pascal Posted April 26 Share Posted April 26 il y a 34 minutes, R force a dit : V'LA QUE CA PARLE EN CODE SUR LE FORUM MAINTENANT. Alors pour B83 j'ai -un aérosol anti-adhérent soudure -une courroie de transmission trapézoïdale -une bombe thermonucléaire de l'arsenal US 2 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
mudrets Posted April 26 Share Posted April 26 (edited) Et un carreau du Zonex atlantique des années 75, devenu par la suite le carreau 48E dans les années 80, à la pointe sud-ouest du dit Zonex ! PS: ZONEX pour les non-initiés: ZONes d'EXercice Edited April 26 by mudrets 1 1 2 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
ARMEN56 Posted April 26 Share Posted April 26 il y a 40 minutes, mudrets a dit : 48E En surface https://dtinsu.prod.lamp.cnrs.fr/IMG/pdf/golf_de_gascogne.pdf en immersion Révélation 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Popular Post Titoo78 Posted April 27 Popular Post Share Posted April 27 https://actu.fr/normandie/cherbourg-en-cotentin_50129/reportage-a-cherbourg-dans-la-fabrique-des-barracuda_59249338.html 5 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Ardachès Posted May 3 Share Posted May 3 … Allez, on se marre un peu avec les aventures du Casabianca (premier du nom) racontées avec poésie par un Odieux Connard ! 1 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
penaratahiti Posted May 3 Share Posted May 3 il y a une heure, Ardachès a dit : … Allez, on se marre un peu avec les aventures du Casabianca (premier du nom) racontées avec poésie par un Odieux Connard ! merci ! un de mes épisodes préférés ! 1 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Popular Post ARMEN56 Posted May 5 Popular Post Share Posted May 5 https://www.linkedin.com/posts/hervé-dermoune-974641183_toulon-jacqueschevallier-sna-activity-7059968934208245760-kLbj?utm_source=share&utm_medium=member_desktop 10 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
jpp92an Posted May 7 Share Posted May 7 (edited) . Edited May 7 by jpp92an erreur Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Popular Post jpp92an Posted May 7 Popular Post Share Posted May 7 A Cherbourg, un puzzle de 700 000 pièces à assembler pour chaque sous-marin nucléaire Barracuda Naval Group va livrer à la Marine nationale un sous-marin nucléaire d’attaque tous les deux ans d'ici à 2030. Un exploit qui mobilise 2 500 salariés, des moyens industriels hors normes ainsi que le savoir-faire artisanal de ses techniciens. Un chantier industriel unique en France. Dans l’un des immenses halls d’assemblage du site de Naval Group à Cherbourg (Manche), des tronçons de coques de sous-marins attendent d'être solidarisés les uns aux autres. Il s’agit de tranches d’acier gigantesques, semblables à des immeubles d'une vingtaine de mètres de long et d'une dizaine de hauteur. Pour préparer ces colossales sections d’acier à recevoir leurs équipements, les opérateurs du groupe grimpent sur des échafaudages de cinq ou six étages. Il faut dire qu’il sort de ce chantier des monstres d’acier : les sous-marins nucléaires Barracuda destinés à la Marine nationale. Des navires longs de 99 m avec un tonnage de 5 000 tonnes. Le chantier a passé fin avril un jalon important. «Les ultimes tronçons du dernier Barracuda ont été produits», se félicite Jean-Michel Merat, le directeur de l'usine, qui compte environ 5 000 salariés. Cette fabrication minutieuse s’inscrit dans une longue tradition, unique en France : plus de 108 sous-marins ont pris vie à Cherbourg depuis le Morse, en 1899 ! 2 500 personnes mobilisées par le programme L’histoire n’est pas près de s’arrêter. Les salariés du site travaillent à la construction des quatre derniers sous-marins nucléaires d’attaque (SNA) de la série des Barracuda. «Aujourd’hui, c’est environ 2 500 personnes dont 800 chez nos partenaires qui sont occupées à plein temps sur ce programme », précise Hervé Glandais, directeur du programme pour Naval Group. Les deux premiers exemplaires sont déjà à la mer. Le premier de série, le Suffren, est entré en service il y a un an. Le second, le Duguay-Trouin, a quant à lui effectué sa première sortie en mars dernier. Les quatre navires restant à produire sont à des états d’avancement bien différents. Le troisième navire, le Tourville, a été jonctionné entièrement et a accueilli sa chaufferie nucléaire. Quant aux trois derniers exemplaires (le De Grasse, le Rubis et le Casablanca), leurs tronçons commencent à être réunis pour former des secteurs ou à recevoir leurs équipements de structure. Ces sous-marins nucléaires d’attaque assurent différentes missions clés pour la Marine nationale : ils escortent le porte-avion Charles De Gaulle et protègent notamment les sorties à la mer des SNLE, les sous-marins lanceurs d’engins qui portent les missiles de la dissuasion nucléaire. La série des Barracuda remplace les vieillissants SNA de la génération des Rubis, mis en service au début des années 1980, dont l’un des exemplaires, le Perle, avait subi un grave incendie à la base de Toulon (Var) en juin 2020. Un programme à 9 milliards d'euros La série des Barracuda est l’un programmes les plus ambitieux de la Marine nationale et de la DGA (Direction générale de l’Armement, ndlr), en charge de la maîtrise d’ouvrage. Sur les 30 ans de durée de vie des navires, le coût du programme s’élève à 9 milliards d’euros, soutien logistique et capacités d’entrainement compris. En dehors de la France, seul un club très restreint de pays est capable de produire des navires de combat pouvant apporter une telle maîtrise des fonds sous-marins : les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la Russie et la Chine. «L’enjeu c’est de livrer ces 6 bateaux à un rythme d’un tous les deux ans, jusqu'en 2030», précise la responsable du programme pour la DGA, dont le nom est tenu secret. Un délai qui s'explique par le considérable défi industriel et technique. Ces sous-marins figurent parmi les objets les plus complexes à réaliser sur la planète. Dans un espace réduit, le navire est déjà une base de vie censée accueillir un équipage de 65 personnes avec ses chambrées de 4 à 6 personnes, ses sanitaires, sa cuisine, son réfectoire... Le bâtiment embarque également l’équivalent d’une mini-centrale nucléaire en mesure d’assurer sa propulsion silencieuse à plus de 350 m de profondeur. Enfin pour accomplir sa mission de guerre, ce redoutable navire est équipé d’un central opérationnel, de sonars, de moyens de communication et de navigation, de tubes lance-missiles... Un puzzle industriel de 700 000 pièces Pour faire fonctionner une telle machine, il faut des équipements de servitude : 160 km de câbles, 20 km de tuyaux, 70 000 appareils fonctionnels (pompes, carlingages, robinets, vannes…). Soit au total plus de 700 000 pièces à installer ! C’est beaucoup plus que pour une voiture (10 000 pièces), un char blindé (15 000 pièces) ou un avion Boeing (100 000 pièces)... «Au total, le programme représente près de 50 millions d’heures de travail. Aux moments les plus forts, jusqu’à 600 personnes peuvent être mobilisées sur un bateau», précise Hervé Glandais, le responsable du programme Barracuda pour Naval Group. Ces SNA de nouvelle génération démultiplieront la capacité à agir de la Marine nationale dans les profondeurs. Ils ont été conçus pour aller plus loin et deux fois plus vite que leurs prédécesseurs. Le Barracuda est le premier navire de ce type à pouvoir lancer des missiles de croisière à même de frapper des cibles à plusieurs centaines de kilomètres des côtes. Il permettra aussi de faire débarquer un commando des forces spéciales grâce à un mini véhicule sous-marin. Et un détail pragmatique fait aussi toute la différence : plus de place pour embarquer la nourriture ! «Le Barracuda permet d’emporter de vivres pour environ plus de 2 mois contre une quarantaine de jours pour les Rubis», souligne Sébastien Renaud, le commandant du Duguay-Trouin. De quoi assurer des permanences à la mer plus longues. Des tolérances de 1 à 2 mm pour l'épaisseur de la coque Pour produire des sous-marins, Cherbourg dispose d’installations et d’outillages industriels hors-normes, quelle que soit l’étape de la fabrication. De grandes plaques d’acier planes, larges jusqu’à une dizaine de centimètres d’épaisseur, sont entreposées devant l'atelier. Il faudra leur donner des formes cylindriques, à l'aide de presses capables d’exercer des forces de 2 000 tonnes, 6 000 tonnes… La plus puissante, de 12 000 tonnes, insérée dans une fosse de 12 m de fond, est l’une des presses les plus puissantes qui existent en Europe. «La forme de la coque est critique pour résister aux contraintes d’immersion. On doit déformer à froid l’acier pour lui donner la bonne forme tout en garantissant les épaisseurs», souligne Jean-Michel Merat. Les tolérances sur l’épaisseur de la coque doivent donc être impérativement respectées : de l’ordre du millimètre sur une dizaine de centimètres d’épaisseur. Pour leur donner la courbure finale attendue, les techniciens font appel à de grands gabarits, des moules en bois, finalement plus pratiques que les scans lasers et autres technologies à base de solutions en 3D… «Nous sommes dans de l’artisanat à dimension industrielle. Le savoir-faire relève de l’artisan. Les moyens sont industriels», explique le directeur du site. 400 compétences métier requises La fabrication de ces géants des fonds marins requiert des compétences et des savoir-faire techniques multiples. C’est d’ailleurs l’un des défis majeurs du site de Cherbourg : trouver et former les bons techniciens, dans 400 domaines de compétences. Pour certains métiers, il faut 5, 7, parfois 10 ans pour passer d’un jeune ouvrier à un technicien qui maîtrise parfaitement son domaine. En particulier pour les opérations de formage de la coque et de soudage. Les aciers à hautes performances utilisés sur le Barracuda sont très difficiles à souder. «Cela nécessite de préchauffer l’acier à 100°C, 120°C pour que le soudeur puisse travailler. Nous prenons d’énormes précautions pour protéger les soudeurs contre les risques de brûlures», assure Jean-Michel Merat. Et quand le patron de la production évoque le travail de ses formeurs, capables de donner aux coques la forme désirée, il les assimiles à des «magiciens de l’industrie» ! L’assemblage des Barracuda fait appel à la technique dite des berceaux. Il faut imaginer un structure dont la forme et la taille s'apparentent à celles d’un tronçon de sous-marin, en version réduite. Car une fois que le berceau sera chargé de tous ses équipements (vannes, pompes, tuyauterie…), il sera introduit dans le tronçon vide et comblera quasiment tout l’espace. Cette technique offre deux gros avantages. D’abord pour l’équipage. «On évite ainsi de raccorder directement des équipements vibrants à la coque. Cela limite la propagation d’ondes sonores vers l’extérieur et renforce donc la discrétion acoustique du sous-marin», confie la responsable du programme Barracuda pour la DGA. Mais aussi pour l’industriel. Naval Group peut paralléliser les opérations de fabrication de coque et d’installation des équipements dans les berceaux. Cette technique d’assemblage avait été mise en œuvre pour la première fois avec la construction des SNLE de deuxième génération du type Le Triomphant. Une coque fabriquée en 17 mois L’assemblage final des appareils s'effectue dans un bâtiment dédié, la nef Laubeuf. Une véritable cathédrale industrielle. L'édifice a été prévu pour accueillir simultanément deux sous-marins côte à côte. «C’est l’un des bâtiments industriels les plus grands de France», affirme Hervé Glandais, de Naval Group. A Cherbourg, le gigantisme de la production et la petite série des sous-marins à assembler n’empêchent pas de rechercher l'efficacité industrielle. «Entre les premiers exemplaires, où l’on cherche à optimiser la fabrication et le dernier où l’on est rodé, nous avons gagné en coût et en délai», se félicite le directeur du site. La reconstitution de la coque des premiers Barracuda a nécessité 25 mois, celle du sixième et dernier, seulement 17 mois. Naval Group se projette déjà dans le chantier suivant : l’assemblage des sous-marins de la dissuasion nucléaire, les SNLE de troisième génération. Les équipes travaillent déjà sur des prototypes en vue d’accélérer les opérations d’assemblage et de soudure. Des travaux de génie civil vont démarrer pour agrandir la surface des ateliers. «Notre enjeu, c’est d’aller plus vite. On pousse les murs. On automatise plus», explique Jean-Michel Merat. Les premières tôles doivent être découpées cette année. A Cherbourg, un chantier de sous-marins chasse l’autre. Hassan Meddah 04 Mai 2023 \ 05h00 L'USINE NOUVELLE 1 8 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Popular Post Bechar06 Posted May 23 Popular Post Share Posted May 23 Renaissance du SNA PERLE 6 6 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
mgtstrategy Posted May 23 Share Posted May 23 woow Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posted May 23 Share Posted May 23 Le sous-marin nucléaire « Perle » reprend la mer, trois ans après un incendie à son bord Citation L’arrière du Perle avait été soudé à l’avant d’un autre sous-marin de la même classe, le Saphir, désarmé en 2019. Ce Lego à 110 millions d’euros avait allongé sa taille d’un mètre et a alourdi de 68 tonnes son poids total de 2 700 tonnes en plongée. 1 1 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Popular Post ARMEN56 Posted May 24 Popular Post Share Posted May 24 (edited) Un marquage inhabituel .... Sur une des photos ; un drone ou un curieux goéland ( méditerranéen… ) ? https://www.linkedin.com/posts/hervé-dermoune-974641183_toulon-sna-saintmandrier-activity-7066849117963988992-s0yy?utm_source=share&utm_medium=member_desktop https://www.linkedin.com/posts/pierre-eric-pommellet_depuis-quelques-jours-le-sous-marin-perle-ugcPost-7066838037992747010-AWAj?utm_source=share&utm_medium=member_desktop https://www.linkedin.com/posts/pierre-vandier_depuis-quelques-jours-le-sous-marin-perle-activity-7066871140605915136-fMf0?utm_source=share&utm_medium=member_desktop https://www.linkedin.com/posts/meretmarine_le-sna-perle-a-réalisé-à-toulon-sa-première-activity-7066666297429831680-fQAL?utm_source=share&utm_medium=member_desktop https://www.linkedin.com/posts/david-morel-417a9613a_marinenationale-toulon-cherbourg-activity-7066784619773210624-YmAV?utm_source=share&utm_medium=member_desktop Edited May 24 by ARMEN56 3 4 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fusilier Posted May 24 Share Posted May 24 il y a 57 minutes, ARMEN56 a dit : Un marquage inhabituel .... C'est pour la pesée je suppose. 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
ARMEN56 Posted May 24 Share Posted May 24 (edited) il y a une heure, Fusilier a dit : C'est pour la pesée je suppose. Je pense ? A une époque , lors lancement cale en pente , on avait un marquage longitudinal ; à l’aide d’une caméra on estimait ainsi la vitesse pour en déduire différentes courbes …etc ici sur Perle un marquage de massif uniquement sur TD Sur Suffren lors 1 ère plongée statique si pas de marques massif , en revanche on observe des marques de coque verticales presqu’à l’identique La perle « NG » , est plus lourde ; possible marques d’instrumentation pour évaluation comportement du flotteur lors ballastage/pesée ( mise au point caisses de réglage et d'assiette...conformité Girousse ) … ? Edited May 24 by ARMEN56 1 2 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Hirondelle Posted May 24 Share Posted May 24 Ces pesées in situ se font-elles avec l’équipage à bord ? J’imagine que l’essai d’immersion est progressif : on colle 15 tonnes dans les ballasts, on mesute l’enfoncement puis encore 15 tonnes..? l’étanchéité est mesurée comment ?immersion, tournée d’inspection ou pesée ? A ce stade le réacteur est démarré ou les tests se font sur batteries ? Et je me rends compte que j’ignore si les sna ont des batteries.. 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Fusilier Posted May 24 Share Posted May 24 il y a 51 minutes, Hirondelle a dit : Et je me rends compte que j’ignore si les sna ont des batteries.. Je pense que oui, il y a aussi un diesel générateur de secours. Que je me souvienne, lors des plongées, il y avait des inspections d’étanchéité. Je ne suis pas certain qu'ils embarquent tout le monde pour ce type d'essais. 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
ARMEN56 Posted May 24 Share Posted May 24 https://www.agasm.fr/le-premier-sous-marin-scorpene-de-la-marine-bresilienne-effectue-un-test-de-plongee-statique/ « Elle a été réalisée au sud de l’île d’Itacuruçá, à environ 4 milles nautiques du chantier naval ICN (Itaguaí Construções Navais), où le sous-marin a été construit par la société brésilienne Construtora Norberto Odebrecht (CNO) avec le soutien de Naval Group.La plongée statique du Riachuelo est une immersion à vitesse nulle par remplissage graduel des ballasts du sous-marin. Le sous-marin, [tenu entre deux coffres (NdR)] rallie ainsi l’immersion périscopique . Cette plongée permet de valider non seulement l’étanchéité et la stabilité, longitudinale et transversale, du sous-marin en immersion, mais également d’enregistrer le niveau de l’eau dans les régleurs comme dans les caisses d’assiette, capacités utilisées pour assurer la juste pesée du sous-marin. Ces valeurs seront utilisées pour déterminer avec précision le déplacement du Riachuelo en plongée … et [définir la pesée de référence(NdR)]" 4 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Hirondelle Posted May 24 Share Posted May 24 il y a une heure, ARMEN56 a dit : Cette plongée permet de valider non seulement l’étanchéité et la stabilité, longitudinale et transversale, du sous-marin en immersion On valide quoi à cette profondeur pour un bateau qui peut descendre à 300m+ ? Certes, si c’est pas étanche à 6 mètres ? M’enfin, j’imagine que c’est trivial, que les passe-coque sont testés au banc à sec et que la première imersion profonde se fait avec moultes précautions. 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
g4lly Posted May 24 Share Posted May 24 13 minutes ago, Hirondelle said: On valide quoi à cette profondeur pour un bateau qui peut descendre à 300m+ ? Certes, si c’est pas étanche à 6 mètres ? M’enfin, j’imagine que c’est trivial, que les passe-coque sont testés au banc à sec et que la première imersion profonde se fait avec moultes précautions. L'important dans la phrase d'Armen c'est stabilité ... elle varie assez peu avec la profondeur. Pour l'étanchéité tu peux commencé à terre ne gonflant le sous marin et en regardant la variation de pression à bord, mais c'est assez limité comme solution. Le tremper dans l'eau même pas profond permet de détecter les petites fuite lié à des défaut de mise en œuvre de certaine tuyauterie par exemple. Ensuite on procède par étape ... pour éviter de perdre le sous marin lors d'un test de routine ... Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Eau tarie Posted May 24 Share Posted May 24 Il y a 4 heures, ARMEN56 a dit : Je pense ? A une époque , lors lancement cale en pente , on avait un marquage longitudinal ; à l’aide d’une caméra on estimait ainsi la vitesse pour en déduire différentes courbes …etc ici sur Perle un marquage de massif uniquement sur TD Sur Suffren lors 1 ère plongée statique si pas de marques massif , en revanche on observe des marques de coque verticales presqu’à l’identique La perle « NG » , est plus lourde ; possible marques d’instrumentation pour évaluation comportement du flotteur lors ballastage/pesée ( mise au point caisses de réglage et d'assiette...conformité Girousse ) … ? Plus longue aussi, car du coup ya un genre de tronçon de "jumbo-isation" Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
Hirondelle Posted May 24 Share Posted May 24 Il y a 3 heures, Hirondelle a dit : je me rends compte que j’ignore si les sna ont des batteries Une fois n’est pas coutume je tente de me répondre à moi même : le schéma du k48 montre des batteries connectées entre le générateur et le moteur électrique Celui du Barracuda montre des batteries sous la salle des torpilles «sous toutes réserves » Évidemment ce serait lourd, encombrant, onéreux, mais peut-être pas superflu attendu que le générateur de secours ne peut être utilisé qu’au schnorchel et qu’en cas de pépin à plus grande profondeur, un petit lot d’appoint serait peut-être utile à mettre en oeuvre les chasses, à équilibrer le bateau et à garder momentanément une alimentation de secours. Quant à se propulser avec ça: j’ai un gros doute, car sinon on n’admettrait pas la supériorité des soums classiques en discrétion lorsque alimentés sur batteries puisque les sna pourraient faire pareil sur de courtes périodes. Mais sur le schéma du k48 c’est en amont du moteur de propulsion qu’est connectée la batterie… Révélation La question qui suit c’est «combien de tps pour éteindre un réacteur nucléaire et couper ses pompes ? J’invoque @mudrets puisque ses loisirs sont de mettre à l’air les tripes des bateaux noirs soviets: batteries conséquentes ou non sur les sous-marins nucléaires rouges ? Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
ARMEN56 Posted May 24 Share Posted May 24 Il s’agit non pas d’une immersion à P ou I max , voit tableau page 137 http://www.air-defense.net/forum/topic/1531-sna-suffren-snle-et-ssgn-capacité-française/page/137/ mais d’une immersion périscopique dont l’objectif c’est la pesée, ce qui n’empêche pas de contrôler l’étanchéité , toute façon le débit de fuite suit la profondeur d’immersion. En service courant l’étanchéité est contrôlée à chaque plongée par des rondes tous les 20 m par paliers croissant En marine militaire le vocable c’est manchon de coque , pour un soum les manchons de coque font partie de la coque épaisse SUFFREN https://www.agasm.fr/le-ssn-suffren-de-la-marine-nationale-effectue-un-test-de-plongee-statique-dans-le-cadre-des-premiers-essais-en-mer/ 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
mudrets Posted May 24 Share Posted May 24 (edited) il y a 37 minutes, Hirondelle a dit : J’invoque @mudrets puisque ses loisirs sont de mettre à l’air les tripes des bateaux noirs soviets: batteries conséquentes ou non sur les sous-marins nucléaires rouges ? Oui, parce que de toutes les manières il faut de l'énergie pour pouvoir manœuvrer si panne du réacteur. C'était moins vrai pour les biréacteurs. Mais après un cas douloureux (accident du K-27 de la classe 645) , il avait fallu rajouter un sinon deux générateurs Diesel pour faire avancer le sous-marin et en même temps entraîner les pompes du réacteur en arrêt très chaud, les batteries étant insuffisantes pour assurer toutes ces fonctions Edited May 24 by mudrets 3 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
mudrets Posted May 24 Share Posted May 24 PS à la réponse précédente. Dans le schéma du K-48, on note bien la possibilité de désaccoupler la ligne d'arbre de la propulsion vapeur pour la faire fonctionner sur batterie 1 Quote Link to comment Share on other sites More sharing options...
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