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Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?


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Les négociateurs qui travaillent à la formation d'un nouveau gouvernement fédéral en Belgique sont d'accord pour que le pays se désengage du nucléaire à partir de 2015, rapporte vendredi le quotidien Le Soir sur son site.

http://www.liberation.fr/terre/01012368554-la-belgique-confirme-sa-sortie-du-nucleaire-a-partir-de-2015

Et l'électriité, ils vont la trouver où ?

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Sauf que l'on prédit déjà pour cette hiver des coupures en France suite a la fermeture de plusieurs centrales Allemandes  :P

On fait le pari que le coût de la facture que l'on va recevoir l'année prochaine sera en net hausse avec pour explication officielle l'achat de combustible hors d'Europe  >:(

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On a qu'à coupé le courant à la Bretagne, niark niark niark.

Après tout moi qui est une centrale près de chez moi je veux du courant et eux qui n'en veulent pas tant pi  :oops:

Non plus sérieusement, même en Allemagne ils risquent des coupures et à mon avis y vont rapidement redevenir pro nucléaire ceux qui n'auront plus de courant par -10 -20  :P

Bon heureusement pour nous l'hiver n'est pas trop froid en France pour le moment.

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On en est vraiment là en terme capacitaire?

En dehors de l'hiver, la France est excédentaire en terme d'électricité, elle en vend même à l'étranger. L'hiver venu par contre, la consommation explose et la production nationale ne suffit plus, sans dire que d'autre énergies, comme l'énergie solaire, dans la partie nord du pays du moins, ne sont alors d'aucun secours !

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Le probléme vient surtout de région comme la Bretagne ou l'Est de la France, en Bretagne c'est simple il n'y a pas de centrale et ils sont en bout de ligne, donc si avant eux ça consomme trop y sont vite en manque.

Pour ce qui est de l'Est, là le probléme vient de l’interconnexion du réseau avec l’Europe, dans un certain sens ils peuvent se retrouver en bout de ligne... allemande !

Puis il y a le réseau électrique qui peut être mal calibré/ancien, la plus part de nos réacteurs date des années 80-90 or la France à gagné quelques millions d'habitant en plus depuis, puis il y a l'explosion des appareils électriques etc.

En gros ça fait quelques années que l'on est au bord de la rupture en hiver car notre parc est trop léger en période sur-capacitaire.

Le probléme étant que si on construit plus de centrale dans 99% des cas les nouvelles ne servirons à rien  :-[

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Reste du thermique propre pour assurer l’intérim en cas de cous de froid.

Reste surtout a moins consommer d'énergie de chauffage en isolant correctement l'habitat et en utilisant des solution de chauffage a haut rendement. En Bretagne il ne fait pas froid du moins jamais très froid, donc les bretons sont pas tres sensibilisé au rendement de leur système de chauffage ... d’où le chauffage électrique a l'ancienne ... d’où la surconsommation électrique en cas de froid exceptionnel.

Pour le moment les solution temporaire de réduction volontaire de consommation - éteindre les radiateur et fermé les volet des piece dans lesquelles on est pas, réduire la température d'un ou deux degres, mettre un pull - suffise a limiter la casse, y compris sur le pic de 19h ...

Pour le thermique et les ville/village loin de la production il existe tout un tas de solution de cogénération, de centrale biogaz et méthanisation qui peuvent très bien satisfaire les besoin de chauffage et d’amortissement de la demande, sans trop de nuisance, ca fonctionne tres bien dans les pays nordique ou les condition météo sont changeante et ou les ligne électrique sont longue et soumise a rude épreuve - quand elle sont pas attaqué par les troll! -

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La production totale d'énergie primaire dans l'Europe des 27 est en baisse depuis 1999, avec une forte chute depuis 2004/2005 :

http://epp.eurostat.ec.europa.eu/portal/page/portal/energy/data/main_tables

1999 : 949 376 000 tep

2009 : 812 221 000 tep

Voici la production brute totale d'électricité dans l'Europe des 27 en Gigawatts :

1998 : 2 911 808

1999 : 2 941 945

2000 : 3 025 559

2001 : 3 106 719

2002 : 3 131 599

2003 : 3 219 822

2004 : 3 288 081

2005 : 3 310 620

2006 : 3 354 845

2007 : 3 367 611

2008 : 3 372 032

2009 : 3 210 027

Image IPB

Chaque fois que la température baisse d’un degré, nous consommons, en plus, l’équivalent de deux fois la consommation d’électricité de la ville de Marseille. Soit 2100 Mégawatts

Voici un article de 2008  :

http://www.leblogenergie.com/2009/06/la-production-d%C3%A9lectricit%C3%A9-en-europe-est-quasiment-stable-depuis-trois-ans.html

Eurostat nous révèle (enfin) que la production d'électricité (nette) qui s'est élevée à 3182 TWh, dans l'Europe des 27 a été quasiment stable (-0,1%) en 2008 par rapport à 2007. Elle n'avait crû que de 0,2% l'année précédente ce qui se traduit, donc, par une stagnation de la production électrique européenne depuis trois ans. Sans être grand devin, il est possible d'anticiper qu'elle va décroître en 2009. A la fin de l'année, l'Europe aura donc vécu quatre ans sans croissance de sa production électrique. Parmi les grands pays européens c'est surtout le Grande-Bretagne qui affiche un recul important (-2,3% entre 2008 et 2006), la France présente une production étale sur trois ans, l'Allemagne progresse de 0,7% sur la même période. Le mode de production de l'électricité en Europe est des plus variés, en fonction des ressources et des choix de chacun des pays.

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Les appareils et les lignes sont plus performants.

Mais ce qui faut voir c'est au moment des pics la il n'est pas sûr que l'on consomme moins vu que l'on est tout électrique de nos jours (quasiment).

Ps : A oui et la crise aussi, c'est une bonne excuse pour faire des économies d'électricité dans les entreprises  ;)

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En dehors de l'hiver, la France est excédentaire en terme d'électricité, elle en vend même à l'étranger. L'hiver venu par contre, la consommation explose et la production nationale ne suffit plus, sans dire que d'autre énergies, comme l'énergie solaire, dans la partie nord du pays du moins, ne sont alors d'aucun secours !

En dehors de l'hiver et de l'ete (enfin, quand il fait chaud) si ma memoire est bonne.
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Comme cela est evoque dans l'article, le recul de la consommation en Grande-Bretagne est significatif, les tarifs de l'electricite ayant explose avec la privatisation des reseaux de distribution. En 2008, le kWh coutait 4 fois plus cher en GB qu'en France, forcemment, ca calme... vive le liberalisme!  O0

Intéressant.

Mais alors quoi, on consomme autant en 2009 qu'en 1999 ? :O Avec la population en légère augmentation et la consommation électrique des foyers qui à forcement du augmenter. 

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Intéressant.

Mais alors quoi, on consomme autant en 2009 qu'en 1999 ? :O Avec la population en légère augmentation et la consommation électrique des foyers qui à forcement du augmenter.  

en 1999, tout le monde n'avait pas autant d'appareil electrique, ordinateur et peripheriques, systeme de veille,micro onde, chauffage electrique,climatiseur,hallogene,etc..  J'avais remplacé toutes mes ampoules par de la basse consommation et j'avais gagné 10 euros sur ma facture, mais ils augementent d'autant la facture pour se rattraper. Il y a les entreprises qui passent du thermique à l'electrique.  La climatisation se developpe beaucoup, ca tire en été alors que les centrales sont en maintenance. en hivers beaucoup lance leur chauffage electrique et on risque le black out.

C'est pas fini, d'après certaines projection, ca peut augmenter jusqu'a plus de 65%, à venir, voiture/scooter en tout electrique. ca promet quand ca va se developper.

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La sortie du nucléaire et l'arrêt de la construction de l'EPR de Flamanville sont au centre des négociations entre Europe-Ecologie-Les Verts et le Parti Socialiste.

Ce dimanche, invité de France 3 Basse-Normandie, Eva Joly, candidate d'EELV pour 2012, a lancé un double ultimatum à ses partenaires historiques (...) Ce contrat de gouvernement entre socialistes et écologistes est lié à la fermeture de l'EPR de Flamanville.

"Si François Hollande dit 'non' pour arrêter le chantier de Flamanville, il n'y aura pas d'accord. Si nous achevons cet EPR-là, nous aurons l'énergie nucléaire pour les 50 prochaines années, ce qui rend la sortie du nucléaire impossible. Nous voulons sortir du nucléaire", argumente  Eva Joly.

Dans une interview à Ouest France, François Hollande déclarait que si les conditions étaient réunies, il proposerait de terminer la construction de Flamanville.

Ramener à 50 % la part du nucléaire en France nécessiterait un investissement supplémentaire de 60 milliards d'euros, selon les calculs de l'Union française de l'électricité, qui fédère les électriciens dont EDF. En conséquence, la facture des particuliers augmenterait de 50 % en vingt ans.

La France devra de toute façon investir lourdement dans ses moyens de production et ses réseaux, qu'elle décide ou non de rogner sur le nucléaire. Ainsi, dans l'hypothèse d'une production électrique encore assurée à 70 % par l'atome en 2030, le pays devrait investir 322 milliards d'euros dans son système électrique sur vingt ans. « Avec la prolongation de la durée de vie des centrales nucléaires, la mise à niveau des réseaux ou le renforcement des énergies renouvelables, le scénario dit de continuité suppose des investissements massifs », souligne Robert Durdilly, président de l'UFE. Dans l'hypothèse d'une réduction à 50 % de la part du nucléaire, l'effort serait porté à 382 milliards d'euros, soit un surcoût de 60 milliards par rapport au scénario de base. Les électriciens ont également chiffré un scénario de quasi-sortie, avec seulement 20 % de nucléaire : le surcoût doublerait presque, à 112 milliards.

Pour les entreprises, la pente s'annonce plus rude avec des augmentations de 41 % si la politique énergétique n'est pas modifiée, et de 65 % si la part du nucléaire est réduite à 50 %.

« En tant que professionnels, on doit dire aux politiques : ‘‘Si vous décidez cela, voilà la conséquence'' ».

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/energie-environnement/actu/0201728998489-sortie-du-nucleaire-en-france-les-patrons-de-l-energie-font-leurs-comptes-244909.php

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C'est typiquement avec ce genre de raisonnements dogmatiques (on sort du nucléaire, peu importe les coûts et conséquences) que les verts suisses se sont pris une taulée aux dernières élections fédérales... (pertes de 5 sièges sur 20 au conseil national)

alors que les verts libéraux, beaucoup plus pragmatiques, ont connus une percée fulgurante...

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C'est vrai que même la biomasse, qui revient à bruler en hivers l'arbre que tu as coupé l'été, crée un pic de pollution qui attendra l'été suivant pour se résorber. Bon reste quand même l'éolien ou le géothermique.

L'hydrolien, la méthanisation, le solaire thermique etc. La mane d'énergie renouvelable disponible est importante c'est pas vraiment le probleme, le probleme c'est le cout de la conversion énergétique et les efforts du pendant consommation.

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L'hydrolien, la méthanisation, le solaire thermique etc. La mane d'énergie renouvelable disponible est importante c'est pas vraiment le probleme, le probleme c'est le cout de la conversion énergétique et les efforts du pendant consommation.

Et la connaissance des effets est quasiment nul, car quand tu convertis cette énergie, quel était le but de cette énergie?

Par exemple, une rivière a besoin d'un certain débit, y a t'il eu des études à long terme du pompage de ce débit?

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Pour les adeptes de la fusion a froid a partir de nickel et d'hydrogene, il semblerait que la premiere unite de production de 1MW ait ete livree:

http://pesn.com/2011/11/03/9501945_E-Cat_Orders_Being_Taken_After_Successful_Launch/

A voir dans la duree si le systeme tient ses promesses, mais ca a l'air encourageant pour les pays cherchant des alternatives energetiques.

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tiens un truc bizarre

http://www.lematin.ch/actu/radioactivite-dans-le-ciel-francais-qui-est-le-coupable-2011-11-15#comment-299384

"Des rejets d’iode radioactif, sans danger pour la santé, ont été détectés dans l’air en France en provenance d’un pays étranger inconnu, a annoncé mardi un institut de veille nucléaire (IRSN), appelant les pays européens à coopérer pour le démasquer."

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L'article qui a déclencher le Courrou d'EDF ... si bien que la tribune s'est vu retirer des budget pub d'EDF.

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/20111113trib000663723/en-pleine-polemique-sur-flamanville-edf-se-prepare-a-abandonner-le-modele-epr.html

Si la mobilisation est absolue pour continuer l'EPR de Flamanville, EDF ne tient pas à poursuivre ce modèle. Le groupe travaille avec Areva et les Chinois à un nouveau réacteur.

EDF, dont une partie des équipes a toujours été hostile au réacteur EPR, développé par Areva et Siemens, propose une porte de sortie à l'affrontement entre Verts et PS sur l'EPR de Flamanville, en affichant sa volonté de laisser tomber ce modèle. Hervé Machenaud, membre du comité exécutif d'EDF, en charge de la production et de l'ingénierie, a commencé à dévoiler cette ligne lors d'une conférence de presse jeudi sur le chantier de Flamanville (Manche). "Un réacteur, quel qu'il soit, n'est jamais la fin d'une histoire technologique. L'EPR est le modèle dont on dispose en ce moment, que nous construisons ici et en Chine, bientôt j'espère en Grande-Bretagne, mais aussi en Pologne et en République tchèque. Mais cela ne veut pas dire qu'il faille s'arrêter dans la réflexion sur le modèle suivant."

En clair : EDF propose l'EPR tant qu'il n'aura pas un autre modèle dans ses cartons. Et l'électricien y travaille déjà. "Ce n'est pas grave. C'est comme dans l'automobile, il y a des modèles qui marchent plus ou moins", relativise-t-on chez EDF. L'électricien planche avec son partenaire, l'électricien chinois CGNPC, sur un autre réacteur, plus petit (1.000 MW contre 1.700 MW pour l'EPR). "Et celui-ci n'aura pas grand-chose à voir avec l'EPR", affirme un proche du dossier. Chez Areva, on s'affiche persuadé du contraire. "Nous travaillons avec EDF et les Chinois au développement d'un nouveau réacteur, pour lequel l'Atmea (version de l'EPR en 1.000 MW) servira de base", affirme Claude Jaouen, directeur réacteurs et services chez Areva. "En aucun cas. L'Atmea est un réacteur dessiné par des vendeurs, pas par des exploitants", rétorque-t-on chez EDF. "On remet tout à plat avec CGNPC. La première phase de conception est en cours, le ?basic design? devrait être terminé fin 2013", ajoute-t-on chez l'électricien. Ce développement franco-chinois a été décidé il y a un an par les deux présidents de la République, qui en ont confié la responsabilité aux deux électriciens EDF et CGNPC. Pour tenter d'apaiser les tensions avec Areva, l'Elysée a chargé le CEA de superviser le tout. La tâche ne s'annonce pas aisée.

La pression des verts

En renonçant à bâtir une vaste série d'EPR, EDF ne cède pas à la pression des Verts. Une partie des équipes nucléaires de l'électricien juge depuis le début trop coûteux et trop sophistiqué ce réacteur, conçu sans eux. La conception de cet "European Power Reactor" a été lancée par Framatome (ex-Areva) et Siemens au début des années 1990 dans le cadre du rapprochement franco-allemand mené par Mitterrand et Kohl. Pragmatiquement, il s'agissait de préserver le savoir-faire des équipes d'ingénierie françaises au moment où le programme nucléaire hexagonal se terminait, et où l'Allemagne hésitait, déjà, sur le sort du sien. "L'EPR a été conçu principalement en Allemagne, sur le modèle du réacteur allemand Konvoi, deux fois plus cher que les centrales françaises", souligne un spécialiste du secteur. Tenu à l'écart, EDF ne l'a jamais digéré.

Le ressentiment a tourné à la franche animosité au début des années 2000 lorsque l'EPR, fraîchement dessiné, est venu représenter les couleurs françaises en Chine contre l'AP1000 de l'américain Westinghouse. Un casus belli sur un terrain où EDF, pionnier du programme nucléaire chinois, régnait en maître « En 2003, les Chinois étaient au bord d'opter pour la généralisation de la dernière génération de centrales françaises, dites N4, lorsque les Américains ont fait le forcing et surtout Anne Lauvergeon est venue s'opposer au N4 pour vendre son EPR », se souvient un ancien d'EDF en Chine. Le bilan des deux chantiers d'EPR en France et en Finlande, où délais et facture ont doublé, passant de quatre à huit ans et de 3 à 6 milliards d'euros, ont achevé de sceller le sort de l'EPR chez EDF. Accessoirement, chez l'électricien, on veut croire qu'une promesse du style "on finit Flamanville, mais on ne construit pas d'autres EPR" pourrait fournir un terrain d'entente entre Verts et PS, et préserver le futur du nucléaire en France.

Marie-Caroline Lopez - 13/11/2011, 22:00 

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Mais pourquoi cette urgence à quitter le nucléaire dès maintenant alors que la crise frappe ?

Le Japon a subit un tsunamie qui a causé une catastrophe nucléaire, hors la France n'a pas subit de grand tsunamie à l'intérieur de ses terres depuis que l'homme c'est mis à marcher.

J'ai vu dans le dessous des cartes que les prévisions de consommation d'énergie de la France et de l'allemagne étaient en hausse pour les années avenir.

Dans un débat sur LCP, j'ai appris qu'apparement beaucoup d'anciens membres des mouvements anarchistes d'extrème gauche des années 70-80 ont intégré le partie échologiste à une époque. Ces mouvements étaient anti-Nucléaire et anti-OTAN. Le plus violent d'entre eux "action direct" aurait d'ailleurs assassiné Georges Besse PDG de Renault, car ils penssaient qu'il allait être nommé à la tête du nucléaire FR. Enfin d'après ce qu'aurait avoué Joëlle Aubron en garde à vue à l'époque.

Pour les mouvements d'extrème gauche, le nucléaire était associé à l'Etat qui devait être combattu.

Récement, certaines personnalités ont accusées le mouvement échologiste de déffendre un point de vue idéologique et non échologique à ce sujet.

Alors moi je ne me mouille pas et je ne veux pas faire de démago, mais je dois dire qu'il est vrai que le nucléaire semble plus préhocuper le partie échologiste que les autres sources d'énergie poluantes pour le moment.

Mais je dis ça, je dis rien un. Je veux pas être accusé dUMP et qu'on me jette des tomates.  :-[

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