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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel


Philippe Top-Force
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C'est le premier des avion d'affaire à avoir un fuselage ovoïde?

Toutes les structures et cadres qui le soutiennent sont de couleur violet/fuchsia, c'est pour une raison particulière ou juste un choix esthétique?

C'est quoi la protubérance en haut de dérive qu'on retrouve aussi sur 7X?

 

(Beaucoup de question, je sais!)

 

 

 

 

Un fuselage ovoide ? C'est le même que le 7x, juste plus gros !

Pour les bâtis et chariot fuschia, c'est associé au programme. 

Pour le 5X, vu sa taille par rapport au reste des Falcon, DA à décider d'une couleur pour le 5X. Tous les bâtis 5x, chariot de déplacement, outillages, etc sont fushia dans toutes les usines Dassault. C'est facilement reconnaissable comme ça   :) Mais chaque programme à sa couleur. Les bâtis du Rafale sont verts par exemple !

 

La protubérance en haut de dérive elle contient des antennes de communications il me semble (Je me demande même si c'est pas une satcom...)

Modifié par Jarod
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Un fuselage ovoide ? C'est le même que le 7x, juste plus gros !

Pour les bâtis et chariot fuschia, c'est associé au programme. 

Pour le 5X, vu sa taille par rapport au reste des Falcon, DA à décider d'une couleur pour le 5X. Tous les bâtis 5x, chariot de déplacement, outillages, etc sont fushia dans toutes les usines Dassault. C'est facilement reconnaissable comme ça   :) Mais chaque programme à sa couleur. Les bâtis du Rafale sont verts par exemple !

 

La protubérance en haut de dérive elle contient des antennes de communications il me semble (Je me demande même si c'est pas une satcom...)

 

 

L'article décrit le fuselage comme ovoïde ... et comme si c'était révolutionnaire, mais a prior le fuselage est bêtement circulaire?

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nouvelle voilure dans laquelle on place beaucoup d'espoirs après le "ratage" (tout est relatif ne me faites pas dire ce que je ne dis pas) de celles des 2000 et 7X

un petit rappel ne me ferait pas de mal. C'est quoi cette histoire de ratage? Un problème avec les ailes à écoulement laminaire? 

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D'après ce qui me fut dit à l'époque (et ce que j'en ai compris) les ailes en question n'étaient pas une réussite aérodynamique, problème vraisemblablement de perte de compétences à l'époque qui a priori si j'ai bien compris a été résolu sur le 5X

  • Upvote (+1) 1
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Oui, j'ai bien compris qu'il était haut de plafond, mais c'est plus l'idée que c'était grâce à ce fuselage ovoïde que je ne comprends pas, d'autant plus que c'est déja le cas sur d'autres avions d'affaire.

Rien de bien méchant, juste une curiosité de ma part.

Je pense surtout qu'il offre une bonne hauteur par rapport aux avions de même taille. En gros t'as un petit avion d'affaire mais tu ne sacrifie pas au confort par rapport, par exemple a un 7X.

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  • 3 weeks later...

Il reste moins cher, et pour des flottes déjà équipées de 7X, il y a toujours la communalité des pièces et de l'entretien. Et tout le monde n'a pas besoin des performances du 8X (déjà que tous les clients du 7X n'utilisent pas à fond ses performances en matière d'autonomie...)

Mais avec la montée en activité de la chaine 8X, il y a fort à parier qu'il finira effectivement par remplacer le 7X un jour ou l'autre.

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Il reste moins cher, et pour des flottes déjà équipées de 7X, il y a toujours la communalité des pièces et de l'entretien. Et tout le monde n'a pas besoin des performances du 8X (déjà que tous les clients du 7X n'utilisent pas à fond ses performances en matière d'autonomie...)

Mais avec la montée en activité de la chaine 8X, il y a fort à parier qu'il finira effectivement par remplacer le 7X un jour ou l'autre.

 

+1 ;)

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  • 3 weeks later...

Zut réservé aux abonnés.;;

D

assault Aviation se porte bien. L'entreprise a réalisé 4,6 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2013 et un résultat net voisin de 500 M€. Mais son plan de vol pour 2020 a besoin d'être éclairci. La conclusion dans l'année du contrat Rafale avec l'Inde, une reprise plus franche du marché de l'aviation d'affaires, aujourd'hui encore convalescent, et des engagements publics confirmés pour ses propositions de drones sont les trois enjeux clés d'une entreprise qui emploie 2 800 salariés directs en Aquitaine.

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Les négociations sur le contrat Rafale avec New Delhi ont-elles repris depuis les élections ?

Le poids du groupe dans la région

Éric Trappier était mercredi soir à Mérignac pour un dîner privé avec les principaux élus de la ville. C’est dans le hall A de l’usine mérignacaise que Marcel Dassault, ingénieur aéronautique qui fut déporté en 1944, a bâti les fondations de l’entreprise. Le premier Flamant est sorti en 1947 de l’usine girondine, ainsi que tous ses successeurs, le Mystère, le Mirage, les Falcon et le Rafale. Dassault Aviation emploie directement 2 800 personnes dans la région Aquitaine, dont 1 300 à Mérignac, où est conçue (ainsi qu’au siège à Saint-Cloud, en région parisienne), assemblée et mise en vol toute la flotte Dassault. Les voilures sont produites dans l’usine proche de Martignas, tandis que l’usine de Biarritz fabrique les fuselages. Une usine à Poitiers (120 salariés) produit aussi les verreries et la pyrotechnie.

Le PDG de Dassault a fait le point sur les enjeux pour l’avenir d’une entreprise qui, même au creux de la crise, n’a jamais licencié. Il reste 50 Rafale à livrer à l’armée française. Les contacts moyen-orientaux (Qatar, Émirats…) sont toujours actifs. Ils n’impliqueraient aucune délocalisation d’activités. Aux parlementaires présents, Alain Anziani, sénateur, et Marie Récalde, députée, il a redit ses inquiétudes sur la loi de programmation militaire.

En réalité, elles ne se sont pas arrêtées avec la campagne électorale. Nous travaillons là-bas à temps plein depuis deux ans que nous sommes en négociation exclusive. Nous avons 75 collaborateurs sur place en permanence. Le travail est long et sérieux car outre la vente du Rafale, nous y négocions aussi le transfert progressif de la production. Il a fallu se mettre d'accord avec les partenaires industriels. Le partage est organisé désormais dans le détail.

Êtes-vous optimiste sur l'issue du contrat ?

Oui. Une fois les volets industriel et financier de ce contrat bouclés, nous entamerons la phase politique finale de la négociation. Le fait que le nouveau gouvernement indien dispose d'une majorité claire est un atout. Le nouveau Premier ministre aura la capacité de décider. Il a déjà expliqué que la défense est une de ses priorités, ainsi que la relance économique.

Est-ce un contrat vital ?

Il est important. Mais après tous ces mois de préparation et de discussions, il est possible de conclure prochainement. Il n'y a certes pas de date butoir, puisque la décision appartient au final au gouvernement de New Delhi. Mais nous nous efforçons, avec nos partenaires indiens et français, de pouvoir mettre ce contrat en vigueur avant la fin de l'année 2014.

Qu'est-ce qui restera "made in France" à l'issue de ce contrat ?

Nous produirons les 18 premiers Rafale en France, puis il y aura un transfert progressif de la production jusqu'au 126e avion, qui sera en très grande partie fabriqué en Inde. L'ensemble du tissu industriel français qui contribue aujourd'hui au Rafale y trouvera son intérêt. Nous préférons signer ce contrat avec des transferts de licence que de ne pas le faire.

Pourquoi les sept plus gros patrons français de la Défense ont-ils écrit au président Hollande ?

Nous avons créé le groupe des sept il y a un an (1). L'objet était d'accompagner les pouvoirs publics dans les discussions sur la loi de programmation militaire. Celle-ci doit être un engagement fort de l'exécutif pour toute la nation et pour les groupes que nous représentons. Nous sommes des industries à long cycle qui doivent avoir une lisibilité. Il y a eu un nouveau livre blanc et une nouvelle loi de programmation militaire, à laquelle nous nous sommes adaptés. Nous voulons l'assurance qu'elle ne soit pas remise en question par des coupes budgétaires. Particulièrement les engagements du titre 5 de la loi. Il faut qu'ils soient tenus. Nous sommes rassurés par les récentes déclarations du Premier ministre, mais nous restons vigilants.

Comment se porte le marché de l'aviation d'affaires ?

L'aviation civile représente 70 % de notre activité ; on ne le dit pas assez. Nous avons livré 77 Falcon en 2013, contre 66 en 2012. Et nous avons pris 64 nouvelles commandes, contre 58 l'année précédente. Nous restons prudents. Nous sommes en sortie de crise sur ce marché. Nous l'imaginions plus tonique au regard du rebond économique américain. Même au creux de la vague, nous n'avons pas cessé d'investir. Nous avons six avions d'affaires dans notre gamme aujourd'hui.

Quels espoirs placez-vous dans le 8X, dont l'assemblage a débuté ?

Il est plus long de 1 mètre environ que le 7X. Il permet des aménagements plus variés pour les passagers comme pour les équipages. Son autonomie est de 12 000 kilomètres sans escale avec huit passagers. La clientèle est mondiale. Il permet à des Français d'aller à Singapour, à des Russes d'aller en Amérique du Sud, à des Américains d'aller en Asie… C'est le haut de gamme dans une économie mondialisée. Le vol inaugural aura lieu début 2015. Nous avons déjà des commandes. Nous avons un carnet de commandes pour des premières livraisons en 2017. Nous pouvons produire jusqu'à 100 avions d'affaires par an. Nous gardons l'espoir d'une reprise forte aux États-Unis, notre marché historique.

Quid des drones ?

Nous y travaillons depuis quinze ans. Dans le domaine des drones de combat, nous avons produit le nEUROn en coopération avec cinq États européens. Un autre axe franco-britannique se dessine. François Hollande et David Cameron l'ont confirmé en début d'année. Des études de définition seront lancées. Nous sommes en négociation avec BAE Systems, Rolls, Thales et d'autres partenaires. Le dossier avance.

Dans le domaine des drones de surveillance (Male, moyenne altitude et longue endurance), des occasions ont été manquées et la France a acheté du matériel américain. Nous avons fait avec Airbus et Alenia des propositions pour un programme européen. Nous avons remis nos offres avec partage de tâches aux États allemand, italien et français. Nous croyons que c'est stratégique. La balle est dans leur camp. Nous estimons qu'il faudrait une étude de définition plus précise entre industriels et états-majors pendant deux ans. Quelques dizaines de millions d'euros seraient nécessaires. Il faudrait ensuite dégager une centaine de millions d'euros par an pendant dix ans pour développer ce drone de surveillance made in Europe à l'horizon 2020-2025.

(1) Avec les PDG d'EADS, de Safran, de Thales, de MBDA, de Nexter et de DCNS.

" L'aviation civile représente 70 % de notre activité "

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