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Energies renouvelables : projets et conséquences


alexandreVBCI
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il y a 6 minutes, g4lly a dit :

Ici on t'explique juste que la source chaude est l'environnement ... et que la source froide est la température du liquide, qui pourrait descendre à 0K dans le meilleur des cas ...

Sauf qu'en fait plus le liquide est froid moins il y a d'agitation donc d'énergie à pomper. Comme dans toutes les machins dithermes.

Donc, on comprend bien la même chose.

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il y a 6 minutes, Benoitleg a dit :

Donc, on comprend bien la même chose.

Si c'est ça alors rien de bien nouveau sous le soleil ... sauf si le bidule à un taux de conversion exceptionnel... et qu'il fonctionne sur une large plage de température.

On a déjà les matériaux thermoélectrique pour ça, même s'ils sont assez coûteux.

Les dispositifs liquide ont comme intérêt d'essayer de rendre le système moins coûteux normalement, à supposer qu'ils rendent le même service.

Exemple ici avec la récupération électrique des mouvements de diffusion https://www.inp.cnrs.fr/fr/cnrsinfo/recycler-la-chaleur-en-electricite-avec-des-liquides-ultraconfines

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Il y a 6 heures, g4lly a dit :

C'est la description de la chaleur ... au sens thermodynamique.

La chaleur n'est autre que l'énergie cinétique non canalisés.

Le travail est l'énergie cinétique canalisée.

On "transforme" l'une en l'autre en canalisant ou en libérant les mouvements en question.

La notion de mouvement brownien ne fait que décrire mathématiquement les mouvements des particule en question qui s'agite "dans tous les sens" de manière pseudo aléatoire.

Je suis peut-être mal réveillé, mais en gros, il propose de réduire l'entropie dans le fluide et en sortir des watts électriques ?
Du froid et de l'électricité, tel le beurre et l'argent du beurre ?

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Primo comme souligné par @g4lly il faut une source chaude.

A date, on sait très mal exploiter les faibles écarts de température dans nos machines.

Et donc on a souvent "en fin de process" de grandes quantité de matière, faiblement échauffées, et dont on ne fait rien. Le rendement est trop mauvais, et les installations trop couteuses. On fout des dissipateurs thermique partout, et on balance de l’énergie à la poubelle en pagaille.

Si cette "découverte" permettait de faire progresser cette "zone" ça serait très intéressant.

 

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  • 1 month later...

J'ai tenté de regarder mais c'est absolument ignoble. Ils mettent une plombe à rentrer dans le sujet, c'est écolo septique, ça cherche à faire du buzz surtout j'ai l'impression. Holala les vilains industriels avec leur vilain pognon

Et ça raconte un peu n'importe quoi

 

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Il y a 3 heures, clem200 a dit :

 Ils mettent une plombe à rentrer dans le sujet, c'est écolo septique, ça cherche à faire du buzz surtout j'ai l'impression. Holala les vilains industriels avec leur vilain pognon

Le sujet part de loin, sans doute la tech de l'entonnoir pour attaquer large ( quelqu'un qui serait un peu noob sur le sujet ). C'est pardonnable voir légitime, choisir une cible c'est en perdre les autres.

Je n'ai pas détecté d'erreur monstrueuses, mais j'ai fait du zapping par brêve tranche sur chaque chapitre. C'es un angle de vue, il existe chez certain.

Les biais de mise en avant et d'interprétation sont forcément ceux de la journaliste concernée ( T Ventôse ) dont les fondamentaux idéologiques ( on a tous les nôtres ) oscillent entre la gauche traditionnelle progressiste ( celle qui n'existe plus sauf au musée ) et le RN. Les 2 n'ont jamais aimé ni compris ni l'entreprise, ni l'économie. 

Mais bon, on a vu bien pire sur le sujet, mais j'érigerai pas une statue non plus pour cette vidéo.

 

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Prix de l'électricité : la grande angoisse de l'industrie allemande

Après la suppression par Berlin d'une aide de 5,5 milliards d'euros, les tarifs d'utilisation des réseaux allemands vont doubler l'an prochain. Outre-Rhin, la facture d'électricité des entreprises pourrait grimper jusqu'à près de 20 %.

Les entreprises allemandes vont encore voir leur facture d'électricité bondir en 2024. A la suite d'un arrêt de la Cour constitutionnelle allemande remettant en question le recours à des fonds spéciaux extrabudgétaires, le gouvernement allemand a dû passer son projet de budget 2024 à la paille de fer .

Il a fallu trouver de nouvelles recettes et réduire la voilure sur les aides, afin de limiter le déficit budgétaire annuel à 0,35 % du produit intérieur brut, comme l'impose la règle allemande du « frein à l'endettement ».

Parmi les mesures prises, la suppression d'une subvention de 5,5 milliards d'euros qui permettait de stabiliser le coût d'utilisation des réseaux de transport de l'électricité.

Un tarif qui double

Bilan des courses ? Le tarif d'utilisation des réseaux électriques va doubler au 1er janvier 2024 pour passer en moyenne de 3,12 centimes par kilowattheure actuellement, à 6,43 centimes du kilowattheure, ont annoncé les quatre gestionnaires des réseaux électriques allemands (50Hertz, Amprion, TenneT et TransnetBW).

Structurellement, cette hausse est liée aux milliards investis dans la construction de nouvelles infrastructures électriques permettant de relier les champs d'éoliennes du nord de l'Allemagne aux usines du sud.

Elle résulte aussi du coût élevé de l'équilibrage du réseau. Pour adapter constamment le niveau de production à la demande d'électricité, les gestionnaires de réseaux ont recours à des centrales au gaz alors que le prix du combustible reste élevé. Jusqu'à présent, l'Etat fédéral allemand intervenait afin d'éviter que les factures ne flambent trop. En 2024, ce sera moins le cas.

« Un niveau déjà très élevé »

« L'économie dans son ensemble risque ainsi de voir les prix de l'électricité augmenter sensiblement en fin d'année - et ce à partir d'un niveau déjà très élevé », a alerté le président de la Chambre de commerce et d'industrie allemande, Peter Adrian.

Dans le détail, l'organisation a calculé que, pour une ETI allemande, consommant environ 10 gigawattheures (GWh) d'électricité par an, la facture allait augmenter de 9 % à 17 %, selon qu'elle ait accès ou pas au mécanisme de compensation des pics de prix de l'électricité mis en place par le gouvernement allemand.

La hausse aurait été encore plus forte sans la baisse massive de la TVA sur l'électricité annoncée début novembre par la coalition. En 2024, celle-ci va passer de 1,537 centime par kilowattheure (kWh) à 0,05 centime par kWh pour toutes les entreprises industrielles. Soit le minimum accepté par la législation européenne.

Quid du secteur des services ? Pour une entreprise commerciale, consommant de l'ordre de 3 GWh d'électricité par an, la hausse sera de l'ordre de 15 % par an, selon la Chambre allemande du commerce et d'industrie.

Des conséquences sur la compétitivité

Outre-Rhin, cette nouvelle hausse des prix de l'électricité risque d'accentuer une situation déjà difficile pour les industriels.

Pour des entreprises consommant plus de 150 GWh d'électricité par an, les prix du kilowattheure s'élevaient, selon Eurostat, à 15,89 centimes en Allemagne, impôts inclus, au premier semestre 2023, contre 8,88 centimes en France et 10,22 centimes en Espagne.

« Les coûts de l'énergie, déjà élevés en Allemagne, vont encore augmenter et cela aura un impact négatif sur la compétitivité des entreprises allemandes à l'international », a averti Siegfried Russwurm, le président du patronat allemand.

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Il y a 3 heures, Picdelamirand-oil a dit :

Prix de l'électricité : la grande angoisse de l'industrie allemande

Après la suppression par Berlin d'une aide de 5,5 milliards d'euros, les tarifs d'utilisation des réseaux allemands vont doubler l'an prochain. Outre-Rhin, la facture d'électricité des entreprises pourrait grimper jusqu'à près de 20 %.

Les entreprises allemandes vont encore voir leur facture d'électricité bondir en 2024. A la suite d'un arrêt de la Cour constitutionnelle allemande remettant en question le recours à des fonds spéciaux extrabudgétaires, le gouvernement allemand a dû passer son projet de budget 2024 à la paille de fer .

Il a fallu trouver de nouvelles recettes et réduire la voilure sur les aides, afin de limiter le déficit budgétaire annuel à 0,35 % du produit intérieur brut, comme l'impose la règle allemande du « frein à l'endettement ».

Parmi les mesures prises, la suppression d'une subvention de 5,5 milliards d'euros qui permettait de stabiliser le coût d'utilisation des réseaux de transport de l'électricité.

Un tarif qui double

Bilan des courses ? Le tarif d'utilisation des réseaux électriques va doubler au 1er janvier 2024 pour passer en moyenne de 3,12 centimes par kilowattheure actuellement, à 6,43 centimes du kilowattheure, ont annoncé les quatre gestionnaires des réseaux électriques allemands (50Hertz, Amprion, TenneT et TransnetBW).

Structurellement, cette hausse est liée aux milliards investis dans la construction de nouvelles infrastructures électriques permettant de relier les champs d'éoliennes du nord de l'Allemagne aux usines du sud.

Elle résulte aussi du coût élevé de l'équilibrage du réseau. Pour adapter constamment le niveau de production à la demande d'électricité, les gestionnaires de réseaux ont recours à des centrales au gaz alors que le prix du combustible reste élevé. Jusqu'à présent, l'Etat fédéral allemand intervenait afin d'éviter que les factures ne flambent trop. En 2024, ce sera moins le cas.

« Un niveau déjà très élevé »

« L'économie dans son ensemble risque ainsi de voir les prix de l'électricité augmenter sensiblement en fin d'année - et ce à partir d'un niveau déjà très élevé », a alerté le président de la Chambre de commerce et d'industrie allemande, Peter Adrian.

Dans le détail, l'organisation a calculé que, pour une ETI allemande, consommant environ 10 gigawattheures (GWh) d'électricité par an, la facture allait augmenter de 9 % à 17 %, selon qu'elle ait accès ou pas au mécanisme de compensation des pics de prix de l'électricité mis en place par le gouvernement allemand.

La hausse aurait été encore plus forte sans la baisse massive de la TVA sur l'électricité annoncée début novembre par la coalition. En 2024, celle-ci va passer de 1,537 centime par kilowattheure (kWh) à 0,05 centime par kWh pour toutes les entreprises industrielles. Soit le minimum accepté par la législation européenne.

Quid du secteur des services ? Pour une entreprise commerciale, consommant de l'ordre de 3 GWh d'électricité par an, la hausse sera de l'ordre de 15 % par an, selon la Chambre allemande du commerce et d'industrie.

Des conséquences sur la compétitivité

Outre-Rhin, cette nouvelle hausse des prix de l'électricité risque d'accentuer une situation déjà difficile pour les industriels.

Pour des entreprises consommant plus de 150 GWh d'électricité par an, les prix du kilowattheure s'élevaient, selon Eurostat, à 15,89 centimes en Allemagne, impôts inclus, au premier semestre 2023, contre 8,88 centimes en France et 10,22 centimes en Espagne.

« Les coûts de l'énergie, déjà élevés en Allemagne, vont encore augmenter et cela aura un impact négatif sur la compétitivité des entreprises allemandes à l'international », a averti Siegfried Russwurm, le président du patronat allemand.

Et donc c'est pour ça qu'au lieu d'avoir saisi les mains tendues par la France depuis des décennies maintenant, ils font tout pour tuer notre nucléaire car ça nous "donne un avantage"?

...:mellow:

Voici un petit conseil de vie: quand vous êtes dans la même pièce qu'un suicidaire qui ne veut pas mourir seul, FUYEZ.

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Il y a 6 heures, g4lly a dit :

Ils ne pouvaient pas saisir la main des francais ... parce que nous sommes techniquement en concurrence frontale, une forme de guerre interne si tu veux, pour la domination de l'Union.

Encore cette antienne?
Comment se traduisent concrètement, économiquement, politiquement, les désirs de "domination française"?
J'ai au contraire le sentiment que la France a essayé de tendre la main à tout le monde.

Il y a 6 heures, g4lly a dit :

L'enjeu a toujours été la domination ou la non domination dans l'Union, le borgne au royaume des aveugle. Dans ce cadre on ne tend pas la main à ses concurrent dans le game !!!

En quoi la France a-t-elle essayé de dominer l'Allemagne? Elle s'est au contraire enchaînée volontairement à l'Allemagne par désir de réconciliation et de représenter un pôle en Europe, ce qui a été perçu comme un comportement trop collant outre-Rhin. Le "couple franco-allemand" étant une idée très française qui ne saurait exister, surtout économiquement, du côté allemand, au vu du fait que si l'Allemagne est le premier partenaire économique de la France, la France n'est pas le premier partenaire économique de l'Allemagne.

Il y a 6 heures, g4lly a dit :

Il faut comprendre que ce qui gouverne les états de l'Union - et presque autant l’exécutif de l'Union elle même - c'est avant tout la peur d'émergence d'un hégémone interne à l'Union ...

Même si la France avait des visées hégémoniques elle serait incapable de mettre en place cette hégémonie autrement que rhétoriquement. Et tout le monde le sait.

La réalité c'est que bon an mal an la France a voulu coopérer en Europe car elle s'est depuis des décennies mis en tête qu'elle serait contestée chez elle si elle ne réussissait pas à rassembler autour d'elle. À mon avis rien n'est plus faux, et c'est le pli qui semble avoir été tout récemment pris par plusieurs acteurs économiques et industriels.

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Le 15/12/2023 à 23:10, Bechar06 a dit :

A priori parier sur l'hydro électricité n'est pas en bon pari pour le futur (vidéo à la suite hautement géopolitique).

Une leçon magistrale d'Emma Haziza destinée à nos chers industriels

 

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Le 17/12/2023 à 01:47, g4lly a dit :

Ils ne pouvaient pas saisir la main des français ... parce que nous sommes techniquement en concurrence frontale, une forme de guerre interne si tu veux, pour la domination de l'Union.

C’est complétement faux depuis le début des années 2000, la France de Chirac en accord avec l’Allemagne a lâché l’industriel pour faire dans le service. Depuis l’Allemagne s’en mis a faire de l’agricole et a prit le cote politique et militaire normalement dévolue a la France par la version originale du traité de l’Élysée. 
Enfin regarde autour de toi de pause la question aux polonais, espagnols et autre grecs, qui domine l’Europe ? C’est pas la France ?

Si l’Allemagne est allée vers l’URSS, c’est pour avoir du gaz pas cher puis vers la Russie c’était pour affaiblir encore un plus de la France. Toujours avec cet argument bidon que les échanges éco favorisent la paix et la démocratie. 

Modifié par collectionneur
Orhographe. Argument, pas argent.
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Il y a 5 heures, Patrick a dit :

Encore cette antienne?
Comment se traduisent concrètement, économiquement, politiquement, les désirs de "domination française"?
J'ai au contraire le sentiment que la France a essayé de tendre la main à tout le monde.

Tendre la main pour une Europe a la francaise... C'est ca la domination.

De la meme maniere que l'Allemagne impose une Europe a l'allemande.

Accessoirement les craintes sont beaucoup entretenu par les discours notament de la France...

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Il y a 6 heures, g4lly a dit :

Tendre la main pour une Europe a la francaise... C'est ca la domination.

De la meme maniere que l'Allemagne impose une Europe a l'allemande.

Accessoirement les craintes sont beaucoup entretenu par les discours notament de la France...

Et si la France ne dit plus rien, ne s'investit plus, part de son côté, on dira qu'elle n'en fait pas assez, qu'elle est anti-européenne, qu'elle ne soutient pas l'OTAN, etc etc.

"Pile je gagne, face tu perds". C'est génial. :laugh:

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Il y a 11 heures, wagdoox a dit :

Si l’allemagne est allée vers l’urss, c’est pour avoir du gaz pas cher puis vers la russie c’etait pour affaiblir encore un plus de la france. Toujours avec cet argent bidon que les échanges eco favorisent la paix et la démocratie. 

Parce que l'URSS ne livrait pas de gaz à la France ?!!!!!!!!!! :bloblaugh::chirolp_iei:Même au plus fort de la guerre froide le business du gaz à toujours très bien fonctionné.

Évidement ça a été encore mieux lorsque l'Allemagne a décidé sa transition ... l'énergie de transition choisie étant alors le gaz russe.

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