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Drone (UAV) dans l'armée de terre française


Manu
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il y a 26 minutes, Julien a dit :

exemple de sur-spécification?

Plus basiquement : ils semblent ne pas voler ces Patroller alors qu'il y a une école, une base etc ... On a déjà vu des engins avec des phases de mise en œuvre progressives  

Si c'était des sur-spécifications qui gênent ... qu'est ce qui empêcherait de les utiliser basiquement autour de Chaumont ? pour l'entraînement des utilisateurs ? 

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Il y a 3 heures, tipi a dit :

Est ce que les drones turcs, israéliens et chinois sont certifiés pour s’insérer dans le trafic civil ?

Pour le drone de conception israélienne Hermes 900 acheté par la Suisse, il semblait qu'obtenir cette certification se ferait sans problème. La réalité s'est avérée un peu plus compliquée car cette certification qui lui permet d’évoluer dans l’espace aérien civil en toute sécurité a été administrativement bien plus longue que prévu. Il a notamment fallu aux diverses agences de régulation créer de toute pièces un nouveau règlement et valider ce dernier. Visiblement ce n'est pas si simple.

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il y a 15 minutes, FAFA a dit :

Pour le drone de conception israélienne Hermes 900 acheté par la Suisse, il semblait qu'obtenir cette certification se ferait sans problème. La réalité s'est avérée un peu plus compliquée car cette certification qui lui permet d’évoluer dans l’espace aérien civil en toute sécurité a été administrativement bien plus longue que prévu. Il a notamment fallu aux diverses agences de régulation créer de toute pièces un nouveau règlement et valider ce dernier. Visiblement ce n'est pas si simple.

Vous avez accumulé d'autres demandes aussi sur ce drone, comme la certification d'un système de dégivrage spécifique et l'utilisation de fuel lourd pour le moteur qui a entraîné un redesign de la partie arrière 

Mais oui la certif de type est compliquée, au bas mot 3 ans quand tout se passe très très bien 

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  • 2 weeks later...
Il y a 18 heures, hadriel a dit :

Comme prévu on en vient au positionnement basé image pour se passer du GPS:

https://www.forcesoperations.com/parrot-planche-sur-un-micro-drone-calibre-pour-lukraine/

La prochaine étape étant la détection automatique de cible et la désignation de zone à surveiller.

On fait ca depuis 50 ans sur missilende croisiere. On allait forcement y venir.

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Il y a 16 heures, hadriel a dit :

Comme prévu on en vient au positionnement basé image pour se passer du GPS:

https://www.forcesoperations.com/parrot-planche-sur-un-micro-drone-calibre-pour-lukraine/

La prochaine étape étant la détection automatique de cible et la désignation de zone à surveiller.

Les meilleurs passages:

D’après le chef d’entreprise, le nombre de drones opérés sur le front russo-ukrainien serait de 200 000 par an tous belligérants confondus. « Les Ukrainiens achètent par semaine ce qu’on a prévu d’acheter jusqu’en 2030 », rappelle-t-il. Soit environ 9000 drones toutes classes confondues pour l’ensemble de la loi de programmation militaire maintenant lancée. Et « ce qui est vrai pour les Ukrainiens est vrai pour les Russes ». Si le besoin est si grand, c’est notamment parce que l’attrition l’est aussi. Derrière les casses, erreurs de pilotage et autres parapluies anti-aériens, ces engins dont aucune armée ne sait se passer pour le renseignement et l’observation affrontent en effet un environnement électromagnétique particulièrement hostile.

La solution de Parrot entend donc répondre à un double enjeu apparu – ou généralisé ? – au cours des 18 derniers mois. D’une part, la massification des outils de guerre électronique. « Les Russes produisent des brouilleurs par milliers », indiquait Henri Seydoux. Et d’autre part, le brouillage du GPS que cette massification permet d’étendre à l’ensemble du front. Le positionnement vital à l’usage des drones y est non seulement brouillé, mais aussi « spoofé ». Autrement dit, un GPS en apparence correct mais en réalité usurpé et « retravaillé » par l’adversaire pour désorienter la machine et l’envoyer dans le décor. 

Sur une ligne de front devenue opaque, la mission dépendra de la capacité du système  échapper aux pièges électromagnétiques tendus par l’adversaire. Un défi accueilli à bras ouverts par le droniste, qui s’y est plongé dès la fin 2022. L’été d’après, celui-ci allait en Ukraine présenter un premier prototype. Il y revenait en octobre avec un produit pré-industriel avec pour objectif d’être capable de livrer des drones « par milliers » à compter de janvier 2024. « Je suis dans les temps, mais c’est la guerre », relativise le patron d’une entreprise qui dépense 30 M€ en moyenne par an en activités de développement. 

Très heureux de voir Parrot qui ne voulait pas venir sur ce marché défense, choisir finalement de s'y implanter.

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Il y a 1 heure, g4lly a dit :

On fait ca depuis 50 ans sur missilende croisiere. On allait forcement y venir.

Ok, et quand on passe d'un joli village buccolique à un champs de ruines massacrées en 3 jours de Grad, on fait comment pour la reconnaissance image ? On fait passer un autre drone filmeur d'abord ?

Clairon

Modifié par Clairon
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Oui ils ont l'air de faire ça sur fond de carte c'est curieux, normalement on fait ça en extrayant des points dans l'image indépedemment de la carto, mais ça a tendance à dériver au fil du vol. Le recalage sur carto doit leur permettre de recaler leur nav pour éviter la dérive.

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il y a 19 minutes, g4lly a dit :

Bien sur on peut recaler le DSMAC a chaque vol, on fait d'ailleurs comme ca sur missile de croisiere.

Ca demande quand même une multiplication de moyens, car il faut sans doute refilmer plusieurs routes

Clairon

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il y a 3 minutes, Clairon a dit :

Ca demande quand même une multiplication de moyens, car il faut sans doute refilmer plusieurs routes

Clairon

Tu filmes seulement quelques zones geolocalisées on ne recale que deci dela.

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il y a 45 minutes, g4lly a dit :

Tu filmes seulement quelques zones geolocalisées on ne recale que deci dela.

Ok, mais le drone filmeur, il est aussi en zone brouillée, comment va-t-il se reconnaitre ? Est-ce que des améliorations de centrales inertielles ne seraient pas mieux ?

Clairon

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il y a 6 minutes, Clairon a dit :

Ok, mais le drone filmeur, il est aussi en zone brouillée, comment va-t-il se reconnaitre ? Est-ce que des améliorations de centrales inertielles ne seraient pas mieux ?

Clairon

C'est le boulot des unité topo de geolocaliser tout et n'importe quoi y compris apres un catastrophe naturelle ouune bataille.

Les bataille ne deplacent ni les batiment ni les route, elles modifient juste leur aspect.

La geolocalisation d'un carrefour ne change pas pendant la bataille.

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Il y a 3 heures, g4lly a dit :

C'est le boulot des unité topo de geolocaliser tout et n'importe quoi y compris apres un catastrophe naturelle ouune bataille.

Les bataille ne deplacent ni les batiment ni les route, elles modifient juste leur aspect.

La geolocalisation d'un carrefour ne change pas pendant la bataille.

Oui mais ton unité doit bien redonner une vue exacte du "nouvel" aspect de ton carrefour. Pour cela il lui faut donc un super engin capable d'agir en dépit de la GE?

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Il y a 2 heures, gustave a dit :

Oui mais ton unité doit bien redonner une vue exacte du "nouvel" aspect de ton carrefour. Pour cela il lui faut donc un super engin capable d'agir en dépit de la GE?

Pas besoin de vue exacte ... bien au contraire ... on ne compare pas des images, mais des modèles issus des images et donc des similarités. Un carrefour bombarder sera similaire à un carrefour pas bombardé par exemple. Les routes auront la même largeur, la même orientation etc.

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8 hours ago, g4lly said:

Pas besoin de vue exacte ... bien au contraire ... on ne compare pas des images, mais des modèles issus des images et donc des similarités. Un carrefour bombarder sera similaire à un carrefour pas bombardé par exemple. Les routes auront la même largeur, la même orientation etc.

Pour compléter, ce genre de truc fonctionne toujours par corrélation et l'image n'est pas le seul élément qui rentre en jeu. Un drone de ce type sera équipé d'un magnétomètre pour l'orientation et d'un INS pour faire de l'odométrie inertielle. Ces informations sont recoupées ensemble pour remettre l'erreur d'estimation de la position à zéro.

Par ailleurs, il y a un autre moyen d'utiliser la caméra qui est l'odométrie visuelle utilisant le suivi des éléments du terrain lors du mouvement pour garder la trace d'une position (peut être combiné avec l'INS pour de l'odométrie visuelle-inertielle).

 

Ceci dit, l'estimation passive de position reste un challenge.

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Il y a 9 heures, g4lly a dit :

Pas besoin de vue exacte ... bien au contraire ... on ne compare pas des images, mais des modèles issus des images et donc des similarités. Un carrefour bombarder sera similaire à un carrefour pas bombardé par exemple. Les routes auront la même largeur, la même orientation etc.

C'est la même logique que des amers sur une carte marine j'imagine.

Le soft se cale sur un certains nombres de points remarquable pour trianguler de manière "surnuméraires". S'il en manque c'est pas grave. Tu perds un poil de précision c'est tout.

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  • 5 weeks later...
Il y a 18 heures, Bechar06 a dit :

LACROIX rentre dans le DRONE 

the French Etienne Lacroix Group (€150M in sales) is boosting its position as a pyrotechnic systems integrator by acquiring the Bordeaux-based drone manufacturer Milton.
 

 

Après avoir été puni dans le monde de la mine socialement inacceptable ... se refaire une santé dans la mine socialement acceptable un joli pieds de nez.

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S'ils utilisent une partie de l'électronique et logiciels pour l'"Aarok", il aura une utilité.

Le problème c'est aussi la longueur du programme, je pense que nous sommes comme dans les années 50-60 dans l'aviation, il faut des programmes qui peuvent évoluer brique par brique, ici par exemple changer le planeur par l'Aarok.

 

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