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[OPV ] Programme de renouvellement de la Marine Nationale


Thomas
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Il faut reflechir avant de parler...

Pour ta gouverne la Gendarmerie Maritime est comptée dans les effectifs et budget de la Marine... 

Quoi réfléchir avant de parler ??? Bon c'est simple tu peux fermé le forum car combien de personnes l'ouvre sans

réfléchir. Et je ne parlé pas forcement de budget mais des missions.

C'est vraiment le boulot de la marine d'avoir des barcasses comme Le Malin ?

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Quoi réfléchir avant de parler ??? Bon c'est simple tu peux fermé le forum car combien de personnes l'ouvre sans

réfléchir. Et je ne parlé pas forcement de budget mais des missions.

C'est vraiment le boulot de la marine d'avoir des barcasses comme Le Malin ?

La Marine met en oeuvre plein de petits bâtiments, dans les ports, par exemple... 

En outre la Gendarmerie Maritime est une unité de la Marine Nationale. Ca change quoi que ce soit des "marins normaux" ou des "gendarmes" ? Sans compter que je parirais qu'une unité de gendarmes coûte plus cher qu'une unité normale...

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Pour info :

Près de 4,5M€ : c'est le montant du marché de transformation du Malin obtenu par Piriou Naval services, auprès de la Direction générale de l'armement. Il s'agit pour l'entreprise de transformer, d'ici le mois d'août, cet ancien palangrier en patrouilleur hauturier. Le bateau est arrivé voici deux semaines et est amarré depuis au quai des réparations. À l'issue des travaux, il sera armé de deux mitrailleuses lourdes, calibre 12,7, pourvu d'une armurerie et d'armes individuelles. Mené par un équipage de 19 marins, Le Malin pourra également accueillir 26 passagers.

http://www.letelegramme.com/local/finistere-sud/quimperle-concarneau/concarneau/concarneau-29-un-cout-de-4-5meur-pour-la-transformation-du-malin-28-12-2010-1161198.php

A comparer au coût d'achat d'un OPV neuf.... il n'y a pas photo !

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http://www.nxtbook.fr/lemarin/lemarin/LM101224/index.php?startid=5

Un vide juridique pour l’immatriculation des navires militaires pendant les essais en mer

Ni civil ni encore militaire : la délivrance des permis provisoires de navigation des bâtiments de guerre lors des essais en mer pose problème.

L’affaire est embarrassante et suscite au mieux le sourire, au pire l’étonnement. Se heurtant à un vide juridique sans précédent, DCNS aurait entériné le choix provisoire du pavillon belge pour permettre à son nouveau patrouilleur hauturier L’Adroit de mener à bien sa période d’essais en mer qui doit débuter en avril 2011 et ce, pour une durée d’un an. Une solution pratique et pragmatique avant la réception du navire par la Marine nationale qui doit l’exploiter durant 3 ans selon un contrat de mise à disposition signé fin octobre 2010. Construit à Lorient sur les fonds propres de DCNS, qui reste propriétaire du navire, ce prototype a une haute valeur symbolique et commerciale. C’est la première fois que le groupe naval expérimente cette formule qui doit lui permettre de valoriser in situ les atouts de cette nouvelle gamme de patrouilleur OPV (Offshore Patrol Vessel) de type Godwind destinée à l’exportation. Autant dire que cette période des essais est cruciale et que le vide juridique inattendu des essais en mer est une épine dont le constructeur se serait bien passé. Le passage sous statut privé en 2003 de l’ancienne Direction des constructions navales (DCN) explique, mais pour partie seulement, cet imbroglio juridique. Auparavant, ce cas de figure particulier des navires ni civils, ni encore militaires. Du côté des Affaires maritimes qui chapeautent les centres de sécurité des navires à même de délivrer ces fameux permis provisoires, on évoque une situation inédite. Faute de dispositions spécifiques, la délivrance aux futurs navires de guerre de titres de sécurité repose sur une assimilation aux navires de charge.

UN NOUVEAU REGISTRE DÉDIÉ ?

La solution finalement proposée au ministère de la Défense par le ministère de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement est l’inscription des futurs navires de guerre sur un registre d’immatriculation dédié, avec la participation de la direction des Affaires maritimes pour ce qui concerne l’application de la législation sociale maritime aux marins français présents à bord. En clair, il s’agirait de définir une nouvelle classe d’« objet flottant » pour laquelle les points de contrôle s’inspireraient pour partie seulement des navires de charge en termes de sécurité des équipages et de protection de l’environnement, mais dans une version allégée. Frédérick AUVRAY

Tout se passait en interne dans la même maison. La DCN réalisait des bâtiments pour la direction générale pour l’Armement (DGA) qui gérait elle-même la question du permis provisoire par le biais de la commission permanente des programmes et essais (CPPE) . Celle-ci donnait son aval pour le compte de la Marine nationale qui affectait l’équipage approprié pour les essais. Dans le cas de L’Adroit mais aussi du Dixmude, le nouveau porte-hélicoptères BPC (bâtiment de projection et de commandement) en cours d’achèvement au chantier STX de Saint-Nazaire (lire ci-dessous) , la DGA a désormais en face d’elle deux chantiers privés. Et tant que les navires ne sont pas officiellement réceptionnés, ils restent sous la responsabilité des chantiers. Dès lors, qui doit délivrer le permis provisoire de navigation pour ces essais en mer réalisés par un équipage civil ? L’entrée en vigueur, au 1er janvier 2011, de la nouvelle directive européenne issue du paquet Erika III exigeant plus de contrôles par l’État du port (lire également pages 24 et 25) a semble-t-il mis à jour

STX : le BPC « Dixmude » en cours de finition

Le BPC Dixmude, porte-hélicoptères et transporteur de troupes destiné à la Marine nationale, est en cours de finition pour sa partie coque et superstructures au chantier naval nazairien STX. Samedi 18 décembre, entre 1 h 45 et 2 h 30 du matin, il a été transféré de la forme profonde au bassin C, alors que son montage a pris fin avec l’installation de ses pods sous la voûte arrière, début décembre. Ainsi équipé, il a pu manœuvrer d’un bassin à l’autre tout en étant assisté de quatre remorqueurs. Le navire restera au bassin C pour l’achèvement de ses emménagements jusqu’à ses essais en mer planifiés au printemps 2011. À cette date, il sera transféré par voie maritime jusqu’à Toulon où DCNS installera son armement militaire. Les essais officiels du système de combat seront réalisés au 2e trimestre 2011, alors que la livraison à la Marine nationale est prévue au tout début 2012. Le BPC Dixmude mesure 199 mètres de long pour un déplacement de 21 000 tonnes à une vitesse maximale de 19 nœuds. Il peut transporter 450 hommes de troupe, 16 hélicoptères lourds, 2 hovercrafts, 4 LCM (barges de débarquement) ou un tiers d’un régiment mécanisé (1 000 tonnes). Il est équipé d’un hôpital embarqué et compte 160 personnes dans l’équipage. Éric MARTIN

FREMM, OPV, BPC : TROIS CAS DE FIGURE

Le « Dixmude » a été transféré de la forme profonde du chantier nazairien STX au bassin C. Vendredi 24 décembre 2010

Le problème du statut juridique des essais en mer des futurs bâtiments militaires se pose différemment selon les trois types de contrats en cours : le programme des frégates multimissions (Fremm) avec 11 exemplaires pour la Marine nationale et une frégate destinée à la Marine marocaine, le programme Gowind de patrouilleur hauturier dont le premier exemplaire est mis à disposition de la Marine nationale pour 3 ans, et enfin le BPC Dixmude destiné à la Marine nationale. Trois cas de figure différents mais qui tous sont concernés par des périodes d’essais en mer qui ont tendance à durer de plus en plus longtemps. Pour les Fremm, y compris la frégate destinée au Maroc, l’affaire semble réglée : ce programme franco-italien mené par DCNS dans le cadre de l’Occar, l’organisation conjointe de coopération en matière d’armement qui regroupe six pays, les essais en mer (un an pour la première frégate Aquitaine) devraient être assurés par un équipage de la Marine nationale avec un permis provisoire de navigation délivré par la CPPE, la commission permanente des programmes et essais de la Marine nationale. Pour l’OPV L’Adroit, faute de solution franco-française, le constructeur et propriétaire du navire DCNS aurait retenu l’option d’une autorisation par l’administration belge pour ces essais de 6 mois qui doivent démarrer en avril 2011 avec un équipage civil sous la responsabilité de DCNS. Pour le porte-hélicoptères Dixmude en cours d’achèvement chez STX Saint-Nazaire (lire ci-contre) en vertu d’un accord commercial avec DCNS, la décision n’est pas encore prise. Une partie des essais qui débuteront en avril 2011 est placée sous la responsabilité de STX Saint-Nazaire, la seconde partie, qui s’échelonnera jusqu’en février 2012, sous celle de la DGA. F. A.

Bernard Biger/STX France

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On attendrait le comble du ridicule : ça devrait pas être compliqué de pondre quelques nouvelles phrases dans les décrets qui font la réglementation pour combler ce vide juridique d'ici le mois d'avril ...
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pour faire ce qu'il a à faire ce sera parfait ...

@LBP

30% des missions de la Marine sont des missions de présence et de police pour lesquelles bien souvent un tel navire ainsi équipé suffit pour un coût de MCO modique...

oui ok

je suis d'accord sur le fait d'avoir une flottille de petit OPV, surtout pour des missions de police, de présence et de sauvetage.

Et le faire par une entité comme la gendramerie maritime (c'est aussi de officier de justice) voir des futurs gardes côtes (c'est un autres sujet), ainsi la MN pourrait faire d'autre missions.

Mais de vrais OPV avec une piste hélico(avec ou sans) pas un navire de plus avec une MCO différente.

C'est encore du rafistolage.

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http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=114943

article sur l'Adroit et son chantier de construction

Le show-room en fera vraiment un bateau publicitaire...

(petit détail, ils parlent d'un canon téléopéré de 20 mm de OtoMelara, or ces derniers n'ont pas il me semble de 20mm naval au catalogue... je me trompe ?)

http://www.otomelara.it/OtoMelara/EN/Business/Sea/Small_Calibres/index.sdo

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Très beau jeu de mot FATac  :lol: , je ne suis pas sûr qu'il est compris l'ami LBP.

Mais de vrais OPV avec une piste hélico (avec ou sans) pas un navire de plus avec une MCO différente.

OPV: Offshore Patrol vessel

Donc il patrouille dans la ZEE pour une lutte et interception de contrevenants (pêches illégales, piraterie, pollution)

Une piste d'appontage pour un hélico semble indispensable pour l'évacuation de blessés, les ravitaillement, le refuel d'un hélico.

Pas besoin d'hélicoptère à bord qui oblige à une augmentation très importante du navire pour les raisons de stabilité.

Mieux vaut un navire de 1000 ou 1500 tonnes économique mais suffisament rapide, et mettre l'hélico à terre puisque par définition on intervient dans la zone des 200 miles.

Je ne vois pas non plus l'intérêt d'un drone embarqué.Mieux vaut avoir un drone longue endurance à terre.

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Je ne vois pas non plus l'intérêt d'un drone embarqué.

Un Drone peut servir par exemple à identifier visuellement un écho radar.

Un exemple : Le Patrouilleur Albatros effectue une patrouille dans les TAAF soudain au large de Crozet un écho radar à environ 30 nautiques dans le Nord Est. Le Patrouilleur fait aussitôt route vers ce contact afin d' identifier l’intrus. Le bateau de pêche a lui aussi un écho radar, et comme il se sait en infraction, il met plein gaz pour sortie de notre ZEE afin d’éviter l’amande. L’Albatros qui marche au maximum à 15N ne pourra jamais le rattraper. Il aura juste eu,un écho radar non identifier sur son écran.

Le Drone lui peut être envoyer reconnaître cette écho et éventuellement prendre des photos du navire afin de l’identifier voir le verbaliser.

En plus un Drone embarqué sera piloté depuis l'OPV c'est beaucoup plus souple d'emploi. Un Drone terrestre lui a besoin d'un signal satellite et la couverture est loin d'être mondial. 

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Comme le dit Scarabé, l'intérêt d'un drone embarqué sur OPV est en fait assez évident pour les opérationnels, surtout maintenant que al piraterie et les trafiquants de tous poils sont à nouveau sur le devant de la scène, avec des moyens navals de plus en plus conséquents et rapides.

Un drone, ça permet de suivre un go-fast  sur une longue période et une longue distance (cf. US Navy aux Antilles), ça permet de suivre une cible pendant que le navire en pourchasse une autre (cf. lutte contre la piraterie en Somalie), ça permet d'identifier à longue distance une menace ou une cible et donc de manoeuvrer le navire en conséquence, mais ça pourra aussi dans l'avenir détecter ou suivre une menace côtière et désigner une position pour un tir d'Exocet Block III etc...

Bref, ça permet d'avoir un détecteur détaché du navire, autrement dit une source de renseignement propre au navire mais géographiquement déportée. Et on connait tous la valeur de l'information et du renseignement pour ce genre d'opérations militaires et para-militaires.

Et puis surtout, quand on voit certains petits drones héliportés, on se dit que le coût est franchement négligeable par rapport à un hélicoptère embarqué, ou même à un drone basé à terre (on est clairement pas dans la même échelle). Un Camcopter, ça doit pas représenter une grosse part du coût d'une OPV moderne je pense.

L'intérêt opérationnel est quand même assez évident, le tout pour un coût assez modique (on ne parle pas d'un drone hyper-high-tech non plus). Je pense même que l'un dans l'autre ce système permettra de diminuer le coût global et d'augmenter l'efficacité de nos moyens de patrouille maritime.

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  • 3 weeks later...
  • 3 weeks later...

Le sous-marin des narcos saisi l'année derniere en equateur, est bel et bien un sous marin pleinement opérationnel ... pas du travail d'amateur.

Image IPB

Image IPB

http://www.chron.com/disp/story.mpl/chronicle/7415756.html

The only narco submarine ever captured — a 73-foot-long camouflaged vessel capable of carrying at least 7 tons of cocaine while cruising stealthily beneath the ocean's surface — sits raised on concrete blocks in a South American seaport.

Its belly is caked with grime. Its hatch is open.

Many of its secrets are no more.

In the seven months since the game-changing discovery of the submarine, built by drug traffickers in a covert shipyard deep in the Ecuadorean jungle, naval experts from multiple countries have studied the vessel.

Their conclusion: It is the "real deal" — fully capable of making multiple journeys to North America.

"There is nothing amateur about it," said Jay Bergman, the U.S. Drug Enforcement Administration's chief of the Andes region. "It is everything it is supposed to be. It is a bona fide long-range, fully submersible craft."

The journey would have been tough but profitable for the sub, which has no name and was caught in July before its maiden voyage.

Seven tons of pure cocaine would easily be worth $100 million in Texas. That's 20 times the estimated $5 million cost of building the sub.

"It wasn't the Love Boat," Bergman said. "This is about getting black-market cargo from Point A to Point B … just trying to make sure they survived the journey and reaped the bounty."

There is no galley or bed, just a small porthole and toilet to accommodate a crew of four or five. A commercial fish-finder device was mounted on the front to allow a pilot inside to see what was ahead.

Unanswered questions

Officials said the most likely travel route for the sub would have been to sneak north along the Pacific coast and unload its illicit cargo during at-sea rendezvous with boats. The cocaine would be taken ashore to Central America or Mexico, where it would be smuggled over land into the United States.

The sub is far smaller than military subs but adds a new dimension to the longtime cat-and-mouse game of trying to catch large loads of cocaine leaving South America via ships and planes.

Officials are poring over the possibilities that come with a criminal organization having the contacts and ability to build a real sub.

"The U.S. military is taking this threat very seriously and thinking through all the implications of this sort of platform," said Laurence McCabe, a U.S. Naval War College professor of national security affairs specializing in Latin America.

And if the submarine could carry drugs, he pointed out, it could carry terrorists.

Among the most important questions not yet answered: Who designed the sub, and who were the naval mercenaries ready to pilot it?

"They have now entered into a world of fairly elite, specialized skill sets, which are much easier to track and identify," McCabe said. "They are innovative people, and they are smart, but at some point you run into a technology wall and need to bring in special people."

The vessel, which was captured in a brackish tributary leading to the Pacific Ocean, has since been towed to Ecuador's largest city, Guayaquil.

It was lifted from the water and placed on a pier, where it remains in Ecuadorean government custody.

It is painted a camouflage design of blue, black and gray - perfect colors for use on the high seas when hiding from government ships and planes that hunt traffickers.

McCabe, who has not been aboard the sub but shared his expertise with the Houston Chronicle, said from photos it looks like it would require about six people to operate for any significant distance.

He also said it likely would have been able to travel about 20 knots per hour for up to an hour, but would have to slow to about 5 knots for more extended under­water travel. The faster it travels under­water, the more battery power it needs. The more it uses batteries, the closer it has to come to the surface to recharge them.

The U.S. government worked with Ecuador and Colombia to locate and capture the sub near the Ecuador- Colombia border, where it could only be reached by boat, said one U.S. official. No drugs were found onboard and not a shot was fired as soldiers and police swarmed it. One person was arrested nearby.

Race against time

The remote region has a reputation as a no man's land.

The official, speaking on the condition of anonymity, said it was found after a desperate race against time to locate the sub before it could put to sea. All told, about 150 Ecuadorean police and military personnel closed in on the sub, but by the time they got there, the culprits were gone.

"Once you bring all those cops and military into an area for an operation, the word gets out," said the official.

They waited for high tide to have the sub towed by a boat out to the Pacific. From there, it was tied to an Ecuadorian navy ship.

The submarine is outfitted with a diesel-electric power system, according to the DEA. That includes twin diesel engines and more than 100 suitcase-size batteries.

7-ton payload

The craft is built chiefly with fiberglass over a wood frame, which keeps it light and buoyant.

It is believed to be able to submerge about 50 feet below the surface - deep enough to hide yet shallow enough to avoid crushing pressure.

The cargo bay toward the front is big enough to hold about seven tons of cocaine.

Such a payload is staggering when compared with the 622 pounds of cocaine caught all of last year by Customs and Border Protection inspectors in El Paso.

Lothar Eckardt, the director of the National Air Security Operations Center for CBP in Corpus Christi, said the sub is a "game-changer."

The agency deploys P-3 Orion aircraft off the coasts of Central and South America to hunt for smugglers, who have previously taken to using hybrid boats that look like submarines but ride low on the surface without being able to fully submerge.

"It is a game-changer, but we are the United States of America, and we will do what it takes to find these things," Eckardt said. "Once you get into this sub game, there are a lot of people who get involved.

"This is a legitimate threat."

The official who spoke to the Chronicle said there is no way to know how many other narco subs are out there.

"The fact is (they) found one," the official said. "The probability is so remote, that the only one ever built, only one near completion and the only one about to get under way is the one (they) found.

"It is just not the way it works."

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Le sous-marin des narcos saisi l'année derniere en equateur, est bel et bien un sous marin pleinement opérationnel ... pas du travail d'amateur.

Image IPB

Image IPB

http://www.chron.com/disp/story.mpl/chronicle/7415756.html

Voilà qui prouve si besoin en était que notre marine a raison de mettre l'accent sur la lutte ASM pendant que d'autres (les marines allemandes, danoises et espagnoles par exemple) la négligent au profit de la lutte AA

Afin que toute la lutte ASM ne repose pas sur les Horizons et FREMM il serait donc prudent que la prochaine génération de super-OPV "Frégates de Surveillance" qui devront remplacer les "Floréal à partir de 2022 aient un bon sonar de coque et 2 TLT ...

(oui je sais ça augmentera la facture, mais faut savoir si le but et que la plupart de nos unités puissent faire face aux menaces potentielles qu'impliquent leur mission officielle, où s'il faut juste afficher du tonnage pour rester dans le "top10" des "world navies") 

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A priori pas de super-OPV prevu dans le programme de toute facon, et comme on le voit, l'interception de ce genre de submersible repose plus sur le renseignement que sur la technologie, donc autant je vois mal l'interet de mettre des MU90 et les installations necessaires a son usage (sonar+TLT+la tripaille entre les 2) a bord d'OPV, autant je trouverais l'embarquement d'un heli-drone type S-100 (qui peut trimballer une camera thermique ou autre pendant 3 a 6h) en accord avec la mission "offshore patrol" , cad de police et d'assistance en mer.

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A priori pas de super-OPV prevu dans le programme de toute facon, et comme on le voit, l'interception de ce genre de submersible repose plus sur le renseignement que sur la technologie, donc autant je vois mal l'interet de mettre des MU90 et les installations necessaires a son usage (sonar+TLT+la tripaille entre les 2) a bord d'OPV, autant je trouverais l'embarquement d'un heli-drone type S-100 (qui peut trimballer une camera thermique ou autre pendant 3 a 6h) en accord avec la mission "offshore patrol" , cad de police et d'assistance en mer.

C'est normal que les remplaçants des FS "Floréal" ne soient pas encore programmés puisque ces navires tiendront au delà de 2020 et que ce n'est que dans 12 ans au mieux.

Ce qui est prévu pour l'instant c'est une série de petits OPV de 1200 à 1500 tonnes pour remplacer les A69 et les P400 (voire les BATRAL) qui devraient être commandés en 2013 pour mise en service à partir de 2018. L'Adroit prêté par DCNS pourrait être le précurseur de cette série si les marins s'en montrent satisfaits

Les "super-OPV" que j'appelle de mes voeux pour succéder à la fois aux FS "Floréal" et aux Frégates furtives "Lafayette" ne seront commandés vers 2017-2018 que si la situation économique du pays s'améliore, sinon on pourra comme pour beaucoup d'autres programmes faire une croix dessus ...

   

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