Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

Ukraine II


Messages recommandés

Crimée: un drone américain intercepté (Russie)

 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/14/97001-20140314FILWWW00337-crimee-un-drone-americain-intercepte-russie.php

 

Le groupe public russe d'armements Rostekhnologuiï (Rostec) affirme qu'un drone américain de reconnaissance a été intercepté à haute altitude au-dessus de la Crimée, dans un communiqué diffusé aujourd'hui.

"Le drone volait à environ 4.000 mètres d'altitude et était pratiquement invisible du sol. Il a été possible de rompre la liaison avec ses opérateurs américains grâce à un complexe de lutte radio-électronique Avtobaza", a précisé Rostec.

 

 

 

 

Inhofe: Putting F-22s, Aegis Ships Near Ukraine Would Not Escalate Conflict

 

http://www.defensenews.com/article/20140314/DEFREG02/303140020/Inhofe-Putting-F-22s-Aegis-Ships-Near-Ukraine-Would-Not-Escalate-Conflict

 

Sen. James Inhofe of Oklahoma made clear he thinks US President Barack Obama should increase pressure by sending some of America’s

most-advanced fighter jet, the F-22, to Poland. That’s not so far from Ukraine.

 

He also wants Obama to send some Navy warships equipped with the Aegis combat system, called by many analysts the world’s finest, into the Baltic and Black seas.

 

Modifié par zx
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Intéressant l'Avtobaza c'est le systeme de "brouillage" qui était sensé avoir permis le piratage du drone au dessus de l'Iran. Si ca se confirme les tenants du "tout drone" ont du souci a se faire.

 Et les russes qui cherchaient à combler leur retard sur les technologies des drones, un beau cadeau de l'oncle sam. 

  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

article remis à jour depuis, reste à savoir si c'est exact ou pas. le petit souci est qu'il a un rayon d'action de 260km.

 

"Le drone volait à environ 4.000 mètres d'altitude et était pratiquement invisible du sol. Il a été possible de rompre la liaison avec ses opérateurs américains grâce à un complexe de lutte radio-électronique Avtobaza", a précisé Rostec.

 

 

L'appareil a effectué une descente et "est tombé pratiquement intact entre les mains des forces d'autodéfense" de Crimée, ajoute Rostec, qui indique être le constructeur du système de lutte électronique utilisé, mais ne précise pas qui l'a utilisé. "Le drone MQ-5B faisait partie, à en juger par son numéro d'identification, de la 66e brigade américaine de reconnaissance militaire, basée en Bavière", indique encore Rostec, qui a publié une photo de l'appareil sur son site.

Le communiqué n'était cependant plus disponible en début de soirée.

 

 

Modifié par zx
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Petit rappel salutaire au vu de ce qu'on peut lire sur ce fil de discussion : la Russie est le premier pays européen depuis 1945 à s'emparer par la force, à annexer, une partie du territoire d'un autre état européen. Alors quand je lis par exemple que le danger potentiel serait des réactions excessives des vilains Occidentaux, automatiquement hypocrites et complotistes, guettés par le nationalisme, cela me fait penser à la formule de Mitterand lors de la crise des euromissiles : les pacifistes sont à l'Ouest... les missiles à l'Est.

 

La chaîne Russia Today, porte-voix des intérêts russes

Le Monde.fr |
14.03.2014 à 19h59

Par Tiphaine Le Liboux (Journaliste)

Des plateaux, des bandeaux défilants, des présentateurs et présentatrices, tous jeunes et beaux. Une version en anglais. Russia Today (RT), qui diffuse en quatre langues, a tous les attributs des chaînes d'information en continu à vocation internationale, comme CNN, la BBC ou France 24. A une exception près : son ambition clairement revendiquée est de contrer « l'hégémonie des médias occidentaux » afin de rétablir la vérité sur la Russie, dont l'image serait mise à mal à l'étranger.

« La vérité gênante : cinq choses que les médias dominants ne vous disent pas sur l'Ukraine », voilà le titre d'une des émissions qui a été la plus visionnée sur la chaîne YouTube de Russia Today.
Lors de son lancement en 2005, le président russe Vladimir Poutine lui avait assigné la mission de « casser le monopole des médias anglo-saxons ». Pas moins de 630 millions de téléspectateurs la suivraient à travers le monde, dont 120 millions en Europe. Un peu plus d'1,2 million de personnes y sont abonnées sur YouTube, contre 54 000 pour France 24 et 530 000 pour Al-Jazira.

ENTREPRISE STRATÉGIQUE

En 2013, affirme Olivier Bullough, journaliste pour l'hebdomadaire britannique News Statement et auteur d'une enquête sur la chaîne d'information continue russe, RT a reçu plus de 300 millions d'euros de la part du Kremlin. Une dotation maintenue malgré les coupes budgétaires préconisées par le ministère de l'économie. La chaîne y a échappé, grâce à un décret signé en octobre 2012 par M. Poutine. Elle a acquis le statut d'entreprise stratégique, servant à protéger les intérêts nationaux. Quelque 2 000 personnes, réparties dans vingt et un bureaux à l'étranger, y travaillent aujourd'hui, contre 300 en 2005.

Mais la propagande est cependant subtile, souligne Anne Le Huérou, membre de l'Observatoire de la Russie à Sciences Po Paris. « Russia Today fonctionne par omission, elle sélectionne certains faits et ne présente jamais de contrepoints. Cette forme de propagande est beaucoup plus subtile que celle faite par les médias russes émettant en Russie », souligne la chercheuse, qui rappelle que certains journalistes de Russia Today étaient auparavant membres de médias d'opposition.

Selon elle, « la force de Russia Today jusque-là était aussi de pas être que la voix de son maître. Pour rester crédible, notamment aux yeux de la diaspora, la chaîne ne peut pas apparaître comme un média caricatural. »

DÉMISSION EN DIRECT

Cela n'empêche pas un certain malaise au sein de la rédaction. Le 5 mars, la présentatrice américaine Liz Wahl, basée à Washington, a démissionné en direct. « Je ne peux pas travailler pour une chaîne financée par le gouvernement russe et qui réhabilite les actions de Poutine », a t-elle dit à l'antenne. Un coup d'éclat qui a d'autant plus frappé que, quelques jours plus tôt, une autre présentatrice avait expliqué en préambule de son émission être gênée par la désinformation pratiquée par son employeur dans le traitement de l'invasion russe en Crimée.

Pas si embarrassant pour Russia Today, juge Floriana Fossato, spécialiste des médias russes. « Cela permet à la chaîne de dire qu'elle ne pratique pas la censure. » De son côté, Margarita Simonyan, la rédactrice en chef de Russia Today, a réagi à cette démission sur son blog. Celle qui a commencé sa carrière de journaliste à 18 ans, après un an d'études aux Etats-Unis, a été nommée à la tête de Russia Today à 25 ans. Elle reconnaît sans problème recevoir des fleurs de Vladimir Poutine pour son anniversaire.

Margarita Simonyan dit comprendre la décision de sa présentatrice, qui, en tant qu'américaine, n'avait pas assez de courage pour travailler chez RT.

« Peut-être que certains de nos journalistes se demandent : "Pourquoi devrais-je défendre la Russie, au détriment de ma carrière, de mon avenir, de ma réputation, pourquoi supporterais-je l'humiliation de mes collègues journalistes ?" Peu peuvent répondre : "Parce que je raconte la vérité, et qu'il n'y a personne d'autre pour cela." Ceux qui ne trouvent pas cette réponse s'en vont tranquillement. D'autres vont faire de leur démission un spectacle à l'antenne, dans une tentative d'autopromotion, s'assurant ainsi des perspectives de carrière fantastiques, dont ils n'auraient même pas rêvé auparavant. »

PAS TOUCHE AUX INTÉRÊTS RUSSES

En 2008 déjà, un présentateur démissionnait. A l'époque, la chaîne avait été critiquée pour sa couverture de la guerre opposant la Géorgie à sa province séparatiste d'Ossétie du Sud et à la Russie. « A chaque fois que les intérêts de la Russie sont en jeu, la chaîne révèle sa vraie nature, qui est de servir les intérêts du Kremlin », explique le journaliste anglais Olivier Bullough.

Russia Today a retransmis l'allocution du commandant de la marine ukrainienne, qui prêtait allégeance aux habitants de Crimée, sans préciser qu'il venait d'être révoqué par l'armée du pays. La chaîne a également diffusé une conversation de Catherine Ashton enregistrée à son insu. On y entend la représentante des affaires étrangères de l'Union européenne recevoir des informations sur les liens entre l'opposition et les snipers de Maïdan, qui avaient tiré sur les manifestants anti-Ianoukovitch. L'enregistrement a été authentifié, mais le contenu et les conclusions hâtives qu'en tire Russia Today sont contestés.

En 2008, se souvient Tikhon Dzyadko, rédacteur en chef adjoint de la télévision russe indépendante Dozhd (TV Rain), menacée de fermeture, « Russia Today avait affirmé qu'il y avait eu trois mille morts du côté ossète, alors qu'en fait, cent soixante personnes étaient décédées. Cela avait été rectifié, mais bien plus tard, et le message était déjà dans la tête des gens. »

« La couverture de la guerre d'Ossétie de 2008, c'est une sorte de coup d'essai pour Russia Today. Une sorte de brouillon du manuel de propagande à l'international. Elle l'applique aujourd'hui dans sa couverture de l'invasion russe en Crimée », ajoute de son côté Olivier Bullough.

LARRY KING REPREND DU SERVICE

Avant la guerre d'Ossétie du Sud, Russia Today était peu regardée. La diffusion en intégralité d'un reportage de la chaîne américaine Fox News tourné en Ossétie, coupé au montage, lui permet de justifier son rôle de nécessaire contrepoint aux médias occidentaux. A l'intérieur de ces pays également.

En 2010, Russia Today sera la première à couvrir le mouvement de contestation du capitalisme financier, Occupy Wall Street. RT ne cesse de le rappeler, elle a été nommée aux Emmy Awards pour ça. Dans la liste de ses « trophées », la chaîne a aussi Larry King. A 79 ans, le légendaire présentateur américain, retraité de CNN, a repris du service pour animer « Politicking », une émission hebdomadaire.

La chaîne russe a également ouvert son antenne à Julian Assange. Pour sa première émission en avril 2012, le cofondateur de WikiLeaks a choisi d'interviewer Hassan Nasrallah, le leader du Hezbollah, puis il a enchaîné avec notamment Noam Chomsky ou le militant du Net français Jérémie Zimmermann.

Lire : Julian Assange, recrue de la « télé Poutine »

« La chaîne est devenue un refuge pour ceux qui soutiennent Assange ou le mouvement Occupy Wall Street, ceux qui pensent que les médias de leur pays sont [soumis à des] intérêts financiers, que Diana a été assassinée ou que le 11-Septembre est une invention américaine », explique le journaliste britannique.

DES CONSPIRATIONNISTES A L'ANTENNE

S'y mélangent donc les paroles des « lanceurs d'alerte » et des contempteurs des politiques menées par les Etats-Unis et celles de conspirationnistes notoires, comme Thierry Meyssan ou Webster Tarpley. La chaîne accorde une place démesurée à ceux qui voient des complots de la CIA un peu partout et contestent la version couramment admise des attentats du 11 septembre 2001. Sur l'Ukraine, la chaîne a fait appel à un témoin surprenant l'acteur américain Steve Seagall, qui s'en est pris à la politique de son pays.

En décembre, Vladimir Poutine a dissous l'agence de presse officielle Ria Novosti, dont dépendait la chaîne. L'agence, qui malgré son statut public jouissait d'une réputation d'organe relativement « fiable et mesuré », a été remplacée par un nouveau pôle de médias baptisé Rossia Segodnia. Pour le diriger, Vladimir Poutine a désigné Dmitri Kisselev, un présentateur de télévision connu pour ses positions homophobes et son penchant pour les théories conspirationnistes.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je vais faire court pour éviter trop de HS, mais il semble bien que la lutte contre les sites "subversifs" en Russie ait franchi quelques petits crans supplémentaires, d'après l'Electronic Frontier Foundation.

 

Quand aux drones, deux questions ; on sait les satellites en orbite basse vulnérables à des missiles tirés du sol, comme doivent pouvoir en mettre au point rapidement une dizaines de pays, s'ils ne les ont déjà :

- mais peut-on diriger un Reaper avec un satellite haut-perché, voire en orbite géo-stationnaire, fut-ce au prix de latences ;

- et qui saurait détruire un satellite perché  en orbite plus haute ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Petit rappel salutaire au vu de ce qu'on peut lire sur ce fil de discussion : la Russie est le premier pays européen depuis 1945 à s'emparer par la force, à annexer, une partie du territoire d'un autre état européen. Alors quand je lis par exemple que le danger potentiel serait des réactions excessives des vilains Occidentaux, automatiquement hypocrites et complotistes, guettés par le nationalisme, cela me fait penser à la formule de Mitterand lors de la crise des euromissiles : les pacifistes sont à l'Ouest... les missiles à l'Est.

...

 

 

Et pourquoi juste depuis 1945 ? Juste avant ce n’était pas un certain pays germanique  :happy: ? Ça commence à être lourd ce manichéisme où il y aurait des méchants et des gentils sans contextualiser, sans mettre en perspective l’Histoire. Ça confine au fanatisme et répondre à une ânerie par une ânerie ne la parera pas de vertu. Ça ne fonctionnent pas comme ça :-[ .

 

 

 

Sinon, pour mettre mon grain de sel: http://fr.euronews.com/2014/03/14/la-garde-nationale-nouvelle-force-de-defense-ukrainienne/

 

 

Le parlement ukrainien a voté hier dans l’urgence la création d’une nouvelle force armée, la Garde Nationale. Composée d’anciens personnels militaires mais aussi de volontaires, cette force doit répondre selon le président ukrainien aux tentatives d’annexion de la Crimée par la Russie.

Oleksandr Turchinov :

“En plus des missions de respect de la loi que la Garde nationale a héritées du ministère de l’Intérieur, la Garde nationale aura d’autres missions comme le maintien de l’ordre public et de la sécurité des frontières, et la lutte contre le terrorisme. Enfin, la Garde nationale aura des missions classiques de forces armées”.

 

 

Je ne suis pas sûr d’avoir bien compris…donc, cette « Garde nationale » sera composée d’anciens flics ripoux et de miliciens néonazis à la fois ?......j’ai bon ? O0

 

Et avec ça il n’y aura pas la séparation  classique militaire-police… est-ce qu'il est prévu que cette force moitié milice, moitié armée, rende la justice, histoire de faire des économies de procédure ? J’ai bien compris ? O0 O0

Modifié par Shorr kan
  • Upvote (+1) 4
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si j'ai bien compris, il s'agit avant tout de donner du boulot aux gens qui ont combattu sur Maïdan, et éventuellement de récompenser des membres des groupes de "la droite de la droite" avec des postes et des salaires. Accessoirement, de trouver des personnels qui seront plus enclins à faire le sale boulot "pour le peuple, la démocratie et les haricots" que la police ou l'armée, qui répugnera davantage à aller se faire casser la figure ou rouler dessus par des chars pour le nouveau pouvoir.

 

Pour le drone, j'attends de voir.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le parlement ukrainien a voté hier dans l’urgence la création d’une nouvelle force armée, la Garde Nationale. Composée d’anciens personnels militaires mais aussi de volontaires, cette force doit répondre selon le président ukrainien aux tentatives d’annexion de la Crimée par la Russie.

Oleksandr Turchinov :

“En plus des missions de respect de la loi que la Garde nationale a héritées du ministère de l’Intérieur, la Garde nationale aura d’autres missions comme le maintien de l’ordre public et de la sécurité des frontières, et la lutte contre le terrorisme. Enfin, la Garde nationale aura des missions classiques de forces armées”.

Tien ça me rappelle un  truc ,mais oui un truc qui c'est déjà passé...mince j'ai perdu le nom... :P

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si j'ai bien compris, il s'agit avant tout de donner du boulot aux gens qui ont combattu sur Maïdan, et éventuellement de récompenser des membres des groupes de "la droite de la droite" avec des postes et des salaires.

 

A quoi peut ressembler un « salaire » dans un pays en ruine ? Ça me laisse songeur O0 …

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

Je ne suis pas sûr d’avoir bien compris…donc, cette « Garde nationale » sera composée d’anciens flics ripoux et de miliciens néonazis à la fois ?......j’ai bon ? O0

 

L'idée est de les mettre en première ligne face aux envahisseurs : on se débarrasse des uns en ralentissant un peu les autres.

 

Plus prosaïquement, ils préfèrent peut être les occuper en les tenant à l’œil. Ça a peut être déjà marché, qui sait ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La Pologne a ainsi obtenu le passage en phase II du processus de gestion de crise de l’Otan, après un accord politique des ambassadeurs de l’Alliance. Mais avec quelques limites.

La phase I, phase habituelle de veille, ne prévoit qu’une collecte d’informations permanente sur les zones crisogènes aux frontières de l’Alliance. 

Dans la Phase II, il est demandé au SACEUR (commandant suprême des forces alliées en Europe) d’utiliser des capteurs supplémentaires pour améliorer le niveau de renseignement sur une zone donnée. Parmi l’éventail de capteurs mobilisables par l’Otan, figurent notamment les Awacs, les satellites optiques, les avions de chasse avec pods de reconnaissance, l’envoi de forces spéciales et, demain, les drones HALE AGS.

 

Suite : http://www.ttu.fr/lotan-en-phase-ii/

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Et pourquoi juste depuis 1945 ?

... parce que la terrible Seconde Guerre mondiale, paroxisme de la période nationaliste de l'Europe (1848-1945), a marqué une rupture forte dans les pratiques politico-militaires des Européens. L'idée dominante était "plus jamais ça".

 

Donc, pour toi, si je comprends bien, annexer manu militari un pays voisin au XXIe siècle ne pose toujours pas de problème moral et est dénué de tout risque de contagion ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

A quoi peut ressembler un « salaire » dans un pays en ruine ? Ça me laisse songeur O0 …

 

L'Etat ukrainien, tout ruiné qu'il est, a certainement de quoi proposer quelques centaines d'euros par mois à quelques dizaines de milliers de gusses qui sont prévus pour les coups durs, et qui encaisseront les éventuelles manifestations de mauvaise humeur du peuple ukrainien après que l'état de grâce se sera évaporé, ou les éventuelles manifestations de mauvaise humeur de tankistes de passage.

 

 

L'idée est de les mettre en première ligne face aux envahisseurs : on se débarrasse des uns en ralentissant un peu les autres.

 

Plus prosaïquement, ils préfèrent peut être les occuper en les tenant à l’œil. Ça a peut être déjà marché, qui sait ?

 

Je pense aussi.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

... parce que la terrible Seconde Guerre mondiale, paroxisme de la période nationaliste de l'Europe (1848-1945), a marqué une rupture forte dans les pratiques politico-militaires des Européens. L'idée dominante était "plus jamais ça".

 

Donc, pour toi, si je comprends bien, annexer manu militari un pays voisin au XXIe siècle ne pose toujours pas de problème moral et est dénué de tout risque de contagion ?

Du moment que ça refout les Ricains à leur place non. :happy: Les Russes ont perdu l'Ukraine, la Crimée est leur lot de consolation. Kosovo 1 Crimée 1 match nul.

Modifié par Jojo67
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Du moment que ça refout les Ricains à leur place non. :happy: Les Russes ont perdu l'Ukraine, la Crimée est leur lot de consolation. Kosovo 1 Crimée 1 match nul.

Hum, je pense qu'il vaut mieux arrêter de perdre mon temps à discuter avec des crétins.

  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Et pourquoi juste depuis 1945 ? Juste avant ce n’était pas un certain pays germanique  :happy: ? Ça commence à être lourd ce manichéisme où il y aurait des méchants et des gentils sans contextualiser, sans mettre en perspective l’Histoire. Ça confine au fanatisme et répondre à une ânerie par une ânerie ne la parera pas de vertu. Ça ne fonctionnent pas comme ça :-[ .

Je me demandes si l'affaire de Kosovo pourrait être considéré comme une invasion ? Quelque soit les raisons, on à forcé un pays à abandonner sa souveraineté sur une part de son territoire.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
 Share

  • Statistiques des membres

    5 959
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Lecteur de passage
    Membre le plus récent
    Lecteur de passage
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...