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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 21/12/2018 dans toutes les zones

  1. J'ai entendu un mec s'écrier : « Free at last ! » L'avait des cheveux orange, le mec. Oui, sans oublier les conséquences : - Il faut donc être en état d'aller au combat sans l'aide des Américains, qui pourraient ne pas l'accorder, ou la retirer. Ravitaillement en vol, logistique maritime, second porte-avions. Pour parler des priorités. - Il y a un « coup » à jouer pour la France, quand les autres Européens seront vraiment inquiets de leur prétendue « protection » par la superpuissance historique. Il y a un éditorial dans Die Welt qui semble commencer à se diriger vers le vrai souci Pas pour fondre ses atouts spécifiques dans un Machin intégré bien sûr. Mais pour prendre une place essentielle dans une structure de défense euro-centrée, garantie par des armes nucléaires françaises en double clé chez Allemands, Italiens ou Polonais Je crois que ce n'est pas encore mûr. Il faut encore que les autres Européens « cuisent » un peu. Mais ça pourrait venir Pas mal hein, de garantir la survie du pays avec sa propre dissuasion nucléaire indépendante ? Non, ne me remerciez pas. C'est tout naturel
    12 points
  2. Point d'inquiétude. L'Europe est là... avec ses visions stratégiques étayées et ses projets de défense commune !
    8 points
  3. Traduit avec www.DeepL.com/Translator Trump trahit tout le monde. Les Israéliens, les Kurdes, les Européens État : 20.12.2018 | Temps de lecture : 2 minutes D'Alan Posener Le ministre fédéral des Affaires étrangères a critiqué la décision américaine de retirer ses troupes de Syrie. "Il y a un risque que cette décision nuise à la lutte contre les SI et compromette les succès obtenus ", explique Maas sur Twitter. Source : MONDE/Kevin Knauer Le retrait annoncé des troupes américaines de Syrie est un signal terrible. Vous ne pouvez plus compter sur les États-Unis. Sur un coup de tête, l'Iran et la Russie sont ouverts au public. Certains théoriciens de la conspiration croient que Donald Trump est entre les mains du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou pour la politique étrangère. Voir le transfert de l'ambassade américaine à Jérusalem. Voir la dénonciation de l'accord nucléaire avec l'Iran. Aujourd'hui, le président américain a prouvé que Benjamin Netanyahou n'a aucune influence sur lui. Le retrait des troupes américaines de Syrie est une gifle pour Israël. Non seulement Netanyahou a été pris au dépourvu, mais aussi toute l'équipe de politique étrangère et de sécurité du président. Ce n'est que le 3 décembre que l'ambassadeur spécial de Trump en Syrie, James Jeffrey, a formulé trois conditions pour le retrait américain : la défaite finale de l'Etat islamique, le retrait de toutes les forces iraniennes et une solution politique à la crise. Mais le SI n'est pas vaincu. Le retrait des troupes américaines ouvre la voie à de nouveaux mouvements de troupes et d'armes iraniennes vers l'Ouest. Et puisque les seuls alliés sérieux des Etats-Unis en Syrie - les Kurdes - ont été trahis, la "solution politique" sera que le dictateur syrien Bachar al-Assad fasse de son pays un protectorat russo-iranien. Quelle paix les États-Unis peuvent-ils garantir ? Mais les dégâts vont bien au-delà de la Syrie. Qui devrait encore compter sur les États-Unis lorsque des alliés de longue date comme les Kurdes sont sacrifiés du jour au lendemain ? Quelle paix les États-Unis peuvent-ils garantir ? Quel agresseur pour effrayer ? On aimerait croire qu'il y a une méthode derrière cette folie, même si c'est seulement que le président était dans la poche de Vladimir Poutine. Au moins, il serait prévisible. Apparemment, cependant, il était frustré que le Congrès ne veuille pas financer la construction de son mur, alors il cherchait quelque chose qui lui donnerait l'air fort à sa base. Proclamez la victoire sur le SI et ramenez les soldats à la maison pour Noël : Cela pourrait fonctionner à court terme. Mais c'est une invitation à tous les ennemis de l'Occident à profiter de la faiblesse de volonté et de concentration de cette dilettante. Les prochaines provocations de Poutine et des Iraniens sont probablement déjà au stade de la planification. Israël pourra se défendre. L'Europe est dans une situation plus difficile. Rarement le danger de donner le pouvoir aux grandes gueules populistes n'a été aussi clairement démontré.
    5 points
  4. Mes fondamentaux à moi - et sur ce point, je ne suis pas prêt à les revoir - me disent que quand je casse, je paie (quoi que je casse). Donc si je casse dans le but de recevoir plus d'argent, comme je dois payer, je vais à l'encontre de mon objectif. C'est un point de cohérence interne qui m'incite à ne pas casser ou dégrader, voire à être agacé de voir d'autres le faire - et particulièrement quand ceux-ci risquent de ne pas être en mesure de payer alors que moi, malgré mes fins de mois difficile, je reste solvable aux yeux de la collectivité. Je vois aussi que il se passe beaucoup de choses en France, même si peu me concernent directement. Tout cela se passe souvent sans débordement paroxysmique. Tellement peu de ces choses me concernent qu'il aurait été logique que je rejoigne les gilets jaunes ... mais je ne l'ai pas fait parce que le mouvement manque de cohérence, ne s'inscrit pas dans ma logique qui veut qu'un système, s'il fonctionne même mal, ça se change de l'intérieur et il bouscule certaines de mes valeurs, notamment en mettant en avant des intérêts particuliers (visibles) au détriment d'un intérêt général (moins visible), notamment dans le domaine des transports. Quant au lien sur l'enrichissement personnel de Bernard Arnaud et de François Pinault, expliquant d'où vient ce bond en avant (marchés du luxe, de l'art et demande internationale soutenue), j'ai du mal à voir le lien direct avec le mouvement des gilets jaunes. Oui, l'argent est écoeurant quand il atteint des montant qui n'ont plus de réalité au quotidien. Ce n'est pas neuf. Je n'aime pas ça, mais ça ne m'empêche pas de dormir et ne me rend pas jaloux. Tu vois trop de retenue, je vois trop d'excès. On ne gagne rien à dégrader le bien commun - on y perd tous. Quand au bien privé, on ne gagne pas grand chose non plus à le saccager car, in fine, il y aura toujours un dédommagement qui pèsera sur la collectivité. Maintenant, si la violence est légitimée pour obtenir quelque chose, alors oui, c'est une vraie menace intérieure. Et dans ce cas, le mouvement des gilets jaunes est en grand danger car cela légitimerait la violence de celui qui veut que ça cesse : qu'il force les barrages, qu'il mette le feu aux voitures, aux baraques de rond-points, aux pavillons personnels ou aux entreprises employant des gilets jaunes, son action se place exactement sur le même niveau de légitimité. Je doute pourtant que les émeutiers (car ceux qui ont incendié des péages sont bien des émeutiers) soient prêts à faire face à des compatriotes disposés à exercer ce niveau de violence à leur égard. Le flic, c'est bien pour se poser en victime. Le petit patron routier ou l'agent territorial de catégorie C, poussé à bout, reflet du gilet jaune mais excédé par cette gêne supplémentaire, c'est vachement moins vendeur. J'arrête là, pour ma part, j'ai déjà trop filé le HS.
    4 points
  5. White House, Pentagon Remain In Dark Over Syria Withdrawal https://breakingdefense.com/2018/12/white-house-pentagon-in-dark-over-syria-withdrawal/ Traduit avec www.DeepL.com/Translator La Maison-Blanche et le Pentagone restent dans le noir au sujet du retrait de la Syrie Les sénateurs républicains se sont indignés, et il semble que la Turquie ait poussé Trump à retirer son soutien à ses ennemis traditionnels, les Kurdes. Le gouvernement britannique a fait une déclaration équivoque, tandis que le Kremlin a applaudi cette décision. Par PAUL MCLEARY le 19 décembre 2018 à 17h30 PENTAGON : Les responsables de la Maison-Blanche et du Pentagone n'ont pas été en mesure de donner des détails sur l'annonce surprise faite mercredi par le président Trump que ses forces américaines sont en train de quitter la Syrie. Le revirement brutal de la politique américaine a laissé planer d'énormes questions sur la manière dont les troupes américaines vont partir et à quel moment, et encore moins sur la politique que l'administration pourrait avoir à l'égard de la Syrie. Les sénateurs républicains se sont indignés, et il semble que la Turquie, un important client des armes américaines, ait poussé Trump à retirer son soutien à ses ennemis traditionnels, les Kurdes. Dans le même temps, le ministre russe des Affaires étrangères a salué cette initiative comme "une réelle perspective de solution politique" qui pourrait redonner "l'espoir" qu'une plus grande partie de la Syrie puisse retrouver le type de paix imposé à Alep, aujourd'hui de nouveau sous le régime Assad : "Pendant que les Américains étaient là, il n'y avait pas d'espoir." Le gouvernement britannique, l'allié le plus proche de l'Amérique, a fait une déclaration prudente : "Il reste beaucoup à faire et nous ne devons pas perdre de vue la menace qu'ils représentent (ISIS)...... (mais) comme les Etats-Unis l'ont clairement indiqué, ces développements en Syrie ne marquent pas la fin de la Coalition mondiale ou de sa campagne." L'annonce surprise, mercredi, que les États-Unis allaient retirer leurs 2 000 soldats de Syrie et évacuer immédiatement le personnel du département d'État du pays, a été faite alors même que la campagne aérienne menée par les États-Unis contre ISIS se poursuit sans relâche, Un haut fonctionnaire de l'administration a admis mercredi soir que " ce n'est pas que je ne vous le dis pas, c'est que je ne sais pas, pour être franc ". Le fonctionnaire a posé des questions au Pentagone. Mais les fonctionnaires du Pentagone ont seulement dit qu'ils travaillaient sur les détails. Lors d'une réunion avec les journalistes prévue ce matin, le secrétaire adjoint à la Défense Patrick Shanahan et le vice-président Mike Pence ont tous deux refusé de commenter. La confusion est survenue quelques jours seulement après que de nombreux responsables de l'administration, dont le conseiller à la sécurité nationale John Bolton, ont insisté pour que les troupes américaines restent en Syrie jusqu'à ce que l'Iran cesse sa présence militaire dans le pays. L'envoyé spécial de l'administration pour la Syrie, Brett McGurk, a récemment qualifié d'"imprudente" l'idée d'un retrait américain. Comme cela arrive si souvent, cependant, la politique administrative a été renversée par le Tweet présidentiel, le dernier en date arrivant à 9h29 : " Nous avons battu ISIS en Syrie, ma seule raison d'être là pendant la Présidence Trump ". Mercredi, la campagne aérienne contre l'ISIS en Syrie battait son plein, selon un responsable de la défense, alors même que les planificateurs militaires se précipitent pour trouver comment redéployer les troupes et évacuer les responsables du département d'État dans le pays dans les 24 heures à venir. Alors que le président Trump a déclaré ISIS vaincu mercredi, tous les autres responsables de l'administration, qu'ils soient en uniforme ou non, ont déclaré que, bien qu'affaiblie, la lutte continue de durer. Les 2 000 soldats américains jouent un rôle de soutien important pour l'allié le plus fiable de Washington dans la guerre civile syrienne chaotique, les 30 000 membres des Forces démocratiques syriennes, qui ont recruté des soldats arabes mais sont largement considérés comme dominés par les Kurdes. Formation des forces démocratiques syriennes soutenue par les États-Unis. Pendant presque deux ans, les chasseurs des SDF ont été appuyés par des milliers de frappes aériennes américaines et alliées, dans le cadre d'un soutien aérien rapproché 24 heures sur 24. Un examen de l'ampleur de ce soutien en Syrie donne une idée de l'ampleur des combats qui se poursuivent entre le SDF soutenu par les Etats-Unis et l'Etat islamique : Samedi dernier, des avions américains ont effectué 47 frappes sur des cibles ISIS près de la ville syrienne de Hajin, dans une poche de la vallée de l'Euphrate, où ISIS est toujours actif, touchant des unités tactiques, des positions de mortiers, des tunnels et des installations pétrolières, selon des informations du US Central Command. Pendant la semaine du 9 au 15 décembre, les avions américains ont effectué 208 frappes en Syrie, principalement dans la vallée de l'Euphrate, qui serpente de la frontière irakienne à l'est nord-ouest à Raqqa. Le nombre de frappes, réparties entre les avions habités, les drones et les frappes d'artillerie à partir de bases américaines en Syrie, témoigne de la poursuite des combats alors que l'ISIS reste obstinément retranchée le long de la vallée du fleuve. D'éminents législateurs républicains n'ont pas tardé à critiquer cette décision. Le sénateur Marco Rubio a déclaré que "lorsque les États-Unis se retirent de la Syrie, nous livrons le pays aux Russes et à l'Iran, et principalement à l'Iran". Le sénateur Lindsey Graham, allié de Trump, a averti que le retrait sera "perçu par l'Iran et d'autres mauvais acteurs comme un signe de faiblesse américaine dans les efforts visant à contenir l'expansion iranienne". Sénateur Ben. Les généraux du Président n'ont aucune idée d'où vient cette faible décision : ils pensent que les cinq grands gagnants aujourd'hui sont l'Iran, l'ISIS et le Hezbollah. Les perdants sont Israël, les victimes humanitaires et les services de renseignement américains. Beaucoup d'alliés américains seront massacrés si cette retraite est mise en œuvre." Le responsable de l'administration a déclaré que même sans les troupes sur le terrain, " notre mission antiterroriste reste ce qu'elle était ", laissant apparemment la porte ouverte à la poursuite des frappes aériennes à l'appui du SDF en Syrie. Mais sans l'intervention des troupes américaines sur le terrain, la coordination sera plus lente et les frappes aériennes moins précises. Les FSD pourraient se retrouver sans les couches de puissance aérienne sur lesquelles ils comptent dans leurs opérations à Raqqa et dans l'Euphrate. Les troupes américaines ont fourni aux chasseurs locaux des tablettes qui leur permettent d'identifier des cibles potentielles et de les partager avec leurs conseillers américains, mais ces renseignements bruts sont filtrés par des contrôleurs aériens américains qui transmettent l'information aux pilotes en vol. Sans troupes américaines au sol, cette ligne de communication sera coupée, ce qui ne permet pas de savoir si les avions américains et alliés lâcheront encore des munitions. Mercredi, la porte-parole en chef du Pentagone, Dana White, a salué la "libération" du territoire contrôlé par l'ISIS, ajoutant que "la campagne contre l'ISIS n'est pas terminée". Mais White a confirmé que l'armée a " commencé le processus de retour des troupes américaines de Syrie alors que nous passons à la phase suivante de la campagne ". Les délices turcs ? Le retrait surprise intervient également à un moment difficile dans les relations américano-turques, le président turc Recep Tayyip Erdogan menaçant d'attaquer le SDF - que la Turquie considère comme allié des militants kurdes en Turquie - malgré la présence des forces américaines dans cette région. Trump s'est entretenu avec Erdogan par téléphone vendredi, ce qui a donné lieu à des rumeurs selon lesquelles le leader turc, qui s'éloigne des Etats-Unis et se rapproche du Kremlin, aurait poussé Trump à se retirer. Mais le fonctionnaire de l'administration a insisté mercredi sur le fait que "le président a pris sa propre décision. Il n'en a pas discuté avec le président Erdogan. Il a informé le Président Erdogan de sa décision." Les sourcils ont déjà été soulevés mardi soir, lorsque le département d'État a annoncé que les États-Unis étaient prêts à vendre plus de 100 missiles de défense aérienne et systèmes radar Patriot à la Turquie pour 3,5 milliards de dollars. Lance-missiles Patriot Si elle est approuvée par le Congrès, cette vente doterait Ankara d'un système interopérable avec l'OTAN pour la défense de l'espace aérien turc, tout en sabordant peut-être l'achat prévu par la Turquie du système de défense aérienne russe S-400, contre lequel l'OTAN et Washington ont mis en garde. L'achat potentiel du système russe par la Turquie a entraîné une révolte au Congrès l'été dernier, lorsque les législateurs ont presque réussi à bloquer la vente des chasseurs F-35 à la Turquie. Jusqu'à présent, rien n'indique que les membres du Congrès exprimeraient de telles objections à l'égard de la vente de Patriot, car elle pourrait être une solution pour la Turquie et l'OTAN. Le sénateur Chris Van Hollen, qui a joué un rôle clé dans l'opposition du Congrès aux transferts des F-35, m'a dit dans une déclaration qu'il soutiendrait l'achat par la Turquie du système de missiles Patriot, "mais seulement si la Turquie annule son achat du système russe S-400". Des membres de l'OTAN ont déclaré que la présence du S-400 en Turquie mettrait en danger tous les avions de l'Alliance, car le radar sophistiqué de fabrication russe - et, selon toute vraisemblance, les formateurs et les représentants de service russes sur le terrain en Turquie - fourniraient à Moscou des informations opérationnelles sensibles. Le sénateur Van Hollen a ajouté qu'en tant que membre de l'OTAN, " la Turquie ne doit pas compromettre la sécurité des Etats-Unis et de nos alliés. L'utilisation du S-400 avec les batteries du F-35 et du Patriot ferait exactement cela. L'Administration doit continuer à négocier de manière exhaustive pour éviter que cela ne se produise. Et si nécessaire, le Sénat doit interdire ces ventes et appliquer les sanctions du CAATSA contre le gouvernement turc." La Turquie est passée deux fois au-dessus du Patriote : En 2013, lorsqu'elle a choisi un système chinois, elle a finalement décidé de ne pas acheter, et en 2017, lorsqu'elle a finalisé l'affaire S-400. Cependant, les responsables américains n'ont jamais cessé d'insister pour que soit conclu l'accord Patriot, les responsables du département d'État et du ministère de la Défense ayant déclaré aux journalistes, en juillet, qu'ils continuaient à essayer d'en régler les détails. Les responsables turcs n'ont pas indiqué qu'ils se retireraient de l'accord S-400 s'ils fermaient le Patriot, mais le président Trump a fait de la vente d'équipements militaires américains dans le monde une priorité absolue, faisant de la vente une victoire pour son programme dans les deux sens. L'un des problèmes liés à la conclusion d'un accord a été l'insistance de la Turquie pour qu'elle reçoive un transfert de technologie de missiles en même temps que les missiles eux-mêmes, une demande que Washington a rejetée. L'annonce de mardi a confirmé qu'il y aura des compensations technologiques, mais " pour le moment, les accords de compensation sont indéterminés et seront définis lors des négociations entre l'acheteur et les entrepreneurs ".
    3 points
  6. Coupe budgétaire : pourquoi pas le f-35 ? Si Trump veut continuer à maîtriser son petit monde il va devoir mener le pentagone à la baguette. Le f-35 semble une cible idéal. https://www.flightglobal.com/news/articles/cbo-floats-variety-of-cost-cutting-ideas-including-454494/
    3 points
  7. Peut être même va-t-il avoir du mal à trouver un remplaçant... Je n'ai pas retrouvé la source citée dans un article du Figaro ce matin, mais entre ça et le shutdown annoncé pour demain pour forcer les élus à financer son délire de mur à la frontière avec le Mexique, il pourrait quand même, à la fin, y avoir des conséquences. «Le carrosse est en train de perdre ses roues», a lâché un élu républicain sur la colline du Capitole.
    3 points
  8. Que c'est beau !! C'est impressionant les séquences à 5:15 et 6:10, une idée de l'altitude des appareils?
    2 points
  9. Et ben, les comptables des administrations japonaises sont aussi imaginatifs que ceux du Pentagone https://www.ouest-france.fr/monde/japon/tokyo-2020-l-enorme-budget-des-jeux-olympiques-interroge-le-gouvernement-japonais-et-le-cio-6142509 Est-ce bien normal d’inclure des satellites de prévision météorologique, des taxis ou la 5G dans un budget olympique ? Le débat fait rage au Japon, où les organisateurs de Tokyo-2020 et le gouvernement tentent désespérément de maîtriser les coûts....
    2 points
  10. 2 points
  11. Combien de séminaires LM organise-t-il dans des hôtels de Trump ?
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  12. Un article dans avia news consacré à ce sujet. http://psk.blog.24heures.ch/archive/2018/12/20/rafale-indien-la-farce-est-close-866659.html?c
    2 points
  13. Comme si le monde avait bien besoin d'une connerie trumpienne de plus ... Mais faut reconnaître que celle-ci, par ses conséquences à venir, remporte la palme d'or toutes catégories ! Un désastre ... Je ne reconnais plus là l'adn des États-Unis d'Amérique. On entre clairement dans un autre monde, où toutes les fondations sensées être "viables et durables" et plus ou moins universelles sur quoi nous avons bâti le monde jusqu'à ce jour s'écoulent les unes après les autres ... Va falloir bien vite s'adapter à ce nouveau logiciel, faute de quoi ... Bienvenue au 21ème siècle !
    2 points
  14. "Retrait américain: la coalition anti-Daech «a un travail à finir»" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/12/21/97001-20181221FILWWW00073-retrait-americain-la-coalition-anti-daech-a-un-travail-a-finir.php
    2 points
  15. Bien d’accord. Mais effectivement les électeurs de Trump s’en fichent, ils ne voient que les morts inutiles au combat et le coût des Opex. Accessoirement, ils pensent aussi que ce sont des pays de sauvages où la démocratie ne peut finalement pas être mise en oeuvre, donc autant les laisser entre eux. Pour Israel, tant qu’ils continuent d’avoir des armes et le soutien politique des US sur la scène internationale pour toutes leurs exactions, ça ne changera pas grand chose. Concernant l’Afghanistan, je suis (dans une analyse géopolitique « froide »), plutôt d’accord avec un retrait : le pays ne peut être stabilisé, la Chine n’y gagne pas grand chose puisque c’est un point d’entrée vers aucun autre pays sensible, le Pakistan y gagne une possible base arrière, ce qui permettrait aux USA de mettre encore plus la pression sur l’Inde pour un rapprochement militaire fort, et un Afghanistan toujours plus mangé par les extrémistes islamistes sans vrai contrôle redeviendra aussi un vrai problème voire une plaie pour les iraniens à leurs frontières. Les populations sur place, tout le monde s’en fout, et de même en Syrie. Et ce retrait US va finalement aussi ouvrir la porte à un fort recul des kurdes, sauf si l’AS décide de les soutenir face aux turcs (ça ne durera pas longtemps). Bref, on est d’accord, c’est du n’importe quoi. Mais ça l’est depuis le début, tout le monde l’a compris, et il est toujours là. Je maintiens donc ma réflexion : qu’ils boivent le calice jusqu’à la lie !
    2 points
  16. Le mid-term est là les élections sont dans deux ans et POTUS pense à sa réélection; donc on fait rentrer les boys sans se soucier de la situation qu'on en grande partie créée. Aucune cohérence autre que de politique intérieure, aucune continuité dans l'action de l'état, les alliés (Israël, syriens voir la coalition) qui se retrouvent en calebar ... Inconséquence dramatique et criminelle
    2 points
  17. le mid-term arrive les élections sont dans deux ans et POTUS pense à sa réélection; donc on fait rentrer les boys sans se soucier de la situation qu'on en grande partie créée. Aucune cohérence autre que de politique intérieure, aucune continuité dans l'action de l'état, les alliés (Israël, syriens voir la coalition) qui se retrouvent en calebar ... Inconséquence dramatique et criminelle
    2 points
  18. Ça ce sera le clou dans le cercueil...
    2 points
  19. Sur ce site qui parle de l'affaire en question, les 800 commentaires sont ultra majoritairement pro IAF, pro-Modi, pro-Dhanoa, et pro-Rafale. https://timesofindia.indiatimes.com/india/now-shop-for-beauty-products-home-kitchen-essentials-on-board-trains/articleshow/67176720.cms Un des commentateurs a même renommé Raoul en "RA-FOOL".
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  20. Propos recueillis par Allan Kaval (Le Monde) Publié aujourd’hui à 18h29, mis à jour à 19h07 Ilham Ahmed, à Paris, le 21 décembre. STEPHANE DE SAKUTIN / AFP https://www.lemonde.fr/international/article/2018/12/21/kurdes-de-syrie-si-la-turquie-nous-attaque-nous-ne-pourrons-plus-lutter-contre-l-etat-islamique_5401133_3210.html Cqfd ... Si non : ... "Et nous avons toutes les raisons de penser qu’il existe un accord entre l’Iran, la Russie et la Turquie contre nous" Pour moi => Accord Iran, Russie, Turquie + ... USA Trumpette.
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  21. Et on est partis pour arrêter Astrid... Quand va-t-on pouvoir enfin faire reconnaître que les soit-disant écologistes roulent pour le charbon, le pétrole, et l'extraction des terres rares en Chine dans des conditions dignes de Mad Max? Il est plus que temps.
    1 point
  22. Nann ... !!! mais je pensais au soutien (US) nécessaire à la mise en oeuvre opérationnelle du F35, au sol comme en vol ...
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  23. Oui mais quand donc la Russie aura rattrapé la Belgique en nombre de furtifs commandés?
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  24. 1 point
  25. Il y a quand même un contre sens complet dans cet article Alors que Trappier dit que c'est lui qui a choisi librement Reliance.
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  26. Le président ukrainien annonce que la deuxième phase du contrat AirbusHeli sera l'achat d'hélicoptères de combat pour les forces armées. https://twitter.com/mil_in_ua/status/1076046426575159297/photo/1?ref_src=twsrc^tfw|twcamp^tweetembed|twterm^1076046426575159297&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.skyscrapercity.com%2Fshowthread.php%3Ft%3D519638%26page%3D2880
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  27. Ben c'est logique, à la chasse la perdrix n'a pas de contre-mesures valables au chasseur qui la vise Tu dis ? La guerre, ce n'est pas comme la chasse ? A la guerre, les lapins aussi ont des fusils ? Hmmm voilà un concept nouveau ...
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  28. Il va falloir en programmer plus !
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  29. Alors pourquoi tu le fais à moitié ? Il n'y a rien d'opérationnel en Allemagne, juste quelques trucs en état de marche.
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  30. Reculade du Congress suite à la charge contre Dhanoa de Moily. Moily contredit par un autre leader du congrès. "We are not questioning the Air Force Chief, we are humbly requesting the Army and Air Force to stay out of this debate as no one is doubting the capability of the aircraft." https://www.aninews.in/videos/national/congress-questioning-rafale-deal-not-air-force-chief-p-chidambaram/ Le discours anti-rafale va devenir inaudible si une parti du congress dit que le Rafale est une bonne solution choisi par des personnes capables. Manifestement l'intervention de Dhanoa a mis le congress dans une position délicate.
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  31. Raoul - Ra-fool - Rafale!
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  32. Dans quel cercueil ? Celui de la décence et de la raison ? Celui-là a vraiment été fermé depuis bien longtemps, ce qui n’empêche pas l’autre d’être toujours là. Donc ça ne changera rien.
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  33. je ris jaune parce que dans le même temps les ricains se retirent des zones kurdes donnant donnant ... Les kurdes n'ont plus qu'à espérer que les russes reprennent le flambeau il se joue une sacrée partie de billard à 3 bandes là-bas
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  34. On a quand même de la chance d'avoir en Inde de vrais amis de cette trempe. Sherpa c'est une officine de propagande qui bosse pour les USA, un peu comme Greenpeace qui est inféodée à British Petroleum et quelques autres. C'est une tentative d'intimidation, et rien d'autre. Je serais tout à fait partisan de leur rentrer dans le lard médiatiquement et de les exposer sur la place publique façon "name and shame". Malheureusement ce serait oublier que nombre de nos politiques sont eux aussi passés par les "young leaders"... Quand on est dirigés par ce genre de personnes, il ne faut pas s'étonner des traîtrises à répétition.
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  35. @g4lly @Gaspardm Pour rééquiper les 4 premières FREMM ASM en Aster 30, la solution la plus simple serait probablement d’echanger un module A50 sur chacune des FREMM 5-8 avec le module A43 correspondant sur les FREMM 1-4. Cela doit pouvoir se faire lors des arrêts techniques. En résultat chaque FREMM aurait 1x A43 + 1x A50 + 2x A50/A70 (suivant la vocation ASM/AVT ou AA), sans investissement supplémentaire.
    1 point
  36. J'ai vraiment de la peine pour les kurdes... C'est toujours les baisés dans l'histoire de la région. J'espère que l'Europe jouera son rôle mais j'ai peu d'espoir.
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  37. Quelqu'un a un seau ? C'est pour écoper une série de fuites, dans la diplomatie européenne entre autres. (je n'ai pas le souvenir d'avoir vu passer ça)(l'article est assez confus)
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  38. Le tweet de Trump sonne l'hallali avant la curée de Erdogan envers les Kurdes .. une honte .... mais se ne sera pas la première fois que les US abandonneront des alliées à leur propre sort.... En espérant que les troupes US sur place "perdent" un bon stock de manpad et de Tow histoire de faire un bon bourbier...
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  39. Finalement les italiens renonce à renoncer au F-35 : "(Agence Vista) Rome, 19 décembre 2018 F35, Tofalo (M5S) : "Le programme ira de l'avant, nous ne pouvons abandonner cette technologie" "Le programme F35 ira de l'avant. On en a souvent parlé de manière erronée, mais c'est une technologie à laquelle nous ne pouvons pas renoncer". Ce sont les paroles d'Angelo Tofalo, sous-secrétaire à la Défense, lors d'une conférence au Auletta dei Gruppi Parlamentari à Montecitorio. source Ministère de la Défense Source : Agenzia Vista / Alexander Jakhnagiev " https://corrieredellumbria.corr.it/video/video-news-by-vista/607930/f35-tofalo-m5s-programma-andra-avanti-non-possiamo-rinunciare-a-questa-tecnologia.html
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  40. http://www.slate.fr/story/137267/montee-populisme-lire-christopher-lasch La révolte des élites et la trahison de la démocratie de Christopher Lasch, paru en 1994 : Le résultat de cette scission du haut de l’échelle est que « personne n’a de solution vraisemblable à apporter à ces problèmes inextricables » et qu’on « assiste à des batailles idéologiques furieuses sur des questions annexes ». Dans le même temps, « ceux qui fabriquent l’opinion cultivée » perçoivent les « gens ordinaires » comme « désespérément minables, ringards et provinciaux, […] peu au fait des évolutions du goût ou des modes intellectuelles, […] obnubilés par la littérature de gare, les romans d’amour ou d’action, et abrutis par une surdose de télévision ». C’est pour cela que le repli des élites sur elles-mêmes finit par provoquer son symétrique dans les classes populaires, à commencer par la classe moyenne déclassée, qui est « devenue l’élément le plus patriote, pour ne pas dire chauvin et militariste, de la société ». Il estime que « si nous pouvons surmonter les fausses polarisations que suscite aujourd’hui la politique dominée par les questions de sexe et de race, peut-être découvrirons-nous que les divisions réelles restent celles de classes ». « Une société démocratique ne peut autoriser une accumulation illimitée du capital » [écrit-il dans Le seul et vrai paradis, 1991]. Pour cela, il faut « limiter le champ du marché et le pouvoir des grandes compagnies sans les remplacer pour une bureaucratie étatique centralisée » et rétablir des institutions permettant un vrai débat pluraliste. Lasch perçoit dans ces solutions un moyen de mettre fin à la nostalgie d’un passé idéalisé, au ressentiment et à l’individualisme qui gangrènent notre société.
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  41. Les vols d'avions de ligne civils entrent dans le cadre des vols réguliers planifiés. Ils font l'objet d'accords entre états pour que chacun y trouve son compte. Evidemment si il y a discorde entre états, cela peut aller jusqu'a une remise en question des accords. Des vols de livraisons d'avions, qu'ils soient civils ou militaires sont des vols hors du cadre planifié et régulier. Ces vols entrent de le cadre d'autorisations au cas par cas. La vente de Rafale au Qatar est de notoriété internationale. La brouille officialisée entre l'Arabie Saoudite et le Qatar est postérieure au contrat franco-qatari et a ma connaissance ne concerne en rien la France. Je n'ai pas entendu que l'Arabie Saoudite se soit manifesté dans un sens hostile à ce contrat. Tout au plus, la France veillera a ménager l'éventuelle susceptibilité de Riyadh. C'est le job des ambassadeurs. La route usuelle pour se rendre dans les Emirats passe par la Turquie et l'Iran. Une autre route pourrait passer par la Méditerranée, l'Egypte et l'Arabie Saoudite avant d'aboutir soit au Qatar, soit vers les UAE. Tout au plus , il pourrait éventuellement être demandé que les appareils en livraison soient pilotés par des français pour ensuite "officialiser" une réception sur le territoire Qatari, il ne s'agit que de question de forme. Avant "l'officialisation" de la réception, les appareils restent des produits manufacturés français non armés lors du convoyage avec une immatriculation rattachée à l'identité du fournisseur. Je suppose que ça se passe comme ça et que probablement la question est déjà réglée.
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  42. J'y étais ;) Du coup, news from Brazil: -L'eau est fraiche à Ipanema -Le futur SN-BR (nucléaire) sera bien de la classe des 6000t, un format nécessaire pour pouvoir y entrer le réacteur de construction national. Reste à savoir s'il sera "one of a kind", histoire de déverminer leurs technologies et partir sur une solution plus légère par la suite, ou s'il sera suivi d'autres navires similaires (je rajouterais: reste à voir si le programme va aboutir. Economiquement, plein de choses peuvent se passer d'ici 2030) -Les Scorpene, c'est une étape vers l'objectif stratégique du SNA. Non seulement pour répondre aux besoins opérationnels exprimés depuis la fin des années 70, et plus encore après les Malouines, mais aussi pour maîtriser les technologies de petits réacteurs nucléaires avec un combustible aux normes civiles pour l'alimentation en électricité des petites et moyennes villes brésiliennes. -Petite exclu: avec l'avancement du programme Scorpene, et les délais avant le SN-BR, la compétence d'une partie des employés pourra être maintenue et utilisée à.. Adelaide, pour le programme Australien. Naval Group aurait reçu l'accord de Christopher Pine. -Le Brésil sera le premier client export de la F21... et quasiment le premier client tout court. La France devrait les recevoir en premier, mais la course sera serrée pour être le premier utilisateur (en gros, c'est une question de semaine entre les deux mises en service opérationnel). -Pas d'AIP ni de MDCN pour le Brésil, mais la possibilité d'en doter les navires lors d'une prochaine MLU -Les Scorpene brésiliens sont plus long pour plus de confort mais aussi plus d'autonomie en vivre et en carburant (+ 1 semaine, pour monter le tout à 45 jours)
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  43. un court paragraphe que j'ai pris d'un documentaire. L'avionique rockwell collins pro fusion.
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  44. Ce n'est certes pas du tout mis en valeur dans nos médias et la boboitude bien pensante ambiante mais des événements tels que le Bourget et la Ferté-Alais sont chez nous aussi extrêmement populaires et familiales. Les usines d'airbus sont aussi très visités.
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  45. Un document qui intéressera les fans de l'US Navy .
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