Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

Le F-35


georgio
 Share

Messages recommandés

F-35 undergoes pit testing

7/5/2012 - EDWARDS AIR FORCE BASE, Calif. -- F-35 tail number AF-1 underwent stores static ejection testing at the F-22 Combined Test Force for the past three weeks. The aircraft is carefully positioned over a pit filled with foam, and instrumented inert weapons are released from the aircraft. This type of testing, also known as pit testing, allows the engineers to evaluate how the aircraft is physically affected by the release of the weapon, as well as the how the onboard stores management computers work. Pit testing is a pre-requisite to in-flight weapons release testing. The F-35 CTF tested both a Joint Direct Attack Munition (JDAM) and an Advanced Medium-Range Air-to-Air Missile (AMRAAM).

Image IPB

AF-1 drops a 2,000-lbs JDAM for stores static ejection testing. The dot stickers on the aircraft and weapon are part of a complex camera system that accurately measures and models the aircraft’s motion. A series of high speed cameras surround the F-35 and photograph each store release. (U.S. Air Force photo by Paul Weatherman/Lockheed Martin)

Image IPB

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

AF-1 drops an AMRAAM missile. The foam in the pit is positioned in a wedge layout to absorb the impact of the weapon and prevent it from bouncing and damaging the weapons bay. If the weapon and its instrumentation have not been damaged during the drop, it can be reused in future ground releases. (U.S. Air Force photo by Tom Reynolds/Lockheed Martin)

Image IPB

Group shot of the F-35 Combined Test Force team that performed stores static ejection testing on an F-35 for the past three weeks. (U.S. Air Force photo by Paul Weatherman and David Henry/Lockheed Martin)

Image IPB

http://www.edwards.af.mil/news/story.asp?id=123308680

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Premier tir en vol pour le F-35

Image IPB

Image IPB

Le F-35 vient de faire un grand pas en avant. Le futur avion de combat américain a réalisé son premier tir de munition pendant un vol d'essai. Le 8 août un F-35B, version de l'appareil à décollage court et atterrissage vertical (Stovl), a ainsi largué une bombe GBU-32 de 455 kg (1 000 livres), guidée par GPS via un kit JDAM (Joint Direct Attack Munition). Emportée en soute, la munition a été tirée à une altitude de 1 280 m (4 200 ft) alors que l'avion évoluait à une vitesse de 740 km/h (400 kts).

Pour ce tir initial le F-35B, immatriculé BF-03, est parti de la base aéronavale de Patuxent River (US Navy), où il est actuellement en évaluation. Il s'est ensuite rendu sur l'un des champs de tir de l'Atlantique (Atlantic test ranges), au large de la baie de Chesapeake dans laquelle se situe "Pax River", où il a procédé au largage.

Selon le captain Erik Etz (équivalent de capitaine de vaisseau), qui dirige les essais pour les variantes navales du F-35 (F-35B/C) au sein du Navair (Naval Air Systems Command), ce tir "représente une entrée significative dans une nouvelle phase de tests pour le programme F-35." Il a néanmoins souligné que cette réussite n'était qu'un élément parmi des "centaines de vols et des milliers d'essais".

En avril dernier, le Navair avait déjà mené au sol une campagne de tests d'éjection de munitions air-sol et air-air depuis la soute à bombe du F-35B, pendant deux semaines. Placé au dessus d'une fosse aménagée, l'avion a largué des GBU-12, GBU-32 et autres AIM-120. Des tests qui seront renouvelés pour la variante F-35C.

http://www.air-cosmos.com/defense/premier-tir-en-vol-pour-le-f-35.html

Ça date de quelque jour mais bref c'est toujours bon de savoir

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

120808-O-GR159-003 NAVAL AIR STATION PATUXTENT RIVER, Md. (Aug. 8, 2012) F-35B test aircraft BF-3, flown by Lockheed Martin test pilot Dan Levin, completed the first aerial weapons release for any variant of the aircraft. BF-3 dropped an inert 1,000-pound GBU-32 Joint Direct Attack Munition over an Atlantic Ocean test range from an internal weapons bay. The F-35B is the variant of the Joint Strike Fighter designed for use by U.S. Marine Corps, as well as F-35 international partners in the United Kingdom and Italy. The F-35B is capable of short take-offs and vertical landings to enable air power projection from amphibious ships, ski-jump aircraft carriers and expeditionary airfields. The F-35B is undergoing test and evaluation at NAS Patuxent River, Md., and Edwards Air Force Base, Calif., before delivery to the fleet. (U.S. Navy photo courtesy Lockheed Martin/Andy Wolfe/Released)

Image IPB

Une image ressente du 8 de se mois

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

la séquence d'éjection est intéressante car on voit bien le comportement de la munition qui oscille sur son axe de tangage. Avec une arme de 500 livres çà doit être encore plus compliqué, l'éjection à partir de soutes n'est pas chose simple

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Dans le domaine des emports de charges le peu qu'on m'en a dit montre que le yaka faukon n'existe pas ...

D'où les essais, les manips, la soufflerie, les calculs de séquençage, les emports interdits les limites d'évolution ... et bien entendus les coûts liés à tout ceci

RIEN N'EST SIMPLE

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

... Et peut être pas étrangère au souhait de l'USMC de déclarer très tôt l'IOC du F-35 B

http://www.air-cosmos.com/defense/premier-tir-en-vol-pour-le-f-35.html

A l'origine, il était prévu que la capacité opérationnelle initiale (IOC) du F-35B soit prononcée dans l'US Marine Corps (USMC) dès 2012. Aujourd'hui, la date de 2015 semble plus probable. Voire 2016, pour qu'il soit “militairement opérationnel”. Et ce malgré les progrès faits par le programme en 2011, après une année 2010 difficile, avec notamment une première campagne d'essais embarquée sur un porte-aéronef à l'automne. Le F-35B est aussi directement testé par les Marines, avec le BF-02 déployé sur la base d'Edwards (Californie) depuis le 25 juillet. Une deuxième doit avoir lieu cette année. Outre l'USMC, le Royaume-Uni et l'Italie se sont portés acquéreurs pour le F-35B.

Quant aux F-35A et F-35C (version navalisée pour les porte-avions dotés de catapultes et brins d'arrêt), les délais sont encore plus longs. Ils ne devraient arriver en unité, respectivement dans l'US Air Force et l'US Navy, qu'aux alentours de 2018-2019. Soit deux à trois ans de retard.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Dans le domaine des emports de charges le peu qu'on m'en a dit montre que le yaka faukon n'existe pas ...

D'où les essais, les manips, la soufflerie, les calculs de séquençage, les emports interdits les limites d'évolution ... et bien entendus les coûts liés à tout ceci

RIEN N'EST SIMPLE

C'est surtout la loi de la gravité qui ne fait pas SON TRAVAIL ! >:(

C'est inadmisible de voir ça !

C'est quoi ce cirque de voir ses bombes  qui ne tombent pas  et qui prennent même de l'altitude et qui se mettent à endommager l'avion largeur voir à le détruire . :P

Que l'on pende ces ingénieures sur le champ d'avoir conçu des bombes qui détruisent nos propres avions !

Quand on largue quelque chose dans les airs, ça doit tomber un point c'est tout !  >:(

C'est la loi de la gravité !  >:(

Hein ????Quoi ????

Qu'est ce qu'on me souffle dans l'oreille ?

Ha on me dit que à cette vitesse la loi de l'énergie cinétique et des lois aerodynamique agissent aussi ! :lol:

Qu'est ce que c'est compliqué la physique alors... =D

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ha on me dit que à cette vitesse la loi de l'énergie cinétique et des lois aerodynamique agissent aussi ! :lol: Qu'est ce que c'est compliqué la physique alors... =D

Pour expliquer simplement un des souci. Le flux d'air qui passe entre la bombe et l'aile se rétréci, et donc s’accélère -  conservation du débit -, il en résulte une baisse de pression, et donc la bombe et l'aile sont attirée l'une vers l'autre, de la même manière que deux bateaux qui naviguent bord a bord. En gros la bombe n'est pas naturellement attiré vers le bas, loin s'en faut. Pire plus l'angle que fait la bombe et l'aile s'ouvre plus ça empire - tant que la bombe reste attaché et a donc la même trajectoire que l'aile -. En gros pour larguer une bombe il faut en fait la pousser très énergiquement sinon elle a tendance a faire ventouse. L'effet ventouse/venturi s'estompe quand la bombe est éloigné de l'aile et qu'on retrouve des filet d'air indépendant, mais pour ca faut compter au bas mot une dizaine de mètre - surtout en arrière de l'aile ou il y a des perturbations aérodynamique qui décale les filet d'air vers le bas -.

De la même manière qu'un balle de fusil gigote absolument dans tous sens quand elle sort du canon, une bombe peut avoir des trajectoire tres étonnante juste après le largage.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En gros pour larguer une bombe il faut en fait la pousser très énergiquement sinon elle a tendance a faire ventouse. L'effet ventouse/venturi s'estompe quand la bombe est éloigné de l'aile et qu'on retrouve des filet d'air indépendant, mais pour ca faut compter au bas mot une dizaine de mètre

Ce qui explique par exemple que pour le largage de certaines munitions (AASM sous F1 marocain notamment mais ce n'est pas exclusif) un petit vérin exerce une poussée vers le bas pour dégager la bombe au plus vite.

Autre chose concernant le largage de l'AASM qui permet de mesurer l'ampleur de la question des séparations de charges. Les surfaces de contrôle de ce missile (rappelons que comme toute munition propulsée et guidée c'est un missile) agissent très tôt après largage pour notamment donner le plus vite possible une trajectoire idéale vers la cible fixée; afin de limiter la déperdition d'énergie et permettre un portée maximale et surtout un profil de vol de fin de parcours à forte pente et grande vitesse et pas "en vol plané comme une merde".

Il a donc fallu combiner ces caractéristiques très particulières en matière de guidage avec les phénomènes décrits par Gally plus, sur le point interne du tribombe, la présence à proximité du bidon.

Ce qui explique qu'en matière d'emport de charge et de séparations les essais sont longs, couteux et que souvent c'est la crème des BE militaires qui se coltine le travail et que parfois même ce sont les ingénieurs de l'avioneur qui doivent reprendre à leur compte l'ensemble des essais ...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce qui explique par exemple que pour le largage de certaines munitions (AASM sous F1 marocain notamment mais ce n'est pas exclusif) un petit vérin exerce une poussée vers le bas pour dégager la bombe au plus vite.

Ce n'est pas spécifique à l'AASM, ni au Mirage F1.

Les charges, et en particulier les bombes, sont accrochées sous ce qu'on appelle un déclencheur-éjecteur. C'est le dispositif mécanique qui dispose des deux crochets permettant de bien maintenir la charge, et de deux vérins d'éjection télescopiques (appelés "pistons" dans le jargon local) chargés de propulser violemment la charge loin de l'appareil au moment du tir. Ces deux vérins, un à l'avant et un à l'arrière, fonctionnent à l'énergie pneumatique (d'origine gazeuse sous pression ou pyrotechnique), la poussée de chacun étant en principe réglable pour assurer une séparation optimale de la charge selon son centre de gravité ou ses caractéristiques aérodynamiques.

En clair, les charges pendulaires sont toujours éjectées, et non simplement larguées, parce qu'il faut effectivement garantir une séparation franche et sans effets collatéraux pour le tireur, quelles que soient les conditions rencontrées dans le domaine de tir (qui est lui-même plus ou moins étendu en fonction des contraintes matérielles).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce n'est pas spécifique à l'AASM, ni au Mirage F1.

Les charges, et en particulier les bombes, sont accrochées sous ce qu'on appelle un déclencheur-éjecteur. C'est le dispositif mécanique qui dispose des deux crochets permettant de bien maintenir la charge, et de deux vérins d'éjection télescopiques (appelés "pistons" dans le jargon local) chargés de propulser violemment la charge loin de l'appareil au moment du tir. Ces deux vérins, un à l'avant et un à l'arrière, fonctionnent à l'énergie pneumatique (d'origine gazeuse sous pression ou pyrotechnique), la poussée de chacun étant en principe réglable pour assurer une séparation optimale de la charge selon son centre de gravité ou ses caractéristiques aérodynamiques.

En clair, les charges pendulaires sont toujours éjectées, et non simplement larguées, parce qu'il faut effectivement garantir une séparation franche et sans effets collatéraux pour le tireur, quelles que soient les conditions rencontrées dans le domaine de tir (qui est lui-même plus ou moins étendu en fonction des contraintes matérielles).

Bonjour DEFA550

Et c'est vrai sur tous les avions "modernes"?

Je savais que sur le Rafale, il y-avait un éjecteur pneumatique pour le Mica non disposés sur rail, mais j'ignorais que c'était également le cas pour les autres charges et les autres avions...

a+

Vorpal777

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Restaurer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

 Share

  • Statistiques des membres

    5 965
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Aure-Asia
    Membre le plus récent
    Aure-Asia
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...