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Tout ce qui a été posté par Skw

  1. Non, il n'y a plus vraiment d'entité prussienne ou sinon d'acteurs qui pourraient se revendiquer porteurs d'une telle identité. Par exemple, la division Ouest/Est est bien plus visible dans la manière d'appréhender la politique et de concevoir le futur allemand. Et le posteur ayant écrit cela le faisait très probablement avec une teinte d'ironie. Néanmoins, il demeure parfois une certaine distance entre cet ancien territoire prussien et les autres agrégats. On connaît les tendances bavaroises à une certaine prise de distance : il s'agit certes du Land le plus riche ou de l'un des plus riches (cela n'a pas toujours été le cas) et qui par conséquent renâcle parfois à la redistribution d'échelle fédérale, mais c'est aussi son histoire catholique qui implique parfois des manières différentes de concevoir la place de la religion, de la famille, de l'Etat, le rôle du commerce, etc. Enfin, c'est un Etat qui n'a pas choisi l'unification allemande, mais qui l'a subie. En outre, on a les Souabes, qui ont un peu une histoire de Bretons ou d'Auvergnats, notamment parce que la Souabe fut une région relativement pauvre durant très longtemps. Forcément, ils se sont vus attribués les images de radinerie qui vont avec. Il y a un peu plus d'un an, a éclaté un scandale en Allemagne avec des attaques assez fortes adressées à l'encontre des Souabes qui avaient déménagé et s'étaient installés à Berlin (http://allemagnehorslesmurs.blogs.rfi.fr/article/2013/01/02/les-souabes-mal-aimes-berlin ou encore http://allemagnehorslesmurs.blogs.rfi.fr/article/2012/01/29/berlin-mort-aux-souabes), même si le ressentiment est sans doute plus profond que cela encore (ce n'est pas que quand il déménage pour Berlin que l'Allemand aura une image particulière du Souabe). Ainsi, on ne peut pas dire que la Prusse demeure en tant qu'identité culturelle ou en tant qu'entité politique, par contre, on retrouve quelquefois en négatif ces particularismes entre anciens territoire compris dans le Zollverein ou au contraire extérieurs à celui-ci.
  2. Quand on voit les commentaires sur l'article, on a un peu de tout : - ceux qui pensent que c'est une bonne idée, étant donnée notamment la réalité économique du Land. - ceux qui pensent que certaines françaises régions devraient faire de même, dans une logique d'équilibre. - ceux qui perçoivent cela comme une perte de temps, l'anglais devant devenir le seul objectif pour tout étudiant, et ne souhaitant pas payer - à travers les systèmes de compensation fiscale et budgétaire - pour cet enseignement de la langue française dans un Land qui n'est pas le leur. - ceux qui craignent que la Sarre se rapproche trop de la France et devienne une nouvelle Alsace-Lorraine. - ceux qui pensent que la Bavière et le Baden-Württemberg devraient emboîter le pas pour se rapprocher respectivement de l'Autriche et de la Suisse et ainsi laisser la Prusse mener sa politique seule. Bref, il y a de quoi se marrer
  3. Oui, exploitation économique de la Sarre (charbon) par la France suite à la Première Guerre mondiale et occupation suite à la Seconde Guerre mondiale. Chez les générations les plus anciennes - chez les jeunes, peut-être un peu moins - on parle souvent un très bon français. Edit : La page wiki est pas mal faite : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sarre_(Land) . D'ailleurs, pour le coup de la Fifa ayant autorisé la Sarre a joué en tant que nation indépendante contre l'équipe nationale d'Allemagne ou encore la participation en tant que pays aux JO, je ne savais pas.
  4. Un extrait intéressant et qui en dit beaucoup sur le regard que peuvent porter certains Allemands - pas tous, hein ! - sur la France : "That kind of behavior in France, long referred to as the "Grande Nation" for its culture and special role in the world, led to collective eye-rolling in Berlin political circles." En fait, aucun Français ne parle de la France comme de "La Grande Nation". Pourtant, la grande majorité des Allemands pensent que les Français qualifient, avec vanité, leur pays ainsi. Ce terme "Grande Nation" est ainsi parfois évoqué avec un peu d'admiration côté allemand, mais c'est plus généralement empreint d'ironie. Ce sont le plus souvent les tabloïds - type Bild - qui ont recours à cette dénomination. Sur Arte, ils avaient fait un petit sujet, avec un ton humoristique - sur l'histoire de cette expression (aller à 7'19) : http://www.arte.tv/fr/karambolage-emission-du-28-juin-2009/104016,CmC=2712126.html : Bref, l'autre origine - non anglophone - du French Bashing ^^ http://fr.wikipedia.org/wiki/Grande_Nation
  5. Skw

    Achat suisse

    Même pas vraiment besoin d'un blocus. Si l'on se retrouve dans un cas de guerre intense sur le continent européen, sans même que la Suisse ne soit impliquée mais avec raréfaction générale des denrées, on risque d'avoir faim en Suisse.
  6. Skw

    Achat suisse

    Je trouve que la démarche helvète est au contraire relativement transparente. Il y a des évaluations techniques. Néanmoins, pour des raisons financières; diplomatiques et géostratégiques, les décideurs politiques choisissent le troisième et dernier candidat. Cela peut sembler choquant, mais les compétitions dans le domaine de l'armement s'inscrivent rarement dans le cadre légal des appels d'offres. Ainsi, rien n'empêche un revirement et donc la sélection d'un produit qui ne correspondrait pas forcément le plus aux critères fixés initialement. Enfin, dans bien des pays, ils auraient bidouillé le rapport d'évaluations techniques pour que celui corresponde au choix du prince.
  7. Skw

    Achat suisse

    En fait, vendre le Gripen comme "chasseur intelligent" ne me semble pas plus provocateur que cela. Par contre, la formulation va bien plus loin. Si l'on traduit, cela donne : "l'avion de combat intelligent pour la défense intelligente". S'ils avaient choisi "l'avion de combat intelligent pour une défense intelligente", ça aurait tout de suite été plus diplomate. Avec une telle tournure, ne laissant pas d'autres alternatives de défense intelligente, cela tend forcément à agresser le citoyen qui voit son libre-arbitre remis en cause.
  8. https://soundcloud.com/obe29/les-schtroumpfs-sont XD
  9. Je suis assez régulièrement en Allemagne et je peux te dire que les questions familiales sont en train de prendre une réelle importance dans la politique. La thématique a dans un premier temps été lancée par la gauche, et notamment le SPD. Le nombre de places de crèches est d'ailleurs devenu dernièrement un argument de campagne, ce qui est plutôt nouveau. Mais, même à la CDU-CSU, la thématique gagne en importance. Et Ursula von der Leyen fut d'ailleurs l'une des pionnières de ce bouleversement dans la droite allemande. Elle a défendu une politique familiale que beaucoup auraient considéré auparavant comme une politique familiale de gauche ou du moins largement opposée à ce que pouvait attendre la droite traditionnelle. Pourtant, Ursula von der Leyen a gagné du crédit crédit, à gauche comme à droite. Sa politique a été très favorablement reçue à gauche et sa famille (7 enfants + sa fonction de ministre) lui offre une certaine légitimité pour défendre cette politique face à la droite traditionnelle. Cette montée en puissance de la question familiale en politique cache bien évidemment des craintes démographiques. Surtout que malgré une politique familiale coûteuse, les résultats ne sont pas au rendez-vous. Les Allemands sont en train de s'apercevoir qu'il ne suffit pas de mettre de l'argent sur la table pour voir les taux de natalité remonter. C'est bien plus complexe que cela. Lors des débats, on peut parfois voir les politiciens les plus traditionalistes - mais qui restent néanmoins très pragmatiques d'un point de vue économique - se poser des questions sur le modèle traditionnel de la famille qu'ils ont pu défendre. Il faudrait sans doute néanmoins faire une différence entre politiciens de la CDU et de la CSU, plus traditionalistes encore. Certes, l'armée a besoin d'attirer davantage et il existe des arguments rationnels à une telle évolution (comme tu as pu les exposer) mais Ursula von der Leyen n'a sûrement pas évoqué cette question de la vie de famille de manière neutre. Elle a été désignée comme Ministre de la Défense le 17 décembre 2013 et dans sa première déclaration d'importance après la prise de fonction, elle évoque cette thématique familiale, en des termes qui sont d'ailleurs travaillés : elle ne parle pas de la nécessité d'une armée plus attractive en premier lieu (la thématique de la défense est d'ailleurs tout à fait secondaire dans le propos) mais bel et bien d'une armée plus "familienfreundlich" (plus "family-friendly" si l'on devait passer par l'anglais pour traduire le plus fidèlement possible le terme). Autrement dit, elle applique à l'armée ce qu'elle a défendu pour l'ensemble de la société et des secteurs économiques. Cette évocation de la question familiale dans les armées, dès la première déclaration d'importance dans la fonction, est pour moi loin d'être un hasard. Beaucoup d'analystes politiques ont d'ailleurs considéré cette nomination d'Ursula von der Leyen au poste de Ministre de la Défense comme une rampe vers un statut de future candidate de la droite à la chancellerie, Angela Merkel ayant laissé entendre qu'elle ne se représenterait plus. D'ailleurs, l'une des principales critiques adressées à Angela Merkel - et pas seulement à gauche - c'est de ne pas s'être assez impliquée, de ne pas assez avoir soutenu la politique familiale. Oui, je le réaffirme, la question familiale prend une importance nouvelle et Ursula von der Leyen compte bien en tirer profit.
  10. Une telle information peut sembler relativement banale. Mais je trouve au contraire qu'elle dit beaucoup de choses. La déclaration a beau provenir de Ursula von der Leyen - qui était Ministre de la famille avant d'avoir été récemment placée au poste de Ministre de la Défense et qui en abordant la question parentale et familiale espère certainement pouvoir gagner des points auprès de l'électorat - cela ne donne pas vraiment l'impression d'une armée qui se soucie de sa rapidité d'intervention et de son opexabilité. Enfin, il faudra voir les propositions concrètes, mais les points esquissés dans l'article me laissent dubitatif : temps partiels sur demande, jours disponibles pour s'occuper de jeunes enfants ou de parents âgés, etc... Ce n'est pas que je sois foncièrement contre - bien évidemment - mais je me demande comment concilier cela avec les exigences d'une armée contemporaine.
  11. Même si le ton aurait pu être plus neutre (le propos aurait pu être défendu tout aussi bien sans que l'auteur eût besoin de nous vendre Hayek comme le messie) l'article n'en est pas moins intéressant. Néanmoins, je ne pense pas que le succès du keynésianisme réside seulement dans le pouvoir qu'il offre aux hommes politiques. Certes, cet aspect a probablement joué, et même largement. Mais le keynésianisme fonctionne également parce que les populations assez souvent le réclament. Et si elles le réclament ce n'est pas seulement en raison d'un appât court-termiste. C'est aussi parce que le keynésianisme rend aux populations, à travers les politiques publiques, la possibilité de définir l'économie et leur relation à l'économie. L'idée de laisser-faire, contrairement à ce que d'aucuns pourraient penser, n'est pas spécialement naturelle. Le propre de l'homme, c'est de domestiquer son environnement. D'ailleurs, l'économie était originellement l'art d'administrer au mieux le foyer, de gérer au mieux le domaine privé ou particulier, oikonomía signifiant étymologiquement la "loi de la maison" ou encore "la règle du domaine". Pourquoi l'homme devrait-il alors s'interdire d'agir sur tout un pan de son environnement, à savoir la sphère économique ? Les populations recherchent sans doute, pour nombre d'entre elles, cette mainmise politique sur l'économie.
  12. Bah, comme il s'agissait de son discours de départ de la fonction, il avait à défendre son bilan... Sachant qu'il s'est déjà pris dans les dents le scandale Euro-Hawk (l'opposition l'a notamment amplement accusé d'avoir délibérément dissimulé les défaillances du drone), faut pas non plus qu'il cumule les critiques s'il veut un futur en politique. Après, rien n'oblige à gober ses arguments qui sont très largement spécieux. Ce n'est pas parce que l'on fait de l'occupation de terrain dans la zone la moins tendue du pays - et il fallait néanmoins bien que quelqu'un le fasse - que l'on est forcément le plus investi dans l'opération en question, surtout que les Britanniques et Français ont simultanément eu des hommes engagés sur d'autres terrains d'opération (Iraq, Côte d'Ivoire, Lybie). Qui plus est, sur ce territoire relativement calme au regard de ce qui se fait dans la région, la Bundeswehr a scoré l'une des plus belles bavures de la Guerre d'Afghanistan. De Maizières n'y est strictement pour rien - Karl-Theodor zu Guttenberg était d'ailleurs le Ministre de la Défense à l'époque - mais un tel acte est justement ce qui a réduit et va durablement peser sur les possibilités d'engagement de troupes allemandes dans des opérations extérieures au cours des décennies à venir. De Maizières sait très bien que les politiques allemands n'ont quasiment plus de libertés pour envoyer des troupes à l'extérieur depuis cette histoire.
  13. Brazil future SSN DCNS assistance : http://gentleseas.blogspot.fr/2014/01/brazil-future-ssn-dcns-assistance.html
  14. Skw

    Marine portugaise

    Le problème, ce n'est pas seulement la question du chômage et son poids budgétaire. C'est aussi la perte de compétences qui manqueront quand il sera temps de relancer la machine... On a actuellement des pays du Sud qui assainissent leur situation budgétaire et économique, mais qui mettent pour cela à mal leur potentiel de croissance future. Malgré des indicateurs économiques meilleurs, la situation est-elle vraiment préférable désormais ?
  15. http://www.meretmarine.com/fr/content/piriou-va-assurer-le-mco-de-103-bateaux-et-engins-de-la-marine Il y a même en photo un navire qui a été baptisé en l'honneur de TMor : Le chaland releveur d'ancrages Telenn Mor PS : Apparemment, "Telenn Mor" signifie "harpe de mer" en breton.
  16. Quand on peut s'appuyer sur les alliés... Ensuite, si l'on souhaite gagner une certaine liberté face aux loueurs, il existe une solution. On serait un minimum pertinents, on développerait notre pool logistique (gros porteurs et ravitailleurs) au niveau européen. L'entretien serait pris en charge collectivement et l'utilisation des avions par une nation pourrait faire l'objet de compensations financières supplémentaires. Bon, dans l'idéal on pourrait même imaginer que lorsque une nation entreprend une opération sous mandat de l'ONU ou en appui de la diplomatie européenne le coût soit supporté collectivement (mais il ne faut peut-être pas trop rêvé non plus...) Une telle mise en commun des moyens devrait être d'autant plus imaginable à terme que nous allons partager avec l'A-400m le même vecteur intermédiaire tactique-stratégique. Néanmoins, pas sûr que l'Allemagne avec sa faible culture opex (et des transalls bien moins usés que les nôtres) et autres pays européens à faible budget militaire (et sans intentions/capacités à mener une opex individuellement) soient prêts à s'investir dans un tel organe logistique. Ce serait pourtant le moyen d'établir une premier germe d'Europe de la Défense.
  17. Merci pour la vidéo Gibbs. C'est à se demander si les armées vont à terme prendre la peine d'entretenir une flotte de C-17 et si le concept de location des gros porteurs (C-17 et An-124) - dans le cas d'opérations d'envergure où les A400m ne suffiraient pas - ne va pas se développer. Sinon, ils ont réussi à atteindre les objectifs initialement fixés par le cahier des charges en termes de masse chez Airbus ? Je sais que c'était un des points critiques du programme.
  18. Skw

    khairou

    La bienvenue !
  19. Si tu veux t'intéresser à Max Weber (on ne sait jamais, malgré le ton amusé) la formulation en français devait être un truc du genre : la bureaucratie est le prix de la démocratie en ce sens qu'elle applique la loi de manière froide, neutre et dépassionnée. Autrement dit, il existe un intermédiaire entre la figure du chef et les administrés qui remplit le rôle d'un tampon. En rien, Weber n'expliquait que la bureaucratie était un idéal, mais il la considérait comme une condition nécessaire. Et quand on voit les prérogatives que tendent à s'arroger certains politiciens contemporains ou certaines orientations qu'ils comptent imposer sans forcément en avoir les latitudes légales, on peut se demander s'il n'y a pas une part de vrai. PS : Pour reprendre la proposition de Rémy, c'est vrai qu'une bonne page de postes pourrait être déplacée dans un fil créé à cet effet, avec un titre du genre : "Hommes providentiels, bureaucraties et difficultés de réforme au sein des organisations" Le sujet pourrait bien évidemment être l'occasion d'évoquer les armées et les difficultés de réforme au sein de celles-ci.
  20. C'est tout à fait vrai. Mais se pose alors la question de la définition de la bureaucratie et du bureaucrate. Si je me souviens bien, l'historien en question se basait sur la définition relativement restrictive proposée par Max Weber. Or, pour cet auteur, le concept de féodalité serait presque un antonyme du concept de bureaucratie, notamment parce que la féodalité suppose l'importance des relations personnelles et des obligations qui sont liées à celles-ci alors que la bureaucratie - telle que définie par Weber en tout cas - suppose l'importance d'obligations impersonnelles et liées à la fonction officielle. Bon, je ne vais pas forcément développer davantage ici... car on est déjà largement hors sujet.
  21. Certains rajouteraient même que la bureaucratie est la condition de la démocratie, du moins dans une société où la démocratie directe n'est plus envisageable. Les régimes totalitaires font sauter toutes les procédures et instances bureaucratiques - lourdes, lentes et parfois même coûteuses - censées ou à même de contrebalancer/limiter l'étendue des pouvoirs conférés aux hommes politiques. Je ne sais plus quel historien (il faudrait que je prenne le temps de chercher) avait montré comment avec la montée en puissance des nazis avaient été peu à peu démantelés les mécanismes bureaucratiques, que ce fût dans le domaine de la justice, de l'administration territoriale, de l'action économique, etc.
  22. Skw

    FREMM Italie

    C'est sûr que le terme n'a pas toujours été utilisé avec bienveillance. Mais le terme a largement perdu sa connotation négative. Il y a d'ailleurs des associations de promotion de la culture italienne qui s'appellent désormais "les ritals", "amis des ritals",* etc. J'ai vécu dans un quartier italien comptant un magasin vendant des produits alimentaires italiens et qui reprenait le terme "rital" dans son nom de commerce. Je me demande même si le terme ne tend pas de plus en plus à prendre une connotation amicale. Tout dépend comment il est utilisé néanmoins : le terme demeure du registre du parler populaire. Et si un diplomate ou un politicien d'ampleur nationale employait le terme, le propos serait alors vu comme stigmatisant. Bref, c'est assez subtil. * "Rital" a donc bien un pluriel est c'est "Ritals" ;)
  23. Tiens, avec cette histoire de l'Honeytroll, je viens de m'apercevoir que l'on ne pouvait pas soutenir dans le cadre du sondage une trop grande latitude de la part des admins. Il y a bien l'option "inquisiteurs", mais on n'a pas l'inverse. Je veux pouvoir voter pour le topol-bisounours ^^
  24. Skw

    Appel d'offre brésilien

    Du point de vue de la politique interne, puisque c'est évidemment la priorité de Rousseff et de son gouvernement, mieux vaut prendre un avion qui racle moins les caisses et qui de plus les raclera le plus tard possible. Il faut avoir la liberté de son ambition. Et depuis quelques temps, cette liberté n'existe plus autant en interne.
  25. Skw

    Appel d'offre brésilien

    Non, tu n'as pas rêvé. Tous les candidats (Saab, Dassault, Boeing) avaient proposé des solutions en attente de la livraison des premiers appareils. Il est donc prévu qu'une douzaine - chiffre à préciser - de Gripen C/D soient loués à la FAB.
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