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Guerre civile en Syrie


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Même un Yak-130 paraît surdimensionné pour faire du COIN. Ils n'ont pas besoin de grand chose sur place : des snipers, des BMP et des chars.

Apparemment des blindés et de l'artillerie légère auraient été saisis par les rebelles.

Un HIND c'est parfait pour traiter du rebelle dans le maquis, du YAK c'est peut être mieux pour impressionner la populace hésitante.

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Des rumeures veulent que certains soient dispo de suite... car prévus pour la Lybie à l'origine

Zut, s'ils avaient été livrés, on aurait pu tester le mica dessus .....

Personne ne pense qu'une petite frappe avec missiles de croisière pourrait refroidir les ardeurs de Bashar?

Genre: ses palais et le ministère de la défense... Pas besoin de démolir l'armée syrienne (ce qui ne serait pas une partie de plaisir), simplement pour lui faire chier dans son froque et l'obliger à négocier avec la population.

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Faire sauter le palais de Bachar pour lui faire peur ?

Vaut mieux rester dans l'ombre et lui planter un couteau dans les omoplates via un soutien à l'opposition plutôt que de gifler Bachar en pleine lumière ! 

Faut faire gaffe avec une bête blessée : soit tu le dézingue proprement soit tu t'en tiens éloignée. Il a probablement une douzaine de palais et ça va pas faire peur à un type qui zigouille une centaine de ses concitoyens tous les matins. Il risque juste de nous chier une pendule et de lancer des représailles en fédérant la population contre l'ingérence occidentale anti-musulmane.

En plus, l'ONU, la Russie et la Chine nous ferait les gros yeux.

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On va finir par supplier les israeliens de proceder a des frappes sur l'Iran, qu'on en profite pour ebavurer sur la Syrie. Ce serait "fun" de voir comment les russes et les chinois, qui ont du mal a se piffrer, se coaliseraient alors pour contrer le support des pays de l'OTAN a Israel, a l'ONU puis sans doute sur le terrain.

Une belle entree en matiere pour se faire une petite guerre mondiale des familles  O0

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Kadhaffi n'avait pas le soutient ni des russes ni des chinois, et il en emmerdait suffisamment plus d'un pour qu'on se contente des oooh et aaah de consternation des non participants ou autres supposes opposants.

Bachar et surtout son paternel avant lui a su preparer ses appuis, pour bien s'assurer qu'aucun processus de paix ou de conflit dans cette region particuliere ne soit faisable ou profitable sans lui. Il est bien entoure et il le sait.

Naaan, j'vous le dit, on va finir par supplier les israeliens  :lol:

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wopopop, on va pas partir sur la theorie du complot, meme la Turquie qui revait de s'eriger en mediateur entre le proche orient et l'occident, n'est pas en mesure de faire quoique ce soit pour calmer les ardeurs de Bachar. Par contre, effectivement, ca briserait ce genre de position si la Turquie servait de base pour ce genre d'action.

Enfin la, faut pas rever, on paie deja assez cher le deploiement prolonge du CdG au large de la Lybie, et si on y va en grande pompe, c'est pas en une seule mission qu'on reglera le probleme...

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=) ça me fait sourir car plusieurs ici tenaient exactement le meme discours avant l'intervention en Libye

C'est pas le même gibier .... la Libye c'était de la rigolade (pour nous), un coup de pub pour le Rafalou.

La Syrie, faudrait une sacrée coalition pour détruire son armée sans y laisser trop de plumes.

Et puis surtout, ya plus de tunes et la guerre ça coute cher.

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Elle ne fera peut être rien avec ses vieux avions c'est clair, dans un milieu brouillé intensivement ils auront beaucoup de mal, mais le bénéfice du doute existe dans leur cas, pas comme en Libye ou les seuls chasseurs opérationnels s'étaient barré à Malte et que tout leur batteries de SAM étaient HS depuis le début des années 2000

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De toute manière ce n'est pas une supériorité aérienne qui gagnera la campagne à elle seule face à un pays disposant d'une armée un minimum sérieuse (contrairement à khadafi qui avait tout juste de quoi mater un révolte populaire) - ce qui est le cas de la Syrie -, avant même de considérer l'impact des SAM.

Qui plus est la région est sensible et tout le monde craint les conséquences de l'effondrement de la Syrie qui sera inéluctable vu le caractère inter-ethnique que prend le conflit. L'Etat syrien n'y survivrait surement pas, comme l'Etat lybien - quant à espérer voir appaitre une démocratie  :lol:.

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LE CAIRE (Reuters) - La Ligue arabe a annoncé samedi par un communiqué qu'elle suspendait "avec effet immédiat" sa mission d'observateurs en Syrie en raison de l'escalade des violences dans ce pays.

"Il a été décidé d'interrompre avec effet immédiat les travaux de la mission de la Ligue arabe en Syrie, en l'attente de l'exposé de la situation devant le conseil de la Ligue", a déclaré le secrétaire général de l'organisation, Nabil Elarabi, dans le communiqué.

Le chef de la mission d'observation de la Ligue arabe en Syrie, le général soudanais Mohammed Ahmed Moustapha al-Dabi, avait déclaré vendredi que les violences avaient augmenté «de manière importante» depuis mardi, faisant au moins 193 morts, dont 137 civils, en particulier à Homs et Hama et à Idleb.

Samedi matin, sept soldats, dont un officier, ont été tués près de Damas dans une attaque menée contre un bus de l'armée par un «groupe terroriste armé», a rapporté l'agence officielle Sana. Dans le centre du pays, des affrontements entre l'armée et des déserteurs ont fait également huit morts: cinq militaires tués à Houla et trois déserteurs morts à Rastane.

Paris, Londres, Berlin et plusieurs pays arabes ont présenté au Conseil de sécurité de l'ONU un projet de résolution qui reprend les grandes lignes du plan de la Ligue arabe, qui prévoit un transfert du pouvoir du président syrien Bachar Al-Assad à son vice-président.

(Reuters)

Les observateurs de la Ligue Arabe déployés pour surveiller l'application d'un plan de sortie de crise prévoyant l'arrêt des violences, la libération des détenus, le retrait des chars des villes et la libre circulation des médias étrangers avant l'ouverture de négociations ne peuvent que reconnaître qu'aucune de ces clauses n'a été mise en oeuvre par Damas.  >:(

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"Il est 16 h 30, un massacre a eu lieu à Nasihine..."

"A 16 h 30, Abou Bilal, un opposant syrien me fait part de l'appel téléphonique qu'il vient de recevoir : un massacre a eu lieu dans le quartier de Nasihine. On parle de 12 personnes dont plusieurs enfants exécutés dans leur maison. Je viens tout juste de rentrer après une journée éprouvante dans une petite structure médicale de fortune installée dans un quartier contrôlé par l'opposition, débordée par l'afflux de blessés graves et de morts, tous civils, victimes des snipers loyalistes et de bombardements. Une heure et demi après la nouvelle du massacre, à 18 heures, une première vidéo est mise en ligne sur YouTube qui montre les corps de la famille assassinée.

Des tirs de snipers ne cessent de claquer dans les alentours. On entend des tirs nourris de mitrailleuses, ainsi que plusieurs explosions venant des positions des forces du régime. La nuit est tombée et plusieurs groupes de soldats de l'Armée libre de Syrie (ALS) partent dans des véhicules banalisés pour contre-attaquer. Le groupe des opposants chargés de l'information sont rivés à leurs ordinateurs pour transmettre tous les documents récoltés dans la journée.

Il est 19 heures lorsque j'aperçois un responsable de l'ALS, Abou Layl. Il propose de me conduire au centre de santé où ont été transportées les victimes du massacre. Quatre opposants, dont trois soldats de l'ALS, se joignent à nous. Nous grimpons à bord d'une voiture qui parcourt à grande vitesse des ruelles obscures. Nous éteignons tous les feux du véhicule dès que nous nous approchons d'un barrage tenu par les forces loyalistes. J'apostrophe un soldat qui continue de consulter l'écran lumineux de son portable. Aucune lumière ne doit nous trahir. Un des soldats à l'avant de la voiture masque de sa main la montre lumineuse du tableau de bord tandis que nous traversons une première avenue dangereuse : l'avenue Wadi, rebaptisée "Charia Al-Maout", "avenue de la mort". Plié en deux sur mon siège, j'entends les prières psalmodiées par mon voisin de gauche. A peine arrivé de l'autre côté de l'avenue, on entend le claquement d'une balle qui nous était destinée.

Le conducteur rallume les codes et poursuit sa route en zigzaguant dans les ruelles. Quelques centaines de mètres plus loin, on éteint à nouveau tous les feux. Abou Layl demande au conducteur de ralentir car dans le noir complet, nous risquons l'accident. Nous empruntons une nouvelle avenue dangereuse, puis nous bifurquons. Obscurité, lumière, à droite, à gauche, tout droit, nous arrivons enfin au centre de santé de Karam Al-Zaitoun. Là, dans la cour, une foule entoure les cadavres de la famille suppliciée : cinq corps d'enfants en bas âge sont alignés entre le cadavre de leur père et celui de cinq femmes de la famille. Une petite fille a la moitié du crâne emportée, vraisemblablement par un tir à bout portant. Un petit garçon a aussi pris une balle derrière la tête et la balle est sortie par l'orbite gauche. Un infirmier desserre les linceuls de trois enfants pour me montrer leurs gorges tranchées. Je photographie les corps.

>> Voir le portfolio : Après la tuerie au centre de santé de Karam Al-Zaitoun

J'entre ensuite dans la salle des soins et on me conduit auprès des deux seuls enfants qui ont survécu au massacre. Ali, trois ans, tremble et gémit d'effroi. Ghazal, une petite fille de quatre mois, cesse de pleurer quand on l'embrasse. Elle a survécu avec une balle dans la jambe.

Un voisin du bâtiment où vivait la famille, un homme âgé d'une soixantaine d'années, raconte. Lorsque les habitants de ce quartier ont compris qu'un massacre était en cours dans la rue Al-Ansar. Trois d'entre eux, dont le narrateur, ont décidé de rejoindre la maison visée en perçant des trous dans les murs des maisons contiguës. Il assure avoir pu voir, à travers des ouvertures pratiquées dans les murs, le massacre des enfants. Il déclare que les assaillants étaient sept hommes en uniforme militaire, appartenant aux forces loyalistes. Il affirme enfin que ces hommes ont pu quitter les lieux couverts par des tirs nourris provenant de positions de l'armée avant de monter dans un véhicule blindé et de disparaître.

Les onze personnes tuées appartenaient à la famille Bahadour, installée dans deux appartements voisins. Deux autres membres de cette famille ont échappé au massacre car ils étaient absents au moment du drame. La rue Al-Ansar, théâtre de la tuerie, est un lieu où cohabite une population mixte d'alaouites - une dissidence du chiisme dont est issue la famille du président Bachar Al-Assad - et de sunnites. Les alaouites sont majoritaires et la zone, tenue par les barrages du régime, se trouve à proximité du quartier Zahra, peuplé d'alaouites, acquis au régime. Le sexagénaire assure que des menaces ont été proférées contre les sunnites de la rue pour qu'ils quittent les lieux, et qu'ils sont pris pour cible aux barrages pour les terroriser et provoquer leur exode.

Sur le chemin du retour, nous avons failli percuter une voiture dans un virage alors que nous circulions à nouveau tous feux éteints. Enfin, au passage de la dernière avenue contrôlée par les forces loyalistes, un tireur embusqué a tiré une dernière fois sur notre véhicule."

Mani

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2012/01/28/il-est-16-h-30-un-massacre-a-eu-lieu-a-nasihine_1635842_3218.html#ens_id=1481132

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ça tire de partout, y compris à Damas et des iraniens ont été capturés par l'Armée Libre Syrienne.

AMMAN (Reuters) - Les forces de sécurité syriennes ont tué au moins 33 personnes ces derniers jours à Rankous, ville située à proximité du Liban, lors d'un raid visant les insurgés et les déserteurs, rapportent dimanche des groupes d'opposant et des habitants.

Rankous, ville de 25.000 personnes se trouvant dans la montagne à 30 km de Damas, est pilonné depuis mercredi par des chars. Le siège est mené par plusieurs milliers de soldats appartenant à la 4e division, sous le commandement du frère de Bachar al Assad, Maher, selon les mêmes sources.

A Damas, les forces de sécurité syriennes ont tué au moins cinq civils dimanche lors d'une attaque pour reprendre le contrôle de faubourgs de Damas passés sous le contrôle des insurgés, rapporte dimanche des groupes d'opposant.

Environ 2.000 soldats dans des bus et une cinquantaine de chars et des véhicules blindés se sont dirigés dimanche à l'aube vers la zone de Ghouta, dans l'est. Ces mouvements semblent destinés à apporter du renfort aux troupes déjà présentes autour de Sakba, Hammouria et Kfar Batna.

Samedi, les forces de sécurité syriennes ont tué au moins 12 personnes et en ont blessé 30 autres dans les bombardements de faubourgs de Damas.

Vendredi, dans un communiqué, la brigade Al-Farouk de l'Armée libre syrienne affirmait détenir sept Iraniens, cinq militaires et deux civils. "Leur tenue d'éboueur avait attiré l'attention des combattants -les poubelles ne sont plus ramassées à Homs. Au moment du contrôle d'identité qui a dévoilé leur nationalité iranienne, ils ont affirmé travailler pour une centrale électrique située à une quinzaine de kilomètres. Autre élément troublant : ils se trouvaient à proximité d'une tour utilsée par les snipers. L'armée syrienne libre les soupçonne d'être des tireurs d'élite envoyés par Téhéran pour prêter main forte à Bachar el-Assad."

L'ALS posait deux conditions à la libération de ces hommes semblant fatigués et abattus : l'arrêt des opérations de l'armée syrienne à Homs et la libération du lieutenant-colonel Hussein Harmouche, qui avait été le premier officier supérieur syrien à faire défection en Turquie, l'été dernier; Harmouche avait ensuite disparu, probablement enlevé, avant de reparaître à la télévision publique syrienne pour exprimer des regrets, et l'on est depuis sans nouvelles de lui.

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(Reuters) Damas : des combats violents se poursuivent dans les faubourgs de la capitale.

L'armée syrienne a déployé dimanche environ 2.000 militaires en renfort et entrepris de reprendre des faubourgs de l'est de Damas tombés aux mains des insurgés, faisant 19 morts, selon des opposants.

Cette initiative illustre la poursuite des violences invoquée samedi par la Ligue arabe pour justifier la suspension de sa mission d'observation. Le secrétaire général de cette organisation, Nabil Elarabi, s'est envolé dimanche vers le siège des Nations unies à New York pour y inciter le Conseil de sécurité à soutenir son projet de "transition" pour la Syrie, prévoyant la mise à l'écart de Bachar al Assad.

Les militaires envoyés en renfort dans le secteur de Ghouta, une banlieue à la périphérie orientale de Damas, sont arrivés à l'aube à bord de convois d'autocars et de véhicules de transport de troupes, accompagnés d'au moins 50 chars et autres blindés, ont rapporté des activistes. Ils viennent appuyer les troupes engagées dans les faubourgs de Sakba, Hammouriya et Kfar Batna, situés à quelques kilomètres seulement du centre de la capitale.

Des blindés ont pénétré jusqu'au coeur de Sakba et de Kfar Batna, ont dit ces opposants.

"C'est une guerre urbaine. Il y a des cadavres dans les rues", a dit un activiste de Kfar Batna.

Un autre militant a affirmé que Sakba était soumis à d'intenses bombardements mais que l'armée se heurtait à une résistance acharnée de la part des rebelles.

"Les mosquées transformées en hôpitaux de fortune réclament du sang. Ils ont coupé l'électricité. Les stations-service sont vides et l'armée empêche les habitants de partir pour aller chercher du carburant pour les générateurs et pour faire fonctionner le chauffage", a dit Raïd, un activiste de Sakba, interrogé brièvement par téléphone satellitaire.

Trente-et-un soldats et membres de forces de sécurité ont également trouvé la mort principalement lors de deux attaques de déserteurs dans la province d'Idlib dans le nord de la Syrie.

L'agence officielle de presse Sana a fait état des funérailles militaires de 28 soldats et policiers samedi et de 23 autres dimanche.

L'Onu estime que la répression a fait plus de 5.000 morts depuis mars. Ce bilan date de décembre et l'Onu dit ne plus être en mesure de l'actualiser.

Le mouvement de contestation contre Bachar al Assad se transforme progressivement en une insurrection armée alimentée par un nombre croissant de déserteurs, menaçant de faire basculer dans la guerre civile ce pays de 23 millions d'habitants situé au coeur du Moyen-Orient.

Pas besoin d'intervenir, le pays sombre dans la guerre civile, l'insurrection progresse partout y compris dans la capitale !  :O

je me demande à partir de quel moment la Russie et la Chine vont comprendre que continuer à soutenir Bachar est contraire à leurs intérêts... 

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Pour le moment, Bachar tient encore le pays : l'armée reste derrière lui en masse et il a le monopôle des moyens lourds

Pour que ça tourne, il faudrait que l'armée se désintègre ( ce qui est arrivée aux forces armées libyennes avant même l'intervention de l'OTAN )

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me demande à partir de quel moment la Russie et la Chine vont comprendre que continuer à soutenir Bachar est contraire à leurs intérêts... 

Tu crois savoir et comprendre mieux qu'eux la situation, évaluer mieux qu'eux leur intérêt ;)? T'inquiètes pas pour eux, ils sont bien mieux rôdés que n'importe qui sur le forum pour voir leurs intérêts et les défendre. Surtout que leurs intérêts en Syrie ne sont pas immenses, le pays n'étant pas pétrolier, et les risques concrets qu'ils courrent à voir le pays sombrer ou leur soutien contre-productif (si c'était le cas) sont réellement minimes. Ils doivent déjà évaluer avant tout les répercussions sur tout le MO de cette situation, et de là l'impact de leur posture sur ces scénaris d'évolution potentiels. C'est un jeu beaucoup plus complexe que leurs rapports à la seule Syrie.

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