur l'essence, le roulage, la mise en circulation, les assurances, les amendes...)

Donc ils sont le cul entre deux chaises sans savoir sur laquelle s'asseoir. Idem pour le tabac ou l'alcool qui malgré leurs ravages rapportent trop que pour que l'on lutte efficacement contre.

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  • 7 months later...

http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/08/29/le-coup-de-gueule-d-un-vice-president-du-medef-contre-les-entreprises-francaises_3468696_3234.html

Le vice-président du Medef, Jean-Claude Volot, s'est emporté jeudi 29 août contre les entreprises françaises, les accusant de manquer de dynamisme et d'avoir une part de responsabilité dans la faiblesse de leurs investissements et le retard de la France dans certains secteurs.

"Les entreprises n'investissent pas assez. Est-ce que c'est la faute de l'Etat ?", a crié M. Volot, qui participait à un débat à l'université d'été du Medef intitulé "faire gagner la France" et auquel prenait part également le ministre du redressement productif, Arnaud Montebourg.

"De vous à moi, on n'a pas une part de responsabilité là-dedans, non plus ?", a-t-il lancé à un parterre très nombreux de patrons à la deuxième des trois journées de ces rencontres annuelles, où nombre de critiques sur les prélèvements fiscaux et sociaux qui pèsent sur les entreprises ont été entendues.

"NOUS SOMMES TOUS RESPONSABLES"

"Nous sommes tous responsables", a-t-il hurlé, avant de témoigner du comportement de nombre d'entreprises lorsqu'il présidait sous la précédente majorité le comité consultatif "Industrie et financement des entreprises" dans le cadre du grand emprunt.

"Nous avons demandé aux entreprises : 'Qu'est-ce que vous avez comme projets, qu'est-ce que vous voulez faire ?'", a-t-il raconté. "Nous avons dû stimuler des dizaines d'entreprises et, pour certaines, nous n'avions pas de réponse un an après", a-t-il ajouté. "On s'est déplacé pour aller les voir, vous voir !", a-t-il reproché en appuyant sur le "vous" et en regardant la foule silencieuse d'entrepreneurs assise devant lui. "Il a fallu que nous stimulions nous-mêmes des projets !"

"Au moment de la vérité, il faut la dire, la vérité", a lancé le président de Dedienne Aerospace et ancien médiateur interentreprises en déplorant le retard de la France dans un domaine comme la pile à combustible. "Il faut pour l'unité de ce pays qu'on commence à comprendre que les choses se font tous ensemble", a-t-il déclaré.

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Il a raison le VP du MEDEF mais il faut aussi dire que pour investir il faut faire du profit or les marges des entreprises française de petite et moyenne taille sont trop faibles. La fiscalité et les charges ont une responsabilité importante dans la faible profitabilité de nos entreprises.

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A leur décharge il faut reconnaitre que la situation macroéconomique n'incite pas à investir. Les espérances de profit baissent par manque de demande. Je pense que c'est plus important que le profit  tout court, ce qui incite le plus à investir c'est le fric à se faire pas le fric qu'on s'est fait.

En rêvant un peu, si le patronat se concertait pour investir (puisqu'ils ont des syndicats), et que ceux qui en sont capables soient assez nombreux pour atteindre une masse critique, ils pourraient modifier l'avenir. Les investissements devenant rentables parce qu'effectuées en même temps ils provoquent une relance. La force du collectif... :oops:

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Pour les PME en France, il y a 2 gros freins: une fiscalite qui les matraque, et quand elles veulent employer, un code du travail dithyrambique que seuls les grands groupes ayant des ressources dediees peuvent gerer sans couler quand les pepins se presentent. Je passe sur les reglementations annexes relatives a la securite des installations qui peuvent etre ultra contraignantes et couter une blinde a mettre en place et a faire valider, la precarite des entrepreneurs une fois hors activite (retraite ou faillite) s'ils n'ont pas pu/voulu mettre de l'argent a gauche en preparation, les taxes en tout genre comme celle relative a l'affichage d'enseigne, les frais de protection juridique et/ou d'assurance si l'activite presente des risques X ou Y, eventuellement de gardiennage, etc, etc...

 

Ne parlons pas non plus de la mentalite pro-fonctionnaire et anti-capitaliste bas de plafond encore tres vivace et repandue: c'est mal de faire de l'argent (meme quand on en fait peu) et on devient alors l'objet de jalousies mal placees et/ou agressive autant qu'auto-justifiee (faire de l'argent = bandit , voler/degrader les biens d'un bandit = c'est normal, facile), bref, entrepreneur en France, ca peut facilement devenir un enfer.

Pour illustrer la difficulte de la chose, a peine plus de la moitie des entreprises creees passent le cap des 5 ans, et encore ce sont des chiffres de 2003, avant la crise des sub-primes donc, depuis 2011 la courbe des creations d'entreprise (meme en comptant l'auto-entreprise) ne fait que se tasser, quand au taux de survie a 5ans, on en parle meme plus, on passe a 3 ans (un peu plus de 60% de taux de survie), et evidemment la majorite des entreprises creees sont sans salarie...

Modifié par French Kiss
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Mais c'est récent cette mentalité anti-entrepeneur ? En Belgique juste à côté on n'a pas ça.

 

C'est pas vraiment une mentalite anti-entrepreneur au sens propre, plutot retro-coco pour les cas les plus graves, voire anarcho-monarchiste comme on aime en France, c'est pas specialement drole, mais desfois quand meme, il vaut mieux en rire  :happy:

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