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Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante


Philippe Top-Force
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41 minutes ago, clem200 said:

J'étais resté sur 24+3 

Pour la gendarmerie. auxquels j'ai ajouté les 7 vedettes de surveillance de la Douane (vedettes diverses d'environ 20m, dont des Raidco identiques aux VCSM de mémoire en fouillant pour faire ce comptage, je n'ai trouvé qu'un global de vedette de surveillance cotière à 15 intégrant des vedettes de -20m [dont les 8 VSR que j'ai mis dans "Response boats"])

 

18 minutes ago, Benoitleg said:

Et 5 CL 55 ?

Les affaires maritimes disposent d'un CMN CL 54 (le Thémis - dérivé du P400 par CMN) et des Iris et Osiris (qui ne sont pas des CL 54). Ou j'ai raté un plan de modernisation des Affaires maritimes ?

Et ne pas oublier le "Saint-Pierre-et-Miquelon Patrol Cutter" (Fulmar).

C'est pas faux, faut je revois cette partie :sleep: c'est une chianlie les patrouilleurs de 40-55m dans l'AEM, si y'en a 2 identiques c'est un miracle haha (idem pour les catégories inférieures d'ailleurs.. je vais ptre réorganiser sans type, juste mettre 40-60m - 25-39 - 15-24

Pour la partie "vigilante", ca correspond en effet aux patrouilleurs des affmar. Mais j'en ai bien 5 : Le Themis, L'Iris, L'Osiris, Le Gyptis et La Jeanne Barret

Pour les douanes, j'ai ai 3 le Jacques Oudart Fourmentin, le Kermorvan, le Jean François Deniau

Pas de Gendarmerie maritime dans cette catégorie

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Le 17/12/2023 à 16:58, Asgard a dit :

Pour la gendarmerie. auxquels j'ai ajouté les 7 vedettes de surveillance de la Douane (vedettes diverses d'environ 20m, dont des Raidco identiques aux VCSM de mémoire en fouillant pour faire ce comptage, je n'ai trouvé qu'un global de vedette de surveillance cotière à 15 intégrant des vedettes de -20m [dont les 8 VSR que j'ai mis dans "Response boats"])

 

C'est pas faux, faut je revois cette partie :sleep: c'est une chianlie les patrouilleurs de 40-55m dans l'AEM, si y'en a 2 identiques c'est un miracle haha (idem pour les catégories inférieures d'ailleurs.. je vais ptre réorganiser sans type, juste mettre 40-60m - 25-39 - 15-24

Pour la partie "vigilante", ca correspond en effet aux patrouilleurs des affmar. Mais j'en ai bien 5 : Le Themis, L'Iris, L'Osiris, Le Gyptis et La Jeanne Barret

Pour les douanes, j'ai ai 3 le Jacques Oudart Fourmentin, le Kermorvan, le Jean François Deniau

Pas de Gendarmerie maritime dans cette catégorie

Arrivées de 2022 à 2024....

- Douanes

OCEA FPB 100 MKII  (31 m)

*Les douanes commandent trois nouvelles vedettes au Vendéen Ocea
ttps://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2020/01/21/les-douanes-commandent-trois-nouvelles-vedettes-a-ocea-20818.html

* Mise à l'eau de l’OCEA FPB 100 MKII douane française – DF 34

Caractéristiques du navire :

    Longueur hors tout
    31,2 m
    Capacité
    10 équipage +6 passagers
    Vitesse
    27 Noeuds

https://www.ocea-ssm.com/node/279


- Gendarmerie maritime

*Arrivée de la première vedette côtière de surveillance maritime nouvelle génération de la Gendarmerie maritime à Cherbourg (50) 2022 (20 m - 3 exemplaires - dérivé des VCSM)

https://www.premar-manche.gouv.fr/communiques-presse/arrivee-de-la-premiere-vedette-cotiere-de-surveillance-maritime-nouvelle-generation-de-la-gendarmerie-maritime-a-cherbourg-50

* Patrouilleur côtier de nouvelle génération (45 m)
6 exemplaires à partir de 2024

https://fr.wikipedia.org/wiki/Patrouilleur_côtier_de_nouvelle_génération


Pour les moyens de l'AEM, tentative d'inventaire :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Modéle:Palette_Action_de_l'état_en_mer_(France)

 

On y  trouve les PCG pour la Gendarmerie maritime , 5 exemplaires de 32 m

P719 Armoise (Cherbourg), P720 Géranium (Lorient), P 721 Jonquille (Toulon), P722 Violette (Pointe-à-Pitre) et P723 Jasmin (Papeete), quatre recensés en 2021 :

https://lessor.org/operationnel/six-nouveaux-patrouilleurs-cotiers-pour-la-gendarmerie

https://archives.defense.gouv.fr/marine/equipements/batiments-de-patrouille-surveillance/batiments-specialises/patrouilleur-cotier/pcg.html

 

L'Armoise des affaires maritimes transférée en 2023 à la GM :

https://www.meretmarine.com/fr/defense/gendarmerie-maritime-le-patrouilleur-armoise-rejoint-enfin-cherbourg

https://fr.wikipedia.org/wiki/Armoise_(PM32)

 

On pourrait s'y perdre...:sleep:

Modifié par Benoitleg
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  • 2 weeks later...
Le 17/12/2023 à 16:58, Asgard a dit :

Pour la gendarmerie. auxquels j'ai ajouté les 7 vedettes de surveillance de la Douane (vedettes diverses d'environ 20m, dont des Raidco identiques aux VCSM de mémoire en fouillant pour faire ce comptage, je n'ai trouvé qu'un global de vedette de surveillance cotière à 15 intégrant des vedettes de -20m [dont les 8 VSR que j'ai mis dans "Response boats"])

 

C'est pas faux, faut je revois cette partie :sleep: c'est une chianlie les patrouilleurs de 40-55m dans l'AEM, si y'en a 2 identiques c'est un miracle haha (idem pour les catégories inférieures d'ailleurs.. je vais ptre réorganiser sans type, juste mettre 40-60m - 25-39 - 15-24

Pour la partie "vigilante", ca correspond en effet aux patrouilleurs des affmar. Mais j'en ai bien 5 : Le Themis, L'Iris, L'Osiris, Le Gyptis et La Jeanne Barret

Pour les douanes, j'ai ai 3 le Jacques Oudart Fourmentin, le Kermorvan, le Jean François Deniau

Pas de Gendarmerie maritime dans cette catégorie

Pour en rajouter une couche ( désolé…), j’ai découvert l’Office français de la biodiversité, avec une flotte aux couleurs de l’Action de l’état en mer, 5 vedettes en alu/acier de 10/12 m dont la Nérée et l’Utunpa (?) sorties du chantier Merré.

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TCP 2023 : les Lauréats] Un « Coup de cœur » pour l'Armée à Papeete

https://www.achatpublic.info/actualites/info-du-jour/2023/11/28/tcp-2023-les-laureats-un-coup-de-coeur-pour-larmee-papeete-33054

Pas étonnant que le jury de l’édition 2023 des Trophées de la Commande Publique ait eu un coup de cœur pour l’opération réalisée par la Direction Infrastructure Défense de Papeete ! Alors que la tour en aluminium qui devrait être montée à Teahupoo pour l’épreuve de surf des JO Paris 2024 suscite une véritable levée de boucliers, y compris de la part des surfeurs, face aux dégâts irrémédiables qu’elle va causer aux massifs coralliens, la Marine nationale, elle, a travaillé tout à la fois sur les aspects environnementaux et sociaux.


Nous avons rencontré Stéphane Charlon, ingénieur militaire de l’infrastructure, chef de la Division achats, infrastructure et aide à l’activité de la Direction Infrastructure Défense de Papeete.

Pour la réalisation de ce chantier vos contraintes semblaient énormes, pourtant votre opération est exemplaire et peut être dupliquée dans tous les départements et territoires d’outre-mer. En quoi votre projet peut-il être qualifié d’exemplaire ?

Stéphane Charlon - Tout d’abord, je tiens à préciser que je n’ai pas personnellement participé à l’élaboration du projet car je n’ai rejoint Tahiti qu’en juillet dernier. Je n’ai eu en charge que l’inscription et la présentation du dossier aux Trophées de la Commande Publique. L’accueil des nouveaux patrouilleurs outre-mer à Tahiti nécessitait l’aménagement portuaire de la base navale afin de permettre l’accostage, le stationnement et le soutien des navires dans le respect des normes et règlements en vigueur. L’opération infrastructure a porté sur la préparation du fond marin au droit de la construction pour augmenter le tirant d’eau, la construction d’un quai circulable, l’aménagement du quai, l’équipement en postes de livraison des fluides et leurs réseaux.

L’étude environnementale amont a mis en avant le caractère exceptionnel des massifs coralliens présents sur l’emprise : il a été décidé de préserver un maximum de coraux en procédant à une opération originale d’enlèvements, de transplantation et de colonisation de secteurs dépourvus

L’étude environnementale amont a mis en avant le caractère exceptionnel des massifs coralliens présents sur l’emprise. Répondant aux objectifs opérationnels d’augmenter les tirants d’eau, en accord avec l’administration locale, il a été décidé de préserver un maximum de coraux en procédant à une opération originale d’enlèvements, de transplantation et de colonisation de secteurs dépourvus.
Au-delà des retombées manifestes pour la biodiversité, cette opération a eu un impact social auprès de jeunes en difficultés scolaires du Centre de Jeunes Adolescents (CJA) de Faa’a qui se sont chargés de la fabrication des supports métalliques destinés à recevoir les coraux.
Avec un excellent bilan un mois après la transplantation, ce projet, assez inhabituel et porteur de valeurs fortes pour les armées dans son implication à la conservation du patrimoine écologique de la Polynésie française, a suscité un grand intérêt médiatique avec une large couverture locale et institutionnelle.

 

Qui a eu l’idée de procéder à la protection et à la transplantation des coraux ?

Stéphane Charlon - Le projet prévoyait initialement un dragage important du bassin portuaire de la base navale dont les études en phase amont ont fait apparaître une problématique importante liée aux volumes de roches, sédiments, coraux à extraire avec l’obligation d’évacuation de ces déchets vers la Nouvelle Zélande, ainsi que la nécessité de mise en œuvre d’une procédure d’ICPE (Installations Classées Protection de l’Environnement). Cette solution remettait en cause le calendrier et la programmation opérationnelle d’arrivée des nouveaux patrouilleurs d’outre-mer. Ainsi, la conduite d’opération a dû opter pour d’autres solutions permettant de gagner en tirant d’eau tout en limitant les travaux.
La réflexion de la conduite d’opération de la Division Projet (DIV PROJ) avec Créocéan ainsi menée a abouti à la solution retenue d’enlèvement et de transplantation des coraux, qui a été validée par la maîtrise d’ouvrage du Service d’Infrastructure de la Défense (SID). L’opération a été une vraie réussite “technico-opérationnelle, environnementale”. Outre les objectifs atteints de gagner du tirant d’eau, de sécuriser l’emprise contre les obstacles représentés par les coraux in situ, la transplantation/colonisation a préservé de nombreux coraux remarquables. Les structures servent de nurseries à de nombreuses familles de poissons “demoiselles, coffres, chirurgiens…” Par ailleurs, les tissus coralliens se développent avec une forte croissance de polypes terminaux.

 

Pour quelles raisons avoir  décidé de faire intervenir les jeunes en difficulté scolaire?

Stéphane Charlon - La politique Achat du ministère comporte six objectifs :

la performance économique ;

les achats socialement responsables ; 

les achats favorisant la préservation de l’environnement ;

l’accès des petites et moyennes entreprises à la commande publique ;

les achats ayant un caractère innovant ;

les achats propres de nature à assurer la réponse rapide nécessaire à des besoins opérationnels.

Ainsi, chaque projet infrastructure au sein du SID (Service d’Infrastructure de la Défense) fait l’objet d’attention au travers d’analyse en phase précontractuelle pour trouver les leviers répondant à cette volonté d’une démarche de contractualisation socio-responsable.

Chaque projet infrastructure au sein du SID (Service d’Infrastructure de la Défense) fait l’objet d’attention au travers d’analyse en phase précontractuelle pour trouver les leviers répondant à cette volonté d’une démarche de contractualisation socio-responsable


Au titre du dialogue avec Créocéan, une entreprise spécialisée dans le diagnostic de conservation et la préservation de l’environnement lors de la mise en place de projets industriels, ce dernier avait déjà fait appel aux services du Centre de Jeunes Adolescents de Faa’a pour la fabrication des supports métalliques destinés à recevoir les coraux. La Maîtrise d’ouvrage a adhéré à la proposition de Créocéan de reconduire l’expérience avec ces jeunes de Faa’a. Les délais non contraints de l’opération permettaient de faire le choix de ce procédé.

 

Quelle procédure avez-vous utilisée ?


Stéphane Charlon - Nous nous sommes appuyés sur l’article142 de la loi ASAP relevant le seuil jusqu’à 100 000 HT pour passer un marché travaux sans publicité ni mise en concurrence, au lieu de 40 000 € HT (CCOP, art R. 2123-8) ; de la sorte, la contractualisation d’un MAPA négocié sans publicité ni mise en concurrence avec l’entreprise Créocéan a été retenue. En effet, référente par son expertise technique et son dynamisme liés à la protection de la biodiversité sous -marine à Tahiti, elle était l’opérateur économique immédiatement performant pour l’opération.

 

Quels ont été les délais nécessaires entre la prise de décision et la demande de subvention ?

Stéphane Charlon - Les délais de réflexion, de décision et de constitution du dossier FIE (Fonds d’intervention pour l’environnement) ont duré environ neuf mois jusqu’à la demande de subvention qui nous a été accordée à hauteur de 56 803,33 € TTC. Le choix des opérations FIE par la DTIE (Direction des territoires, de l’immobilier et de l’environnement) du ministère de laDéfense a été acté en décembre 2021.
Initialement prévue en octobre 2022, la date du début d’exécution a dû être reportée de six mois en raison d’une validation administrative tardive du Port Autonome de Papeete ne permettant plus de pratiquer la transplantation avant avril 2023, en raison de la saison de ponte.

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https://lemarin.ouest-france.fr/defense/marine-nationale/long-format-pour-etre-renforcee-la-defense-antiaerienne-navale-aura-besoin-dautres-financements-869714c8-ae3e-11ee-8ce5-c353cc4f1a17

C'est certain qu'il faudrait remettre dans l'air du temps la défense anti-aérienne avec un peu de moyens. Les sous financements ont créé un gap important qu'on va encore payer un certain temps.

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Il y a 13 heures, Alskandre a dit :

L'accès à l'article est payant ... Quelles sont les solutions envisagées (si les fonds sont débloqués) ?

Malheureusement j'ai pas accès également mais il faut clairement densifier les moyens AA. Les trous concernés sont connus. Le manque de VLS sur les frégates en parc et celle à venir. Les FDI en sont l'exemple. L'artillerie secondaire est également à renforcer. Le Rapidfire, vu ce qu'il a couté devrait être un candidat avec le complément possible du LMP de Naval Group avec une flexibilité intéressante même si il ne sera pas dispo avant une paire d'années. Il y a aussi le sadral qui était prévu sur les FDA mais pas installé... On peut également penser aux futurs MMPC qui pourraient être mieux dotés en systèmes AA. Ce qui est certain, c'est que la MN connaîtra plus le feu dans le futur et cela doit être pris en compte.

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il y a 4 minutes, Ronfly a dit :

Ce qui est certain, c'est que la MN connaîtra plus le feu dans le futur et cela doit être pris en compte.

ça rappelle ce que disait un ancien chef d'état major à une promotion de jeunes officiers en substance vous vous conna^trez le feu

Pour ce qui est de la Marine les solutions existent elles sont connues et pour la plupart éprouvées, je trouve notamment que le LMP est un sacré matériel très innovant ... Après c'est un problème de coût quoique .... quand on voit le coût des moyens de GE installés sur les FREMM ou les FDA on se dit qu'avec une fraction de ces moyens on pourrait doter nos bateaux avec de gros moyens hardkill

 

Je pense que la Marine Nationale va changer de culture ... Face aux évolutions des menaces.

Mais un des facteurs très importants qui n'est pas assez débattu notamment ici c'est que dès aujourd'hui les navires travaillent en réseau, avec une protection accrue des liaisons de données, ce n'est pas pour rien que les militaires sont parmi les gros clients des industriels du quantique =>protection des données et des moyens de liaison.

Aujourd'hui on ne peut plus raisonner en appréhendant un navire comme une unité mais comme un élément d'un ensemble ... ce que font aujourd'hui les aviateurs notamment avec le Rafale F4

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44 minutes ago, pascal said:

Aujourd'hui on ne peut plus raisonner en appréhendant un navire comme une unité mais comme un élément d'un ensemble

Héééééééééééééé.... Oui et non... A part pour le GAN, nombre de nos coques sont souvent isolées... ou dans un ensemble de coalition hors du "réseau local".

C'est un élément de réflexion mais sur la marine plus qu'ailleurs, il ne doit pas servir d'excuse à la sous-protection (en ce sens, les futur PH sont le parfait exemple de ce qu'il faut éviter dès qu'on quitte nos cotes)

Modifié par Asgard
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il y a 40 minutes, Asgard a dit :

Héééééééééééééé.... Oui et non... A part pour le GAN, nombre de nos coques sont souvent isolées...

Certes mais dans les zones sensibles elles sont rarement isolées. Dans le Golf par exemple les Rafales peuvent rapidement couvrir. En mer Rouge les 2000 de Djibouti et les Rafale de Jordanie peuvent aussi intervenir et  souvent on trouve un ATL 2 Standard 6 dans la zone.  

Apres quand tu navigues dans le sud du Pacifique tu peux rester des jours sans le moinde contact radar vue les distance .

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Pour le LMP, Naval Group a noté sur son site: "L’objectif est un développement à deux ans, pour ensuite être monté sur des bateaux de 1er rang*** (FDA, FREMM) et 2ème rang (FLF, FS)... "

Du coup on peut s'attendre à un début de modernisation progressive d'ici 3/4 ans d'une partie de la flotte de surface avec ce système polyvalent. Bien sûr si des budgets sont dispos...

 

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Il y a 2 heures, Scarabé a dit :

Certes mais dans les zones sensibles elles sont rarement isolées. Dans le Golf par exemple les Rafales peuvent rapidement couvrir. En mer Rouge les 2000 de Djibouti et les Rafale de Jordanie peuvent aussi intervenir et  souvent on trouve un ATL 2 Standard 6 dans la zone.  

Apres quand tu navigues dans le sud du Pacifique tu peux rester des jours sans le moinde contact radar vue les distance .

Est-ce que les M2000 de Djibouti peuvent légalement intervenir? Leur rôle c'est la défense aérienne du ciel djiboutien comme stipulé par les accords de défense, pas sûr que Djibouti voit d'un bon œil qu'on utilise son territoire pour affronter les Houthis, ils sont à portée de missile... Et ça pose de toutes façons la question de la coopération interarmées et non plus simplement de la veille coopérative entre plateformes navales. 

 

Il y a 3 heures, pascal a dit :

Mon raisonnement était effectivement assez GANo-centré :smile:

Ces dernières années, on a très peu vu le GAN en mission opérationnelle, que ce soit pour des frappes (Hamliton), évacuation de ressortissant (Sagittaire), la lutte contre la piraterie, le trafic de drogue, les Houthis, c'est très souvent des unités isolés, et il n'y a aucun raison de penser que la tendance va s'inverser dans les années à venir...

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Il y a 2 heures, Ronfly a dit :

Pour le LMP, Naval Group a noté sur son site: "L’objectif est un développement à deux ans, pour ensuite être monté sur des bateaux de 1er rang*** (FDA, FREMM) et 2ème rang (FLF, FS)... "

Du coup on peut s'attendre à un début de modernisation progressive d'ici 3/4 ans d'une partie de la flotte de surface avec ce système polyvalent. Bien sûr si des budgets sont dispos...

 

Tu parles de quel développement ?

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il y a une heure, Scarabé a dit :

Tu parles de quel développement ?

Je parle du développement d’un système de lanceurs modulaires polyvalents (LMP). NG explique notamment qu'il est ..."capable de mettre en œuvre de multiples vecteurs, est une véritable rupture technologique, fruit d’un travail en liaison avec la Marine Nationale et la DGA. Il est parfaitement adapté à un contexte de menaces asymétriques, protéiformes, voire de haute intensité, caractérisé par la montée en puissance des drones (entre autres les essaims de drones). Le LMP, c’est à la fois une capacité d’autodéfense en champ proche (jusqu’à 8 kilomètres) considérablement accrue, la possibilité d’intégrer des capacités supplémentaires à bord (roquettes, missiles, grenades, armes sous-marines, leurres, drones) et un emport plus important en munitions : environ 1000 kilos de charge utile grâce à sa technologie de modules munitions interchangeables"....

On voit qu'il y a un lien plutôt étroit entre les ops et NG pour le développer et l'intégrer à terme sur les navires Français.

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Il y a 11 heures, herciv a dit :

Le LMP c'est ce truc là qui fait 3 tonnes, c'est à dire rien.

LMP_naval-group-660x365.jpeg.webp

Tu en mets 2 par plateforme de 1er rang deja, ca te fait une belle capacité d'autodéfense flexible et adaptable aux besoins. Tu pourrais aller jusqu'à 32 mistral pret au lancement si necessaire se rapprochant de se que fait un RIM116 en anti-aerien.

le LPM est composé de 4 conteneurs capables chacun de mettre en œuvre 4 missiles antiaériens ou antimissiles Mistral 3, 2 grenades anti-sous-marines, des leurres infrarouges ou 10 roquettes à guidage laser de 70 mm.

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il y a 22 minutes, herciv a dit :

Reste à savoir si tu peux les recharger à la mer et donc avoir du stock.

Voilà ce qu'il explique sur sa conception:  ..."le chargement est facilité par une structure d’accueil de modules munitions permettant des manipulations simplifiées et rapides à quai comme en mer. Sa taille restreinte et son poids maitrisé grâce à l’utilisation de nouveaux matériaux facilitent son intégration à bord. Autre atout : sa gamme de déflecteurs pyrotechniques situés à l’arrière du lanceur évite que les jets de combustion ne causent des dommages aux structures fragiles comme les antennes"...

vu que c'est un développement commun avec la MN et DGA, ils ont optimisé son utilisation apparemment.

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Il y a 1 heure, Ronfly a dit :

Tu en mets 2 par plateforme de 1er rang deja, ca te fait une belle capacité d'autodéfense flexible et adaptable aux besoins. Tu pourrais aller jusqu'à 32 mistral pret au lancement si necessaire se rapprochant de se que fait un RIM116 en anti-aerien.

le LPM est composé de 4 conteneurs capables chacun de mettre en œuvre 4 missiles antiaériens ou antimissiles Mistral 3, 2 grenades anti-sous-marines, des leurres infrarouges ou 10 roquettes à guidage laser de 70 mm.

Les missile RAM font la taille d'un Mica ... c'est difficilement comparable.

---

On sait ce qu'ils comptent proposer à mettre dans le lanceur? Du Mistral? de la RGL 68mm? Du MMP ou MLP? Des leurre? Des petites munitions kamikazes? On pourrait même imaginer une petit hardkill torpille/plongeur/dronesemisbmersible?

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