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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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Ou il aurait pu se taire..et on va pas lui reprocher d'être positif non plus, mais ça donne peut être une idée de là ou on en est moralement parlant bizarrement... :-[

Oui on va avoir la rigueur, mais une "bonne" rigueur, pas celle que préparait l'ancien gouvernement... :lol: De toutes façons réduire la dépense c'était inévitable. Faut juste espérer que la Défense ne va pas supporter l'essentiel de l'effort.
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Les voltigeurs du nord se rappellent à notre bon souvenir!

http://in.reuters.com/article/2012/07/02/finland-esm-idINL6E8I26JG20120702

Finland and the Netherlands will block the euro zone's permanent bailout fund from buying bonds in secondary markets, the Finnish government said on Monday, despite European leaders' decision last week that rescue funds be available to stabilise markets.

Edit : j'avais pas traduit, donc ça veut dire que les finlandais et les hollandais s'opposeront au rachat sur le second marché de dettes souveraines par le MES, autrement dit celles des italiens et des espagnols ou des grecs, portugais, irlandais le cas échéant.

Mais ceci pourrait conduire à un régime de faveur pour ces deux là (après celui des espagnols et italiens :oops:), et encore plus de poids sur les épaules des autres, enfin.. des deux autres, les parrains franco-allemands...a suivre.

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video à voir, je sens qu'on va aimer 2013, préparez votre porte-monnaie.

Pour Cyrille Lachèvre, rédacteur en chef au Figaro Économie, le rapport de la Cour des comptes révèle l'ampleur des difficultés qui nous attendent pour redresser les comptes de la France.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/07/02/20002-20120702ARTFIG00415-le-montant-de-la-dette-est-spectaculaire.php

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video à voir, je sens qu'on va aimer 2013, préparez votre porte-monnaie.

Pour Cyrille Lachèvre, rédacteur en chef au Figaro Économie, le rapport de la Cour des comptes révèle l'ampleur des difficultés qui nous attendent pour redresser les comptes de la France.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/07/02/20002-20120702ARTFIG00415-le-montant-de-la-dette-est-spectaculaire.php

Le rapport de la Cour des Comptes il a bon dos. Cette manœuvre transpire la démagogie, la couardise et la malhonnêteté intellectuelle. Ils n’ont même pas le courage d’être responsable. Navrant.

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L'année 2013 va être terrible pour le gouvernement:

- Sécurité Sociale: Le trou atteindra, cette année, 14,5 milliards pour le régime général, révèle la Cour des comptes, soit 700 millions de plus que le montant voté par les parlementaires. S'y ajoute un déficit de 4,4 milliards pour le Fonds de solidarité vieillesse (qui finance la retraite des chômeurs, le minimum vieillesse…) au lieu des 4,1 milliards annoncés. Au total donc un dérapage de la Sécu de 1 milliard.

- Dette (source Cour des Comptes): elle va atteindre 90% du PIB fin 2012 et pour atteindre les 3% du PIB en annuel en 2013 il faudra trouver 33 milliards, c'est-à-dire qu'il faudra que les dépenses de l'Etat soient gelées sur leur niveau 2012, ce qui sera paraît-il sans précédent...  :P

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On savait tous, qu'on passerait à la caisse après les élections, quelque soit le gouvernement élu. Donc on commence à en voir la couleur.

http://www.lepoint.fr/economie/l-etat-devra-se-mettre-a-la-diete-en-2013-02-07-2012-1479980_28.php

"Il est impératif de respecter la trajectoire" de redressement des finances publiques. La Cour des comptes a adressé lundi un message très clair à ceux qui en doutaient encore, à l'occasion de la remise officielle de son audit détaillé sur le budget au Premier ministre Jean-Marc Ayrault. Bien sûr, admettent les Sages de Cambon, la réduction des déficits fait peser des risques sur l'activité économique : leur baisse de 1 point entraîne une baisse parallèle de 0,5 point à 1,2 point de croissance. Mais ce coût est inférieur à celui que générerait l'absence de mesures de redressement. La dette française se rapproche en effet du seuil psychologique des 90 % du PIB - qui pourrait bien être franchi fin 2012 -, prévient la Cour, avec le risque de voir les intérêts imposés à la France pour rembourser sa dette exploser.

Sur l'escalier du retour vers l'équilibre d'ici à 2017, comme s'y est engagé François Hollande, la marche la plus difficile à franchir sera celle de 2013, celle du retour au seuil fatidique de 3 %. Cette année, le gouvernement devrait être en mesure d'atteindre ses objectifs sans trop de difficulté (moyennant tout de même 6 à 10 milliards d'euros de mesures de redressement). Des chiffres qui s'expliquent essentiellement par la baisse de la croissance attendue avec le retour brutal de la crise. Certaines charges, comme les bourses étudiantes ou la prime de Noël, ont certes été sous-budgétisées par le gouvernement Fillon, mais les chiffres n'impactent pas de façon significative la bonne exécution du budget, à condition d'augmenter les réserves de précaution.

L'année prochaine en revanche, "l'équation budgétaire à résoudre sera plus difficile que prévu", a prévenu le premier président socialiste Didier Migaud. En cas de baisse de la croissance à 1 %, contre 1,75 % prévu jusqu'à présent, il faudra trouver 33 milliards d'euros (1,6 point de PIB contre seulement 0,9 en 2011). Le gouvernement Fillon a également laissé une ardoise de 5 milliards d'euros supplémentaires, qui résulte de procès perdus par la France au niveau européen sur la fiscalité des OPCVM étrangers et du précompte de l'impôt sur les sociétés. Un résultat prévisible mais non anticipé...

Hausse de la TVA ou de la CSG

Contrairement à son prédécesseur, Jean-Marc Ayrault ne pourra pas compter sur la disparition naturelle des mesures de relance prises après la crise de 2008 pour alléger l'effort. Le gouvernement devra impérativement augmenter les recettes pour atteindre l'objectif. Cela passe notamment par l'amplification des réductions des fameuses niches fiscales. La TVA réduite dans la restauration, déjà légèrement revue à la hausse, est tout particulièrement dans le viseur de Didier Migaud, tout comme les incitations aux investissements outre-mer. Mais cet énième nettoyage ne sera probablement pas suffisant, craignent les magistrats. Si tel était le cas, il faudrait alors faire le choix d'augmenter - de façon temporaire - un impôt à "assiette large", c'est-à-dire qui frappe tout le monde : la TVA ou la CSG...!

Autant de sacrifices qui ne dispenseront en rien de tailler dans les dépenses. C'est en tout cas ce que recommande de faire la Cour en priorité. "Il est possible de faire des économies sans remettre en cause la qualité des services publics et la redistribution", promet Didier Migaud à son camarade socialiste Jean-Marc Ayrault. En cas de répartition à 50-50 entre hausse des impôts et baisse des dépenses, celles-ci devront être amputées de 16,5 milliards d'euros.

Les fonctionnaires à la diète !

Quel que soit l'équilibre que choisira le gouvernement, le principal enjeu budgétaire "porte sur la masse salariale qui constitue 70 % des dépenses de fonctionnement des administrations publiques" (État, Sécurité sociale, collectivités territoriales), prévient le rapport. Celle de l'État devra être stabilisée et même diminuée avec les effets de l'inflation. Quoi qu'il arrive, le point d'indice devra donc être gelé. Mais l'État devra également réduire ses effectifs, ou alors pratiquer une austérité encore plus sévère, car "seule une baisse des effectifs donne des marges de manoeuvre en matière salariale". Or, Jean-Marc Ayrault a déjà annoncé une stabilisation globale des effectifs. Ce choix implique donc que les fonctionnaires devront se serrer très fort la ceinture : les évolutions de carrière seront freinées et les mesures catégorielles pour certains agents, exclues !

S'attaquer à l'enchevêtrement des compétences

Les collectivités territoriales devront faire un effort tout particulier. Les effectifs y ont augmenté de 350 000 de 1999 à 2008, dont les trois quarts dans les communes et les intercommunalités, hors transferts de compétence !

Les "dépenses d'intervention" (dont les prestations sociales représentant 82 %) devront aussi être passées au peigne fin, pour remettre en cause les plus inefficaces. Didier Migaud est resté flou sur les dispositifs qui devraient être impactés. Et pour cause : parmi les principaux postes figurent l'allocation adulte handicapé (7,5 milliards), les aides au logement (5,6 milliards), les retraites de la SNCF (3,4 milliards). Il faudra en tous cas s'attaquer à l'enchevêtrement des compétences qui fait que l'État et les collectivités territoriales et ces dernières entre elles jouent parfois le même rôle. "L'acte trois de la décentralisation doit être avant tout l'occasion d'une clarification des compétences entre l'État et les collectivités territoriales ainsi qu'entre collectivités territoriales", a estimé Didier Migaud.

Une remise en cause des lignes TGV

En ce qui concerne la Sécurité sociale, la Cour des comptes ne formule pas explicitement la nécessité de limiter la progression des dépenses de santé à 2,5 % par an, comme le prévoit le programme de stabilité envoyé à Bruxelles par le précédent gouvernement. Mais elle préconise de "rééquilibrer en priorité les comptes sociaux" et "une maîtrise renforcée des dépenses". Une option difficile alors que l'actuelle ministre de la Santé, Marisol Touraine, avait durement critiqué, pendant la campagne électorale, la volonté de Nicolas Sarkozy de limiter la progression des dépenses à 2,5 % par an.

Parmi les autres dépenses qui devraient être revues, selon la Cour des comptes, figurent les investissements. Les Sages veulent "mieux (les) choisir" et recommandent donc de remettre en cause le programme de développement des lignes ferroviaires à grande vitesse, prévues par le Grenelle de l'environnement.

Seule consolation pour Jean-Marc Ayrault : la France est déjà parvenue à réaliser un tel effort, dans les années 90, pour se qualifier pour la monnaie unique. Et après avoir sauté le mur de 2013, la rigueur sera moins violente.

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Mais est-ce qu'après cette période de rigueur la croissance va revenir ? Parce que l'on nous explique qu'il faut se serrer la ceinture et que la croissance reviendra d'elle-même mais moi je ne vois pas comment.

Normalement non.

Cette crise qui dure depuis 1973 (et non pas 2008) est une crise de réajustement, c'est à dire d'un retour à un certain équilibre entre niveau réel de production et niveau de vie.

Pendant 2 à 3 siècle, l'occident a vécu un âge doré. Il a eu cette chance car les 2 premières révolutions industrielles (d'abord celle qui concernait le charbon et le chemin de fer, puis celle qui concernait le pétrole et la bagnole - je simplifie exprès) ont eu lieu chez lui. Celà lui a permis de dominer le monde et d'avoir un niveau de vie supérieur à sa production réelle, via l'apport de l'esclavage, des colonies et du pétrole quasi-gratos. Or, depuis les années 70, nous ne bénéficions plus de ces rentes. On a pû continuer "comme si de rien était" en ayant un recours croissant à l'endettement. Mais aujourd'hui, cette "solution" montre ses limites. Nous sommes donc obligés de consentir à une baisse de notre niveau de vie afin que celui-ci corresponde à notre niveau productif... sauf si :

- on a la chance de bénéficier à nouveau d'une troisième révo industrielle qui ne concernerait que nos pays (improbable en raison de la mondialisation ; par exemple la troisième révo industrielle basées sur l'informatique, le  génétique et les nanotechno est loin d'être limitée à l'occident)

- ou si on fait jouer notre dernier point fort (par rapport au reste du monde) afin de contrecarrer ce destin qui semble inéluctable. Vous avez deviné que ce dernier point fort, c'est la puissance militaire (merci l'oncle Sam) ; mais bon vu que ce "remède" risque d'être pire que le mal, pas sûr qu'il soit utilisé (du moins, je l'espère à titre perso).

Ce que je viens de décrire est une tendance de fond. Un fait historique incontournable. Même si nos dirigeants ont une fâcheuse tendance à ne pas trop en parler (voire pas du tout), c'est ce fait qui détermine tout le reste.

Nous avons donc le choix entre nier la réalité et faire l'autruche en s'arcqueboutant sur nos acquis (dans ce cas, le réveil risque d'être trés douloureux) et accepter la réalité et s'y adapter au mieux. A votre avis, nos politiciens ont fait quel choix ?? :oops:

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Pour ca, il faudrait que les dépenses passent en dessous des recettes pour dégager de la marge. économies, impôts, chasse aux fraudeurs (50 milliards), reforme

de structure, gel du développement des infrastrcutures, ligne tgv, autoroute, tout ce qui coute des milliards qui n'ont pas d'urgence à court/moyen terme.

Exemple, une ligne TGV paris bordeaux, un nouveau tracé est en chantier pour gagner 50 minutes, ca coûte 7 milliards d'euros, il n y pas d'urgence à cela, 3h c'est amplement suffisant.

Une voie qu'on a pas regardé, on parle beaucoup des niches fiscales, mais on ne parle pas des aides aux sociétés qui je crois dépasse les impots des sociétés, il faudrait faire

un gros nettoyage, beaucoup d'entre elles sont inutiles et inefficace.

La croissance, ca risque d'être dur, a moins de faire la dette (humm!)

Eventuellement, quitte à en faire, voir des impôts nouveaux  créer rien que pour ça, pour l'investissement, l'impôts des "riches" pourrait être affecter à ce

type d'impôts pour aider les sociétés à développer des projets porteurs, cela les énervera moins si ils savent que leur argent est affecté directement

à des sociétés qui sont sur des projets porteurs qui rapporteront des recettes.

Et que celle ci soit investi au bon endroit pour avoir de nouvelles recette à court,moyen terme.  exemple bio carburant de nouvelle

génération sur la base d'algues et le développement des moteur hybrides  pour les automobiles, nano technologie, etc..

y a plein d'idée, mais il faut savoir ou l'investir et qu'est ce qui rapporte à court/moyen terme.

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@Raoul : l'oncle Sam est un féodal, qui ne joue que pour lui, le reste des occidentaux sont des vassaux ou des cerfs plus ou moins disciplinés.

D’ailleurs on en parle peu, mais il change de modèle l'oncle Sam, il a l'intention d'être plus que exportateur net de pétrole mais parmi les premiers producteurs, je vous laisse imaginer les renversements d'alliances à venir.

Pas mal aussi pour taper sur les iraniens d'être indépendant niveau pétrole, c'es pas le cas de tout le monde.. :oops:

@Kyriama et quelqu'un d'autre avec qui j'avais échangé sur la question :

http://www.contrepoints.org/2011/05/17/25369-vers-la-fin-du-made-in-china

Là encore ya du changement de modèle en perspective.

Un scoop du figaro qui m'a arraché un rictus :

http://www.lefigaro.fr/impots/2012/07/03/05003-20120703ARTFIG00717-les-dernieres-surprises-fiscales-du-gouvernement.php

La vente d'un bien immobilier en France fera l'objet de prélèvements sociaux de 15,5% pour les non-résidents.

Alors j'ai une pensée émue pour tous les italiens du marais qui ont placé leurs revenus dissimulés au fisc italien dans de beaux appartements parisiens.. :lol:

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Sur le continent Suisse  :oops:

La démonstration étant que les riches fraudeurs vont avoir de plus en plus de mal à trouver des pays ou s'exiler.

Avec la crise les pays en européens cherchent de l'argent partout ou ils peuvent en trouver, du coup la liste de pays d'accueil ce réduit de jour en jour.

Bientôt soit ils devront quitter le continent soit respecter les règles du jeu  ;)

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Tu veux dire des fraudeurs pauvres?

Dixit une connaissance qui bosse aux impôts.

"En dessous de 50000€ de salaire vous êtes à l’abri de tout contrôle."

Pas assez de monde et pas intéressant (coute plus cher de faire les démarches que l'argent que ça rapporte)  ;)

Perso vu la tune qu'il y a récupérer, je suis pour le doublement des effectifs de contrôleurs et autres inspecteurs qui se de tout façon se rembourseront tout seuls en trouvant les fraudeurs  ^-^

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Dixit une connaissance qui bosse aux impôts.

"En dessous de 50000€ de salaire vous êtes à l’abri de tout contrôle."

Pas assez de monde et pas intéressant (coute plus cher de faire les démarches que l'argent que ça rapporte)  ;)

Perso vu la tune qu'il y a récupérer, je suis pour le doublement des effectifs de contrôleurs et autres inspecteurs qui se de tout façon se rembourseront tout seuls en trouvant les fraudeurs  ^-^

Les salariés sont controlé automatiquement ... sans le savoir. Le impots disposent des bases de donnée bancaire, employeur, CAF, CNAV etc. qui permettent facilement de recouper les infos sur les revenus et procéder a un criblage automatisé. Il n'y a pas énormément de marge pour frauder chez les salarié, un peu sur les "frais réel", un peu sur les avantage en nature, et sur des potentiel revenu non déclaré a coté - locatif, travail clandestin -. Le cout de l'enquete rapporté au cout recouvrable est pas super rentable, c'est d'ailleurs pour cela que beaucoup estime qu'un impot a la source serait nettement plus simple pour les salariés - a supposer que les employeurs recouvreurs ne carotte pas bercy au passage comme sur la TVA :lol: - .

Sinon la chasse la la l'import c'est a géométrie tres variable, comme les taxe douaniere et autre TVA. Avant la crise en colis tu pouvais passer a peut pres n'importe quoi en petit colis avec des valeur déclaré modeste, sans payer ni TVA ni taxe douaniere ... depuis la crise, ils passent tous les colis au recouvrement memem pour des sommes ridicules, tellement que la doaune et les transporteur n'ont pas assez de personnel et que les livraison se retrouve tres retarder des qu'il y a un hausse du volume - typiquement avant noel - ... des colis se retrouve plusieurs jour bloqué en douane, pour récupérer 10 ou 15 euros!

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Mais ils vont aller où les fraudeurs, sur quel continent ?

Ils pourraient s'arrêter de frauder aussi non?

Je précises : Je parlai des italiens, parmi les champions européens du clientélisme et de la fraude fiscale (et oui ya les grecs aussi).

Mais pas seulement, car il y a eu tolérance de l'état italien, pour permettre la constitution d'un tissu de PME très dynamiques et très flexibles (forcément) là-bas, qui nous ont pris de belles part de marchés. Et parmi ceux qui se sont faits de beaux bas de laine la mode a été de se payer des apparts parisiens pour les WE festifs (placements égalements).

J'ai eu ouie dire que l'administration française avait passé des listes au fisc italien dernièrement..

Sinon :

http://www.lesechos.fr/patrimoine/banque/actu/0202153060316-livret-a-pas-de-doublement-du-plafond-a-court-terme-340356.php

Tiens un renoncement a une promesse électorale juste :oops:..qui a dit que FH était pas à l'écoute des banquiers.. :P

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En même temps, on t'explique dans l'article que si doublement du plafond il y a, celui sera échelonné dans le temps. Bref, Hollande a 5 ans devant lui. Pas sûr pour autant qu'il tienne sa promesse - et d'ailleurs je crois plus au final à une augmentation modérée du plafond qu'à un doublement - mais juger dès maintenant du respect ou non de celle-ci...
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