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Un "terrain propice à l'export" pour vendre le Rafale à l'Inde

http://www.usinenouvelle.com/article/un-terrain-propice-a-l-export-pour-vendre-le-rafale-a-l-inde.N186618

Les négociations exclusives entre l'Inde et Dassault Aviation pourraient aboutir d'ici à la fin avril. Le ministre de la Défense français ne s'y immisce pas, mais souhaite garder sa fonction d'encadrement et d'arbitrage en la matière.

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a déclaré le 22 novembre espérer que les négociations de Dassault Aviation avec l'Inde pour un contrat de 126 avions de combat aboutiraient en 2013, consolidant ainsi le partenariat stratégique noué depuis 1998 entre Paris et New Delhi.

Les négociations exclusives avec le constructeur du Rafale, annoncées fin janvier, pourraient aboutir d'ici la fin de l'exercice budgétaire qui court en Inde jusqu'à fin avril, selon des propos de l'ambassadeur indien à Paris rapportés par la presse début novembre.

La campagne des élections législatives indiennes de 2014, qui devrait démarrer l'été prochain, pourrait compliquer les négociations sur un contrat aussi sensible que celui d'avions de combat.

Jean-Yves Le Drian a précisé que son rôle se limitait à créer un terrain propice à l'export.

"Si un ministre s'immisce dans le détail d'une négociation commerciale, il y a confusion des genres", a-t-il noté, lors d'une audition par les commissions de Défense et des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale pour la présentation au Parlement du rapport sur les exportations d'armement en 2011.

"Par contre l'Etat est dans son rôle lorsqu'il encadre, lorsqu'il garantit et lorsqu'il arbitre", a-t-il ajouté. "C'est bien souvent sur la base de relations étroites que j'appelle partenariats stratégiques que nous pouvons bâtir une relation à l'export".

La France a exporté pour 6,5 milliards d'euros d'armes en 2011 contre 5,1 milliards en 2010. Sur la période 2002-2011, l'Arabie saoudite, le Brésil, l'Inde et les Emirats arabes unis ont été ses quatre premiers clients.

Jean-Yves Le Drian a déclaré avoir déjà travaillé récemment à la consolidation d'une telle relation avec les Emirats arabes unis et le Brésil et qu'il comptait le faire prochainement avec l'Inde et l'Arabie saoudite.

L'appel d'offres du Brésil pour 36 avions de combat ne cesse d'être reporté et les négociations avec les Emirats arabes unis semblent dans l'impasse depuis un an.

Concernant les recompositions industrielles en France, le ministre de la Défense a estimé que le champ était ouvert.

"On a dû avoir une période de pause pendant que se développait pour aboutir à un échec de l'opération EADS-BAE, elle est terminée au moins pour un certain temps", a-t-il noté. "Les questions se reposent, le jeu est totalement ouvert".

Jean-Yves Le Drian a déclaré à la mi-octobre qu'il regrettait l'échec de la fusion entre le groupe européen d'aérospatiale et de défense et le britannique, estimant toutefois que cet échec ne contrariait pas les efforts de la France pour bâtir une Europe de la Défense.

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/air-defense/actu/0202406118902-rafale-le-drian-espere-un-succes-en-inde-en-2013-513588.php

Haro sur le mélange des genres. Bien décidé à soutenir les exportations françaises d'armement, qui ont atteint 6,5 milliards d'euros l'année dernière, Jean-Yves Le Drian a détaillé ce jeudi aux députés sa méthode. Elle se résume en une phrase : promouvoir, avant toute chose, des partenariats stratégiques entre la France et l'Etat client.

« Si les autorités politiques s'immiscent dans la négociation commerciale, il y a confusion des rôles. Le rôle de l'Etat est d'encadrer, de garantir, et d'arbitrer, pour créer une relation étroite de confiance qui s'établira sur des dizaines d'années », a déclaré le ministre de la Défense devant les commissions de la Défense et des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.

Transfert de technologies

C'est dans cet esprit que Jean-Yves Le Drian compte se rendre en Inde début 2013 pour conforter les négociations exclusives portant sur la vente par Dassault de 126 Rafale. Sur ce total, New Delhi exige que 108 exemplaires soient assemblés sur place, aux termes d'un accord de transfert de technologies. La visite doit déboucher sur la mise en place d'un cadre juridique bilatéral pour garantir ce transfert. « Je souhaite que ce contrat, d'une importance considérable, puisse aboutir en 2013 », a ajouté le ministre.

Ce qui a des chances de fonctionner en Inde, réussira-t-il aussi aux Emirats arabes unis ? Paris et Abu Dhabi sont déjà liés par un partenariat stratégique. La France a même implanté une base militaire sur place. En 2008, Nicolas Sarkozy avait obtenu l'ouverture de négociations de gré à gré pour le remplacement des 60 Mirage 2000 du royaume par autant de Rafale. Pour accrocher la première référence à l'export de l'avion de combat, l'Elysée a géré la négociation en direct. Sans succès.

En visite aux Emirats il y a un mois, Jean-Yves Le Drian a marqué une rupture en mettant la priorité sur l'établissement d'une structure d'échanges bilatérale, apte à encadrer toute négociation sur des ventes d'armes. A en croire le ministre, le mot Rafale n'a même pas été prononcé. Il devrait l'être à New Delhi dans quelques semaines...

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l'inde a choisi l'A330Mrtt d'EADS pour équiper ses forces

bonne nouvelle pour l'industrie européenne !

http://portail-aviation.blogspot.fr/2012/11/inde-eads-gagne-lappel-doffre-des.html

Noter bien, 6 MRTT pour 1 milliards de $ ($ est plus faible que €)

http://psk.blog.24heures.ch/archive/2012/11/18/l-inde-confirme-le-choix-de-l-a330mrtt.html

Il faudra surveiller notre deal pour 14 MRTT...

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bonjour ,

  petite question : peut etre avez vous entendu les propos tenu par mr montebourg aujourd hui ou hier , mais serais t il possible que la " brouille "avec mr Mittal puisse nuire au contrat rafale ?

   

Mister Montebourg n'est pas à son premier coup de menton. Le PDG qui doit être reçu demain par Mister Président Hollande dit avoir des excellents rapports avec l'Elysée.

Pour nuire au contrat, Mr. Mittal doit avoir

- l'envie

- des sacrés appuis dans les rouages indiens

A mon humble avis: tempête dans un verre d'eau !

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Mister Montebourg n'est pas à son premier coup de menton. Le PDG qui doit être reçu demain par Mister Président Hollande dit avoir des excellents rapports avec l'Elysée.

Pour nuire au contrat, Mr. Mittal doit avoir

- l'envie

- des sacrés appuis dans les rouages indiens

A mon humble avis: tempête dans un verre d'eau !

+ 1

Lakshmi Mittal n'est pas tellement apprécié en Inde même dans les milieux politiques et puis le gouvernement indien actuel est de centre gauche  :| Lakshmi Mittal est connu pour être un vautour capitaliste qu'un patriote. ^-^

Lorsque Nicolas Sarkozy l'a ouvertement snobé en Inde, il n'y a eu aucun impact politique.

Il s'est trouvé isolé et embarrassé par les médias et presse indienne dans des caricatures sarcastiques.

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Peut importe l'image de Mr Mittal que se soit ici ou en Inde, la connerie est que Mr Montebourg  ferait mieux de fermer sa G----E G----E même si c'est vrai. Mittal est un capitaliste pur et dur, et nous, nous sommes des bisounours: Qui a vendu Arcelor? Ou plutôt devrais-je dire qui a tué Arcelor ?

Bref, quoi qu'il en soit, il y a toujours un guignol qui l'ouvre et on ne connait pas les retombées que cela pourrait produire.

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Dassault à créer une filiale Dassault Aircraft Services India Private Limited ( DASIPL)  en Inde

http://economictimes.indiatimes.com/news/news-by-industry/indl-goods/svs/engineering/french-dassault-opens-indian-subsidiary-for-rafale-deal/articleshow/17401904.cms

After bagging the multi-billion dollar contract for supplying 126 Rafale fighter aircraft to IAF, French Dassault Systems has opened an Indian subsidiary company here.

NEW DELHI: After bagging the multi-billion dollar contract for supplying 126 Rafale fighter aircraft to IAF, French Dassault Systems has opened an Indian subsidiary company here.

The company named Dassault Aircraft Services India Private Limited ( DASIPL) was set up recently and it is 100 per cent owned by its French parent company, officials said here.

The new company is headed by a French national Richard Lavaud, who has worked in India earlier with defence firms,and will work towards finalising the deal with India, they said.

Earlier this year, Dassault Rafale had emerged as the lowest bidder in the IAF tender for supplying 126 combat aircraft edging out its European rival Eurofighter Typhoon aircraft in terms of prices.

The contract has been offered to Dassault and it is negotiating the terms and conditions and the final price of the aircraft with the Indian Defence Ministry officials.

Dassault has also entered into an agreement with Reliance IndustriesBSE 1.66 % Limited (RIL) for partnering in defence and homeland security sectors in the country.

There was a possibility of the two companies working together in the combat aircraft deal here.

After finalising the deal, Dassault will have to reinvest 50 per cent of the contract's worth back into the Indian defence sector.

Mukesh Ambani-headed RILBSE 1.66 % has made several efforts in the past to position itself in the defence, internal security and aerospace solutions sectors.

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Aéronefs pour l'Inde: la Russie dément avoir perdu les appels d'offres

L'Agence russe d'exportation d'armements (Rosoboronexport) a démenti mercredi les informations selon lesquelles la Russie avait perdu les appels d'offres indiens pour l'achat d'hélicoptères de transport et d'avions-ravitailleurs.

"Rosoboronexport dément les informations diffusés par les médias selon lesquelles la Russie a perdu ces appels d'offres. Ces informations sont fausses. Les résultats des appels d'offres n'ont pas encore été annoncés. Toutes les déclarations anticipées induisent en erreur le large public et les professionnels en Russie et en Inde", a indiqué l'agence dans un communiqué.

L'hélicoptère de transport lourd Mi-26T2 et l'avion-ravitailleur Iliouchine Il-78MK-90 représentent la Russie dans les appels d'offres en question. Les deux appareils sont "des aéronefs militaires uniques qui sont conformes aux exigences de l'Inde, y compris en matière de rapport coût/efficacité", selon le communiqué.

Fin octobre, le journal Times on India a rapporté que l'hélicoptère américain Chinook avait remporté l'appel d'offres pour la livraison d'hélicoptères de transport lourds pour l'Armée de l'air indienne, devançant son concurrent russe Mi-26. Cette décision s'explique par le prix du Chinook, qui est inférieur à celui de Mi-26, selon le journal.

Le 1er novembre, le magazine Defense News a annoncé qu'un avion-ravitailleur créé par l'européen EADS sur la base d'Airbus A330e avait devancé l'Il-76 russe dans un autre appel d'offres indien.

Rosoboronexport est la seule société publique russe ayant le droit d'exporter tous les types d'armements, de services et de technologies militaires et duales russes. Elle représente plus de 80% des exportations russes d'armements et de matériels de guerre et coopère avec plus de 70 pays. Rosoboronexport occupe une place importante sur le marché mondial des armements.

Qu'est-ce que les Russes ont magouillé pour y croire ? Quels sont encore les officiers indiens corrompus ?

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Toujours cette histoire absurde de prix inférieur...

Pourquoi absurde?

Le matos russe est en général moins cher à l'achat mais pas forcément à maintenir donc sur 30/40 ans de service rien ne dit qu'un Mi-26 ne soit pas effectivement plus cher qu'un chinook.

Sans compter l'attrition, un domaine dans lequel les indiens n'ont pas que de bon souvenir sur le matériel russe (exemple mig-21)

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Un "incident" (Je dirais plus une routine qu'un incident...) sur la frontière sino-indienne a été rapporté par "Today India".

http://indiatoday.intoday.in/story/china-dispatches-jets-to-scramble-indian-aircrafts-in-arunachal-border-india-today/1/235138.html

Phew! No history repeat: China dispatched jets to scramble Indian aircraft along Arunachal border

The battle games between India and China continue on the disputed boundary between the two neighbours, with the two sides flirting dangerously close to an accidental conflict on the 50th anniversary of the 1962 War.

On October 30, the defence brass of the two countries had some anxious moments after nuclear-armed Chinese fighter aircraft were dispatched to scramble Indian jets flying in the Tawang region of Arunachal Pradesh.

Sources say the incidents were reported by the Indian Air Force (IAF) to the defence ministry and a separate report by India's external intelligence agency, the Research and Analysis Wing (RAW), was also filed on the affair.

Mail Today has in its possession the report on the incident.

Around 3pm on that day, some IAF jets were on a routine sortie mission in Arunachal Pradesh, when they were picked up on their Lhasa-based radar by the Chinese, senior officials privy to the deliberations following the incident said.

Alarmed by the Indian jets, the brass of the PLAAF, the Chinese Air Force, set off a chain reaction. This resulted in two Chinese Sukhoi-27 jets taking off from the Gonggar air base in Tibet within minutes.

After taking off around 3:04 pm, the Chinese aircraft flew southeast towards the direction of the Indian aircraft. There were some anxious moments on the Indian side when the Chinese aircraft were picked up on the radar at 3:29 pm near Cuona.

Officials say the drama lasted for around 50 minutes and just 30 km short of the international boundary- which is few seconds for a supersonic aircraft- the Chinese fighters, realising the IAF jets had no intention of an offensive move, turned back.

Sources said the RAW report, sent to the government on November 9, noted the unusual activity of the Chinese aircraft, which was described as a reaction of the Chinese against Indian activity in the Tawang sector.

While no actual scramble took place, what is scary about the affair is that the radars lost track of the Chinese aircraft twice while the Indian aircraft disappeared from the radar once. In a hostile situation, these incidents can lead to accidental triggers.

Sources told Mail Today, the Chinese Sukhoi-27 was provided tactical radar support by the 42 Radar Regiment of the PLAAF, which is deployed all over Tibet.

The PLAAF is the largest air force in Asia with close to 1,600 aircraft, and the Russian made Sukhoi-27 is a key strike fighter for the force.

China has been ramping up its strategic assets in Tibet for quick reaction in a war situation.

It already has five operational airfields at Gonggar, Pangta, Linchi, Hoping and Gar Gunsa.

The extension of the Qinghai Tibet Railway line to Xigaze and another line from Kashgar to Hotan in the Xinjiang Uighur Autonomous Region is also in progress.

Strategically, the Tibet Autonomous Region is pivotal for China's security as it comprises approximately one-fourth of China's land mass, and it continues to have aggressive deployments in the region.

While the new Chinese leadership led by Xi Jinping may not risk a war with India, the chances of a local commander triggering off a conflict cannot be ruled out given the growing intensity of the provocative incidents on the Line of Actual Control.

Mail Today has repeatedly flagged the clear and present danger emanating from China.

What New Delhi needs to do is ensure that a credible mechanism is in place which is operational between the two sides to avoid any accidental action by either side.

The fact is that there is a huge trust deficit between the two countries and a small error at an operational level on the boundary can lead to disastrous consequences for the two countries.

Ce qu'il m'intéresse dans cette histoire, si elle est vraie, est sur trois points -

* La capacité de détection n'est clairement pas la même - Les avions indiens ont décollé à plus de 300km de Lhasa vers 15:00 et ils ont été tout de suite détectés par les Chinois. Les avions chinois qui ont décollé à 15:04 n'ont été détecté qu'à 15:29 par les Indiens.

* La réactivité - 4 minutes après avoir détecté les avions indiens, les avions chinois ont déjà décollé.

* La couverture - Ceci semble confirmer ce que CCTV avait annoncé dans un reportage que l'armée chinoise est capable de surveiller désormais l'ensemble de l'espace aérien au Tibet.

Bien entendu, ma question va plus loin, si les Indiens n'ont détecté les avions chinois qu'à 15:29, comment ils savent que ces derniers ont décollé à 15:04? Des renseignements post-incident par les infiltrations indiennes?

Henri K.

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Ca veut aussi dire que l'IAF n'a procede a aucun reperage des emissions electromagnetiques du coin depuis des lustres, alors qu'ils sont senses etre "a l'affut" h24 le long de la LAC, et que de leur cote, les chinois arrosent les environs de leurs radars a plein tube...  il semblerait qu'il y ait un leger shift entre indiens et chinois dans le secteur concernant les performances de leurs installations radar  respectives :lol:

En de hors de cela, cela indique aussi qu'il n'y a aucune confiance entre les 2 gouvernements, sinon ils auraient pu mettre un telephone rouge en place depuis longtemps...

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La capacité de détection n'est clairement pas la même - Les avions indiens ont décollé à plus de 300km de Lhasa vers 15:00 et ils ont été tout de suite détectés par les Chinois. Les avions chinois qui ont décollé à 15:04 n'ont été détecté qu'à 15:29 par les Indiens.

Oui, la capacité de détection n'est sans doute pas la même. Néanmoins, il est très difficile de tirer des conclusions à partir des informations fournies. Dans l'article, il n'est pas dit que les aéronefs chinois n'ont pas été détectés avant 15h29. Il est expliqué que les avions ont été détectés à 15h29 près de Cuona. Or, les avions chinois ont été perdus deux fois de "vue" par la couverture indienne : peut-être ont-ils été redétectés à 15h29. Ce qui expliquerait d'ailleurs pourquoi les Indiens connaissent l'heure de départ des avions chinois. Enfin, dans une région montagneuse comme l’Himalaya, avec la même capacité de détection, on peut avoir des résultats très différents en fonction du relief. Certaines zones sont plus facilement surveillables depuis certains points géographiques que depuis d'autres. Il n'est d'ailleurs pas dit que la couverture chinoise a toujours pu suivre les chasseurs, chinois ou indiens. Couvrir l'ensemble des régions montagneuses et vallées n'est pas chose aisée, surtout quand on connaît le relief local.
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Je ne vois pas où l'article dit que les chinois ont détecté les indiens dès leur décollage ?  On parle d'un radar chinois à Lhasa mais pas qu'il a une vue sur les aérodromes indiens.

On dit les Indiens ont été détecté à 3h (sans doute alerté par leur propre RWR), on ne dit pas depuis quand ils étaient en l'air, ni dans la région.

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Aéronefs pour l'Inde: la Russie dément avoir perdu les appels d'offres

Image IPB

L'Agence russe d'exportation d'armements (Rosoboronexport) a démenti mercredi les informations selon lesquelles la Russie avait perdu les appels d'offres indiens pour l'achat d'hélicoptères de transport et d'avions-ravitailleurs.

"Rosoboronexport dément les informations diffusés par les médias selon lesquelles la Russie a perdu ces appels d'offres. Ces informations sont fausses. Les résultats des appels d'offres n'ont pas encore été annoncés. Toutes les déclarations anticipées induisent en erreur le large public et les professionnels en Russie et en Inde", a indiqué l'agence dans un communiqué.

L'hélicoptère de transport lourd Mi-26T2 et l'avion-ravitailleur Iliouchine Il-78MK-90 représentent la Russie dans les appels d'offres en question. Les deux appareils sont "des aéronefs militaires uniques qui sont conformes aux exigences de l'Inde, y compris en matière de rapport coût/efficacité", selon le communiqué.

Fin octobre, le journal Times on India a rapporté que l'hélicoptère américain Chinook avait remporté l'appel d'offres pour la livraison d'hélicoptères de transport lourds pour l'Armée de l'air indienne, devançant son concurrent russe Mi-26. Cette décision s'explique par le prix du Chinook, qui est inférieur à celui de Mi-26, selon le journal.

Le 1er novembre, le magazine Defense News a annoncé qu'un avion-ravitailleur créé par l'européen EADS sur la base d'Airbus A330e avait devancé l'Il-76 russe dans un autre appel d'offres indien.

Rosoboronexport est la seule société publique russe ayant le droit d'exporter tous les types d'armements, de services et de technologies militaires et duales russes. Elle représente plus de 80% des exportations russes d'armements et de matériels de guerre et coopère avec plus de 70 pays. Rosoboronexport occupe une place importante sur le marché mondial des armements.

http://fr.rian.ru/defense/20121128/196759534.html
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http://livefist.blogspot.fr/2012/12/f-35-we-want-lca-navy-indian-navy-chief.html

Asked today about the Indian Navy's interest in the F-35 Lightning II, Chief of Naval Staff Admiral D.K. Joshi today said that while the acquisition of a new generation fighter from abroad with "in the planning phase", the Navy was looking forward more to the LCA Navy. Lockheed-Martin has pitched both F-35B and C variants to the Indian Navy, and is understood to have made another presentation recently.

The LCA Navy Mk.1 is another story altogether, delayed by an EADS-assisted redesign of the platform's landing gear to make it capable of arrested landings on a carrier deck.

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Un petit clin d'oeil à la Chine de Dassault.  ;) pourvu que ca dure. =)

Rafale - Les négociations avec l'Inde avancent bien - Dassault

http://www.zonebourse.com/DASSAULT-AVIATION-5215/actualite/Rafale-Les-negociations-avec-l-Inde-avancent-bien-Dassault-15574634/

Rafale - Les négociations avec l'Inde avancent bien - Dassault

Les négociations en vue d'une vente du Rafale à l'Inde se déroulent bien, a déclaré mardi le PDG de Dassault Aviation, le constructeur de l'avion de combat tricolore.

L'Inde a entamé fin janvier des négociations exclusives avec l'avionneur français pour un contrat de 126 Rafale évalué à 15 milliards de dollars (11 milliards d'euros).

Les négociations pourraient aboutir d'ici la fin de l'exercice budgétaire qui court en Inde jusqu'à fin avril, selon des propos de l'ambassadeur indien à Paris rapportés par la presse début novembre.

"Nous sommes en pleines négociations en ce moment. C'est un pays compliqué, les négociations sont dures, mais il y a une volonté d'aboutir des deux côtés", a déclaré Charles Edelstenne lors d'une audition à l'Assemblée nationale. "Je suis relativement optimiste".

Il s'exprimait lors d'une audition de la commission de défense de l'Assemblée sur la préparation d'un nouveau Livre blanc qui doit fixer les priorités de la politique de défense de la France dans les années à venir.

Le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian a déclaré fin novembre espérer que les négociations aboutiraient en 2013, consolidant ainsi le partenariat stratégique noué depuis 1998 entre Paris et New Delhi.

La campagne des élections législatives indiennes de 2014, qui devrait démarrer l'été prochain, pourrait compliquer les négociations sur un contrat aussi sensible que celui d'avions de combat.

La montée en puissance militaire de la Chine en Asie peut jouer en faveur des négociations de Dassault Aviation avec l'Inde voisine, a noté Charles Edelstenne.

"Nous avons un allié en la place qui s'appelle la Chine, qui tous les jours montre ses biceps sur les médias internationaux", a-t-il observé.

Le Rafale n'a pour le moment remporté aucun contrat à l'exportation et est ainsi uniquement opérationnel au sein des forces françaises. (Cyril Altmeyer, édité par Jean-Michel Bélot)

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