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Israël et voisinage.


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il y a 56 minutes, herciv a dit :

L'oubli complet des valeurs de droits de l'homme par les occidentaux dans le cas d'Israël est une erreur fondamentale qui decredibilise profondément notre discours.

C'est de la débilité profonde.

Bibi doit être poursuivi au plus vite. Il en va de l'image de notre discours

https://www.theguardian.com/commentisfree/2023/oct/31/the-guardian-view-on-sir-keir-starmers-speech-it-wont-end-the-divisions-in-labour

Avocat spécialisé dans les droits de l'homme, Sir Keir [Starmer] n'a pas pu dire si Israël avait enfreint le droit international ou si ses actions étaient moralement justifiables.

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il y a 15 minutes, Wallaby a dit :

https://www.theguardian.com/commentisfree/2023/oct/31/the-guardian-view-on-sir-keir-starmers-speech-it-wont-end-the-divisions-in-labour

Avocat spécialisé dans les droits de l'homme, Sir Keir [Starmer] n'a pas pu dire si Israël avait enfreint le droit international ou si ses actions étaient moralement justifiables.

Oui c'est intéressant. Ca montre que les actes de Bibi mettent dans l'embarras bien des politiques.

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Je cite ton article :

M. Netanyahu craint pour son avenir politique. L’écrasante majorité des Israéliens – 80% dans un sondage – le tiennent pour responsable du manque de préparation d’Israël avant l’attaque du Hamas. En désespoir de cause, il a blâmé les chefs de la sécurité pour l’attaque du 7 octobre dans un message sur les réseaux sociaux le week-end dernier, qu’il a ensuite supprimé et pour lequel il s’est excusé. Sir Keir serait imprudent d’atteler le wagon du Parti travailliste aux décisions d’un politicien aussi fissile.

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tenez, une chose "rigolote" : L'autorité palestinienne est enregistrée comme membre du TPI.

Ca serait amusant s'ils poursuivaient Israël pour crime de guerre, etc, en gros avec les mêmes accusassions faites contre la Russie ( normalement, ce sont les même )

Est-ce que le gouvernement israélien sera poursuivi ?

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il y a déjà une enquête en cours pour la "guerre" de 2014 et il va y en avoir une (vis à vis du Hamas et d'Israél) sur l'actuel conflit.

Ajoute à ça que la CPI a déjà considéré que la colonisation est bel et bien un crime contre l'humanité.

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un article sur l'emploi du qualificatif de génocide quant au conflit actuel:

https://www.mediapart.fr/journal/international/011123/guerre-au-proche-orient-le-genocide-terme-juridique-et-arme-politique

IlIl n’est pas le premier à prononcer le terme de « génocide » pour désigner l’action de l’armée israélienne actuellement en cours à Gaza, mais sa parole pèse d’un poids particulier, d’autant plus dans un pays qui a pu forger l’expression « G-word » pour éviter d’avoir à employer un mot si lourdement chargé.

Dans une lettre datée du 28 octobre, Craig Mokhiber, directeur du bureau new-yorkais du Haut-Commissariat aux droits de l’homme (HCDH) de l’ONU, qui a mené dans ce cadre plusieurs missions de défense des droits humains, notamment à Gaza dans les années 1990, annonce sa démission. Et invoque comme motif le fait que, « encore une fois, nous voyons un génocide se dérouler sous nos yeux, et l’Organisation que nous servons semble impuissante à l’arrêter ».

Cet avocat se dit bien placé pour savoir que « le concept de génocide a souvent fait l’objet d’abus politiques ». Mais, poursuit-il, « le massacre général actuel du peuple palestinien, enraciné dans une idéologie coloniale ethno-nationaliste, poursuivant des décennies de persécution et d’expulsions systématiques, entièrement fondé sur le fait que ces populations sont arabes, et associé aux déclarations d’intention explicites du gouvernement et de l’armée israéliens, ne laissent aucune place au doute ou au débat ».

Convoquant le fait qu’à « Gaza, des maisons civiles, des écoles, des églises, des mosquées et des établissements médicaux sont attaqués sans raison alors que des milliers de civils sont massacrés », il va jusqu’à affirmer que nous serions en face, regardant les Palestinien·nes, d’un « cas d’école de génocide ».

Le terme de « génocide » est aussi prononcé par des chercheurs, tels les philosophes Étienne Balibar et Judith Butler (membre du bureau de Jewish Voice for Peace) ou le sociologue Didier Fassin, des membres du personnel politique allant du président brésilien à une ministre de l’actuel gouvernement espagnol, mais aussi des organismes comme le Centre américain pour les droits constitutionnels ou le mouvement états-unien IfNotNow…

Et ce, sans même développer l’emploi du terme dans la bouche de très nombreux Gazaoui·es, mais aussi chez les délégués officiels de la Palestine, qu’il s’agisse de son représentant à l’ONU ou de son ambassadrice en France, Hala Abou Hassira, qui a assuré vendredi 27 octobre que la Palestine « n’oubliera pas et ne pardonnera pas ».

De façon plus violente et sans employer spécifiquement le terme, l’intention prêtée à Israël de commettre un génocide à Gaza a été particulièrement visible dans des caricatures, des pancartes et des slogans comparant les Israéliens et les nazis.

Pour l’organisation américaine Genocide Watch, qui classe les processus de génocide selon dix « paliers », la guerre entre Israël et le Hamas aurait déjà atteint six paliers, notamment la discrimination et la déshumanisation, sensible par exemple dans les propos du ministre de la défense Yoav Gallant affirmant combattre des « animaux humains ». Mais on n’aurait pas encore atteint le « stade 9 » du génocide, à savoir l’extermination.

L’importance cardinale de l’intention
D’un point de vue juridique, il faudra encore beaucoup de temps pour que la Cour pénale internationale (CPI), habilitée à qualifier un tel crime, se prononce sur le sujet, même si elle s’avère d’ores et déjà mobilisée sur ce qui s’est passé à Gaza et autour de l’enclave ces dernières semaines, puisque son procureur actuel, le Britannique Karim Khan, s’est rendu au poste-frontière de Rafah, entre l’Égypte et Gaza, dimanche 29 octobre.

Le « génocide » se distingue de possibles « crimes de guerre » et de « crimes contre l’humanité » au sujet desquels la CPI a déjà indiqué vouloir enquêter, tant du côté du Hamas que d’Israël. Pour rappel, un « crime de guerre » est, selon la définition des Nations unies, une action illégale ou une série d’actions qui violent le droit international humanitaire prévu pour protéger les civils en situation de guerre.

Les « crimes contre l’humanité » n’ont, eux, pas nécessairement à avoir lieu dans le contexte d’un conflit armé pour être caractérisés. Ils n’ont pas été définis et codifiés dans un traité dédié comme l’ont été les crimes de guerre dans les conventions de Genève, mais ils incluent notamment l’apartheid, l’esclavage, la déportation de populations ou les tueries de masse, et se déroulent dans le contexte d’une attaque systématique contre une population civile. Ils sont caractérisés par leur violence à grande échelle, sur une population ou un territoire, et par la manière méthodique avec laquelle ils sont menés.

Le terme de génocide a, lui, été forgé par Raphael Lemkin, juriste polonais témoin des massacres perpétrés par les nazis durant l’Holocauste. Il a été reconnu pour la première fois par les Nations unies comme un crime en droit international en 1946, puis codifié dans la convention sur le génocide, en 1948.

Tout comme les crimes contre l’humanité, le génocide peut être constitué par des actes de nature différente. L’article 2 de la convention de 1948 le définit comme suit : « Le génocide s’entend de l’un quelconque des actes ci-après, commis dans l’intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel : meurtres de membres du groupe ; atteinte grave à l’intégrité physique ou mentale de membres du groupe ; soumission intentionnelle du groupe à des conditions d’existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle ; mesures visant à entraver les naissances au sein du groupe ; transfert forcé d’enfants du groupe à un autre groupe. »

La différence principale entre les crimes contre l’humanité et le génocide réside alors dans le fait que, pour que des actes puissent être qualifiés de génocide, ils doivent être commis « avec l’intention de détruire ». Du fait de cette importance cardinale de l’intention, souvent difficile à établir même si la justice internationale peut prendre en compte pour cela non seulement les discours, mais aussi les actes, le terme de génocide n’est employé que pour le massacre systématique des Héréros et des Namas dans le Sud-Ouest africain allemand (1904-1908), celui des Arméniens par les Turcs (1915-1916), des juifs et juives pendant la Seconde Guerre mondiale, au Cambodge sous la houlette des Khmers rouges dans les années 1970 et lors du génocide des Tutsis du Rwanda en 1994.

Dans les champs politiques et médiatiques, son usage est toutefois bien plus large. L’utilisation d’un tel terme par les Palestinien·nes et leurs soutiens, dans le contexte des bombardements sur Gaza, obéit à deux intentions principales qui demeurent distinctes, même si elles peuvent se recouvrir par endroits. 

Il peut s’agir, avant tout, d’une arme politique dotée de trois munitions. D’abord, frapper les esprits pour souligner l’ampleur des dégâts et meurtres commis par l’armée israélienne ces derniers jours. Ensuite resituer la guerre actuelle contre Gaza, qu’Israël présente comme des représailles au 7 octobre dernier, dans l’histoire longue de la dépossession des droits et des terres des Palestinien·nes depuis 1948.

Enfin, rappeler que le gouvernement israélien actuel est dépendant du soutien d’extrémistes messianiques juifs, à l’instar des ministres Bezalel Smotrich et Itamar Ben Gvir, qui n’ont jamais fait mystère de leur volonté d’éliminer la présence palestinienne du Jourdain à la mer Méditerranée.

Mais à cela se superpose aussi un usage sans doute plus déflagrateur et stigmatisant, consistant à renvoyer sur Israël, qui puise sa légitimité historique dans le génocide des juifs d’Europe, l’anathème de commettre un génocide tout en prétendant être le refuge d’un peuple victime de génocide. Affirmer qu’un pays, créé pour servir de refuge à un peuple génocidé, commet aujourd’hui un génocide, c’est remettre en cause les raisons mêmes de l’existence d’Israël.

Quelle que soit la définition juridique qui sera retenue des actes commis aujourd’hui à Gaza, l’emploi du terme de génocide paraît donc inacceptable à la plupart des Israélien·nes, mais aussi aux yeux de nombreuses personnes sensibles, directement ou indirectement, à la mémoire de l’Holocauste.

Réactivation mémorielle
Dans ce cadre, on insiste sur le fait que l’échelle et l’intentionnalité de la destruction des juifs pendant la Shoah demeurent incommensurables avec ce qui se déroule aujourd’hui à Gaza.

Ou l’on juge que le droit d’Israël à se défendre est soutenu par le fait que ce pays s’est fondé sur la promesse d’un « plus jamais ça », justifiant par avance tous les moyens mis en œuvre pour mettre le Hamas hors d’état de nuire, dans la mesure où cette organisation s’est avérée, le 7 octobre dernier, n’être pas seulement une organisation de la résistance palestinienne, mais aussi une organisation tueuse de juifs et pas seulement de colons.

Pour nombre d’Israélien·nes, les massacres du 7 octobre ont fonctionné comme une réactivation mémorielle du génocide mené par les nazis. Une des expressions les plus limpides de cette dimension de l’équation se trouve sous la plume de l’écrivain israélien Yaniv Iczkovits.

Dans une tribune publiée mardi 31 octobre dans Le Monde, cet homme qui avait fait partie des militaires refusant de servir en 2002 en Cisjordanie, et qui continue de juger que « l’occupation israélienne est immorale et que les extrémistes israéliens veulent anéantir toute possibilité de réconciliation », explique pourquoi il a choisi, aujourd’hui, de rejoindre les réservistes de Tsahal. 

Le texte commence ainsi : « La journée du 7 octobre a changé Israël. Elle l’a changé en profondeur, en lui infligeant une douleur que nous pensions ne plus jamais connaître. Une douleur dont nos grands-parents, et leurs grands-parents, parlaient. Ils nous ont raconté les maraudeurs venant brûler et piller, les soldats rassemblant les gens pour les fusiller dans une fosse, la barbarie inhumaine et l’absence totale de pitié. »

Et il ajoute : « Cette douleur est profondément gravée dans notre mémoire à tous. Nous avons écrit des livres à son sujet, composé des chansons, nous nous sommes levés lors de journées commémoratives, nous l’avons étudiée dans nos cours d’histoire. Mais personne ne pensait que nous allions la revivre dans notre chair. Personne ne croyait qu’un jour notre post-traumatisme redeviendrait traumatisme. »

Cette réactivation mémorielle est indéniable, même si côté palestinien on rappelle, dans le cadre d’un conflit des mémoires en train de se réordonner en concurrence des victimes, que le déplacement forcé de centaines de milliers de personnes du nord de Gaza vers le sud ne peut être ressenti que comme une réitération de la Nakba (la « catastrophe » en arabe).

En 1948, plus de 700 000 Palestinien·nes avait été expulsé·es de leurs terres, en particulier vers Gaza, espace dans lequel les centaines de milliers de déplacé·es des dernières semaines peuvent légitimement se vivre comme des réfugiés doublement expulsés.

Mais que le passé percute le présent ne justifie pas les parallèles faciles entre le Hamas et les nazis, pourtant répandus des profondeurs de la société israélienne au plus haut sommet de l’État. Benyamin Nétanyahou a ainsi affirmé, devant le chancelier allemand Olaf Scholz, que les membres du Hamas étaient des « nouveaux nazis ».

Cette rengaine se répand comme rarement, mais elle n’est pas pour autant inédite. Déjà en 1982, au moment de l’envahissement du Liban par les troupes israéliennes, le premier ministre israélien Menahem Begin avait comparé Yasser Arafat dans son refuge de Beyrouth à Adolf Hitler dans son bunker à la fin de la Seconde Guerre mondiale…

Le parallèle entre la situation qu’a fait vivre le Hamas à Israël et celle que le régime nazi a fait subir aux juifs se répand, mais n’emporte toutefois pas l’ensemble de la société israélienne, toujours plus hétérogène et complexe que ses représentants officiels.

Dani Dayan, le président de Yad Vashem, le mémorial israélien de la Shoah situé à Jérusalem, a ainsi sermonné l’ambassadeur d’Israël à l’ONU, Gilad Erdan, pour avoir, lundi 30 octobre, accroché une étoile jaune sur sa poitrine, ornée de la phrase « Never again » : « Cet acte déshonore les victimes de l’Holocauste ainsi que l’État d’Israël. L’étoile jaune symbolise l’impuissance du peuple juif et sa dépendance envers les autres. Nous avons désormais un État indépendant et une armée forte. Nous sommes maîtres de notre propre destin. »

Raz Segal, historien qui dirige le programme « Holocaust and Genocide Studies » à l’université Stockton, aux États-Unis, s’est aussi emporté, dans un texte publié dans le Guardian, sur la manière dont Israël avait tendance à faire de l’Holocauste une arme visant moins à entretenir une mémoire encore à vif qu’à abattre symboliquement et géopolitiquement le camp palestinien.

Benyamin Nétanyahou avait déjà tenté d’attribuer, contre toute rigueur historique, l’idée de la « solution finale » au grand mufti de Jérusalem, qui aurait soufflé à Adolf Hitler la nécessité d’exterminer tous les juifs de la planète. La volonté de dresser un parallèle entre les Palestiniens et les nazis justifiait alors d’exonérer des décennies d’antisémitisme européen dans le sort fait aux juifs pendant la Seconde Guerre mondiale.  

Il reviendra à l’actuel procureur de la CPI, Karim Khan, de décider où et sur quels faits il enquête, quand il présentera une inculpation et quelle sera la dénomination de celle-ci. Mais pour le premier procureur de la CPI entre 2003 et 2012, Luis Moreno Ocampo, ainsi qu’il le dit dans un article du journal espagnol El País, il faudrait a priori considérer les crimes perpétrés le 7 octobre par le Hamas comme un crime contre l’humanité et possiblement un génocide.

Mais il juge aussi que le droit d’Israël de se défendre face au Hamas ne lui donne pas le droit « de tuer en masse des civils » et met en garde contre un possible crime contre l’humanité, voire un génocide, aujourd’hui en cours à Gaza. Il ose pour cela un autre parallèle historique dérangeant : « Israël ne peut pas transformer Gaza en camp d’extermination. » 

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Il y a 4 heures, jean-françois a dit :

tenez, une chose "rigolote" : L'autorité palestinienne est enregistrée comme membre du TPI.

Ca serait amusant s'ils poursuivaient Israël pour crime de guerre, etc, en gros avec les mêmes accusassions faites contre la Russie ( normalement, ce sont les même )

Est-ce que le gouvernement israélien sera poursuivi ?

Non jamais ne t'inquiète pas pour eux car seul les dirigeants de "certains" pays sont poursuivis. On attends toujours les poursuites contre George W Bush, mais quelque chose me dit que cela n'arrivera jamais. C'est bien pour cela que la majorité du monde d'aujourd'hui se fou royalement du TPI comme de l'ONU.

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Il y a 2 heures, loki a dit :

Il reviendra à l’actuel procureur de la CPI, Karim Khan, de décider où et sur quels faits il enquête, quand il présentera une inculpation et quelle sera la dénomination de celle-ci. Mais pour le premier procureur de la CPI entre 2003 et 2012, Luis Moreno Ocampo, ainsi qu’il le dit dans un article du journal espagnol El País, il faudrait a priori considérer les crimes perpétrés le 7 octobre par le Hamas comme un crime contre l’humanité et possiblement un génocide.

Mais il juge aussi que le droit d’Israël de se défendre face au Hamas ne lui donne pas le droit « de tuer en masse des civils » et met en garde contre un possible crime contre l’humanité, voire un génocide, aujourd’hui en cours à Gaza. Il ose pour cela un autre parallèle historique dérangeant : « Israël ne peut pas transformer Gaza en camp d’extermination. » 

Eh ben. Je dois avouer que c'est un article intéressant bien que venant de Mediapart. A la première lecture, je le trouve confus. En seconde lecture on voit que la confusion ne vient pas forcément de l'auteur mais des évènements et de l'extrème difficulté de séparer les salopards des civils. 

La qualification de génocide n'est pas forcément simple à donner comme dit dans cet article mais elle n'est pas rejetable d'emblée. Tout va dépendre de la suite des évènements. Pour l'instant on est toujours sur une escalade. 

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il y a 58 minutes, Ronfly a dit :

Oui et comme l'article que tu cites l'indique, le Ministre de la Défense est parti ce soir sur le Tonnerre ce qui en rajoute sur le poids politique du déploiement

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il y a une heure, Ronfly a dit :

 

il y a 1 minute, loki a dit :

Oui et comme l'article que tu cites l'indique, le Ministre de la Défense est parti ce soir sur le Tonnerre ce qui en rajoute sur le poids politique du déploiement

 

Clairement, ils lisent Air-Défense !!!

Gare à vos fesses les gars ! :ph34r:

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il y a 14 minutes, loki a dit :

Je suis prêt à servir de consultant en m'alignant sur les tarifs de McKinsey :biggrin:

Je peux être ton assistant ?:ph34r:

Edit: Si c'est important pour la fiche de poste, je sais m'habiller sexy aussi :ph34r:

Modifié par Shorr kan
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LCI:

Général Ghaani Iranien chef de la milice Al-qohds et coordinateur des opérations des milices Iraniennes serait positionné depuis 10 jours à Beyrouth avec d'autres chefs de milices.

Au vu du message précédent avec une montée des tensions possible au niveau frontières nord et de la coordination de la présence du Tonnerre, bientot Dixmude, du passage du Mr Lecornu au Liban hier serait également la possible préparation à l'évacuation, au cas ou, des moyens Français de la Finul (700 hommes, 60 véhicules, 3 cobra).

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https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-choix-franceinfo/document-franceinfo-guerre-entre-israel-et-le-hamas-on-a-pu-embarquer-a-bord-du-tonnerre-le-navire-envoye-sur-place-par-l-armee-francaise_6132423.html

Capacités médicales réelle quasi nulle. Ce serait pour donner un signe et pousser les autres nations à en faire de même....!?!

Je trouve que cela s'oriente plutôt sur mon message précédent... 2 bâtiments de 20000 tonnes pour seulement une capacité médicale de 10 lits... cela fait riche non. 

 

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il y a une heure, Ronfly a dit :

Je trouve que cela s'oriente plutôt sur mon message précédent... 2 bâtiments de 20000 tonnes pour seulement une capacité médicale de 10 lits... cela fait riche non. 

Disons qu'on fait plein plein de choses avec un PHA

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Il y a 8 heures, Ronfly a dit :

https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-choix-franceinfo/document-franceinfo-guerre-entre-israel-et-le-hamas-on-a-pu-embarquer-a-bord-du-tonnerre-le-navire-envoye-sur-place-par-l-armee-francaise_6132423.html

Capacités médicales réelle quasi nulle. Ce serait pour donner un signe et pousser les autres nations à en faire de même....!?!

Je trouve que cela s'oriente plutôt sur mon message précédent... 2 bâtiments de 20000 tonnes pour seulement une capacité médicale de 10 lits... cela fait riche non. 

 

C'est surtout écrit dans l'article et dit par le ministre lui même :tongue:

Et son remplaçant sera bien mieux équipé car on aura eu le temps 

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https://responsiblestatecraft.org/west-bank-gaza/ (1er novembre 2023)

Le nombre de victimes a augmenté en Cisjordanie depuis l'attaque du Hamas le 7 octobre. Plus de 100 Palestiniens, dont des civils, y ont été tués.

La plupart des victimes ont été tuées dans le cadre d'opérations accélérées menées en Cisjordanie par les Forces de défense israéliennes (FDI), sous la forme de raids, d'arrestations massives et de répression des manifestations. L'intensification de l'usage de la force par les Israéliens s'est même traduite par une frappe aérienne sur une mosquée dans un camp de réfugiés de la ville de Jénine - une rareté en Cisjordanie, où les Israéliens s'appuient généralement sur des forces terrestres.

D'autres violences ont été commises par des colons israéliens, qui font partie des 670 000 Israéliens dont la résidence en Cisjordanie occupée et à Jérusalem-Est est largement reconnue comme une violation du droit international. Le Bureau des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires a enregistré, au cours des deux premières semaines de la crise actuelle, 100 attaques de colons israéliens contre des résidents palestiniens. Le bureau des Nations unies a noté que cela représentait une moyenne de près de huit incidents de ce type par jour, contre une moyenne quotidienne de trois incidents depuis le début de l'année.

Mairav Zonszein, analyste de l'International Crisis Group basée en Israël, note que la différence entre aujourd'hui et avant est que la violence des colons se produit "sans que les médias n'y accordent la moindre attention".

Ces développements sont la continuation, sous une forme intensifiée, de tendances plus longues dans la souffrance physique des Palestiniens de Cisjordanie. Sur les quelque 1 600 Palestiniens tués par des Israéliens entre 2015 (c'est-à-dire depuis la dernière grande attaque israélienne contre Gaza en 2014) et le mois d'août de cette année, un grand nombre l'ont été en Cisjordanie. La violence s'est accélérée en 2023, avant même le 7 octobre. Cette année était déjà en passe de devenir l'année la plus meurtrière pour les habitants de la Cisjordanie depuis que les Nations unies ont commencé à tenir de tels registres en 2005.

La recrudescence de la violence israélienne en Cisjordanie est clairement liée à l'arrivée au pouvoir, au début de cette année, d'un gouvernement israélien d'extrême droite. Loin de contrôler ou de décourager la violence des colons, la réponse israélienne de facto a souvent été de l'autoriser ou de la tolérer, les soldats de l'armée israélienne se tenant à l'écart ou même participant à certains actes de violence. L'un des extrémistes les plus en vue actuellement au pouvoir, le ministre de la sécurité nationale Itamar Ben-Gvir - lui-même un colon de Cisjordanie - a promis de distribuer gratuitement jusqu'à 10 000 fusils aux citoyens israéliens, y compris aux colons de Cisjordanie.

Bien qu'une grande partie de la violence des colons se manifeste par une haine et un sectarisme simples, il s'agit en grande partie d'un effort plus calculé pour rendre la vie des voisins palestiniens si misérable - ou si peu rentable, compte tenu des tactiques des colons telles que le vandalisme des oliveraies ou le refus d'accès à l'eau et aux pâturages nécessaires au bétail - que ces voisins abandonneront et partiront. L'accélération de l'activité des colons anti-palestiniens ce mois-ci s'est accompagnée de ce type d'intimidation. L'organisation israélienne de surveillance des droits de l'homme B'Tselem a signalé au début du mois qu'au cours de la semaine précédente, huit communautés entières de Cisjordanie, soit 472 personnes, avaient abandonné leurs maisons par crainte pour leur vie et leurs moyens de subsistance.

Ces craintes [d'une nouvelle Nakba] ont gagné en crédibilité à la suite de la fuite d'un document de planification du gouvernement israélien qui prévoit le transfert forcé de la population de la bande de Gaza vers le Sinaï. La seule chose qui empêche Israël d'essayer de mettre en œuvre un tel plan est peut-être le fait que le gouvernement égyptien a de multiples raisons de refuser de participer à un tel projet.

Ce plan concernait la bande de Gaza, mais ce sont les habitants de la Cisjordanie qui ont probablement le plus à craindre de nouveaux déplacements massifs ou d'un nettoyage ethnique. Gaza est la prison à ciel ouvert, mais la Cisjordanie, avec Jérusalem-Est, est le prix - la terre que les partisans israéliens de la ligne dure veulent pour, et seulement pour, leur propre peuple.

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Le site bloomberg indique que l'accord entre la Russie et Israël en Syrie ne serait plus en vigueur. 

Pour mémoire il était indiqué qu’Israël indiquait ses attaques en avance à la Russie en Syrie (et ne visait pas les intérêts russes) alors qu'en contrepartie la Russie ne tirait pas sur les avions Israéliens avec ses moyens sur place (à minima 2 bataillons de s400)

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Sur la réforme du Hamas de 2017 :

https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/repliques/israel-palestine-france-ou-en-sommes-nous-8693477 (4 novembre 2023)

Vincent Lemire, historien

12:05 On peut peut-être faire un parallèle avec ce qui s'est passé avec l'OLP dans les années 1980 : la charte de fondation de l'OLP appelait à un État palestinien indépendant et souverain de la mer au Jourdain, donc il n'y avait plus d'État d'Israël, puis vous vous souvenez cette fameuse formule soufflée par François Mitterrand, en 1989, Yasser Arafat déclare que cette charte est "caduque", c'est à dire que finalement les Palestiniens vont se battre à l'intérieur des frontières de 1967. On a un petit peu oublié que l'OLP, pendant 30 ans, de 1964 jusqu'au milieu des années 1990, jusqu'aux accords d'Oslo, se battait pour une Palestine de la mer au Jourdain.

12:54 En même temps, dans les années 1990, il y avait des branches de l'OLP, notamment le FPLP, qui étaient totalement opposés à ce bouger diplomatique. Le Hamas, d'une certaine manière - je ne compare pas le Hamas avec l'OLP - mais c'est vrai que c'est aussi un mouvement pluriel, divers : il y a une branche politique, il y a une branche militaire. On sait aujourd'hui et les Américains l'ont d'ailleurs parfaitement documenté : c'est la seule branche militaire qui a organisé ce qui s'est passé le 7 octobre. D'ailleurs, il ne peut pas en être autrement, sinon les fuites auraient été trop importantes et évidemment les systèmes de renseignement les auraient captées. La branche politique ne pouvait pas être au courant, parce que sinon tout le monde aurait été au courant.

[La branche politique n'a pas désavoué...]

13:57 C'est très compliqué, on a entendu trois jours après une déclaration très étrange, d'un membre de la branche politique qui disait "ah non c'est pas nous, c'est des civils qui se sont engouffrés derrière les brèches », ce qui est évidemment un mensonge total. Ce n'est absolument pas ce qu'on a vu et ce n'est absolument pas ce qui s'est passé. Mais c'est juste pour donner un élément factuel à nos auditeurs. Vous avez évoqué la question de la réforme du Hamas de 2017, c'est seulement pour dire que le Hamas avait gagné les élections de 2006 à la loyale contre le Fatah, et ensuite la branche politique faisait un chemin qui était celui de l'OLP dans les années 1990, en disant : bon, bah il y a un nouveau consensus, qui est un État palestinien souverain et indépendant dans les frontières - je cite la charte réformée de 2017 - dans les frontières du 4 juin 1967, c'est à dire la veille du 5, la veille de la guerre des Six Jours. Donc voilà : il y a des complexités à l'intérieur du Hamas, et il faut aussi les prendre en compte.

15:45 La charte de 1988, c'est un tissu de délires antisémites.

[Oui, mais est-ce que ça reste ?]

Bien sûr, l'amendement de la charte...

[Mais enfin, ça n'a pas été abrogé, tout cela nous rappelle cette espèce de brouillard...]

15:56 Alors l'OLP c'était un brouillard, également ? Est-ce que le mot « caduque » était un brouillard ? Est-ce que le processus d'Oslo était une erreur ?

[Il y a eu quelques esprits naïfs pour s'emparer de ce pseudo-amendement parce que cela les consolait, parce que cela servait...]

16:58 Comme pour l'OLP ? La charte de l'OLP n'a pas été annulée, celle de 1964.

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Le 02/11/2023 à 07:25, loki a dit :

on en avait parlé il y a quelques jours, libération a fait un factchecking sur un document officiel israélien prévoyant de déporter la population de Gaza :

 https://www.liberation.fr/checknews/que-contient-le-document-partage-par-wikileaks-selon-lequel-israel-prevoit-de-deplacer-les-habitants-de-gaza-vers-le-sinai-20231031_7EHNI245HJBVXCMZV5LN5F3LTU/

les points essentiels :

- tiré du site d’information israélo-palestinien Mekomit, ancré à gauche. Samedi 28 octobre, le média a publié dans son intégralité les dix pages du «Document d’orientation : alternatives à une directive politique pour la population civile à Gaza», rédigé par le ministère des Renseignements. Mekomit souligne que ce texte recommande le transfert forcé de la population de la bande de Gaza dans le Sinaï de manière permanente. Le journal indique avoir contacté le ministère qui lui a confirmé qu’il s’agit bien d’un rapport authentique qui n’était pas destiné à la presse.

- Le média se montre très prudent sur les conséquences réelles de ce texte, notant que son existence «n’indique pas nécessairement que ses recommandations soient prises en compte par le système de sécurité. Malgré son nom, le ministère des Renseignements n’est responsable d’aucun organe de renseignement, mais prépare de manière indépendante des études et des documents d’orientation, qui sont distribués au gouvernement et aux organes de sécurité pour examen, mais qui ne les engagent pas. Le budget annuel du bureau est d’environ 25 millions de shekels [5,8 millions d’euros, ndlr] et son influence est considérée comme relativement faible».

- le bureau du Premier ministre, Benyamin Nétanyahou, a minimisé sa portée en le qualifiant d’exercice hypothétique.

- Ce rapport, consulté par CheckNews dans son intégralité, imagine trois scénarios pour la population palestinienne à Gaza après la défaite du Hamas. Dans le premier cas, le ministère des Renseignements envisage son maintien et la prise du pouvoir par l’Autorité palestinienne. Dans un second cas, la population reste à Gaza mais un autre pouvoir arabe local émerge. Enfin, dans le troisième cas, elle est évacuée vers le Sinaï. Le document disqualifie les deux premiers scénarios pour des raisons stratégiques et sécuritaires.

La note craint que l’installation de l’Autorité palestinienne puisse mener à la création d’un Etat palestinien, dans une situation compliquée d’occupation. Et le scénario d’un nouveau pouvoir arabe, alternatif au Hamas, n’est pas jugé crédible et pourrait même conduire à l’arrivée d’une nouvelle autorité encore plus violente. Le ministère estime que l’installation de colons israéliens dans Gaza pourrait conduire à une mauvaise image d’Israël à l’échelle internationale puisque ce territoire demeurerait contesté.

L’analyse du ministère tend donc à défendre le scénario d’une population gazaouie déplacée. Le rapport envisage que, «dans un premier temps, des villes de campements soient établies dans la région du Sinaï», puis un corridor humanitaire permettra aux habitants de Gaza de s’installer dans des villes construites dans le nord de la région égyptienne. Le ministère explique alors que l’Egypte devra accepter les réfugiés en raison du droit international, et qu’Israël devra «agir pour promouvoir une vaste initiative diplomatique visant à ce que des pays se portent volontaires pour aider la population évacuée et acceptent de les accueillir comme immigrants».

Le Sinaï ce n'est ni vide ni très grand, et les coins les plus habitables le sont déjà.
Ils vont les mettre où?
Dans une succursale du projet Néom?

Révélation
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à se projeter d'ici quelques années, j'ai peur que l'état Israël à user de la disproportion et une fois que le bilan des personnes décédés soit fait...  n'invite des surpuissances étrangéres à décider à sa place, et ou perde leur alliance avec les USA. C'est biensur une réflexion sur le trés long terme, à nommer les choses nous sommes entré dans une Ère des "GROS BRAS" ni uni ni multipolaire, la concertation dans le concert des nations a perdu sa légitimité et ce qui semble compter c'est l'usage de ses forces militaires. 

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il y a une heure, nikesfeld13 a dit :

 la concertation dans le concert des nations a perdu sa légitimité et ce qui semble compter c'est l'usage de ses forces militaires. 

Ca dépend si tu as besoin des soutiens, ou pas. 

Le gros bras peut / doit pouvoir être autarcique. Auquel cas le fait d'être au ban des nations ( enfin, de certaines ) n'est pas un pb insurmontable. Mais je ne crois pas que celà soit applicable à Israel et il y a là un énorme manque de clairvoyance. AMHA. Le pays a besoin du soutien inter nat, et pour son économie du commerce intra communautaire. Sinon la richesse se limite à sucer des cailloux et ça ne mène pas loin.

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https://www.tagesspiegel.de/gesellschaft/medien/der-zweite-vorfall-innerhalb-einer-woche-ard-team-wurde-im-westjordanland-von-israelischen-soldaten-bedroht-10735960.html (6 novembre 2023)

Une équipe de la chaîne de télévision allemande ARD a été, selon ses propres dires, temporairement détenue et menacée par des soldats israéliens en Cisjordanie. L'incident a été décrit dimanche soir sur "tagesschau.de" et "BR24" : Le correspondant Jan-Christoph Kitzler, accompagné d'un collaborateur palestinien et d'une collaboratrice allemande, revenait d'une interview lorsqu'ils ont été arrêtés par des soldats israéliens au sud de la ville palestinienne d'Hébron.

Selon ce reportage, les soldats se seraient comportés de manière très agressive envers les journalistes et des armes auraient été brandies à plusieurs reprises dans le véhicule de l'équipe. Le Bayerischer Rundfunk, qui gère le studio ARD de Tel Aviv, considère cet incident comme une attaque contre la liberté de la presse.

Interrogée lundi matin, l'armée israélienne a indiqué que les actions des soldats avaient été examinées après l'incident et que les règles avaient été réaffirmées. L'armée s'excuse " pour tout désagrément occasionné ".

Selon le reportage, l'équipe de l'ARD était en route pour couvrir la violence des colons juifs radicaux contre les Palestiniens en Cisjordanie occupée par Israël. "Les soldats nous ont menacés avec leurs armes et nous ont demandé si nous étions juifs. Notre collègue a été traitée de traîtresse", a déclaré le correspondant Kitzler.

Ce n'est qu'au bout de plus d'une heure que la situation s'est détendue, après l'intervention d'autres soldats et de forces de police.

"Pour nous, c'est le deuxième incident en une semaine. Notre équipe s'est clairement identifiée comme des représentants de la presse accrédités et se trouvait loin des zones de sécurité militaires", a déclaré le directeur du studio ARD, Christian Limpert. "Nous ne pouvons pas accepter l'action de l'armée israélienne".

L'association de la presse étrangère en Israël avait déjà appelé fin octobre l'armée israélienne à garantir la sécurité des journalistes et avait fait état de deux incidents en Cisjordanie au cours desquels des soldats avaient harcelé des reporters. Dans l'un d'entre eux, des collaborateurs de l'ARD auraient également été concernés.

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