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Russie et dépendances.


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Poutine a signé aujourd'hui la promulgation de la loi sur l’actionnariat étranger dans les média. Celui ci est donc désormais  limité a 20%.

Cette loi deviendra effective le 1 Fev 2017.
Encore un pas vers le contrôle total de l'information par le gouvernement.
 

Modifié par aviapics
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Je trouve pas cela foncièrement mauvais qu'un pays limite l'actionnariat étranger dans les médias. ça me choquerait de savoir que des chaines de télévisions françaises généralistes aient pour actionnaire majoritaire des qataris, des américains des chinois ou des russes...

A la rigueur une chaine de sport ou de musique, je m'en fout, mais une chaine qui diffuse entre autre des débats politiques et de l’information, je trouverais ça scandaleux.

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Il y a quand même une grosse inconnue sur l'après-Poutine. (...) Bien sur, il doit bien y avoir quelques possibles présidentiables parmi les gouverneurs des super-districts crées par Poutine, les maires des très grandes villes ou les fonctionnaires de l'administration présidentielle. Mais aucun ne paraît avoir l'étoffe et les réseaux suffisants pour s'imposer. C'est assez ennuyeux pour Poutine, mais ça l'est surtout pour la Russie. Les interrègnes y ont souvent été calamiteux.

 

J'ai peur qu'il n'ait à sa disposition que des technocrates falots et sans envergure, qui se feront éliminer dès leur entrée sur la scène, ou des militaires charismatiques mais avec tous les risques que cela comporte.

 

C'est un risque sérieux pour la Russie, à l'évidence. La rançon d'un système dont la stabilité dépend des qualités ou caractéristiques personnelles d'un individu particulier.

 

Une comparaison avec De Gaulle pourra peut-être choquer, mais elle est éclairante sur ce point. Et quoi que l'on pense de l'un et de l'autre, ils ont au moins ce point commun d'avoir joué un rôle crucial dans une certaine phase de l'histoire de leur pays, lequel rôle étant lié à une capacité personnelle de leur part ne s'appuyant qu'en partie sur un système déjà existant.

 

De ce point de vue, une différence très nette est que De Gaulle dès son retour en 1958 s'est attaché à construire des institutions et un système qui lui survivraient, et y a réussi certes en partie seulement mais tout de même dans une mesure assez importante. Même si Poutine a d'évidence conduit des réformes et construit un certain système politique, le fait est qu'il n'a pas - du moins à ce jour - construit de système qui ait une probabilité vraiment prépondérante de lui survivre : la "verticale du pouvoir" pourrait-elle être maintenue par un autre que lui ?

 

Le plus probable me semble être qu'il ait un successeur, et ceci en 2024 : la fin de son deuxième mandat de six ans depuis son retour en 2012 et son 72ème anniversaire après un quart de siècle à la tête du pays même par Medvedev interposé. Le choix de ce successeur est un casse-tête redoutable : nécessité de créer une fidélité personnelle d'une majorité de Russes envers lui, nécessité d'une personnalité affirmée douée et originale lorsque l'entourage de Poutine doit être riche en sycophantes.

 

Une évolution vers un système politique à la japonaise (le parti libéral-démocratique seul à accéder au pouvoir entre 1955 et 2009 sauf pendant un court intermède de dix mois, sans être formellement un parti unique) ou à la mexicaine (le parti de la "révolution institutionnelle" au pouvoir sous des noms différents sans discontinuer entre 1929 et 2000) ne serait pas la pire alternative. Il s'agirait en pratique d'une technocratie, système qui peut être stable. La différence majeure tout de même avec Japon et Mexique est que la Russie a une politique étrangère de grande puissance, et subit les pressions notamment extérieures qui vont avec. Une technocratie pourrait-elle faire face à cela ?

 

L'alternative idéale serait évidemment la croissance d'un parti d'opposition à la fois véritablement indépendant du pouvoir, et véritablement indépendant des tentatives d'influence et d' "ingénierie sociale" notamment américaines. Les systèmes réellement multipartites sont naturellement plus stables et plus souples (ce qui laisse ouverte la question de savoir si un système réellement multipartite existe aujourd'hui dans des pays comme la France ou les Etats-Unis... question qui serait HS). Mais la consolidation d'un tel parti en Russie serait une véritable quadrature du cercle, dans le contexte actuel de forte polarisation Nous / Eux et de mobilisation autour d'un patriotisme de plus en plus confondu avec une fidélité personnelle à Poutine. Pas le plus probable.

 

Les alternatives pour le pire ne manquent pas, depuis la "révolution de couleur" probablement sous prétexte ultra-patriotique avec aide occidentale en sous-main et conséquences dangereuses à court moyen terme, actuellement difficile à imaginer mais la situation pourrait changer, jusqu'à un décès subit duquel personne n'est à l'abri, même avec les meilleurs médecins et sans même parler des risques spécifiques liés à la fonction de chef d'Etat.

 

Quoi que l'on pense du personnage, il faut souhaiter longue vie à Poutine. Et au moins jusqu'en 2024.

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Poutine incarne la stabilité et un  redressement pour la Russie ainsi qu'un certain contrepoids face aux dérives américaines de ces dernières années.C'est dans ce sens que je le soutiens.

 

Quand à son successeur, je ne me fais pas trop de souci : qui aurai  misé une vodka sur cet obscur KGB-man lorsqu'il a été désigné comme dauphin d'Eltsine ?

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Il n'a pas été "désigné" successeur: il s'est imposé. Ce qui fait la force de Poutine, c'est le réseau qu'il a bâti quand il était dans l'administration de St Petersbourg, qui fut en fait la réunion d'un certain nombres de groupes et réseaux existants séparément (essentiellement un groupe "business", un groupe de barbouzes et un de maffieux, pour aller vite) et dont il était et est resté l'unique courroie de jonction capable d'équilibrer leurs antagonismes internes. C'est ce qui fait son pouvoir, c'est à ces gens là qu'il a distribué les bonbons une fois au pouvoir, et c'est en s'appuyant sur eux, la marge de manoeuvre qu'il a en tant que chef de l'Etat (quoique le fait qu'il centralise de plus en plus semble indiquer qu'il a de moins en moins de marge et essaie d'en radiner plus pour compenser), et la part de bénefs pétroliers, qu'il y reste. 

Bref, quand il a "été désigné", il était tout  sauf une obscur ex-barbouze, il n'avais juste pas d'image publique; si il avait été obscur, il n'aurait pas été désigné. C'est pas des "qualités cachées" ou une "grandeur" repérée par Eltsine dans son quart d'heure de lucidité quotidien, qui l'ont fait désigner. Dans le monde réel, ça marche pas comme ça. Il a bâti le bon levier de pouvoir au bon endroit, à un moment où le bordel des élites russes commençait à atteindre une phase de structuration/concentration. Et c'est le "méta" réseau pétersbourgeois (le sien, donc) qui a été le premier sur les rangs. Eltsine n'a pu qu'entériner. Je doute qu'il ait eu d'autres options. 

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Il n'a pas été "désigné" successeur: il s'est imposé. Ce qui fait la force de Poutine, c'est le réseau qu'il a bâti quand il était dans l'administration de St Petersbourg, qui fut en fait la réunion d'un certain nombres de groupes et réseaux existants séparément (essentiellement un groupe "business", un groupe de barbouzes et un de maffieux, pour aller vite) et dont il était et est resté l'unique courroie de jonction capable d'équilibrer leurs antagonismes internes. C'est ce qui fait son pouvoir, c'est à ces gens là qu'il a distribué les bonbons une fois au pouvoir, et c'est en s'appuyant sur eux, la marge de manoeuvre qu'il a en tant que chef de l'Etat (quoique le fait qu'il centralise de plus en plus semble indiquer qu'il a de moins en moins de marge et essaie d'en radiner plus pour compenser), et la part de bénefs pétroliers, qu'il y reste. 

Bref, quand il a "été désigné", il était tout  sauf une obscur ex-barbouze, il n'avais juste pas d'image publique; si il avait été obscur, il n'aurait pas été désigné. C'est pas des "qualités cachées" ou une "grandeur" repérée par Eltsine dans son quart d'heure de lucidité quotidien, qui l'ont fait désigner. Dans le monde réel, ça marche pas comme ça. Il a bâti le bon levier de pouvoir au bon endroit, à un moment où le bordel des élites russes commençait à atteindre une phase de structuration/concentration. Et c'est le "méta" réseau pétersbourgeois (le sien, donc) qui a été le premier sur les rangs. Eltsine n'a pu qu'entériner. Je doute qu'il ait eu d'autres options. 

 

Eltsine n'avait pas trop le choix, en effet. Sa famille était décrédibilisée (sa fille et son gendre avaient déjà pas mal de casseroles aux fesses) et lui-même était assez affaibli. Il ne pouvait pas choisir quelqu'un de sa garde rapprochée (enfin, de ce qu'il en restait) ou de trop proche de lui. Et sinon, il y avait les communistes, les nationalistes autour de Jirinovski (qui à l'époque avait encore un certain poids) et les oligarques. Oligarques qui avaient contribué à son maintien au pouvoir et qui auraient pu présenter la note. Ils étaient assez vifs à cette époque et il restait du beau monde (Berezovsky notamment).

 

Poutine avait l'avantage d'être assez neuf pour l'opinion publique. Il pouvait s'appuyer sur les Pétersbourgeois et les anciens collaborateurs de Sobchak, le premier maire de la ville après la Guerre Froide (dont Poutine s'est occupé de la famille après sa mort, ce qui a retardé les ennuis de sa fille, Ksenia, après qu'elle ait commencé à ruer dans les brancards contre la politique de poutine). Ça plus un accord avec les oligarques ("ne faites pas de politique et tout ira bien") et sans doute quelques accords avec les locomotives politiques régionales (notamment le maire de Moscou de l'époque).

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http://www.defensenews.com/article/20141018/DEFREG04/310180029/Russia-Making-Major-Push-Into-Mideast-Market

 

traduction auto

Russie Faire effort important dans le marché au Moyen-Orient

 

DUBAI - Après une décennie de «quasi-absence» au Moyen-Orient, la Russie est une fois de plus s'affirme comme il cherche à vendre des armes aux anciens clients de l'ère soviétique en percer le marché du Conseil de coopération du Golfe (CCG).

 

«Les politiques de Moscou à nouveau sont devenus nettement plus actif», a déclaré Dimitri Trenin, directeur du Centre Carnegie de Moscou. "Au cours de sa présidence, Vladimir Poutine a fait des voyages dans la région et a effectué une visite à Téhéran, la première depuis la guerre allié le voyage de la conférence de Staline.

 

"Cependant, les politiques de la Russie ne sont pas encore intégrés dans une certaine stratégie globale et sont largement influencés par un ensemble de considérations pragmatiques. Les principaux objectifs de la Russie sont de faire progresser ses intérêts économiques et à contrer les menaces à la sécurité nationale de la Russie ", a écrit Trenin dans un document de la Fondation basée à Washington siècle.

 

Yuri baramin, un analyste politique et militaire russe basée aux Émirats arabes unis, a déclaré l'approche russe au Moyen-Orient peut être décrit comme un «wait and see approche."

 

"Des erreurs soviétiques dans le passé, la Russie a appris à ne pas faire preuve de trop impliqués dans des conflits dans la région, afin de modifier le résultat en sa faveur», at-il dit.

 

Cependant, Moscou a exprimé sa protestation contre l'intervention américaine en Irak, tranquillement réagi à l'opération de l'OTAN en Libye et a montré un soutien limité pour les grèves récentes contre l'Etat islamique en Irak et la Syrie, at-il ajouté.

 

"La position du Kremlin, cependant, a été de ne pas affronter l'Occident au Moyen-Orient, même lorsque les intérêts de la Russie sont en jeu, parce qu'il sait du passé que dans le long terme, l'implication militaire de l'extérieur a peu de chances de succès."

 

Baramin, toutefois, insisté sur le fait qu'il est faux de dire que la Russie joue la sécurité, parce que ses alliances dans la région suggèrent le contraire.

 

"Revêtement Moscou avec des partenaires à risque, tels que la Syrie et l'Iran, signifie que la Russie pense sur une période à long terme. Soutien sans équivoque de la Russie pour [le président syrien Bachar al-] Assad est dictée par la présence de sa base navale à Tartous, qui, dans le cas d'Assad de rester au pouvoir serait susceptible d'être transformée en une grande base navale.

 

"Aujourd'hui, le but russe au Moyen-Orient est de retrouver l'influence que l'URSS avait autrefois. Alors que les Etats-Unis est d'avoir des relations difficiles avec la région MENA [Moyen-Orient et Afrique du Nord] pays, la Russie fait des tentatives de tirer parti de ce fait et de combler le vide laissé lorsque les États-Unis laisse ", at-il dit.

Selon baramin, l'influence de la Russie est dictée par le commerce des armes. Le plus grand et le plus fiable client de la Russie, de l'Algérie, a acquis du matériel militaire de la Russie une valeur de 7,5 milliards de dollars depuis 2006, y compris les MiG-29 et Su-30 combattants, S-300 systèmes de roquettes et chars T-90, at-il dit.

 

Récemment, la Russie a signé des accords d'une valeur de plus de 10 milliards de dollars, l'Egypte et l'Irak pour avions, des fusées et des systèmes de missiles.

«Dans chaque pays, l'influence russe [repose] presque entièrement sur ses ventes d'armes ou une aide militaire aux alliés dans la région MENA», a déclaré baramin.

"Le point d'entrée de Moscou au marché MENA à travers les anciens clients soviétiques, comme l'Algérie, l'Egypte, la Syrie, l'Irak, la Libye, le Yémen et la Jordanie," at-il dit. "Dans certains d'entre eux, les anciens types de matériels soviétiques sont toujours en activité, tandis que d'autres les ont remplacés par des équivalents américains dans les années 90, lorsque la Russie a disparu de la scène internationale."

 

Cependant armes russes succès exportations sont à la région MENA, le pays ne sera pas un joueur dominant à moins qu'il ne gagne sur le marché du CCG - Bahreïn, Koweït, Oman, Qatar, Arabie saoudite et les Émirats arabes unis.

 

«Cette région n'a jamais été un client soviétique et c'est seulement ces dernières années que la Russie a réussi à obtenir une part du marché avec son BMP-3 qui a vendu le Koweït et les Emirats Arabes Unis dans les années 90 et Pantsir systèmes de défense aérienne aux EAU dans les années 2000 ", a déclaré baramin. "Ce sont les seules grandes opérations que la Russie avait dans les pays du CCG, mais ils n'ont pas transformé en une coopération continue, jusqu'à très récemment, lorsque la Russie et les Émirats arabes unis ont été signalés dans les négociations sur la vente des avions de MiG russes aux Emiratis et sur la production conjointe d'armes."

 

Dans les pays du CCG, la Russie a été favorise des relations étroites avec les courtiers de puissance régionaux influents.

 

Une coopération continue avec des pays comme les Émirats arabes unis sur le Moyen-Orient et la situation en Afrique du Nord, ainsi que la poursuite du développement de la coopération multiforme dans divers domaines, a été évidente par des visites de haut niveau par le commandant suprême adjoint des forces armées des EAU, Cheikh Mohammed Bin Zayed, et le ministre de l'économie et d'autres responsables militaires de haut rang au cours de la dernière année.

 

Toutefois, le principal importateur d'armes du CCG, l'Arabie saoudite, est un client peu probable pour la Russie à ce stade, baramin dit. «Même si on a signalé que Riyad est prêt à acheter des avions MiG, le conflit en Syrie a considérablement refroidi les relations russo-saoudiennes", at-il dit.

 

Egypte semble être l'un des plus gros clients de Moscou. «Deux grands contrats signés en 2014 une valeur de plus de 6,5 milliards de dollars pour MiG-29Ms, Mi-35, S-300VMs, des missiles de défense côtière mobiles et les sous-marins, ainsi que l'ouverture du centre de maintenance de l'hélicoptère russe en Egypte prévue pour 2015» sont les la plupart des transactions récentes, at-il dit.

 

Irak ce mois-ci a signé un contrat de 4,2 milliards de dollars pour Pantsir systèmes de défense aérienne et Mi-28NE hélicoptères d'attaque, ainsi que 10 Su-25 jets d'attaque au sol une valeur de 500 millions de dollars en Juin pour contrer l'expansion État islamique.

 

Alexander Fomin, chef russe du Service fédéral pour la coopération technico-militaire, a déclaré que Moscou cherche à renforcer les liens militaires avec le Caire après le refroidissement des relations entre l'Egypte et Washington, qui a conduit au gel de certains aspects de la coopération militaire entre les deux pays, selon l'agence Interfax nouvelles.

 

Anatoly Isaikin, le chef de Rosoboronexport, l'agence d'Etat pour les produits liés à la défense de la Russie, a déclaré la valeur des commandes d'armes a augmenté en dépit des sanctions occidentales imposées à Moscou en raison de la crise en Ukraine.

 

«Aujourd'hui, notre portefeuille de commandes est de 38,7 milliards de dollars. C'est l'une des figures les plus forts Rosoboronexport a eu au cours des dernières années ", at-il dit, selon l'agence Interfax nouvelles.

 

Malgré l'armée égyptienne étant fournie par l'équipement des États-Unis depuis 1979, une transition vers le matériel russe n'est pas considérée comme un problème majeur.

"Même les pays ont des généraux dans leurs armées qui savent facile à intégrer et armes russes à bas prix sont", a déclaré baramin. "Moscou est candidate à ce sujet. Offrir à leurs clients du matériel moderne qui est basé sur des prototypes soviétiques est souvent un argument gagnant pour les responsables militaires, dont beaucoup ont été formés en Union soviétique ".

 

Les forces, cependant, devront être formés; la coopération de formation a déjà commencé.

 

"Les forces irakiennes et égyptiennes ont été formés en Russie avant. Egypte formé ses spécialistes dans la région d'Astrakhan de la Russie pour la ZSU-23-4 'Shilka' tandis que les forces irakiennes avaient été formés pour les armes ils ont juste obtenu de la Russie par des spécialistes qui sont venus en Irak pour former des pilotes pour les Su-25 jets, »dit-il. "En outre, les forces irakiennes ont visité la Russie plus tôt cette année pour être formés pour les systèmes de défense aérienne Pantsir.»

 

Modifié par zx
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Poutine a signé aujourd'hui la promulgation de la loi sur l’actionnariat étranger dans les média. Celui ci est donc désormais  limité a 20%.

Cette loi deviendra effective le 1 Fev 2017.

Encore un pas vers le contrôle total de l'information par le gouvernement.

 

lol, tu sais que les US ont une législation plus ou moins similaire ? C'est/étais aussi un pas vers le contrôle total de l'information par le gouvernement ?  =D

 

http://www.broadcastlawblog.com/2013/11/articles/fcc-allows-more-than-25-foreign-ownership-of-broadcast-stations-instructions-for-investors-are-to-be-developed/

Modifié par Tonton Flingueur
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Je ne trouve plus le fil sur la Suède, mais il y a une chasse au sous-marin russe en ce moment au large de Stockholm. Des signaux suspects auraient été repéré :

 

http://www.opex360.com/2014/10/19/activite-marine-suspecte-ete-detectee-au-large-de-la-suede/

 

http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/europe/sweden/11172377/Swedish-navy-sends-200-people-to-hunt-for-foreign-underwater-activity.html

Modifié par collectionneur
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http://t.co/UM8yUCOwzK

 

Een onderzeeër die werd gezocht voor de kust van Stockholm, komt uit Nederland. Dat meldt de Zweedse krant Aftonbladet.

Vrijdag werd in Zweden alarm geslagen nadat een zeiler een Russische duikboot zou hebben gezien. Hij zette foto's van die onderzeeër op internet. Zweedse media meldden daarna dat het leger een noodsignaal had opgevangen van een Russische onderzeeër.

Rusland sprak dat tegen. Toch zette Zweden schepen, helikopters en zo'n 200 militairen in voor een zoekactie, na de berichten over "een buitenlandse onderwateroperatie".

Oefening

Na analyse van verschillende foto's is gebleken dat het geen Russische duikboot was, maar een Nederlandse onderzeeër van de Walrusklasse. Dat zegt een woordvoerder van de Zweedse defensie in de krant. Volgens hem waren de Nederlanders samen met Zweedse militairen aan het oefenen.

 

Selon le journal Aftonbladet qui cite un porte parole de l'armée suédoise.

Il y a un sous marin néerlandais et les opérations suédoises font partie d'un exercice militaire.

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C'est sensé etre un sous marin?! Ça ressemble plus a une baleine ou je ne sais quoi vu la quantité d'écume!!!

 

Ça me rappelle la grande époque de la guerre froide et les manœuvres politiciennes pour faire tomber tel ou tel gouvernement avec des "manœuvres" sous marine :lol:

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http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/10/20/97002-20141020FILWWW00233-russie-embargo-etendu-sur-les-produits-europeens-aux-abats-et-farines-animales.php

 

La Russie a décidé aujourd'hui d'étendre son embargo sur les produits agroalimentaires européens aux abats, farines animales, gras et autres produits dérivés bovins, porcins et issus de la volaille, a indiqué le porte-parole de l'agence vétérinaire russe Rosselkhoznadzor.

Ces produits n'étaient jusque-là pas concernés par l'embargo alimentaire décrété début août par la Russie en réponse aux sanctions occidentales votées à son encontre, a expliqué Alexeï Alexeenko, ajoutant que la décision avait été prise en raison de "violation des normes de sécurité".

"À partir du 21 octobre, des restrictions temporaires entreront en vigueur concernant l'importation en Russie depuis des pays de l'Union Européenne d'un certain nombre de produits alimentaires, notamment les abats bovins et porcins, la farine animale, le gras de boeuf et de porc, y compris le lard et le gras de poulet", a précisé Rosselkhoznadzor dans un communiqué.

La Russie avait décrété début août un embargo sur la plupart des produits alimentaires européens et américains en réponse aux sanctions occidentales prises par les Occidentaux contre Moscou en lien avec la crise ukrainienne.

Un peu moins de 10% des exportations agricoles de l'Union européenne vont à la Russie, soit l'équivalent de 11 milliards par an, selon les chiffres de la Commission européenne. Il s'agit principalement de fruits et légumes, fromage et viande de porc.

 

Vu le timing, j'ai l'impression que c'est en réponse à la décision européenne pour plus de sanctions contre la Syrie.

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La police de Stavropol a arrêté pour fraude une femme de 73 ans, porte-parole de l'association des Mères de Soldats.
L'association considère que c'est une façon de faire pression sur elle pour qu'elle se taise après qu'elle ait révélé que les "volontaires" allant se battre en Ukraine étaient en fait des militaires bases au Daguestan et incites avec une prime de 250.000 rb.
Par ailleurs l’enquête sur la mort "mystérieuse" de nombreux parachutistes bases a Pskov est au point mort.
 

http://goo.gl/Vl50ai

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La police de Stavropol a arrêté pour fraude une femme de 73 ans, porte-parole de l'association des Mères de Soldats.

L'association considère que c'est une façon de faire pression sur elle pour qu'elle se taise après qu'elle ait révélé que les "volontaires" allant se battre en Ukraine étaient en fait des militaires bases au Daguestan et incites avec une prime de 250.000 rb.

Par ailleurs l’enquête sur la mort "mystérieuse" de nombreux parachutistes bases a Pskov est au point mort.

 

http://goo.gl/Vl50ai

 

C'est clair, ces "non dits" sont des "secrets de polichinelles" ... Que ce soit tes exemples en référence ou d'autres cas.

Maintenant les guerres vont se faire déguisé en "barbouzes" sans pièces d'identité ou autres signes distinctifs ... Tellement plus simple ! Même si personne n'est dupe, cela empêche ou au mieux retarde de vraies réponses diplomatiques proportionnées à la mesure du véritable "délit" camouflé ... Et pendant ce temps, les pions "non identifiés clairement" continuent leurs basses œuvres en dehors de toutes légalités, s'il y en avaient ...  Et loin des caméras ! Les vidéos en action, ça c'est réservé pour les "vrais" indépendantistes ...

 

Et pourquoi donc faire autrement ? Cela marche tellement bien ainsi .... 

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La "vraie guerre" (selon la distinction de Clausewitz entre les 2 grandes formes de guerre) repointe son nez à plus grande échelle qu'avant: trop de codification/ritualisation de la guerre entre Etats? Cadre trop contraignant? Incompatibilité croissante entre les intérêts et les contraintes? Réponse aux coûts et risques de destruction trop grands, voire impensables (y compris le "blocage" qu'implique le nucléaire) de la guerre "officielle"? 

La Russie, comme la Chine (forme de stratégie "intégrale" et de politique extérieure agressive contournant les obstacles) ou les USA (rôle de l'USSOCOM qui explose -avec sa propre diplomatie parallèle-, des services secrets, des frappes de drones et procédures judiciaires secrètes) fournissent divers exemples de réponses, comme les entités non étatiques ayant désormais accès à bien des matériels, canaux d'information et de reconnaissances, méthodes et savoirs-faire jadis plutôt réservés aux Etats. 

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Quelques news de Russie

 

1- Mikhail Yemelyanov du parti Russie Juste, propose de modifier la loi pour permettre la création de sociétés militaires privées, prenant comme exemple la "réussite" de Blackwater. Son premier argument est économique en signalant que le secteur des SMP a généré un chiffre d'affaire de 55 md $ en 2010. Il cite également l’intérêt d'avoir ce genre d'instrument géopolitique. On peu se demander si la véritable raison n'est pas financière car la Russie n'a jamais vraiment eu besoin de ce genre de sociétés pour ses précédentes opérations. Quelques personnes veulent surement croquer du bon gâteau.
Il accuse également le gouvernement Ukrainien d'employer a l'heure actuelle 150 membres de Greystone (US) dans l'est de l'Ukraine.

 

2-Rosneft appelle au secours et demande a l’état de débloquer 49 md $ d'un fond de réserve garantissant les retraites. Cette demande affole pas mal de monde par son montant et la possibilité qu'il "n'y en ait pas pour tout le monde". Certaines entreprises (Loukoil par exemple) demande des fonds également, "Si tout le monde demande des fonds nous le faisons aussi" a dit Leonid Fedun, un des dirigeants de Loukoil. 

 

3-Les chanteurs(es) russes sont en pleine competition pour composer le nouvel hymne de Novorossiya. Vous pouvez en écouter certaines sur RIA Novosti.

 

4-Impression perso de moscovite, les rayons des magasins commencent a avoir des trous  suite aux sanctions, difficile de trouver du fromage européen par exemple (j'ai pris le dernier emmental President hier...)

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Points 2 et 4, on comprend que malgré les déclarations officielles, les sanctions des USA et de l'UE ont un impact réel sur l'économie russe... le point 4 me parait néanmoins moins grave que le point 2 à l'échelle de l'économie d'un pays, même s'il est potentiellement bien plus frappant pour l'humble citoyen russe.

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