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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 19/04/2016 dans toutes les zones

  1. Il était pluss bô, et surtout la gente dame occupée à lui toucher la... le... enfin la protubérance de devant était ma foi fort accorte. C'était un temps où les avionneurs savaient faire la promotion de leurs produits, que diable ! Attention, l'effet tunnel est bien réel. De plus, on peut aussi l'appliquer à des objets tout ce qu'il y a de plus macroscopiques. Par exemple, lorsque je visite la Tour de Londres et passe près des bijoux de la Couronne britannique, il existe une certaine probabilité non nulle qu'un beau diamant se retrouve tout à coup dans ma poche, parce qu'il y est passé depuis la vitrine par effet tunnel. Je n'ai pas dit que la probabilité était grande, hein... j'ai juste dit "non nulle" Il faut tout de même modérer le pessimisme concernant le programme F-35. Il existe une probabilité pour que l'avion entre en service dans le calendrier publié à ce jour, avec les performances prévues, et que les modifications à apporter aux centaines d'exemplaires produits d'avance s'avèrent minimes. Cette probabilité est non nulle, je dirai même plus : elle est supérieure à celle du diamant qui apparaît dans ma poche ! Bon, j'ai pas dit supérieure de beaucoup, non plus
    6 points
  2. Parce que tout ne va pas toujours plus mal en France qu'ailleurs, cette étude internationale de 2006 sur les regards croisés des Occidentaux et des peuples musulmans, qui inclut aussi des résultats sur les opinions envers les religions en général ou envers les compatriotes qui sont de telle ou telle religion. Elle a été menée dans de nombreux pays en parallèle et est d'autant plus intéressante. L'étude est longue, mais la page 2 sur laquelle j'ai pointé donne déjà une bonne idée. Pour faire simple : - Les Européens musulmans ont une image bien plus positive des Occidentaux que leurs coreligionnaires de pays musulmans - Les Français sont les Occidentaux qui ont la meilleure image à la fois des juifs et des musulmans - Les Français musulmans sont en comparaison de leurs coreligionnaires d'autres pays les champions toutes catégories de la bienveillance vis-à-vis à la fois des chrétiens et des juifs. La différence est abyssale si on compare avec les habitants de pays musulmans, mais elle est très nette même si on compare à d'autres Européens musulmans : 71% des Français musulmans expriment des opinions positives sur les juifs, contre seulement 38% des Allemands musulmans ou 32% des Britanniques musulmans L'étude date certes de dix ans. Mais les représentations sociales ne sont pas nécessairement très mobiles, et il est probable que les choses n'aient pas tant changé que ça. Pour citer une étude de 2014, les Français restaient cette année-là les Occidentaux avec l'attitude la plus positive envers à la fois les musulmans et les juifs. Evidemment cela ne signifie pas que "tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles" ! Les recruteurs salafistes sont bien réels et bien actifs, les jeunes qu'ils convainquent de faire djihad en Syrie vont vraiment se faire trouer la peau voire reviennent formés pour des attentats chez nous. Ces phénomènes ne sont pas nécessairement plus fréquents en France que dans les autres pays européens - si on se rappelle qu'avec 8% de la population c'est parmi les Français que les musulmans sont les plus nombreux - ils ne sont pas non plus moins fréquents. Mais il est tout de même réconfortant d'avoir de la donnée solide à l'appui non seulement : - de l'idée qu'une minorité même violente et en expansion n'est pas représentative de l'ensemble des Français musulmans, - mais encore que pris globalement "nos" musulmans à nous sont en fait... assez exceptionnels de tolérance, comparés à la "moyenne" musulmane mondiale ou même européenne, - tandis que nous autres Français pris globalement sommes plutôt davantage tolérants des croyants de religions non majoritaires comme musulmans ou juifs que ne le sont nos voisins européens ou nos amis américains ou russes. Est-ce l'effet de notre "modèle" français ? Je ne sais pas. M'enfin disons qu'au minimum il ne doit pas trop gêner ...
    6 points
  3. C'est pas un foulard islamique, c'est un hayek, une tenue traditionnelle, ça n'a rien à voir avec l'islamisme, bien au contraire ^^ Des femmes militent justement pour son retour depuis quelques années. http://observers.france24.com/fr/20150312-algerie-femmes-haik-hijab-tradition-patrimoine-culturel Le FIS était bien pire que ça, c'est la façade policée qu'ils ont présenté à la face du monde ce que tu viens de citer. En off, c'était de l'acide balancé sur les femmes qui refusaient de se voiler intégralement, c'était des viols, des meurtres d'intellectuels, de journalistes, d'artistes, de militaires, gendarmes, policiers, de cadres de l'Etat, de membres de minorités religieuses et aussi de leurs familles. C'est aussi la fraude électorale, même si peu de gens sont aujourd'hui au courant. Le FIS, c'était les attentats bien avant les élections et leur interruption, c'était les slogans du genre "la démocratie est impie", c'était la volonté de supprimer l'éducation... Grillé par Shorr Kan
    4 points
  4. Bon pour répondre à Kiriyama et les autres, pour les chaines TV publiques, elles sont trilingues, Arabe, Français et Berbère (Kabyle, Chaoui, Targui et autres), il y a une autre chaine publique dédiée à l'Islam Maghrébin et au Coran. Pour la Langue enseignée à l'école, c'est l'arabe disons simplifié, pour l'alphabet il n’y qu'un seul alphabet arabe avec 28 lettres et qui s'écrit de droite à gauche, le dialecte Algérien est un dialecte parlé et non écrit mais avec les réseaux sociaux et les SMS, il s'écrit plus facilement en latin majoritairement, c'est un mélange de plusieurs langues, principalement le berbère disons à plus de 40% l'arabe, le Français "algérianisé" le turque, même quelques mots en espagnol pour les gens de l'Ouest, bien sur le dialecte diffère d'une région à l'autre, les gens du sud et de l'intérieur n'utilisent presque aucun mot français, le dialecte Algérien est compris à 100% par les Tunisiens et Marocains qui peuvent l'imiter sans difficulté, un peu moins par les Libyens et difficilement compréhensible par les autres arabes. Les Algériens par contre comprennent facilement le dialecte égyptien et syrien/libanais parce que à la maison ils regardent beaucoup de feuillons et films arabes, le dialecte arabe du moyen orient est aussi très différent de la langue arabe littéraire, car les peuples arabes à l'époque ont été mélangé avec les bédouins et autres races, par exemple la lettre G dans le sens Ga n'existe pas en arabe originel, elle se prononce K'a en sortant le k du voile du palais mais les arabes du golfe la prononcent Ga...etc
    4 points
  5. Toute l'Inde en quelques mots ...
    4 points
  6. Simplement, pendant le développement de l'ATL2 on a fait des simulations pour voir l'efficacité du système d'arme, ces simulations devaient donc prendre en compte les bateaux et les sous marins avec des paramètres réalistes, ce qui m'a permis de m'instruire!
    3 points
  7. Le soucis est qu'on a plus de marge de sécurité c'est à dire que dans ces configurations 1- le p-a peut difficilement lancer sans vent réel (ou avec 5 nœuds de vent ...) ce fut la raison principale de l'annulation du raid des A4 argentins à partir du 25 de Mayo au début de la guerre des Malouines (propulsion et catapulte asthmatiques, pas de vent et des A4 un peu chargés) 2- il sera contrait de prendre toujours la route aviation le plus près possible de l'axe du vent, il y a des cas en effet où le PAN ne catapulte pas exactement dans l'axe du vent (30 à 60 ° d'écart) car cela interfère avec d'autres exigences en terme de route ...
    3 points
  8. Il existe des solutions pour tout cela. Le chef de l'équipe des officiers américains tenant ce rôle me l'a laissé entendre... ... et la vérité est ailleurs. Les missiles pourraient être limités "en dur" quant aux cibles autorisées en effet. Ce qui a l'avantage de la simplicité Pour un contrôle plus fin, on pourrait imaginer que le code de lancement de chaque missile inclue un code de déblocage qui ne soit pas en possession de l'équipage britannique, mais seulement d'un officier américain à bord. Et cet officier n'approuverait le lancement que si l'ordre de tir incluait la "bonne" séquence en annexe... séquence connue uniquement du pouvoir américain. Ou encore, le code pourrait carrément être reçu en même temps que l'ordre de tir, sans présence d'officier américain à bord. Le tout revenant en fait à un système de "double clef" où l'autorisation à la fois du premier ministre britannique et du président américain serait nécessaire pour effectuer un lancement. Tout cela ce sont des spéculations ou des rumeurs, certes. Il reste que si j'en crois "Initiation à la force de frappe française 1945-2010" par Marc Théléri page 259, que j'ai devant les yeux, dans le cas de la dissuasion française le code de déblocage est individuel pour chaque tête nucléaire de sous-marin et chaque missile balistique. C'est-à-dire que pour tirer un missile et que ses têtes explosent, il faut toutes les parties du code, celles qui portent sur chacune des têtes et celle du missile lui-même. Si l'organisation de la sécurité de la dissuasion britannique est similaire à celle de la française, il existe donc un code particulier à chaque missile. Or il faut rappeler que non seulement tous les Trident II sont maintenus par leur fabricant Lockheed Martin dans son usine de Kings Bay en Géorgie mais il n'existe pas de Trident II britannique à proprement parler. Le pool des Trident II est unique, les Britanniques ont acheté seulement à droit à location d'un certain nombre de missiles, et le même missile qui équipe aujourd'hui un Vanguard de la Royal Navy sera peut-être monté plus tard sur un Ohio de l'US Navy, après son prochain entretien programmé. Ou vice-versa. C'est dire à quel point un code éventuel de déblocage du missile serait dans les mains des Américains et non des Britanniques. Si un tel code existe, alors il est tout simplement transmis aux Britanniques lorsque leur est livré le missile après son entretien. Ou pas - il peut n'être transmis qu'au moment du tir. Ou même, il peut être transmis aux Britanniques... sauf qu'il est faux. Et si lors d'une crise Londres en liaison avec Washington décide de tirer des missiles, et que la partie américaine approuve, alors elle leur dira "Ah oui au fait... voici le vrai code de votre missile" Bien sûr, on peut aussi imaginer que les Etats-Unis donnent vraiment au Royaume-Uni des missiles nucléaires avec contrôle total sur leur utilisation. On peut l'imaginer. Je rappelle quand même que lorsque Londres a insisté vraiment beaucoup pour se voir confier les codes sources du logiciel embarqué du F-35, Washington est resté inflexible. Il a refusé de jouer la confiance totale pour un chasseur, même furtif... et il l'aurait accepté pour un missile nucléaire ? Personnellement, j'en doute fort. Le seul ? Voire... En 2006, le Select Committee on Defence du Parlement britannique publiait un rapport sur la dissuasion britannique. Le titre de son annexe B : "UK's Trident system not truly independent". Dans cette annexe, un tableau assez éloquent du degré de dépendance pour chaque composante du système. Aucun élément du système global sous-marin / missile / tête nucléaire britannique n'est véritablement indépendant des Etats-Unis ! Même si les Etats-Unis n'ont pas installé de "backdoor de sécurité" sur le système, ils pourraient faire s'écrouler la dissuasion britannique si Londres effectuait une frappe sans obtenir leur accord. Comme le dit le Parlement britannique dans le lien que j'ai cité, "The fact that the UK is completely technically dependent on the USA for the maintenance of the Trident system means that one way the USA could show its displeasure would be to cut off the technical support needed for the UK to continue to send Trident to sea." Selon la commission inter-partis "Trident", "If the United States were to withdraw their cooperation completely, the UK nuclear capability would probably have a life expectancy measured in months rather than years" Seulement si le gouvernement français est d'accord. Airbus est certes une entreprise privée. Mais la France dispose d'un contrôle prioritaire, pour ne pas dire absolu, sur ce qui se passe dans la partie d'Airbus - anciennement EADS - où sont développés les missiles de la force de dissuasion. Et nul employé non-français d'Airbus n'y est le bienvenu.
    3 points
  9. Si on fait des blindage en truc de science fiction, on fait aussi des fleches en truc de science fiction ...
    2 points
  10. Que je sache, financièrement il ont encore un peu de resserves, et même plus qu'un peu. Comme l'avait déjà noté Alexis, leur situation est comme celle de la Russie, intermédiaire entre celle des pays du Golfe qui ont beaucoup de marge et la situation catastrophique du Venezuela - je me demande comment font ces derniers d'ailleurs... Leur problème c'est que les prix ont de bonnes chances de rester bas de trèèèèèèèèès longues années si la crise que traverse l’économie mondiale est bien à l'image de celle qu'a connue le Japon et connait encore. Pas de quoi paniquer dans l'immédiat, mais à moyen terme -disons 5 ans- ça le fait difficilement. Sinon une question, quelqu'un connait le coût moyen d'extraction d'un baril de pétrole en Algérie ? ça devrait être un bon indicateur de viabilité économique du pays. Je me souviens de quelque chose comme 20 dollars. Aussi, quelqu’un sait si l’Algérie a atteint son pic pétrolier ou est en passe de l’être et à quelle échéance ? Je pense qu'il faut partir de ce genre de fondamentaux pour extrapoler avec un minimum de pertinence.
    2 points
  11. Sagem, OIS-AT To Co-Produce AASM Hammer In India : http://www.defenseworld.net/news/15857/Sagem__OIS_AT_To_Co_Produce_AASM_Hammer_In_India#.VxXvmkfixGk
    2 points
  12. C'est fini. Bonne lecture Trop souvent, les décisions reposent sur des incompréhensions, du mimétisme, des modes. Les VBTT/VBCI sont vraiment apparus dans les années 40. Leur renouvellement ne peut être rapide aussi une décision peut-elle avoir des effets sur 30 à 40 ans. Si dans les années 50 on introduit un véhicule avec sabords de tir, cette décision va se faire sentir jusque dans les années 80, voir plus loin pour tous ceux apparus plus tard par mimétisme. Ce liminaire montre qu'une mauvaise analyse peut être persistante dans le temps et auto alimenter sa pertinence (ils le font donc c'est ce qu'il faut faire.). Ceci posé, je verrais ce sujet sous trois approches complémentaires avant de conclure et de présenter un cas concret. Un sabord de tir doit, comme tout équipement, être vu sous trois angles : structurel/mécanique/technique, organisationnel et opérationnel. - Approche technique : Par définition, c'est un trou dans une paroi. Moins il y en a, mieux c'est au niveau balistique. Ce trou doit être fait. C'est une évidence mais on oublie souvent que cela a un coût. Il faut percer, il faut faire les occulteurs, les contrôler, les remplacer en cas de défaillance. Pour un blindé de grande taille, c'est négligeable mais quand on adopte une grande série, c'est une de ces petites choses que l'on surveille. Un blindé doit être étanche et pas seulement contre la pluie. C'est un espace de confinement. Le sabord doit donc être étanche contre les gaz. Tous ceux qui ont connus des contrôles NRBC de leurs blindés savent de quoi je parle (Même si ce ne sont pas des sabords de tir, les VAB ont 19 ouvertures au total à cause de leurs fenêtres. Du délire.). Un blindé vit. Aussi est-il fort probable qu'il reçoive à mi-vie un surblindage. Dans ce cas, laisser les sabords ajoute un sur-coût par la complexité de découpe rajoutée. Sceller un sabord rajoute là aussi un coût. Certains modèles cherchent à optimiser le tir. Ils sont faits sur mesure pour certains fusils d'assaut. Je me souviens d'une rotule de tir pour le AUG-77. On couplait l'arme au sabord et l'optique était alignée avec l'ouverture. L'ensemble ne faisait plus qu'un. Génial! Mais à quel prix? Et quand on change de fusil? Un sabord doit donc être assez général, pour ne pas dire primitif. Quand vient le tir, que ce passe-t-il ? Et bien ça fait "boum" au départ du coup. Le bruit des gazs sortant du cannon est faible grâce à la séparation de la paroi. En revanche, celui à l'ouverture de la chambre pose problème. Au niveau sonore, on est limite car le volume fermé du blindé crée une sur-pression. Il peut y avoir traumatisme sonore. De plus, en tir soutenu, il y a toxicité des gazs. Il faut adjoindre une ventilation. Cerise sur le gâteau, l'éjection des étuis dans l'habitacle. Il faut donc prévoir des récupérateurs ou des déflecteurs (C'est le cas des Ratel sud-africains qui ont un panneau caoutchouté à droite de chaque sabord. Les étuis du R4 ricochent pour tomber au sol.). Très vite, on se rend compte que l'idée pourtant simple peut devenir complexe (N'oublions pas que la plus part des sabords viennent de périodes ou de pays où les normes de sécurités ne sont pas celles de la France en 2013. Les protections auriculaires opérationnelles sont très récentes.). - Approche organisationnelle : a - Réduction des volumes de rangement Pour être employable, un sabord suppose qu'il soit accessible de l'intérieur et qu'il ne soit pas obstrué par l'extérieur. Ce truisme (catégorie olympique) explique pourquoi il faut être prudent sur l'intérêt de leur présence. Les blindés sont des bases vie. Le moindre volume disponible doit être occupé. De toute façon, la troupe partant au combat fera toujours le choix d'obstruer un sabord plutôt que de le laisser opérationnels. Ceux qui veulent faire le test peuvent monter dans un VAB lors d'une journée portes ouvertes. Qu'ils regardent le volume pris par les fenêtres et le mécanisme d'ouverture des occulteurs si on les laisse libres. Ils comprendront que ce n'est pas possible. Un homme, c'est environ 200l d'impédimenta, plus tout le reste. Si la décision de placer un sabord de tir est prise (après une analyse rigoureuse), alors cela signifie que le véhicule n'est pas prévu pour avoir une grande autonomie. C'est le cas des applications policières où on travaille par créneaux de 6 à 10 heures. Combattre suppose des créneaux de 5 à 6 jours. Ce n'est pas la même chose. Pour cette seul raison, j'aurais scellé les fenêtres du VAB (7 sur les 10 en tout cas) lors de sa revalorisation. b - Incompatibilité avec la disposition du groupe porté Pour tirer, il faut être face à la paroi dans une position confortable. Or, la seule disposition valable dans un véhicule de combat est dos à la paroi. L'idée de tirer à travers les flancs est alors très souvent incompatible avec un positionnement optimal du groupe porté (Voir le cas concret à la fin). Rappelons que la plus part des blindés avant les années 80 plaçaient les hommes face à l'extérieur. Cela permettait l'emploi de sabords sachant que l'idée de durer au combat n'était pas la même. La seule zone compatible est celle des portes car il y a rarement de rangement (même si c'est souhaitable). - Approche opérationnelle : a - Sécurité au combat La vie en blindé impose les même règles de sécurités qu'en hélicoptère. On reste canons vers le bas à l'intérieur. Ce n'est jamais enseigné mais c'est fondamental. En cas de départ de coup accidentel, la balle ira dans les jambes, non dans la tête. Introduire des sabords sous entend que l'on va avoir des armes à l'horizontal dans l'habitacle. Cela au moment de placer son arme et pour la retirer. C'est ce qu'il y a de plus dangereux. Comme chef, je refuserais de travailler ainsi. Autre élément de sécurité. Il est intéressant de pouvoir tirer en faisant débarquer le groupe porté. L'armement principal est là pour cela. Avec des sabords, il est tentant de développer des "combinaisons" où le groupe débarque en continuant à tirer depuis les sabords. C'est particulièrement dangereux car la hauteur de tir de ceux-ci est celle des hommes à l'extérieur et il n'y a pas de vision réciproque de ce que fait l'autre. Il y a une séparation visuelle. Un mitrailleur de toit peut, lui, tirer lors du débarqué, pas les sabords. Pour ces raisons de sécurité, il faudrait les interdire. b - Tire-t-on vraiment depuis les sabords? Ouvrir le feu suppose que l'on vous tire dessus. En véhicule, il y a deux équipes qui n'ont pas la même méthodologie même si elle consiste toujours à "survivre". Le groupe porté ne peut faire que trois choses : attendre, tirer (par les sabords ou depuis les tappes de toit) et débarquer pour prendre le contact. L'équipage a lui deux options : retourner le feu et se déplacer vers un abrit. Il fait se dire qu'un blindé face à un tir est toujours la cible d'une roquette (aujourd'hui, tous nos adversaires ont un lance-roquettes par équipe ou binôme.). Dans ce cas, le démarrage par le pilote sera systématique. Pour le groupe porté, la conséquence est double : le tir en sabord se fera en roulant et si ses armes n'y sont pas en position, il n'aura pas le temps de les y mettre qu'il sera déjà parti vers un point refuge où il va débarquer. Tirer en roulant est impossible : On ne peut viser donc toucher. Dans tous les cas, on comprend que les sabords ne peuvent pas employés. Les seuls à pouvoir retourner le feu sont les hommes en surveillance depuis les tappes de toit. Autre problème : si l'armement du groupe porté est en sabords, cela rajoute des manipulations pour être près à débarquer. Or, l'une des clefs de l'efficacité opérationnelle se fait sur la vitesse de débarquement. Je ne parle même pas des rotules dans les rampes (voir cas concret, plus bas.). c - Le cas des autres armes Quand on réfléchi à ce qui pourrait nécessiter de faire passer quelque chose par une paroi, on voit qu'il n'y a pas que les fusils. Face à un simple caillassage, on n'ouvre pas le feu mais on peut avoir besoin de lancer une munition anti-émeute pour repousser ponctuellement une foule hostile. Le sabord devient là très pertinent. Il protège le lanceur, rend difficile le renvoi d'une munition à main par les émeutiers. Le besoin d'espace momentané entre le véhicule et la foule est obtenu. De même, le tir de cartouches grenades ne pose pas les problèmes des fusils d'assaut en terme de bruit et éjection d'étuis. En conclusion : Pour résumer, faiblesse balistique, sur-coût à l'achat et sur le cycle de vie, perte d'un volume de rangement crutial, incompatibilté avec un placement rationnel des hommes, baisse de la sécurité (danger), emploi presque impossible au combat, les sabords ne doivent pas être réduits à l'argument "tir sous blindage". Ils sont bel et bien un outil ayant son intérêt mais il faut bien cerner ses limites. Ils sont pertinents pour les véhicules de police (comme pour les VBRG) et assez absurde pour les véhicules de combat. Pour ma part, le VBMR doit intégrer un sabord dans la porte arrière. Cela permettrait de jeter une grenade de désencerclement ou lacrymogène pour préparer un débarquement alors que le véhicule est cerné par une foule hostile. Si on veut en placer, le faire dans les portes. Cela gêne moins l'organisation intérieur car elles ne sont pas de gros espaces de rangement. Cas concret : le Bradley Fighting Vehicle Les blindés cherchent toujours à intégrer de nombreux concepts tactiques. Parmis ceux-ci, il y a le "combat embarqué" (qui fait encore l'objet d'un certain intérêt). Sans analyser ici sa pertinence, on peut dire que c'est l'idée selon laquelle "un groupe porté combat depuis l'intérieur d'un blindé". Pour ce faire, les blindés adoptés dans cette logique vont se caractériser par l'usage de sabords de tir. Nous pensons très souvent aux familles de BMP et de BTR car la doctrine soviétique a toujours vanté la puissance de feu en attaque à laquelle est integrée l'armement du groupe porté. Mais le cas le plus intéressant est à ce jour celui de la Bradley Fighting Vehicle. C'est probablement le blindé qui connaîtra la réorganisation la plus profonde depuis sa mise en service initiale. A- Le système initial Les sabords de tir du Bradley sont des rotules sphériques dans lesquelles se visse un fusil d'assaut dédié, le M231 Firing Port Weapon. On en trouve deux par flancs et la rampe arrière. 1- Le M231 FPW Ses origines datent de 1972 et suivent en parallèle celles des BFV. La version finale est un M16 compact dont l'avant du fut est un pas de visse. Cela permet une fixation étanche aux gazs ainsi que le contrôle de l'arme. Celle-ci ne tire qu'en rafale à une cadence de 1100/1200 cps/mn des munitions traçantes. La visée se fait via un épiscope au "jet d'eau" (Cela consiste à suivre les traçantes pour les amener en cible.). Il surplombe la rotule. Elle est connectée à un tuyau d'aspiration des gaz. 2- Disposition intérieure La disposition intérieure des BFV est dictée par deux priorités : 1) faciliter le rechargement du lanceur TOW et 2) employer les rotules de tir. Pour cette dernière fin, les sièges sont individuels et placés de façon complexe pour permettre l'observation et le tir. À ce titre, le BFV a une très bonne répartition périphérie pour le groupe porté. En revanche, les opérations de débarqué/embarqué sont trop complexes. La version M-3 est le Cavalry Fighting Vehicle. À l'arrière, il ne porte que deux éclaireurs. Le reste du volume est dédié aux munitions (et c'est impressionnant) ainsi qu'à une moto (qui disparaîtra. Son carburant était dangereux). Les rotules de tir de flanc sont obturées par une plaque boulonnée et il manque les épiscopes. Cela diminue la facture (4 trous et épiscopes en moins). 3- Les défauts Le M-231 est incapable de faire but. La cadence de tir est telle que le tireur n'a pas le temps de monter en cible avec son "jet d'eau" que son chargeur est vidé. Une cadence de 200 a été testée avec succès mais fut rejetée. L'US Army voulait du "supressive fire", équivalent de notre "boule de feu" nationale. Si l'arme n'est pas correctement vissée, elle recule dans l'habitacle immédiatement. Je vous laisse deviner ce qui se passe. Le FPW est un matériel en plus. Il prend un place qui pourrait être dédiée à autre chose. Quand un FPW est placé dans les rotules de la rampe arrière, cette dernière ne peut être baissée. Imaginez le résultat : la rampe plante le canon dans le sol et les soldats ont deux pieux plantés dans la rampe pour débarquer. Si les armes sont mesures de sécurité faites, dévissées et rangées, il faut encore refermer la rotule par un gros clapet. Sinon, la rampe garde deux trous où les pieds peuvent de prendre. Grossièrement, on dirait : "du bordel en perspective". Or, un groupe porté doit être capable de débarquer sans délais. Cette rampe est le symbole de ce qui ne faut pas faire. C'est une solution purement théorique qui est inemployable pour ce qu'elle est sensée faire, est dangereuse et coûteuse à fabriquer et entretenir. B- Les modifications Le standard A1 verra ici une modification radicale pour les M-3. Les rotules latérales disparaîtront. Les épiscopes des deux éclaireurs sont repositionnés dans la tappe de toit. La caisse est plus simple à construire et donc un peu moins chère. Avec le standard A2, la caisse est profondément remaniée. À l'exterieur, elle reçoit un surblindage caracteristique avec un kit réactif optionnel pour les zones de guerre. À l'intérieur, un revêtement pare-éclats est posé. En conséquence, les M-2A2 Infantry Fighting Vehicle perdent leurs rotules latérales. Cela autorise une rationalisation totale des stockages intérieurs. Les épiscopes en caisse sont conservés. Le M-3A2 verra également la perte des dernières rotules de la rampe arrière. Le "combat embarqué" n'existe plus ou très peu. Il est à noter que la disposition des sièges reste individuelle ; le rechargement du TOW prime. Le chargeur TOW est à l'angle arrière gauche du compartiment. Il a deux missiles à la verticale à sa gauche. Pour recharger, il entre-ouvre la tappe de toit à 45deg. Le lanceur s'incline dans l'axe et un missile est chargé. La forme particulière de ce volet est calculer pour protéger au maximum le chargeur tout en facilitant le chargement. Sinon, ce volet serait plat. C'est une version plus tardive du M-2A2 qui va voir l'introduction de deux banquettes latérales. Cette nouvelle disposition attribue la priorité au confort du groupe porté plutôt qu'au rechargement du lanceur TOW. Cette organisation est plus simple pour embarquer/débarquer, pour prendre en compte un blessé, voir se reposer. Les hommes peuvent tous étendre leurs jambes. Avec le standard A3 voit les banquettes remplacées par des modèles anti-mines. La perte progressive des rotules des BFV sera la conséquence de la mise en évidence de la faible efficacité de ce système pourtant très étudié. L'argument du tir sous blindage n'est plus suffisant pour s'opposer à d'autres plus nombreux : simplification et baisse des coûts de construction des caisses et amélioration de la protection. De plus, l'accumulation du retour d'expérience en combat mécanisé va rationaliser l'intérieur par une disposition plus simple et fonctionnelle. L'analyse initiale qui plaçait vitesse de rechargement des TOW et tir aux armes individuelles, le tout sous protection, a été invalidée.
    2 points
  13. Ouais, mais ce qu'ils oublient, les British, c'est que nous, on a raison, et eux, ils ont tort. C'est scientifique.
    1 point
  14. Missile anti radiation ? Si le rafale ne peut pas integreer de missiles specialises Ils en prendront moins ???
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  15. D'après PARIKRAMA Customizations of the indian missiles are not fully ready and hence we will do it in India and do again the whole testing + certification.. i said NG version of missiles are not ready yet.. Little is known about Spectra database.. It seems Our NSA Mr Doval has worked out some quid pro quo structure for that... Ours wont be empty for sure.. In return we may provide some data pointers/emission for the database.. Something about periodic sharing and exchange.... Not disclosed is the extent.. Source: http://defence.pk/threads/dassault-rafale-tender-news-discussions-thread-2.351407/page-219#ixzz46J12zYFM Surtout que cela doit être 10 t même en décollant en altitude de Leh (Himalaya)
    1 point
  16. penser et entretenir sont deux notions tellement éloignées quand on parle d'argent ..... et pourtant si on arrivait a penser pour entretenir cela coûterait certainement moins cher sur la durée de vie du véhicule... un avenir proche nous dira si on sait faire ...... D'ailleurs, dès le début du char Leclerc on a pensé a un dépanneur et pour le VBCI ..... rien !!! attendons de voir le dépannage dans Scorpion.
    1 point
  17. Je mets un bémol conditionnel (nouveau concept ) sur le cas Trump quand aux élections restantes: je n'ai pas regardé le détail des règlements d'élections de chaque Etat, particulièrement dans le cas des "winner takes all states", mais je souligne quand même que ce qualificatif ne veut pas nécessairement dire que celui qui a le plus de voix emporte tout. Plus précisément, beaucoup d'Etats dans ce cas ont des conditions: pour certains, il faut arriver à la majorité pour emporter tous les délégués de l'Etat (un concept que nous connaissons bien en France), et si personne n'y arrive, c'est une répartition proportionnelle; pour d'autres, le principe "winner takes all" n'est pas au niveau de l'Etat, mais des circonscriptions, avec le même caveat majoritaire qui peut aussi être adjoint ou non, et enfin, pour certains, on est effectivement dans le cas de l'attribution de tous les délégués à celui qui arrive en tête, quel que soit son score. Encore un petit point pour Trump avec la Pennsylvanie (point que j'avais fait plus haut dans le topic, à la page précédente je crois): elle a un nombre anormalement élevé de "unbound delegates", soit des délégués élus mais non liés à un candidat, qui restent libres de leur vote dès le premier scrutin à la convention. Ils sont 54 je crois, mais je ne me souviens plus s'ils font partie du total que tu rappelles ou s'ils s'y ajoutent. Néanmoins, les deux tiers d'entre eux indiquent (selon un sondage) que quelle que soit leur préférence personnelle, ils voteront en suivant la préférence du suffrage de la primaire (donc Donald). Pour la générale (non, pas Mme Clinton), l'un des points cruciaux que soulignent les cotes d'impopularité/popularité (unfavourables/favourables) pour Clinton est que son problème résidera, si elle est effectivement nominée comme c'est probable, dans la faible attractivité de sa candidature, non en terme de choix de vote, mais plus prosaïquement en terme de choix de voter tout court. Le fait est que Mme Clinton ne soulève aucun enthousiasme au-delà du socle principal d'électeurs démocrates "raisonnables" et des indépendants qui vont de toute façon voter. Elle est une incarnation du "vote utile", réglé sur le cran "on pourrait avoir pire": dans l'imagerie mentale de la scène publique, elle est l'assiette de légumes verts dont on se dit qu'il faut bien en bouffer de temps en temps, même si dans la réalité, elle est plus une continuation du "business as usual", qui verra le système actuel hautement corrompu et polarisateur de richesses (et d'opinions) se renforcer encore plus, avec peut-être un peu plus de miettes qui tombent de la table pour les "99%), soit en aucun cas l'aliment sain qu'est le légume vert. Mais le point est que c'est là la faiblesse potentielle de sa candidature, et la raison pour laquelle Sanders est projeté comme pouvant l'emporter avec beaucoup plus de marge face à chacun des 3 candidats républicains potentiels: sa candidature fait sortir nettement plus de gens de leur canapé. Clinton, elle, ne peut compter sur un tel effet, malgré le net virage à gauche que le succès inattendu de Sanders lui a fait prendre il y a 5 mois. Le problème d'Hillary, et la chance potentielle de Trump -que son impopularité ne menace pas de dissuader le vote, mais ne fera pas non plus voter de larges contingents de nouveaux électeurs en opposition à sa trogne-, c'est donc le faible taux de participation qu'elle risque de provoquer. Sinon, vendredi dernier, Gallup a publié les résultats d'une enquête assez approfondie pour représenter les sentiments des Américains sur le sujet de la taxation. Il apparaît que 62% des Américains trouvent que les riches paient trop peu d'impôts, 25% seulement pensant qu'ils paient une juste part. Et 69% trouvent que les grandes entreprises ne sont pas assez taxées (16% pensant que les niveaux sont justes).... Ce dernier point omettant d'entrer dans le détail pour sonder le sentiment sur le fait qu'elles ne paient de facto pas ou peu d'impôts. Mais cette enquête de Gallup visait à ne laisser aucune ambiguité, donc ils ont modulé les échantillons et les questions: en interrogeant les "modérés" (en termes d'opinions), ils ont trouvé que 67% d'entre eux voulaient plus d'impôts pour les plus riches, et en se concentrant sur ceux qui gagnaient entre 75 000 et 150 000 dollars par an (classe moyenne supérieure et "well off"), il est apparu que même ces probables bastions d'un certain conservatisme fiscal trouvaient (à 57%) que les impôts devraient être plus élevés. Pour pousser le vice, l'institut a formulé la question de la façon la plus foxnewsesque/aynrandienne/JohnBirchienne possible (avec des mots comme "plus de redistribution des richesses", "gouvernement", "lourdes taxes sur les riches".....): à 52%, les Américains répondent "oui". On est désormais très loin non seulement des certitudes fondant le paradigme politique des 40 dernières années, mais plus encore, du ton général encore d'actualité sur les grands médias américains dont le niveau de réflexion économique, sur les chaînes conservatrices comme sur les "liberals", reste généralement centré sur le refus de la taxation et sa baisse comme le seul moyen de créer de l'activité. Encore un tabou et une paire d'oeillères mentales. Mais c'est pas trop étonnant, vu que les grands médias, surtout télés, sont aujourd'hui essentiellement des porte-voix payés par les grandes entreprises, celles auxquelles ils appartiennent, et celles qui alimentent leurs budgets pub (pour quelle autre raison y aurait-il cette foultitude de pubs sur des banques, des entreprises d'extraction de gaz ou de pétrole.... C'est pas comme ça qu'ils trouvent des clients); mais il est aussi peu étonnant de constater que même si ces chaînes n'ont jamais eu des audiences aussi petites et en réduction structurelle, et des bénéfices si élevés (cherchez l'erreur), la cote de confiance des grands médias, elle, est comme celle de Trump, d'Hillary ou du Congrès (à 4% de "job approval"): dans les choux, à 4% de confiance et satisfaction exprimées par le peuple américain qui s'informe désormais autrement.
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  18. Tout ça pour dire que ton char a une mécanique pensée et entretenue par des gars tip-top. Je te vois venir.
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  19. ´tain ça sent bon, si Modi se présente comme le gars qui a fait économiser 3 Mds $ en passant commande des Rafous :-)
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  20. Le Tu160 peut faire des vols en basse altitude. Je n'ai pas assez d'infos pour préciser l'altitude mais vu les photos ou il est en patrouille à la cime des arbres avec des Su27, j'ai l'impression qu'il s'agit de TBA. Ensuite je n'ai évidemment pas de données chiffrés, mais le Tu160 n'est pas qu'un B1-A un peu plus gros. C'est un avion bien plus moderne de la génération du B2, même si ça furtivité n'est pas comparable à celle du B2, le Tu160 a une aérodynamique assez travaillé et serait relativement furtif. Vu la quantité de bombes emportés, il s'agit quand même d'un bombardier lourd qui représente une très grosse menace. Concernant la mission des Tu160, c'est aussi de faire une guerre "d’attrition" avec ses adversaires. Les russes jouent beaucoup à tester la PO de leurs voisins. Ils envoient un bombardier frôler/franchir la frontière puis forcent l'aviation adverse à décoller et donc user son potentiel pour effectuer l'interception. Avec des Tu160 capable d'un rayon d'action de 12 300 km, ils peuvent se contenter d'une seule base aérienne pour imposer l’existence d'une PO prête à réagir sur toutes les bases à 10 000 km à la ronde. Et avec cette autonomie, lors d'une unique patrouille, les Tu160 vont probablement se faire intercepter par plusieurs chasseur donc pour un vol de 20 heures de Tu160, on va probablement avoir plus de 40 heures de vols de F16, gripen, Typhoon ou Rafale. Dans quelques années face à des F35, les Tu160 pourront aussi s'amuser à les semer en accélérant donc l'OTAN risque de devoir déployer plusieurs F35 pour pouvoir assurer une interception correcte.
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  21. Il s'agit d'un Youtuber anglais assez connu (~100 000 abonnés), historiens, prof d'AME (Arts Martiaux Européen), et qui fait des vidéos sur un peut tout ce qui touche au combat du moyen âge et plus rarement sur les combats au CàC des guerres napoléoniennes et 1er/2eme GM. Et ici il fait un plaidoyer disant que ça l'énerve sévère cette histoire de "french surrender" et il remet les pendules à l'heure sur de nombreux points.
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  22. Les 9 seront instructeurs pour les autres, car en dehors des 12 avions déjà achetés, la RoAF cherche à acquérir 12 autres F-16 d'occase. Et on parle d'instruire des pilotes déjà formés sur MiG-21 LanceR.
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  23. Un bon vieux chasse crépine à 250 bars ça marche bien aussi
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  24. DAC approval happening on papers exchanged possibly on April 21 followed by visits for formal signing.. Source: http://defence.pk/threads/dassault-rafale-tender-news-discussions-thread-2.351407/page-220#ixzz46H7dFrbB
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  25. Le FIS était violent dans le discours (menace de purge dès la prise de pouvoir) et dans les faits avec une branche paramilitaire sur-développé. Ce n'est pas pour rien qu'ils ont pris aussi rapidement les armes juste après l’annulation des élections. et même avant comme l'a rappelé quelqu'un plus haut On notera d’ailleurs que les partis islamistes des autres pays modérerons beaucoup leur prétention et discours après l’échec de cette exemple, une approche trop frontale n'apportant rien de bon. Qu'ils prennent le pouvoir ou pas, ça aurait saigné. D'une manière général l'Algérie était à la croisé des chemins avec un règlement de comptes général en vu. Alors rien n'est inévitable, mais dans ce cas, empêcher que ça pète était difficile à ce moment là du processus, le ver étant déjà dans le fruit.
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  26. Alors disons Avisos « campagnes lointaines », çà fait euphémisme plus digestif . Ces silhouettes là doivent être rares …..
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  27. On y présente du Mica et de l'AASM
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  28. Complètement à coté de la plaque. Les bons vieux stéréotypes ont la peau dure.
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  29. J'ai quand même quelques doutes sur la pertinence du concept même du Tu 160 à notre époque : 1. Dans le rôle "camion à bombes" contre un adversaire peu technologique présentant une faible menace antiaérienne, le Tu-160 semble surdimensionné. A quoi la capacité supersonique servirait-elle ? Un gros appareil subsonique type Tu-95 ou B-52 est plus adapté et moins cher 2. Pour l'attaque d'un adversaire plus avancé avec menace antiaérienne sérieuse voire intense - missiles et chasseurs - le Tu-160 qui sauf erreur de ma part arrivera en haute altitude, est très gros et n'a pu être doté que de réductions basiques de la signature radar, sera facilement détecté et abattu s'il se rapproche moindrement de la zone protégée. Cela interdit d'utiliser dans ce cas sa capacité à transporter un grand nombre de bombes. Il reste la possibilité de lui faire tirer des missiles de croisière à distance de sécurité - quelques centaines de kilomètres de la frontière. Oui, mais quel est le prix unitaire de chacun de ces tirs, comparé à un missile de croisière tiré tout simplement d'un bateau ? Le Tu-160 a tout de même l'air affreusement plus cher que le rajout de containers à missiles à des croiseurs, frégates, voire corvettes déjà existantes. Son avantage sur cette solution est sans doute la souplesse de déploiement - il peut être envoyé en moins d'une journée à dix mille kilomètres, alors qu'il faudrait plusieurs semaines à un navire non prépositionné. Cet avantage est intéressant du point de vue américain, c'est-à-dire du point de vue d'une superpuissance qui envisage de faire la guerre sur n'importe quel continent. Mais compense-t-il le prix élevé du Tu-160 du point de vue russe, sachant que les interventions armées de Moscou sont en général à proximité immédiate de ses frontières - mille kilomètres dans le cas de la Syrie ? Est-il vraiment sérieux d'imaginer des interventions armées russes par exemple en soutien du Venezuela, ou bien du Vietnam ? 3. Reste le rôle nucléaire. Doté de missiles de croisière supersoniques longue portée, le Tu-160 est effectivement un bon moyen de bombardement nucléaire stratégique. Le problème est qu'il fait double ou plus précisément triple emploi avec les missiles balistiques mer-sol et sol-sol, sans être aussi protégé que les mer-sol même s'il l'est certainement davantage que les sol-sol en silos de par sa mobilité d'une base à l'autre. Bien sûr, la Russie a elle aussi besoin d'un moyen de frappe "préstratégique" comme la France avec ses Rafale+ASMP-A, et le Tu-160 peut remplir cette mission. Mais encore une fois, la question du coût se pose : qu'est-ce qui empêcherait de monter un ou deux croisières supersoniques sur un Su-34 et de prévoir son ravitaillement en vol, sans construire des dizaines d'énormes appareils spécialisés ? Il serait intéressant de connaître le rapport entre le coût de possession d'un Tu-160M2 et celui d'un Su-34 dernière version. A mon avis, ce rapport n'est pas petit... Au final, les Tu-160, nettement plus chers sur toutes leurs missions que des alternatives déjà existantes par ailleurs, sans apporter d'avantage spécifique à la Russie qui puisse compenser leur coût certainement très élevé, ont bien l'air d'une "solution de luxe", choisie probablement davantage pour une question de prestige qu'autre chose...
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  30. c'est plus 5 min que 30 le problème c'est que parfois on a pas la place( exemple dans le Golfe Persique) de venir face au vent. En effet çà peut nous obliger à naviguer à un cap et durant un temps qui nous placent rapidement en dehors de la box dédiée au p-a ...
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  31. @ Kiriyama Au fait, est-ce que la télévision en Algérie est en arabe ou il existe des chaînes francophones aussi ? Malgré l'obligation de l'enseignement et de l'utilisation de la langue Arabe pour "éliminer" le Français (une seule école l’enseigne ou sont regroupés les enfants des coopérants) , les télévisions les plus regardées sont les chaines Française De même 400.000 à 500.000 visas sont demandés pour les jeunes voulant aller en France tentés leurs chances au vue du marasme catastrophique qui règne dans le pays et ceci depuis la visite du Président Chirac qui avait la "cote" en Algérie et qui eu un succès considérable lors de son déplacement. La mise en place des visas fut très mal perçus par le Algériens. L'Algérie, c'est une position très étable et son contraire. C'est la critique du colonialisme mais nombres officiels reconnaissent en sourdine la transformation du pays durant cette époque. Plus fort. Le Président Algérien à même demandé que reviennent certains Pieds Noirs (!!!) par des biais divers pour redynamiser le pays alors que dans la réalité les actions anti-Française se poursuivent (pas de copie de archives restés sur place des ex-résidents Pieds-Noirs, problème des cimetières dont celui de Mers El Kébir ou les tombes furent rasés de leurs croix remplacés par des dalle en béton avec interdiction de renvoyer les corps, etc.) Par contre, pour le terrorisme, les informations mutuelles ne passent pas par le coté politique et sécuritaire des services officiels mais sont traités directement par les responsables des vis à vis. Formidable progrès ! Le pays n'en fini pas de digérer sa guerre d'indépendance; son temps subi de colonialisme. Une série d'émission sur "L'Histoire" chaine 117 d'Orange fut consacré toute la semaine au conflit Algérien, hier et ce qui en est aujourd'hui. Le pays est dans un état catastrophique et la menace terrorisme (Fis ou pas) vraiment très proche. J'ai été très peu de temps servir durant mon service militaire prés de Tiaret, aujourd'hui débaptisé. On ne pouvait pas et on ne peut pas rester insensible a la beauté de ce pays et à cette guerre totalement inutile. Nombre de Pieds Noirs (que je connais par ailleurs) sont retournés en visite voir leurs racines. Tous m'ont dit la gentillesse des Algériens quand il question de revoir leurs maisons, leurs écoles, leurs quartiers. Les larmes n'étaient pas loin et ils sont rentrés très émus. Tout cela aurait pu se dérouler autrement, si, si, si.... Janmary
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  32. 20 Mw correspond à une puissance installée et non consommée. La puissance consommée croisière poste de combat doit être au 1/3 de çà environ . L'un des postes les plus consommateurs du bilan de puissance c'est la clim et le système de combat La PMP . puissance maximale pratique qu'on limite 0.9 PMP en temps de paix , c'est effectivement l'ensemble de la chaine cinématique ; les turbines , les accouplements, les réducteurs, les lignes d'arbres et hélices calculés avec un peu de gras . Vu les ennuis qu'on a eu sur les accouplements turbines HP et BP , çà m'étonnerait qu'on pousse les feux sur la bécane http://www.meretmarine.com/fr/content/charles-de-gaulle-les-pieces-de-rechange-sont-arrivees-toulon
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  33. Aucune idée en ce qui me concerne, mais je suis tombé sur cet article sur les élections algériennes de 1991 qui m'a semblé intéressant. L'auteur - qui n'est pas un sympathisant des islamistes - y défend l'idée que quoique ces élections étaient prématurées, il aurait été préférable une fois la victoire du FIS acquise de le laisser parvenir au pouvoir - tout en reconnaissant que la question à ce jour divise encore amèrement les Algériens. Surtout, il affirme que le pouvoir algérien de l'époque avait été réellement surpris par les résultats.
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  34. Le gros du changement de configuration (hors lot d'exploitation) ARV/AEV semble porter sur l'extraction simple du moyen de levage. Poutre articulé pour l'AEV et simple poutre de levage pour l'ARV (32t en levage directe). Excellent. Je lis 40t en traction directe pour le treuil principal, donc plus de 70 en mouflage simple avec la poulie de renvoie... OK, le taux de suicide à la STAT va encore grimper. Serge, mon épouse se demande pourquoi des larmes me coulent lorsque j'écris ces mots et ne te remercie pas.
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  35. Les pays baltes ne sont absolument pas indéfendables, au sens où une invasion russe, qui réussirait très probablement, n'empêcherait pas une reconquête / libération ultérieure par des forces ouest-européennes ou américaines. Ce à quoi les différents pays membre de l'OTAN seraient engagés de par l'article 5 du Traité de l'Atlantique dont ils sont signataires. Si les forces terrestres russes pourraient l'emporter facilement contre les faibles forces baltes et les minces renforts qui pourraient être envoyés rapidement, elles ne pourraient en aucun cas tenir contre des forces combinées ouest-européennes qui seraient mobilisées les semaines et mois suivants, sans parler de l'apport américain qui pourrait être encore largement plus grand. Ou dans une autre option plus "diplomatique", une prise de gage pourrait être effectuée par conquête de l'oblast russe de Kaliningrad enclavé en Pologne, suivie d'un "échange standard" des territoires à la table de négociations. La capacité physique à reconquérir un pays momentanément occupé constitue une forme de dissuasion classique, parce qu'un agresseur n'aurait aucun intérêt à programmer sa propre future défaite humiliante en passant à l'action par exemple en envahissant les pays baltes. Il est donc dissuadé de lancer son attaque - à supposer seulement une rationalité minimale. C'est ainsi que fonctionne la garantie mutuelle OTAN vis-à-vis des pays d'Europe de l'est. C'est ce que les Etats-Unis se proposent de changer, par déploiement annoncé d'une brigade blindée - pas d'une compagnie hein... - non pas en Europe de l'ouest, mais bien en Europe de l'est. Sans précision sur le pays hôte : Pologne, Slovaquie... ou Lituanie voire Estonie pendant qu'on y est. Narva est une jolie ville sans doute, c'est là que des chars américains avaient fait un petit défilé amical en février 2015, à deux cents mètres de la frontière russe. Une brigade blindée américaine en Estonie ne serait certes pas au sens propre une menace existentielle pour la Russie. Elle aurait tout de même une certaine capacité à menacer Saint-Pétersbourg, située à 150 km de Narva. Soit une étape du Tour de France, si on se rappelle qu'au temps de la Guerre Froide on disait que Strasbourg était à deux étapes du Tour de France de la pointe blindée soviétique. Cela créerait une contrainte réelle pour la défense russe d'avoir à baser des forces lourdes modernes - dont ils ont encore assez peu - en protection directe de la deuxième ville du pays. Et naturellement la mission qui nécessite aujourd'hui une brigade blindée américaine pourrait fort bien un peu plus tard en nécessiter deux ou trois. En tout cas c'est une option qui sera désormais facile à exercer pour les décideurs américains, selon le principe du pied-dans-la-porte comme quoi c'est le premier pas qui est le plus difficile, il suffit ensuite de continuer à pousser. De même si le déploiement initial de la brigade blindée américaine était un peu plus loin, par exemple en Pologne, il ne serait guère difficile de la déplacer ou la compléter ensuite par déploiement en Estonie - c'est le premier pas qui établit le principe, en l'occurrence le principe que des troupes américaines stationnées en Europe de l'est c'est normal. Tout cela est légalement inattaquable. ... de même que sont légalement inattaquables des soldats américains dans l'ouest de l'Ukraine pour former la "garde nationale" ukrainienne, ... de même que des bombardiers russes qui frôlent d'assez près les frontières maritimes françaises dans le golfe de Gascogne ou celles de la Grande-Bretagne du côté de l'Ecosse, ... de même qu'un petit défilé blindé américain à 200 mètres de la frontière russe, ... de même que des destroyers américains qui se baladent dans la Mer noire près de la base navale russe de Sébastopol, ... de même que des chasseurs russes qui font une démonstration de voltige aérienne pour l'amusement de l'équipage d'un destroyer américain en mer Baltique - ben quoi les meetings aériens c'est intéressant non ? Mais d'un autre côté - ça donne comme une certaine ambiance. Une drôle d'ambiance S'il faut être un tant soit peu équilibré, le fait est que ce n'est pas seulement la Russie qui a créé cette ambiance. Ni d'ailleurs seulement les Etats-Unis. Mon opinion personnelle est que les provocations issues du côté américain sont tout de même d'une autre dimension que celles issues de la partie russe. Je pense en particulier aux radars et différents projets d'installations "antimissile" en Europe de l'est, et encore à cette unité blindée lourde qui sera stationnée près de la Russie, il me semble que Moscou n'a rien fait de moindrement symétrique près des frontières américaines. M'enfin quoi qu'il en soit de l'opinion des uns et des autres, une chose est certaine c'est que les provocations viennent des deux côtés, quoi qu'il en soit de leur taille réciproque. Ce sont les deux côtés qui contribuent à la dégradation de la relation, dans quelque proportion que ce soit. Quand on tombe amoureux "au premier regard", c'est par effet de miroir réciproque. Ça n'est pas forcément tout à fait rationnel, mais ça vient bien des deux côtés à la fois, et l'un renforçant l'autre. "Parce que c'était lui, parce que c'était moi" comme disait Montaigne - mais lui parlait de l'amitié. L'OTAN - du moins sa structure de pouvoir, son patron américain, et une bonne partie de ses pays d'Europe de l'est - et la Russie sont en train de tomber amoureux l'un de l'autre. Sauf que ce n'est pas "amoureux" qu'il faut dire évidemment... c'est "ennemi". Rationnel ? Faut voir...
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  36. Sélection des Gurkhas La course "doko" , 5 km en côte , sac 25 kg , en moins de 48 minutes. Après les sélections, niveau régional puis national, suivent 3 semaines d'instruction au Nepal et 9 mois en GB http://www.dailymotion.com/video/x2d6zfs_british-gurkha-army-central-selection-doko-carry-race-intake-2015_lifestyle
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  37. Le Rafale ? "pas assez cher mon fils"
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  38. Brouillard de guerre créé par qui, et entretenu au bénéfice de qui ? Chacun est libre de se faire sa propre opinion, mais moi je trouve qu'au contraire, plus le temps passe (et dieu sait ce qu'il passe le temps pour ce programme) plus les choses deviennent claires et les faits indéniables et curieusement, les prévisions pessimistes concernant l'avion, émises par de nombreux spécialistes dès la genèse du programme, se vérifient une à une.
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  39. On doit prendre un compte une chose , le distinguo TP et TE a jamais était clair pour moi qui a passé mon stage tireur FRF2 , qu'on nommé tireur d'élite . Avec l'arrivé durant les opérations en ex Yougo de Fusil en calibre 12,7 qu'a commencé a apparaitre le nom de de tireur de précision . Chez les US s'est quand même plus clair et cela depuis longtemps. On a tellement modifié l' organisation de l' infanterie qu'on ne sait plus ou on en est ... Alors oui avec FELIN on a augmenté la portée de tir des armes en 5.56 mm et que l'on soit encore à réfléchir sur qui ,quoi ,comment , ou etc ... mais je pense que s'est la qu'est le problème , celui de faire de l'épicerie en terme de comptabilité pour avoir des effectifs pile poil ... Sauf que cela engendre des pertes de savoir et qu'il faut en permanence voir des personnels ne plus miser sur le long terme vu que tout est éphémère. Comme d'hab' on est incapable de faire du clair et net ...
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  40. Comment passer du F-35 à l'hover-cat en 3 post ? Vendredi pardi !
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  41. une sorte de Chat de Schrödinger obèse volant (c'est vendredi, hein ! )
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  42. Le problème est que cette maturité s'acquiert lorsque l'avion est en service, pas avant. Cette entrée en service intervient lorsque le niveau de risque du programme est suffisamment maîtrisé. Ca n'implique pas nécessairement que tout le programme d'essai soit achevé au préalable. Du coup aucun des paramètres que tu cites ne donne une indication pertinente au bon moment. Il y avait... Depuis ma blacklist s'est étoffée.
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  43. Absolument pas. Si il est certain que tous les avions ont besoin de perfectionnements lors de leur entrée en service, le F-35 est au contraire dans une situation totalement inédite : il a été mis en service à l'état de prototype, c'est à dire bien trop tôt (eu égard à sa maturité, malgré son retard conséquent). Pourquoi cet état de fait ? Nous le savons tous : pour empêcher toute annulation de la part de ses clients.
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  44. Moi en matière de biomécanique et tribologie, je préfère écouter mon expert et ami Matthieu dit Mat (présent ici comme modérateur) il a un doctorat en ingénierie. Il maîtrise son domaine d'expertise. Mitrailleuses en sabord M134D type Galting (6 tubes de 7,62 mm). Pour les SA-342 Gazelle du 4 RHFS, ils se pourraient qu'il y est 2 ou 3 type de Gazelle, SA342 « Viviane » facilement reconnaissable à son imposant viseur sur le toit de la cabine, celles qui auront des Minigun M134D en sabord, au moins 4 appareils et la SA342 « Tireur d’élite »
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  45. Merci ^^ D'ailleurs ce qui est drôle, c'est que les Arabes du Golfe traitent les Algériens de "Français" Dans leur bouche c'est une insulte, même si personnellement je ne trouve pas que cela soit péjoratif, au contraire, surtout comparé à eux ^^
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  46. General Dynamics Land Systems-UK inaugurates new Armoured Fighting Vehicle facility http://defence-blog.com/army/general-dynamics-land-systems-uk-inaugurates-new-armoured-fighting-vehicle-facility.html
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  47. Et puis, le risque avec les vaisseaux générations lents qui mettent 300 ans à atteindre leur destination, c'est de trouver à l'arrivée un comité d'accueil qui vous annonce avec un grand sourire : bravo les gars, félicitation, c'est bien, mais maintenant, avec la propulsion Hurps-Gogostein, il faut 10 ans pour venir de la Terre, et avec la cryo-hibernation, on se réveille frais et dispo. Dit autrement : les moyens colossaux qui seraient requis pour construire un vaisseau interstellaire habitat seraient peut-être plus rationnellement utilisés à pousser la recherche jusqu'à être vraiment certain qu'il n'y a pas d'autre solution.
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  48. le meilleur dépanneur c'est celui dont on a jamais besoin !!!
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