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En tout cas si Marine Le Pen atteint le second tour, là je vais me marrer ! :lol: Un parti qui n'a pas un reprèsentant à l'Assemblée Nationale met la honte à un des deux parti majeur du pays ...  Sur ce coup là, faut vraiment qu'une certaine partie de électorat est une soudaine envie de foutre le désordre dans ces élections qui s'annonce fade et sans suspense.  :lol:

J'imagine déjà les lamentations et les discours lénifiant de nos média/parti pour lutter contre cette infamie, c'est dans ce genre de situation qu'on voit que nos politique n'apprennent rien de leurs erreur. (notamment celui de 2002)

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En tout cas si Marine Le Pen atteint le second tour, là je vais me marrer ! :lol: Un parti qui n'a pas un reprèsentant à l'Assemblée Nationale met la honte à un des deux parti majeur du pays ...  Sur ce coup là, faut vraiment qu'une certaine partie de électorat est une soudaine envie de foutre le désordre dans ces élections qui s'annonce fade et sans suspense.  :lol:

J'imagine déjà les lamentations et les discours lénifiant de nos média/parti pour lutter contre cette infamie, c'est dans ce genre de situation qu'on voit que nos politique n'apprennent rien de leurs erreur. (notamment celui de 2002)

Etonnamant Jean Marie était furieux en 2002. Non seulement il se retrouvé au second tour devant son pire ennemi, en plus il était certain de perdre, et meme s'il avait eu une infime chance de gagner, comme il avait saborder le FN quelques année avant avec la scission Mégret il était incapable de mobiliser un appareil politique pouvant faire ne serait ce qu'illusion. La seul chose qu'espérait Jean Marie c'était un second tour contre Lionel, de maniere a imposer son programme au reste de la droite. Finalement malgré la défaite, il a gagné en imposant a son pire ennemi - la droite pas nationale, pour pas dire cosmopolisante - d'appliquer son programme :) On est presque dans l'art opératif là ... perdre pour imposer son projet. La position de MLP sera sans doute dans la continuité, reconstruire un appareil "natio" crédible et l'imposer a la droite "classique" pour s'implanter durablement dans les représentations citoyennes.

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Etonnamant Jean Marie était furieux en 2002.

Ce n'est pas comme si je voulais qu'il le soit  :lol:

Finalement malgré la défaite, il a gagné en imposant a son pire ennemi - la droite pas nationale, pour pas dire cosmopolisante - d'appliquer son programme  On est presque dans l'art opératif là ... perdre pour imposer son projet. La position de MLP sera sans doute dans la continuité, reconstruire un appareil "natio" crédible et l'imposer a la droite "classique" pour s'implanter durablement dans les représentations citoyennes

Les électeurs auront ceux qu'ils méritent, c'est pas faute d'avoir essayé de faire comprendre au gens que les élections sont des truc sérieux ! Moi en tout cas si cela arrive ça ne privera pas de me tordre de rire en moquant au passage tous ces nuls, incapable de gérer un petit parti ... vous me conseillez quoi chips ou pop-corn ?

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Les électeurs auront ceux qu'ils méritent, c'est pas faute d'avoir essayé de faire comprendre au gens que les élections sont des truc sérieux

Faut quand même dire que la faute est partagée: s'en prendre comme ça au vote protestataire, qui s'exprime soit par le vote extrême, soit par l'abstention, est abusif. Sans assimiler ça complètement à une histoire d'offre et de demande, y'a quand même des choses de cet ordre là-dedans! L'offre politique dite "sérieuse" ne l'est pas beaucoup, et les élections, gagnées ou perdues, tout comme la "base" et encore plus les électeurs fidèles, ont ZERO influence dessus. Si encore les partis dépendaient des contributions des membres, y'aurait moyen de se faire entendre pour eux, et si une sanction électorale forçait au dégagement des directions (via le non cumul -qui fait prendre au sérieux le mandat en cours-, via le mandat unique ou une limite à 2 mandats successifs, via une contrainte d'organisation des partis justifiée par le financement public), ça pourrait déjà être un peu plus sérieux, de même que divers dispositifs de responsabilisation des dirigeants en poste pour un échec, un scandale.... Mais tout est fait pour qu'ils restent en place ad vitam, ne puissent être atteints, puissent se dégager de toute responsabilité.... Avec pour résultat une petite caste fixe qui peut tenir contre vents et marées.

Donc avoir les dirigeants qu'on mérite est une chose, mais ça dépend au moins à moitié de l'offre disponible, et celle-ci n'a aucune contrainte de satisfaction du client, aucun moyen d'être dégagée, tient les instances qui pourraient décider du contraire.... Dans de telles conditions, la seule façon d'avoir l'offre politique qu'on veut est par la voie non démocratique, et même non pacifique (et dans ces circonstances là, on récupère aussi rarement quelque chose de satisfaisant, surtout que personne n'est d'accord, ce qui revient à voir les plus forts s'imposer). Faut-il en arriver là pour "avoir les gouvernants" qu'on mérite?

Si je suis contre le financement privé des partis (celui des entreprises) et pour un système public (le coût de la démocratie en somme) afin d'éviter le type américain de dérive et de confiscation du système de décision politique, le nôtre est aussi profondément vicié; d'abord parce qu'il n'empêche aucunement le financement par des intérêts privés massifs (Mme Bettancourt -pas la harpie médiatique colombienne, l'autre- avait l'honnêteté d'ironiser sur la chose), mais surtout parce que l'argent public qui y est dédié est entièrement aux mains de ceux qui en profitent, sans contrepartie réelle ni examen extérieur (la publication des comptes de campagne est en soi un petit scandale à chaque fois).

Dans ces conditions, comment dire qu'on a le gouvernement qu'on mérite? Seules options pour éviter la valse continuelle de chou vert et blanc bonnet  :P :rolleyes: :lol:: l'abstention (qui ne compte pas), le vote extrême (qui ne mène à rien) ou la violence (qui est la négation de la res publica, amène plus de problèmes qu'autre chose et n'est dans l'intérêt de personne)? Putain, ça c'est du choix!

Donc un peu facile de se retrancher devant ce dicton: pour avoir les "gouvernants qu'on mérite" et à moins d'envisager sérieusement la voie de la violence, encore faut-il qyue offre et demande fassent CHACUNE la moitié du chemin: des électeurs sérieux et responsables d'un côté, mais des partis aussi sérieux et réellement responsables (au plein sens du terme, à commencer par "ayant des comptes à rendre et des responsabilités à assumer"). Pensez que si un truc a disparu des partis, c'est bien leur "R&D", à savoir de vraies ressources destinées à développer une pensée et un programme. Et qui plus est sur lesquels les "bases" puissent influer, ne serait-ce que par un pouvoir de sanction a posteriori.

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Etonnamant Jean Marie était furieux en 2002. Non seulement il se retrouvé au second tour devant son pire ennemi, en plus il était certain de perdre, et meme s'il avait eu une infime chance de gagner, comme il avait saborder le FN quelques année avant avec la scission Mégret il était incapable de mobiliser un appareil politique pouvant faire ne serait ce qu'illusion.

Serte, il ne pensait pas gagner mais si ennervement il y a eu, c'est par l'absence de confrontation. Chirac a tout fait pour l'eviter. On appelle ça la democratie.

[...]La seul chose qu'espérait Jean Marie c'était un second tour contre Lionel, de maniere a imposer son programme au reste de la droite. Finalement malgré la défaite, il a gagné en imposant a son pire ennemi - la droite pas nationale, pour pas dire cosmopolisante - d'appliquer son programme :) On est presque dans l'art opératif là ... perdre pour imposer son projet. La position de MLP sera sans doute dans la continuité, reconstruire un appareil "natio" crédible et l'imposer a la droite "classique" pour s'implanter durablement dans les représentations citoyennes.

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j'ai entendu sur radio courtoisie un ancien membre du FN (je ne me rappelle pas son nom ) qui disait que jean marie lepen  ,ben lorsqu'il gagnait une mairie faisait la gueule car s'était perçu comme des emmerdes (en gros ils avaient pas plus de capacité à géré mieux que les autres ,et sa finirait par se voir ) .

donc au finale s'est qu'un business le FN ,une raison de vivre en disant des choses pour pouvoir exister mais qu'au finale le but n'était pas de prendre le pouvoir ,juste rester patron au FN ...

+1 pour Tancrède .

perso bonjours les possibilités de choix en 2012 ...

à force de voir les mêmes têtes ,ben disons qu'il y a une sorte d'indice de consanguinité idéologique qui s'est installé dans le monde politique et ce dans tous les partis ...

il y a un pays ou se genre de problème (les mêmes têtes dans les même familles ) typique à la France ne pourri pas la vie des citoyens ?

je veux bien débattre et mettre en évidence les problèmes ,mais eux ils sont trop dans la stratégie de campagne ...

un référendum sa ferait mal ,et ils ne le feront jamais ...

tout le monde s'est qu'il y a un problème ,et au lieu d'arrivé avec des éléments pertinent béton ils surfent .

des amateurs installé dans des partis préhistorique ....

vive la France .....

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Faut pas se leurrer sur l’éventuelle profondeur d’un débat sur l’identité, notion importante, mais au combien fuyante et difficile à « identifier »

Rien que le mode négatif dans laquelle il est lancé en dit long sur le but réelle de ces promoteurs : polariser la société. 

On peut le regretter. Un chef d’états –puisque c’est lui qui est derrière- devrait être un rassembleur, en même temps qu’il réaffirme les valeurs d’une nation, rien d’incompatible là dedans ; mais ça reste politiquement cohérent, brillant même !

Après tout, on ne tient pas les électeurs par leurs raisons, pas même par le cœur, mais bien par leurs tripes !

Dans cette perspective, NS, pour ne pas le nommer, fait tout comme il faut et suit le manuel. On doit reconnaître qu’il y quelque chose de « Napoléonien » dans cette homme ; mais cette habilité ne semble servir aucun mobile. C’est en tout cas comme ça que je le sens…

De la politique bassement politicienne, la ruse du prédateur en action, mais il n’y a pas pour moi de raison de s’en offusquer : en a-t-il un jour été autrement. Rien de neuf sous les tropiques, triste tropiques…

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perso bonjours les possibilités de choix en 2012 ...

Remarques, la possibilité d'avoir Royal comme Présidente ne m'emballait pas franchement. Là on aurait probablement pu rigoler... enfin, à condition de ne pas être Français bien sûr.

En 2012, on aura DSK, N. Sarkozy, M. Le Pen et les quelques pignoufs des verts qui vont probablement s'engouffrer sur l'affaire des centrales nucléaires japonaises pour récupérer les votes de quelques inquiets... Ce point n'est pas à négliger. 

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Ce serait pourtant si facile d'introduire le débat sur cette question de façon correcte, quitte à laisser libre champ à toutes les franges (extrêmes compris) après.... Mais évidemment, les journaleux n'évoqueraient que les commentaires les plus extrêmes et caricaturaux.

Il suffit de se poser quelques question vraiment simples:

- il y a une tradition communiste en France, mais aussi d'autres traditions d'extrêmes gauches, y compris non marxistes (c'est un proudhonien partiel qui vous le dit ;)), il y a des traditions protestantes, des traditions juives, BEAUCOUP de traditions catholiques différentes, ainsi qu'un athéisme, voire plusieurs! Sans parler des traditions et héritages culturels identitaires régionaux des "pays" de France, des divers héritages politiques.... Pourquoi laisser les connards habituels dire que tout thème de "l'identité" française correspond à un soi-disant moule unique mythique façon bérêt-baguette-pinard-facho qui n'existe que dans leurs fantasmes? L'identité, ça se situe à un niveau quelques crans au-dessus des divers stéréotypes qui peuvent tous avoir une certaine réalité

- si "est français qui respecte la loi française", à ce moment là même les touristes (enfin la plupart) sont français! Si "est français qui paie ses impôts en France", tous les résidents étrangers sont tout aussi français  :P....

- la loi oblige ceux qui ont plus à partager.... Pourquoi le feraient-ils? Quel intérêt peut même les motiver à rester s'ils n'ont et ne veulent rien avoir de commun avec les autres? Faut bien que quelque chose puisse motiver un peu même les plus égoïstes: c'est pas le bon air et la bouffe qui suffiront

- il y a la "res publica", traduite en partie dans un régime démocratique, une constitution et des lois, qui forme la partie "formelle" et politiquement pratique de l'identité.... Mais est-ce ce qui fait qu'on va adhérer à l'entité France? Si tout pouvait s'écrire sur un papier, ça se saurait. "L'identité" est avant tout de nature culturelle et relationnelle, par essence peu transcriptible à l'écrit: un individu a une âme et un cerveau, il faut voir la république "pratique" comme le cerveau, et l'identité comme l'âme. La loi dit comment la communauté doit se tenir ensemble, mais c'est l'identité qui dira pourquoi on est ensemble.

"Republique" et "identité" sont 2 mots traduisant un même principe (ce qui est commun) s'appliquant à 2 gammes de réalités différentes.

Evidemment, l'identité ne peut avoir de transcription facile; elle est du domaine des sentiments, de l'impression d'appartenir à un ensemble, de ce qui fait qu'un autre citoyen français est censé être perçu comme proche à un degré donné, plus proche que quelqu'un qui ne l'est pas, et pas parce que c'est marqué sur son état civil. Alors évidemment, ça n'est pas QUE fondé sur des choses grandes et belles, et par certains côtés, ça s'assimile au fait d'être fan de l'équipe de foot de sa ville, même si elle joue mal, même si elle perd tout le temps, ou d'une appartenance familiale même si la dite famille est faite de boulets.

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Faut pas se leurrer sur l’éventuelle profondeur d’un débat sur l’identité, notion importante, mais au combien fuyante et difficile à « identifier »

Rien que le mode négatif dans laquelle il est lancé en dit long sur le but réelle de ces promoteurs : polariser la société. 

On peut le regretter. Un chef d’états –puisque c’est lui qui est derrière- devrait être un rassembleur, en même temps qu’il réaffirme les valeurs d’une nation, rien d’incompatible là dedans ; mais ça reste politiquement cohérent, brillant même !

Après tout, on ne tient pas les électeurs par leurs raisons, pas même par le cœur, mais bien par leurs tripes !

Dans cette perspective, NS, pour ne pas le nommer, fait tout comme il faut et suit le manuel. On doit reconnaître qu’il y quelque chose de « Napoléonien » dans cette homme ; mais cette habilité ne semble servir aucun mobile. C’est en tout cas comme ça que je le sens…

De la politique bassement politicienne, la ruse du prédateur en action, mais il n’y a pas pour moi de raison de s’en offusquer : en a-t-il un jour été autrement. Rien de neuf sous les tropiques, triste tropiques…

+1

Remarques, la possibilité d'avoir Royal comme Présidente ne m'emballait pas franchement. Là on aurait probablement pu rigoler... enfin, à condition de ne pas être Français bien sûr.

+1

s'est sûr qu'on aurait eu facilement le droit d'asile politique dans pas mal de pays du monde si elle aurait eu la présidence  :lol: :lol: :lol: :lol:

En 2012, on aura DSK, N. Sarkozy, M. Le Pen et les quelques pignoufs des verts qui vont probablement s'engouffrer sur l'affaire des centrales nucléaires japonaises pour récupérer les votes de quelques inquiets... Ce point n'est pas à négliger.

+1

Ce serait pourtant si facile d'introduire le débat sur cette question de façon correcte, quitte à laisser libre champ à toutes les franges (extrêmes compris) après.... Mais évidemment, les journaleux n'évoqueraient que les commentaires les plus extrêmes et caricaturaux.

Il suffit de se poser quelques question vraiment simples:

- il y a une tradition communiste en France, mais aussi d'autres traditions d'extrêmes gauches, y compris non marxistes (c'est un proudhonien partiel qui vous le dit ;)), il y a des traditions protestantes, des traditions juives, BEAUCOUP de traditions catholiques différentes, ainsi qu'un athéisme, voire plusieurs! Sans parler des traditions et héritages culturels identitaires régionaux des "pays" de France, des divers héritages politiques.... Pourquoi laisser les connards habituels dire que tout thème de "l'identité" française correspond à un soi-disant moule unique mythique façon bérêt-baguette-pinard-facho qui n'existe que dans leurs fantasmes? L'identité, ça se situe à un niveau quelques crans au-dessus des divers stéréotypes qui peuvent tous avoir une certaine réalité

- si "est français qui respecte la loi française", à ce moment là même les touristes (enfin la plupart) sont français! Si "est français qui paie ses impôts en France", tous les résidents étrangers sont tout aussi français  :P....

- la loi oblige ceux qui ont plus à partager.... Pourquoi le feraient-ils? Quel intérêt peut même les motiver à rester s'ils n'ont et ne veulent rien avoir de commun avec les autres? Faut bien que quelque chose puisse motiver un peu même les plus égoïstes: c'est pas le bon air et la bouffe qui suffiront

- il y a la "res publica", traduite en partie dans un régime démocratique, une constitution et des lois, qui forme la partie "formelle" et politiquement pratique de l'identité.... Mais est-ce ce qui fait qu'on va adhérer à l'entité France? Si tout pouvait s'écrire sur un papier, ça se saurait. "L'identité" est avant tout de nature culturelle et relationnelle, par essence peu transcriptible à l'écrit: un individu a une âme et un cerveau, il faut voir la république "pratique" comme le cerveau, et l'identité comme l'âme. La loi dit comment la communauté doit se tenir ensemble, mais c'est l'identité qui dira pourquoi on est ensemble.

"Republique" et "identité" sont 2 mots traduisant un même principe (ce qui est commun) s'appliquant à 2 gammes de réalités différentes.

+1

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Etonnamant Jean Marie était furieux en 2002.

non content d'être furieux, il etait surtout inquiet

parceque il s'est rendu compte à ce moment là  qu'il n'avait aucun apapreil politique pour le suivre sur un quelconque programme gouvernemental viable (qu'il n'avait de toute façon pas)

le FN de nos jours est toujours dans la même situation : personne à l'assemblée donc 0 chances de gouverner correctement (bonjour les chances de faire passer un projet de loi)

personne au sénat

personne au conseil constitutionnel

personne aux médias (bien verouillés par le jeu des chaises musicales initié par notre PR)

à part une base electorale qui vote contre nos politiques plutot que pour le FN (même si le bruit de fond idéologique est montant) y'a rien

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  • 3 months later...

Je place l'info suivante dans ce topic...

Pour la rentrée des classes 2011, l'hymne national devra être obligatoirement enseigné aux élèves de CM1.

(Zigonet). Bien que la loi Fillon sur l'école datant de 2005 stipule que la Marseillaise devrait normalement être maîtrisée en école primaire, ce n'est pas le cas partout. L'hymne national français devra donc être obligatoirement enseigné dès la classe de CM1, relate Le Figaro. Un circulaire pour la rentrée 2011 explique que "l'hymne national est appris et chanté par les enfants à l'école et, chaque fois que possible, lors de manifestations commémoratives", tel que le 11 novembre. Nos petits chanteurs en herbe doivent cette idée au député UMP des Bouches du Rhône, Jérôme Rivière, après les sifflets lors du match de football France-Algérie en 2001.

Afin d'aider les enseignants à apprendre le chant de Rouget de Lisle aux élèves, un "livret partition" est disponible sur le site eduscol.fr de l'Education Nationale. Il comporte bien entendu la partition, mais aussi un petit quizz et un rappel sur l'histoire de l'hymne. Outre cette obligation, il sera aussi imposé aux établissements scolaires d'afficher à la rentrée la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789 dans chaque classe.

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Même si j'ai pas mal milité contre la loi Fillon à l'époque (souvenirs du lycée !) je trouve que c'est plutôt une bonne chose. Perso j'ai dû attendre la coupe du monde 98 pour apprendre l'hymne national (et encore seulement le couplet que tout le monde connaît !) et j'étais déjà au collège en ce temps là.

Bon Tancrède, t'as pensé à commencer à rassembler 500 signatures ? ça fait tellement plaisir de lire des choses intelligentes sur l'identité de ce pays !  :oops:

Je retourne préparer mes fusées pour le 14 juillet ...

Ha non on parle du front :

j'ai entendu sur radio courtoisie un ancien membre du FN (je ne me rappelle pas son nom ) qui disait que jean marie lepen  ,ben lorsqu'il gagnait une mairie faisait la gueule car s'était perçu comme des emmerdes (en gros ils avaient pas plus de capacité à géré mieux que les autres ,et sa finirait par se voir ) .

donc au finale s'est qu'un business le FN ,une raison de vivre en disant des choses pour pouvoir exister mais qu'au finale le but n'était pas de prendre le pouvoir ,juste rester patron au FN ...

Papa Lepen faisait de la politique business, et de fait son activité lui a permis d'amasser un petit magot qui a mis sa famille très à l'abris du besoin. Le FN a été une entreprise rentable pour les Le Pen. Je suis en train de lire un bouquin d'une journaliste du Monde (Caroline Fourest, Marine Lepen chez Grasset) à ce propos qui est plutôt bien foutu sur ce sujet. Extorsions, héritages douteux, confusion entre la caisse du parti et le porte monnaie du patron, "mécènes" généreux (le groupe Auchan notamment).

Cependant la fille a une vraie team, et a commencé a surfé sur la vague contestataire pour implanter des élus dans certains endroits. Le FN est très loin d'avoir une réelle capacité de gouvernement (voir le même bouquin) mais il a un embryon de personnel politique professionnalisé  avec quelques techniciens apparemment "hauts fonctionnaires" à Bercy.

Faut pas non plus négliger certains Villieristes sénateurs plutôt compétents au Sénat, susceptibles de se rapprocher du FN si Le Pen fille reste sur sa ligne. ça reste une hypothèse, ces gens là se détestent mais quand la soupe est bonne ...

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Boarf pour l'hymne je l'ai apprit en CP ou CM1 et je pensais que c'était partout pareil, mais j'imagine que c'est du bon vouloir du professeur en fait.

Je trouve ça pas si mal, après tout connaitre son hymne national ça parait presque normal.

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Bein, c'est la moindre des choses.

Le fait de devoir réimposer cela est inquiétant.

Dire qu'a mon époque on avait des cours d'éducation civique avec dedans la marseillaise, enfin les couplets qu'on chante généralement. D'ailleurs c'était pas bien compliquer a apprendre vu qu'on l'entend souvent si on est spectateur de sport.

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L'identité nationale vaste sujet.

ça revient a se poser la question "qu'est ce qu'etre français" non ?

Bon pour l'état c'est avoir des papiers français, point barre et c'est très bien comme ça. Donc je vois pas ce que l'état est venu foutre dans ce débat à l'époque et d'ailleurs comme c'était prévisible ça a foiré, parce que c'était foireux.

Mais bon pour nous, on sent bien que c'est pas seulement une question de papier. Alors quoi ? bien malin qui saura répondre. Il y a pas déjà eu quelques philosophes/sociologues/ethnologues qui se sont cassés les dents sur la question ?

Moi je vais essayé de contribuer au débat en donnant des idées en vrac.

D'abord un exemple: une fois j'ai reçu a diner chez moi un partenaire Chinois venu direct de Hong Kong. C'tespece de cochon a la fin du repas s'est essuyé les main avec la nappe. Bon ben ça c'est pas français. En Chine c'est normal mais en France non. Et bien voilà, il y a des petits trucs comme ça qui font que t'es français ou pas. Alors il ya des bonnes ames qui viennent m'expliquer "oui mais faut avoir l'espris ouvert, accepter les differences, bla bla bla.."  des clous, en France on s'essuye pas les mains avec la nappe, point barre.

Et ça c'est qu'un exemple pas sérieux mais il y en a quelques un qui le sont beaucoup plus comme la place de la religion, mais dans l'ensemble c'est surtout plein de petits trucs, des manières, des manies, attitudes, dont on est meme pas conscient sauf quand il y en a un qui les enfreint: la on sait que la personne est pas française, quelquesoit ses papier, a contrario, il y en a qu'on reconnait comme français meme si ils n'ont pas les papiers.

Je maintient qu'une petite dose de Xenophobie (pas confondre avec racisme hein ?) est une bonne chose. Comment un gars saurait qu'un truc "se fait pas" si personne l'envoie balader ?

Après pour sur que les choses sont pas figées. Ces manières dont j'ai parlé ci-dessus évoluent. C'est comme le langage. Mais on prend que les trucs bien (on bon: couscous, Makrout Baklava :) ) mais on prend ce qu'on veut et on laisse ce qu'on veut, bref, le gars qui s'essuye les mains avec la nappe faut l'envoyer chier et pas chercher a comprendre, c'est a lui de comprendre, pas a nous.

Enfin une petite reflexion: logiquement, est ce qu'un xénophobe n'est pas le mieux a meme de savoir qu'est ce qu'etre français vu qu'il deteste tout ce qui ne l'est pas ? Je pose la question: est ce qu'un sociologue/ethnologue/philosophe a déjà pensé a demander à un xénophobe quest ce que c'est que d'etre français ?  :lol:

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est ce qu'un xénophobe n'est pas le mieux a meme de savoir qu'est ce qu'etre français vu qu'il deteste tout ce qui ne l'est pas

pas vraiment parceque un xénophobe un vrai fonctionne au pays de Mickey

cad qu'il idéalise sa propre nationalité (par des images d'Epinale, des légendes historiques, des grossissements d'evenements passés) et en même temps diabolise (damn ce mot repris à toutes les sauces par ces c** de politique, tellement que j'hésite à l'utiliser même si ici il a pleinement sa place) l'autre en grossissant un trait et en jouant encore sur les images d'Epinale mais cette fois ci peu flatteuses

Le vrai xénophobe n'est donc jamais dans le vrai parceque trop extreme dans sa manière de voir d'un coté comme de l'autre

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En effet, le xénophobe n'est pas la personne idoine pour savoir ce qui fait français ou non.

Un xénophobe est une personne qui rejette, par la violence s'il le fallait, l'ensemble des caractères non nationaux. Il n'est pas obligatoirement le plus compétent pour "lister" les caractères conformes ou non. Il peut même se tromper ou avoir une xénophobie arrangeante.

De même, un andophobe (si, si cela existe) n'est absolument pas le plus à même pour définir l'universalité.

Pour trouver les indices de ce qui fait que l'on est ou non partie d'une nation, il faut interroger des domaines comparatifs et dynamiques.

Comparatifs car cela permet de distinguer les points d'alterité.

Dynamique car il fait comprendre d'où sont issues ces points d'alterité.

Alors, au-delà de l'étude des humanités comme l'histoire des nations, de la pensée, de l'ethnologie, sociologie....., il peut y avoir un type de personne opportun: les ethnodifferentialistes.

Ils ne sont pas racistes mais considèrent que l'Homme est avant tout enraciner dans sa terre; les Etres ne sont pas interchangeables (c'est l'opposé des mondialistes). Eux sont plus pertinents car ils recherchent les indices de la différence et les expliquent. Un xenophobe, lui, n'en est pas obligatoirement capable. Beaucoup se placent dans la distinction très primitive du pur et impur.

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L'INSEE corrige Guéant  :happy:

http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/06/27/echec-scolaire-et-immigration-la-direction-de-l-insee-corrige-gueant_1541697_823448.html

Le ministre de l'intérieur, Claude Guéant, s'était attiré les foudres du monde éducatif quand il affirmait, le 25 mai sur Europe 1, que "les deux tiers des échecs scolaires, c'est l'échec d'enfants d'immigrés". Il enfonçait le clou peu après à l'Assemblée en assénant : "C'est vrai qu'il y a deux tiers des enfants d'immigrés qui se trouvent sortir de l'appareil scolaire sans diplôme."

Le ministre appuyait ses dires sur les chiffres de l'Insee. Or, les chiffres de l'Insee évoqués par M. Guéant sont faux ; l'Institut national de la statistique (Insee) français les a officiellement corrigés lundi 27 juin.

Dans une communication rare de la part de cet organisme rattaché au ministère de l'économie, l'Insee a tenu à corriger le tir, se référant aux "différents échanges qui ont eu lieu (...) à ce sujet". "La proportion d'enfants d'immigrés parmi les élèves sortis sans qualification de l'enseignement secondaire peut être estimée à environ 16 % pour les enfants de familles immigrées. Si on y ajoute les enfants de familles 'mixtes', cette proportion passe à environ 22 %", lit-on dans un communiqué.

...

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Statistique que chacun lit à sa façon. Évidemment si on ne prend que les immigrés n'ayant pas encore la nationalité française ça fait moins, mais j'imagine que si on incorpore les immigrés devenus français mais encore sous l'influence de leur milieu d'origine, avec les problèmes de langue, de culture etc. on doit retrouver facilement les chiffres de Guéant. A force de nier l'évidence les Français commencent à en avoir marre du politiquement correct (voir le taux d'immigrés dans les prisons par exemple...), surtout que le pb ce ne sont pas les immigrés en général, ce n'est pas non plus une soit-disant xénophobie des Français, comme on voudrait nous le faire croire, mais le pb vient de CERTAINS immigrés, toujours les mêmes, qui posent problème.

Ps: J'ajoute, pour faire bon poids, que je ne suis pas un fan du débat sur l'identité nationale, car aujourd'hui être Français ne veut plus dire grand chose pour moi. Ce pays ne croit plus en rien, n'espère plus rien. Etre français, est-ce être rouspéteur, râleur, dans la posture de la victime qui attend tout de l'Etat "papa", et qui voit toujours le verre à moitié vide, qui gueule pour ses droits et ne voit pas où est son devoir? Si c'est ça be bye, je ne me sens plus Français... ;) Je me sens plus proche des Japonais, de leur dignité et de leur sens du collectif, du devoir, de leur côté "j'assume" mes erreurs, et je ne cherche pas de bouc émissaire pour fuir mes responsabilités. La France est quasiment ingouvernable.  

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Statistique que chacun lit à sa façon. Évidemment si on ne prend que les immigrés n'ayant pas encore la nationalité française ça fait moins, mais j'imagine que si on incorpore les immigrés devenus français mais encore sous l'influence de leur milieu d'origine, avec les problèmes de langue, de culture etc. on doit retrouver facilement les chiffres de Guéant. A force de nier l'évidence les Français commencent à en avoir marre du politiquement correct (voir le taux d'immigrés dans les prisons par exemple...), surtout que le pb ce ne sont pas les immigrés en général, ce n'est pas non plus une soit-disant xénophobie des Français, comme on voudrait nous le faire croire, mais le pb vient de CERTAINS immigrés, toujours les mêmes, qui posent problème.

Ok d'accord les negros sont plus con que les paysans du cantal ... et parlent mieux francais  :happy:

Bon en meme temps si on définit un émigré et tout ce qui n'est pas plus blanc que blanc forcément  :oops:

Je colle la la définition de l'immigré pour comprendre

Selon la définition adoptée par le Haut Conseil à l'Intégration, un immigré est une personne née étrangère à l'étranger et résidant en France. Les personnes nées françaises à l'étranger et vivant en France ne sont donc pas comptabilisées. À l'inverse, certains immigrés ont pu devenir français, les autres restant étrangers. Les populations étrangère et immigrée ne se confondent pas totalement : un immigré n'est pas nécessairement étranger et réciproquement, certains étrangers sont nés en France (essentiellement des mineurs). La qualité d'immigré est permanente : un individu continue à appartenir à la population immigrée même s'il devient français par acquisition. C'est le pays de naissance, et non la nationalité à la naissance, qui définit l'origine géographique d'un immigré.

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