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http://www.lexpress.fr/actualite/societe/parti-rejoindre-daech-un-djihadiste-revient-en-france-et-raconte-son-histoire_1700289.html#v7lIlMyAv8qOLfqF.99

"Sofiane est aussi "saoulé" par "les injustices du quotidien", par exemple quand on le place sur une liste d'attente pour obtenir un appartement alors qu'un "un émir local qui a plusieurs femmes, qui est connu, va directement obtenir une grande maison", se lamente-t-il."

Retrait de nationalité et retour en Syrie ;)

Il y a quand même une sacrée dissonnance cognitive en France pour donner la moindre publicité à ces types qui auraient égorgé par dizaines s'ils avaient "réussi leur expatriation" et à qui on envoie l'élite sécuritaire/médiatique s'ils tentent un truc pareil en France ;-)

Modifié par amarito
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En Libye, l'Etat islamique et les groupes affiliés à Al-Qaïda s'affrontent à la manière de "Game of Thrones"

Un chef de l'EI a été capturé par les membres d'un groupe djihadiste affilié à Al-Qaida. Ces derniers l'ont obligé à défiler nu dans le port libyen de Derna.

Read more at http://www.atlantico.fr/pepites/libye-etat-islamique-et-groupes-affilies-al-qaida-affrontent-maniere-game-thrones-2247561.html#0lkPYKrLdG1utpxf.99

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En Libye, l'Etat islamique et les groupes affiliés à Al-Qaïda s'affrontent à la manière de "Game of Thrones"

Un chef de l'EI a été capturé par les membres d'un groupe djihadiste affilié à Al-Qaida. Ces derniers l'ont obligé à défiler nu dans le port libyen de Derna.

Read more at http://www.atlantico.fr/pepites/libye-etat-islamique-et-groupes-affilies-al-qaida-affrontent-maniere-game-thrones-2247561.html#0lkPYKrLdG1utpxf.99

 

 

Il change un peu de registre après le total look pirate des caraïbes, une pincée d'AGOT... quelle va être la tendance de l'hiver prochain?!

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http://www.lexpress.fr/actualite/societe/parti-rejoindre-daech-un-djihadiste-revient-en-france-et-raconte-son-histoire_1700289.html#v7lIlMyAv8qOLfqF.99

"Sofiane est aussi "saoulé" par "les injustices du quotidien", par exemple quand on le place sur une liste d'attente pour obtenir un appartement alors qu'un "un émir local qui a plusieurs femmes, qui est connu, va directement obtenir une grande maison", se lamente-t-il."

Retrait de nationalité et retour en Syrie ;)

 

J'adore ce passage:

 

J'ai regardé dans le Coran, le feu, c'est censé être un châtiment divin, ordonné par Dieu uniquement", explique-t-il apparemment plus choqué par le non-respect du Coran que par l'acte en lui-même.  

 

Tout est une histoire de priorité  :ph34r:

Modifié par Dino
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Il change un peu de registre après le total look pirate des caraïbes, une pincée d'AGOT... quelle va être la tendance de l'hiver prochain?!

Ce qui me fait "rire" dans cette histoire c'est que les mecs s'appuient dans leurs propagandes sur le faites que l'etat actuel des société musulmanes (donc faibles/sous développé/ect) résulte de la domination occidental et de la culture de celle-ci, et que les mecs s'inspire ouvertement d'une série occidental ... 

 

 

Tout est une histoire de priorité  :ph34r:

En soit c'est pas si con que ca n'y parait, le conflit qui oppose Daesh aux autres groupes islamiste/jihadiste a justement comme point de friction la priorité faites a des détails comme celui-ci ^^ 

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Ce qui me fait "rire" dans cette histoire c'est que les mecs s'appuient dans leurs propagandes sur le faites que l'etat actuel des société musulmanes (donc faibles/sous développé/ect) résulte de la domination occidental et de la culture de celle-ci, et que les mecs s'inspire ouvertement d'une série occidental ...

 

Euh... N'y aurait-il pas comme une inversion là ? C'est Game of Thrones qui donne à voir l'un des aspects a priori parfaitement "classiques" bien qu'oublié des scènes de martyrs, lapidation, cruxifiction, suplices divers et variés bien de chez nous ou d'ailleurs : le suplicié fini généralement mort mais est à poil bien avant. Il y a des exemples célèbres...

 

Ces gens de Daesh n'ont pas beaucoup d'imagination.

Modifié par Boule75
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Suites (à confirmer) de l'attentat du 20 juillet à Suruç en Turquie : le PKK  revendiquerait l'assassinat de deux policiers turcs aujourd'hui dans la même région en arguant du fait qu'ils auraient coopéré avec Daesh pour assassiner les militants pro-kurdes tués le 20 juillet.

 

Par ailleurs l'auteur de l'attaque du 20 (au moins 33 morts décomptés désormais) serait non pas une femme mais un jeune homme turc âgé de 20 ans.

 

 

Il va falloir recouper tout ça...

 

 

Edit : pour finir, toujours avec ces charmants protagonistes :

 

Le 9 janvier 2013, trois militantes kurdes étaient assassinées à Paris. Après plus de deux ans d'enquête, le parquet pointe la responsabilité du MIT, les services secrets turcs, dans ces exécutions. Le tueur présumé, Omer Güney, 32 ans, de nationalité turque, aurait agi « à la demande d'individus se trouvant en Turquie et possiblement liés au service de renseignements turc », conclut le parquet de Paris, dans son réquisitoire définitif daté du 9 juillet.

Modifié par Boule75
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C'est confirmé semble-t-il. On en parle sur le Figaro et sur le Monde.

 

Effet d'annonce ou volonté de faire respecter une ligne rouge ("amusez-vous en Irak et en Syrie, tapez sur les Kurdes mais surtout ne franchissez pas la frontière turque") ?

Modifié par Ciders
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L'article en francais "original" http://www.courrierinternational.com/article/wikileaks-comment-larabie-saoudite-promeut-lislamisme-lechelle-planetaire

 

 

The New York Times a trié et vérifié 60 000 câbles diplomatiques saoudiens révélés par WikiLeaks. Conclusion : le royaume wahhabite a mis en place un redoutable système de prosélytisme à échelle planétaire pour faire la promotion d’un islamisme rigoriste.

 

   Depuis des dizaines d’années, l’Arabie Saoudite injecte “des milliards de pétrodollars dans des organisations islamiques à travers le monde, pratiquant une diplomatie du chéquier”, révèle le journal américain New York Times.

 

Pour arriver à cette conclusion, le journal a trié et analysé 60 000 documents diplomatiques saoudiens dont les fuites ont été orchestrées par le site WikiLeaks. Le SaoudiLeaks ne fait que commencer. D’autres informations pourraient être bientôt révélées : WikiLeaks a révélé que quelque 400 000 autres documents étaient en attente de publication.

 

WikiLeaks révèle comment Riyad arrose tous azimuts

 

On sait que l’une des priorités de Riyad est de répandre une vision rigoriste de l’islam sunnite. Ce que l’on sait moins, c’est que l’Arabie Saoudite investit également énormément d’argent pour combattre son principal ennemi : l’Iran chiite.

 

“[Les Saoudiens] craignaient que la levée des sanctions internationales contre l’Iran après la signature de l’accord nucléaire [le 16 juillet] donne davantage de moyens à Téhéran pour soutenir des groupes [chiites et pro-iraniens]. Mais les documents révèlent une compétition qui va bien au-delà, avec de profondes racines idéologico-religieuses”, écrit le quotidien américain.

 

Un soft power efficace

 

C’est tout un système d’influence que les autorités saoudiennes ont mis en place et financé par l’argent des pétrodollars, montre l’enquête du quotidien américain. Riyad a notamment accordé des moyens financiers à des prédicateurs à l’étranger, construit des mosquées, des écoles, des centres et soutenu des campagnes pour “contrer des responsables et des médias à l’étranger qui étaient susceptibles de s’opposer à l’agenda du Royaume”.

 

“Dans la seule région du Kerala [en Inde], les Saoudiens ont donné 4,5 millions de riyals [1,1 million d’euros] à différents organismes”, rapporte par exemple le site India TV en réaction aux informations révélées par Wikileaks.

 

De même, le quotidien de Toronto The Globe and Mail a relevé un “don de 211 000 dollars canadiens [150 000 euros] à une école d’Ottawa et un autre de 134 000 dollars [96 000 euros] à une école de Mississauga” gérée par la Muslim Association of Canada, qui gère également des mosquées et d’autres écoles.

 

Si les sommes peuvent paraître relativement modestes pour chacun des cas pris isolément, elles deviennent énormes une fois additionnées les unes aux autres. Tout le mérite du New York Times est précisément d’avoir fait cette addition. “Il s’agit de milliers et de milliers d’organisations militantes et religieuses (...) directement ou indirectement financées par eux”, explique Usama Hasan, chercheur en études islamiques à la fondation Quilliam à Londres, cité par le journal.

 

L’Arabie Saoudite finance des écoles musulmanes

 

L’organisation mise en place consistait globalement à identifier les personnalités et les associations étrangères à aider ou financer. “Le ministère des Affaires étrangères transmettait les demandes de financement à des officiels de Riyad, parfois les services de renseignements donnaient leur accord après examen des bénéficiaires potentiels et la Ligue islamique mondiale contribuait à avoir une stratégie coordonnée, tandis que les diplomates saoudiens supervisaient le projet à travers le monde”, explique encore le New York Times.

 

Les pays concernés ne sont pas seulement ceux du Moyen-Orient où la lutte fait rage entre l’Arabie Saoudite et l’Iran pour l’influence régionale, mais aussi les pays africains, notamment le Mali, où des acteurs locaux ont fait référence à la “menace du chiisme iranien” pour appuyer leurs demandes de fonds auprès des Saoudiens. “La peur de l’influence chiite allait jusqu’à englober des pays dotés de minorités musulmanes aussi réduites qu’en Chine. Aux Philippines, où seulement 5 % de la population est musulmane, des documents présentent également des propositions pour ‘restreindre l’influence iranienne’.”

 

Et la source en anglais du NYT http://www.nytimes.com/2015/07/17/world/middleeast/wikileaks-saudi-arabia-iran.html?smid=fb-share&_r=2

 

 

BEIRUT, Lebanon — For decades, Saudi Arabia has poured billions of its oil dollars into sympathetic Islamic organizations around the world, quietly practicing checkbook diplomacy to advance its agenda.

 

But a trove of thousands of Saudi documents recently released by WikiLeaks reveals in surprising detail how the government’s goal in recent years was not just to spread its strict version of Sunni Islam — though that was a priority — but also to undermine its primary adversary: Shiite Iran.

 

The documents from Saudi Arabia’s Foreign Ministry illustrate a near obsession with Iran, with diplomats in Africa, Asia and Europe monitoring Iranian activities in minute detail and top government agencies plotting moves to limit the spread of Shiite Islam.

 

The scope of this global oil-funded operation helps explain the kingdom’s alarm at the deal reached on Tuesday between world powers and Iran over its nuclear program. Saudi leaders worry that relief from sanctions will give Iran more money to strengthen its militant proxies. But the documents reveal a depth of competition that is far more comprehensive, with deep roots in the religious ideologies that underpin the two nations.

 

The documents indicate an extensive apparatus inside the Saudi government dedicated to missionary activity that brings in officials from the Foreign, Interior and Islamic Affairs Ministries, the intelligence service and the office of the king.

 

Recent initiatives have included putting foreign preachers on the Saudi payroll, building mosques, schools and study centers, and undermining foreign officials and news media deemed threatening to the kingdom’s agenda.

 

At times, the king got involved, ordering an Iranian television station off the air or granting $1 million to an Islamic association in India.

 

“We are talking about thousands and thousands of activist organizations and preachers who are in the Saudi sphere of influence because they are directly or indirectly funded by them,” said Usama Hasan, a senior researcher in Islamic studies at the Quilliam Foundation in London. “It has been a huge factor, and the Saudi influence is undeniable.”

 

While the documents do not show any Saudi support for militant activity, critics argue that the kingdom’s campaign against Shiites — and its promotion of a strict form of Islam — have eroded pluralism in the Muslim world and added to the tensions fueling conflicts in Iraq, Syria, Yemen and elsewhere.

 

The Saudi government has made no secret of its international religious mission, nor of its enmity toward Iran. But it has found the leaks deeply embarrassing and has told its citizens that spreading them is a crime.

 

It said last month that the documents were related to an electronic attack in March on the Foreign Ministry that was claimed by the Yemeni Cyber Army, a little-known group believed to be backed by Iran. WikiLeaks mentioned the attack when it released the documents.

 

While Saudi Arabia says some documents were fabricated, many contain correct names and phone numbers, and a number of individuals and associations named in them verified their contents when reached by reporters from The New York Times.

 

The trove mostly covers the period from 2010 to early 2015. It documents religious outreach coordinated by the Supreme Council for Islamic Affairs, an interministerial body that King Salman dissolved in a government overhaul after his ascension this year.

 

The Foreign Ministry relayed funding requests to officials in Riyadh, the Interior Ministry and the intelligence agency sometimes vetted potential recipients, the Saudi-supported Muslim World League helped coordinate strategy, and Saudi diplomats across the globe oversaw projects. Together, these officials identified sympathetic Muslim leaders and associations abroad, distributed funds and religious literature produced in Saudi Arabia, trained preachers and gave them salaries to work in their own countries.

 

One example of this is Sheikh Suhaib Hasan, an Indian Islamic scholar who was educated in Saudi Arabia and worked for the kingdom for four decades in Kenya and in Britain, where he helped found the Islamic Sharia Council, according to a cable from the Saudi Embassy in London whose contents were verified by his son, Mr. Hasan of the Quilliam Foundation.

 

Clear in many of the diplomatic messages are Saudi fears of Iranian influence and of the spread of Shiite Islam.

 

The Saudi Embassy in Tehran sent daily reports on local news coverage of Saudi Arabia. One cable suggested the kingdom improve its image by starting a Persian-language television station and sending pro-Saudi preachers to tour Iran.

 

Other cables detailed worries that Iran sought to turn Tajikistan into “a center to export its religious revolution and to spread its ideology in the region’s countries.” The Saudi ambassador in Tajikistan suggested that Tajik officials could restrict Iranian support “if other sources of financial support become available, especially from the kingdom.”

 

The fear of Shiite influence extended to countries where Muslims are small minorities, like China, where a Saudi delegation was charged with “suggesting practical programs that can be carried out to confront Shiite expansion in China.” And documents from the Philippines, where only 5 percent of the population is Muslim, included suggested steps to “restrict the Iranian presence.”

 

In 2012, Saudi ambassadors from across Africa were told to file reports on Iranian activities in their countries. The Saudi ambassador to Uganda soon filed a detailed report on “Shiite expansion” in the mostly Christian country.

 

A cable from the predominantly Muslim nation of Mali warned that Iran was appealing to the local Muslims, who knew little of “the truth of the extremist, racist Shiite ideology that goes against all other Islamic schools.”

 

Many of those seeking funds referred to the Saudi-Iranian rivalry in their appeals, the cables showed.

 

One proposal from the Afghan Foundation in Afghanistan said that it needed funding because such projects “do not receive support from any entities, while others, especially Shiites, get a lot of aid from several places, including Iran.”

 

Reached in Kabul, the Afghan capital, one of the center’s founders, Wakil Ahmad Mutawakil, acknowledged that the group had appealed for Saudi funding but said that it had received none.

 

The kingdom has at times interfered directly with Iran’s outreach.

 

From 2010 to 2013, it tried to force an Iranian Arabic-language satellite television station, Al Alam, off the air. These efforts included issuing royal decrees aimed at stopping the broadcast, pressuring the Riyadh-based satellite provider Arabsat to drop the channel, and using “technical means” to weaken the channel’s signal so it did not reach Bahrain and eastern Saudi Arabia, where Shiites complain of discrimination by their Sunni monarchs.

 

A Beirut-based manager of Al Alam acknowledged that the channel had faced Saudi pressure since 2010, which had succeeded in getting two Arab satellite providers to drop the channel.

 

“We are broadcasting normally” via European satellites, the manager said, speaking on the condition of anonymity to discuss private company matters. “The only disruption we have is when we broadcast a show about Bahrain.”

 

Some of the cables reported on seemingly mundane events.

 

The Saudi Embassy in Sri Lanka reported a meeting between the Iranian ambassador and a group of religious scholars, noting that it began at 7:30 p.m.

 

Elsewhere, the kingdom intervened against foreign officials it perceived as threats.

 

After the president of the International Islamic University of Islamabad in Pakistan, Mumtaz Ahmad, invited the Iranian ambassador to a cultural week on campus, the Saudi Embassy called Mr. Ahmad to express “its surprise,” according to one cable, suggesting that he invite the wife of the Saudi ambassador instead.

 

Mr. Ahmad refused to disinvite the Iranian ambassador, so Saudi diplomats suggested having Suliman Aba al-Khail, a Saudi academic with a position in the university’s administration, convene a board meeting and “choose a president for the university who is consistent with our orientation,” the cable said.

 

A faculty member at the university said that Mr. Ahmad, a political science professor with a doctorate from the University of Chicago, had clashed with conservative faculty members for trying to reduce Saudi influence on campus.

 

After Mr. Ahmad resigned as president in 2012, the Saudi ambassador worked with the president of Pakistan at the time, Asif Ali Zardari, to have a Saudi citizen named as university president, according to the faculty member.

 

“In the end they won,” said the faculty member, who spoke on the condition of anonymity so as not to anger his employer.

 

Saudi Arabia has long invested in training foreign preachers, providing scholarships to international Muslim students to study Shariah at Saudi universities. The documents show that the kingdom gives some of them government salaries to work in their home countries. The cables named 14 new preachers to be employed in Guinea and said contracts had been signed with 12 others in Tajikistan.

 

Another cable said the Foreign Ministry was studying a request from an Islamic association near the Iranian border in Afghanistan to pay local preachers to spread Sunni Islam.

 

Some of the costliest projects were in India, which Saudi Arabia sees as a sectarian battleground.

 

Cables indicated that $266,000 had been granted to an Islamic association to open a nursing college; $133,000 had been used for an Islamic conference; and another grant went to a vocational training center for girls.

 

King Abdullah, who died in January, signed off on a $1 million gift to the Khaja Education Society, and a smaller amount went to a medical college run by Kerala Nadvathul Mujahideen.

 

A member of the first group, Janab Moazam, confirmed that it had been granted the money and said that half had already been delivered. An official from the second group, Abdullah Koya Madani, confirmed that the group had received Saudi funding.

 

Even humanitarian relief is sometimes sectarian. In 2011, the Saudi foreign minister requested aid for flood victims in Thailand, noting that “it will have a positive impact on Muslims in Thailand and will restrict the Iranian government in expanding its Shiite influence.”

 

Elsewhere, Saudi Arabia sees its religious work as a way to improve its reputation. The Saudi ambassador to Hungary requested $54,000 per year for an Islamic association as well as for authorization to found a cultural center. O ne cable said such aid would undermine extremism and “play a positive role in portraying the beautiful and moderate image of the kingdom.”

 

Reporting was contributed by Hwaida Saad from Beirut; Karam Shoumali from Istanbul; Salman Masood from Islamabad, Pakistan; Mujib Mashal from Kabul, Afghanistan; and Suhasini Raj from New Delhi.

 

A version of this article appears in print on July 17, 2015, on page A1 of the New York edition with the headline: A Saudi Obsession With Politics and Religion.
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J'ai toujours entendu dire de la part de mes amis arabes, que le moyen, quasi unique, d'aller au paradis de façon certaine dans l'islam était de convertir quelqu'un, d'en faire un "client" (plus le terme arabe en tête).

C'est cela selon eux qui expliquerait le très fort prosélytisme des dictatures et autres royaumes musulmans (des royaumes de la péninsule arabique, ou encore de Kadafi qui arrosait tout dictateur africain fraichement converti). Donc pas vraiment et/ou seulement une lutte d'influence, mais belle et bien un procédé quelque peu anarchique et empreint de superstition pour s'assurer une place au paradis.

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J'ai toujours entendu dire de la part de mes amis arabes, que le moyen, quasi unique, d'aller au paradis de façon certaine dans l'islam était de convertir quelqu'un, d'en faire un "client" (plus le terme arabe en tête).

C'est cela selon eux qui expliquerait le très fort prosélytisme des dictatures et autres royaumes musulmans (des royaumes de la péninsule arabique, ou encore de Kadafi qui arrosait tout dictateur africain fraichement converti). Donc pas vraiment et/ou seulement une lutte d'influence, mais belle et bien un procédé quelque peu anarchique et empreint de superstition pour s'assurer une place au paradis.

Tu crois vraiment que le paradis est une préoccupation des dirigeants saouds? Pour les gens qui travaillent pour eux ok mais pour ceux qui tiennent le chéquier franchement...

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J'ai toujours entendu dire de la part de mes amis arabes, que le moyen, quasi unique, d'aller au paradis de façon certaine dans l'islam était de convertir quelqu'un, d'en faire un "client" (plus le terme arabe en tête).

C'est cela selon eux qui expliquerait le très fort prosélytisme des dictatures et autres royaumes musulmans (des royaumes de la péninsule arabique, ou encore de Kadafi qui arrosait tout dictateur africain fraichement converti). Donc pas vraiment et/ou seulement une lutte d'influence, mais belle et bien un procédé quelque peu anarchique et empreint de superstition pour s'assurer une place au paradis.

Je te rappel que l'Islam divise le monde en 2 parties: Dar el Islam: pays musulmans et Dar el Harb: monde de la guerre: non musulman donc à conquérir. 

Une fois cette donnée connue, on connait l'objectif des Saoudiens.

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J'ai toujours entendu dire de la part de mes amis arabes, que le moyen, quasi unique, d'aller au paradis de façon certaine dans l'islam était de convertir quelqu'un, d'en faire un "client" (plus le terme arabe en tête).

C'est cela selon eux qui expliquerait le très fort prosélytisme des dictatures et autres royaumes musulmans (des royaumes de la péninsule arabique, ou encore de Kadafi qui arrosait tout dictateur africain fraichement converti). Donc pas vraiment et/ou seulement une lutte d'influence, mais belle et bien un procédé quelque peu anarchique et empreint de superstition pour s'assurer une place au paradis.

 

 

Ce n’est pas vrai. Il faudrait d’abord que le converti devienne un véritable musulman au cours de son existence restante (Accepté au Paradis au jour du jugement dernier). Et de deux cela n’exclurait nullement le dit ‘convertisseur’ - qualifié de musulman uniquement que par lui-même - de son propre jugement personnel au jour dernier équivalent. 

 

 

 

...

Modifié par Gravity
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