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Le JSF menacé au Canada !!!!


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Dassault au Canada, ça me fait penser à l'Eurofighter en Corée ou au Japon. De la comm, de l'agressivité, l'intention de se faire voir, dévaloriser l'adversaire, mais c'est peine perdue.

 

Dassault ne s'investit jamais s'il ne pense pas que ça en vaille la peine. Il n'a pas répondu au RFI du Japon, ni à celui de la corée du sud. Ils refusent de jouer au lièvre.

 

 

Quand à dire qu'ils pense que le Rafale a une chance, je confirme. Ils y croient. Le contexte politique particulier, et le tour que prenne les événements, avec des budgets raréfiés, il se peut que le peuple, au travers des médias, des politiques, de l'armée, deviennent tous pragmatiques.

 

Comme l'a précisé Trappier, il y a seulement un RFI. Ensuite devra suivre le RFP, puis les évaluations... Seulement quand un appel d'offre sera lancé, et il est possible que ce ne soit jamais le cas. ça se trouve, le gouvernement fait l'autruche en attendant que la tempête médiatique passe, et quand tout sera oublié, il masquera les chiffres, comme il l'a toujours fait jusqu'à présent.

 

Dans le cas inverse: dans ce pays, Dassault a une grosse carte à jouer. C'est franchement possible. Mais ils en sont aux contacts préliminaires, niveau politique surtout. Des jeux d'alliance, une sorte de lobbying pour rentrer dans le bain.

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Vu qu'il y a très peu de chances de vendre de rafale au Canada, le but ne devient plus de faire du commerce et de gagner de l'argent sur une vente de rafale mais juste de faire de la pub.

 

Soit le rafale va se vendre et les bénéfices risquent d'être proche de 0, mais le rafale sera ensuite plus facile à exporter (surtout face au F35) et surtout il aura plus de chances d'évoluer.

Soit le rafale ne va pas se vendre, mais les industriels américains feront un peu moins de bénéfices (donc moins de recherches pour leurs avions ou drones en concurrences avec les nôtres) et on aura la "chance" d'avoir une évaluation qui classe très bien le rafale (mais pas assez politiquement ou financièrement à cause des pénalités associé à un non choix du F35)

 

Le Canada a l'avantage d'être très proche des USA, ce qui fait qu'ils sont même trop proches pour qu'on leur en veuillent longtemps s'ils commandent des rafale. Suite à un concourt de circonstance, il est peut-être possible que par "accident" le rafale soit choisit plutôt qu'un avion US.

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F-35's French rival pitches 'Canadianized' fighter jet

 

http://www.cbc.ca/news/politics/f-35-s-french-rival-pitches-canadianized-fighter-jet-1.2577234

 

traduction auto

 

Dassault Aviation de France fait une offre agressive de marginaliser le F-35 et de vendre son propre avion de chasse au Canada, offrant de transfert de technologie, la création d'emplois et de partager des milliards de dollars dans l'entreprise si le Canada achète son Rafale pour remplacer sa flotte à jour de CF-18.

Dassault mène le consortium français qui fait le bimoteur Rafale pour l'armée de l'air française. Le Rafale, contrairement au F-35, a été testé au combat en Afghanistan, la Libye et le Mali. Bien que pas encore vendu hors de France, l'Inde a annoncé des plans pour acheter le Rafale sur la force des engagements de transférer la technologie.L'accord prévoit que 108 sur 126 Rafale seront construits en Inde, pas la France.

 

Un accord similaire avec le Canada permettrait principaux composants soient fabriqués ici, selon le vice-président de Dassault, Yves Robins.

"Si l'industrie canadienne souhaite assembler ou produire une partie du Rafale au Canada, nous sommes pleinement ouvert à elle", a déclaré Robins CBC Nouvelles à Montréal.

Robins dit la «propriété intellectuelle» associé à la Rafale ferait partie de la vente, y compris les codes sources pour le système informatique du combattant ainsi que le savoir-faire pour adapter et mettre à jour l'appareil - matériel et logiciel - tout au long de sa durée de vie.

yves-robins-of-dassault-aviation.jpg

De Dassault Aviation Yves Robins dit la «propriété intellectuelle» associée à l'avion de combat Rafale serait partie de la vente au Canada. (SRC)

"Le Rafale sera canadianisation», a déclaré Robins.

Cela signifie, dit-il, «le transfert de technologie à l'industrie canadienne, la création d'emplois à haute valeur ajoutée et l'intégration de l'industrie canadienne dans la chaîne d'approvisionnement mondiale."

Robins a indiqué que les emplois créés au Canada dépasseraient de loin ceux qui découleraient d'un achat du F-35.

Les promoteurs du Rafale rejeter préoccupations qu'un avion français ne fonctionnera pas bien avec les forces américaines, en disant qu'il a fait en Afghanistan et en Libye. Ils ajoutent que ses points de fixation pour les bombes et les missiles sont construits selon les normes de l'OTAN.

Concours descend sur terre

Même ainsi, l'offre Rafale suggère le concours pour des milliards de dollars de ventes de chasse au Canada est de plus en plus l'accent sur les avantages dérivés - sens, les travaux sur le terrain - et moins sur la façon dont les avions concurrents effectuent dans l'air.

Tous les combattants rivaux prétendent être tout à fait capable de mener des patrouilles de souveraineté dans l'Arctique, ainsi que des missions de combat tels que le renversement du dictateur libyen Mouammar Kadhafi en 2011. CF-18 du Canada ont pris part à cette opération, mais sont dus à la retraite au cours des cinq prochaines années.

Les conservateurs au pouvoir du premier ministre Stephen Harper avaient choisi F-35 de combat furtif de Lockheed Martin pour les remplacer, jusqu'à ce que le manque de franchise sur le coût du gouvernement a provoqué une tempête politique et un rapport cinglant du vérificateur général en 2012. Qui a forcé le gouvernement à se retirer, en disant qu'il serait "le bouton de réinitialisation frapper . "

Après des années de retards et des dépassements de coûts, le programme F-35 est encore à ses premiers stades. L'achat de chasseurs du Canada est maintenant va nulle part que le gouvernement tente de décider de rester avec le F-35 ou à organiser un concoursavec une partie ou la totalité de ses rivaux - le Boeing de Super Hornet , Rafale de Dassault, l'Eurofighter Typhoon et le Saab Gripen.

Emplois, jobs, jobs

Par coïncidence ou pas, l'offre de Dassault intervient un mois après que le gouvernement du Canada a annoncé une nouvelle stratégie d'approvisionnement en insistant sur la création d'emplois.

L'examen du plan à Vancouver la semaine dernière, le ministre des Travaux publics Diane Finley a dit: «L'idée derrière est, toute personne qui est en concurrence sur les marchés, les différents petits, doit s'assurer qu'ils investissent au Canada - que les avantages à obtenir du Canada ".

Dassault dit que c'est exactement ce qu'il fait, et qu'il dispose déjà d'un réseau de fournisseurs au Canada, mené par Thales, une multinationale française spécialisée dans l'aérospatiale et du matériel de défense.L'usine Thales à Montréal produit des actionneurs qui font bouger les volets sur les ailes du Rafale.

PDG de Thales Canada Mark Halinaty déclaré à CBC Nouvelles que l'entreprise emploie 1 300 Canadiens, et que l'afflux de la technologie militaire française pourrait être exploitée pour la croissance dans de nombreux autres domaines. Déjà, Thales fabrique des systèmes de contrôle pour les avions commerciaux, les chemins de fer et les Forces canadiennes.

"Ce n'est pas seulement sur le transfert de technologie et de savoir-faire pour un programme particulier», a déclaré Halinaty.

"Qu'est-ce que cela fait, c'est nous fournir l'expertise qui nous permet de développer nos propres projets au Canada est originaire, que nous pouvons ensuite l'exportation."

Pas seulement une chance de soumissionner, mais une «garantie»

Robins, Dassault VP, a ajouté que «nous ne sommes pas seulement limitons cette offre au Rafale."

Robins a dit que les partenariats de Dassault avec des centaines d'autres entreprises françaises lui permettra d'inclure l'industrie canadienne dans d'autres projets de haute technologie - dans l'espace, des drones et de l'avionique. Ceci, dit-il, serait «une garantie d'activité d'un montant au moins l'équivalent du budget d'acquisition de l'avion - et d'aller plus loin par la suite."

À ce jour, le gouvernement du Canada a prévu un budget $ 9,000,000,000 pour l'achat. Robins dit Dassault promettait par écrit à investir autant au Canada.

f-35.jpg

F-35 de Lockheed Martin a été le premier choix pour remplacer la flotte de CF-18 du Canada, mais s'est heurté à des turbulences politiques sur l'escalade des coûts. (Samuel King Jr. / US Air Force / Presse Canadienne)

"C'est un engagement. Un engagement contractuel, même avec des sanctions écrites dans les contrats. Nous ne disons pas l'industrie canadienne pourrait, peut-être aller jusqu'à 10 (milliards d'euros) ou 11 milliards de dollars en appel d'offres pour telle ou telle contrats. Nous disons que nous garantissons ce retour à l'industrie canadienne. C'est une philosophie totalement différente de certains de nos concurrents ".

C'est un tir direct à Lockheed Martin, qui dit qu'il va offrir aux Canadiens la chance de miser sur "11 milliards de dollars possibilités" au cours de la durée de vie du programme F-35. Il n'ya aucune garantie que les entreprises canadiennes seraient gagner ces contrats. 
Même si, Lockheed Martin vice-président Steve O'Bryan dit qu'il a déjà signé 600 millions de dollars de contrats pour construire des pièces de F-35 au Canada.

"Ce sont des contrats réels ... tout avant que le Canada a même décidé sur un seul avion," O'Bryan déclaré à CBC Nouvelles.

"Ce n'est pas un travail banal. C'est un logiciel, il s'agit d'avionique, ce travail est composite. Ce sont les technologies de l'industrie aérospatiale dont vous avez besoin pour les années à venir."

De chasseurs furtifs à des moulins à vent

Dans la banlieue de Gloucester Ottawa, une petite compagnie appelée GasTOPS est l'un des 70 fournisseurs canadiens de Lockheed Martin.Après avoir développé un capteur spécialisé pour un autre chasseur furtif - le F-22 top-secret - GasTOPS fait maintenant une version mise à jour pour le F-35. Il s'agit d'un système d'alerte précoce qui vérifie le débit d'huile pour des pièces microscopiques de métal qui pourraient indiquer une panne de moteur qui se profile.

Bien que les périphériques sont une valeur de 5000 $ chacun, la ligne de production F-35 n'est toujours pas rouler à pleine vitesse et Lockheed Martin a seulement acheté 500 des capteurs jusqu'à présent.Mais GasTOPS a augmenté dans un marché beaucoup plus vaste pour le même capteur: pour les éoliennes, qui sont utilisés partout dans le monde.

Dave Muir, le PDG de GasTOPS, dit "l'essentiel est ce sont la connaissance, ce que vous appelez, emplois professionnels hautement qualifiés. Ce sont des emplois qui sont difficiles à trouver. Ils sont difficiles à créer."

Bien sûr, Dassault n'est pas le seul rival de Lockheed Martin. Bien que les offres Eurofighter et Saab sont pas considérés comme de sérieux prétendants pour le moment, Super Hornet de Boeing, comme le Rafale, a une expérience de combat et des coûts d'exploitation inférieurs à ceux du F-35. Il s'agit d'une version mise à jour du CF-18 du Canada utilise actuellement, qui dit Boeing implique une courbe d'apprentissage plus facile pour les pilotes canadiens. Les États-Unis a acheté des dizaines de Super Hornet de combler l'écart jusqu'à ce que le F-35 atteint la production à taux plein.

En tant que société mondiale de l'aviation, Boeing a également un réseau de 200 fournisseurs au Canada et, comme Dassault, rejette l'offre de Lockheed Martin sur l'emploi comme des êtres inférieurs.

Pour l'instant, cependant, toutes les sociétés de chasse intéressés dans les affaires du Canada ne peuvent attendre que le gouvernement de prendre une décision: il se tiendra un concours, ou pas? Et sa décision reflète l'engagement de l'emploi au Canada, ou pas?

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Que l'Arrow est vraiment une légende au Canada, même des gars, pas vraiment fana d'aéronautique, connaissent son existence.

 

Pour l'article en lui même, le passage à la 6ème génération me parait quand même très optimiste, pour ne pas dire plus.

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@ Yoannc: Pas de réelles commandes de vol électriques pour le Arrrow à priori, vu l'état de l'informatique à l'époque.

Peut être un truc qui s'y rapproche sur la chaîne de roulis ou lacet comme sur Mirage IV ou F1, à voir...

Modifié par syntaxerror9
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 Les prochaines élections nationales c'est quand au Canada ? Peut être que Trapier mise sur une éviction des conservateurs pour une reprise en main "forte" du dossier ...

 

Problème c'est qu'après bon : Voir les canadiens voter autre chose que conservateurs notamment chez les majorités anglophones : Est ce seulement envisageable ?

 

   Car ça fait quand même pas mal de mandats qu'on voit Harper au pouvoir :  Ils en ont pas marres a force ? Jamais ça leur arrive d'être tenté par une alternance forte vers les libéraux-dem ?

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A ce que j'ai compris de la page wiki anglophone, le stick de l'Arrow était connecté de manière uniquement électrique à un "servo" qui agissait sur les commandes hydrauliques.

 

Mais par CDVE, on entend habituellement un système avec un vrai ordinateur au coeur, qui "pilote" véritablement l'avion (même sans instruction venant des commandes, c'est lui qui fait que l'avion continue à voler droit) et exécute les instructions demandées comme des résultats à produire via des actions complexes sur la mécanique.

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CDVE ne veut dire que ça. Par dessus, dans le cas du Rafale (et je suppose du 2000) il y a un truc qu'on appelle CAG (Contrôle Actif Généralisé).

 

J'ai l'impression que le même amalgame existe avec le fly-by-wire et les FLCS qui vont avec...

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Le gouvernement repousse d’un an sa décision d’achat de nouveaux avions de chasse

 

http://www.45enord.ca/2014/03/le-gouvernement-repousse-dun-an-sa-decision-dachat-de-nouveaux-avions-de-chasse/

 

on dirait bien que Le canada aura le choix entre le F35 et le F35 :P

 

 

Dans une mise à jour publiée sur son site Internet, Travaux publics et services gouvernementaux Canada indique que désormais, la première livraison d’avions chasseurs prévue est passée de 2017 à 2018.

Ainsi, les quatre premiers F-35, si la décision de maintenir l’achat des avions de Lockheed Martin est maintenue, ne seraient pas livrés avant 2018.

 

 

 

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This is going to be fun.

 

Du coup Dassault n'a-t-il pas plus à perdre qu'à gagner à voir le Rafale se retrouver en compétiteur potentiel du F-35 au Canada?

 

En effet les évaluateurs canadiens n'auront sûrement pas la probité des suisses, avec ou sans pots-de-vins et autres pressions...

 

Si c'est pour avoir de la mauvaise pub autant ne pas y aller. Mais s'ils se retirent volontairement l'information interprétée sera que Dassault accepte tacitement l'infériorité du Rafale face au F-35! Et c'est encore pire!

 

Ça sent mauvais.

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