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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 17/04/2024 dans toutes les zones

  1. Les russes sont en train de fermer le front entre Pervomaiske/Netailove et Neveske. Le raccourcissement du front ici pourrait libérer des troupes pour menacer Krsnohorivka depuis le nord. Dans Krasnohorivka les russes ont réussi à établir des positions ferme jusqu'à la gare - à la limite de la petite zone industrielle -, et bombardent sévérement le nord de la ville. On pense qu'il vont poursuivre en essayant de prendre les zone résidentielles de l'est pour envelopper le nord de la ville. Cette bataille est relativement importante parce que perdue, cette ville décalerait le front rapidement de 10km à l'ouest, sur 20km de large. Stratégiquement ça ne changerait pas forcément grand chose, mais desserrer la pression sur Donetsk - le front serrai alors à 30km du centre ville - c'est redonner un peu d'avenir à la "Russie en Ukraine occupée". --- Autre sujet de préoccupation la pince entre les abords sud est d'Orcheretyne et l'est de Keramik. Si la pince se referme, les russes pourraient à terme menacer la zone urbanisé Tretsk Niu York par l'ouest. Or cette zone serait menacée au nord en cas de chute de Chasiv Yar ... Cette zone c'est pas du gateau ... c'est sensé etre au moins aussi robuste qu'Avdiivka et c'est plus étendue. Mais menacé sur trois flancs ... et les routes d'approvisonnment nord incertaine rendrait l'endroit vulnérable à une grosse opération russe. Grosse opération qui doit trainer dans un coin de la tête des russes puisqu'elle ouvrirait grand la voie vers Kramatorsk par le sud, et donc à terme de Slaviansk aussi. Et si ça devait arriver les russes approcherait d'un des objectifs affiché de ce conflit l'annexion effective de l'Oblast de Donetsk, Luhansk - c'est déjà conquis grosso modo - et de Kherson - rive gauche - ... resterait manquant un morceau de Zaporizhzhia - rive gauche - ... Au rythme ou vont les opérations ce scenario semble impossible à court voir même à moyen terme ... mais malgré tout je pense que c'est dans ce sens que vont quand meme s'orienter les opérations, du moins russes tant qu'ils ont l'initiative. --- Concernant Chasiv Yar la situation est super merdique. Les russes on atteint le canal au niveau de la foret à l'est de Chasiv Yar. En gros ils ont pu court circuité une bonne partie des défenses extérieures est de la ville, et plus ou moins encercler les éléments qui defende la ville à l'est du canal. La petite histoire voudrait qu'une brigade se soit replié sans ordre laissant la place libre. Si ce coin dans la défense n'est pas attaqué ... les combats pourraient rapidement se dérouler dans Chasiv Yar directement - la partie à l'ouest du canal -. Reste que la ville est fractionnée en quartier à peine contiguë et que pénétrer dans une portion n'implique pas du tout de pouvoir rapidement jouer à saute mouton de pâté de maison en pâté de maison.
    12 points
  2. Hmm... cela ouvre bien des possibilités : - le tank taupe : A la vitesse de progression moyenne du front, on se dit que creuser un tunnel cela pouvoir se justifier. - le tank Marsupilami : il tire derrière lui une longue chaine qui permet de le tracter en retour quand il est hors d'usage - le tank araignée (en version téléopérée) : pas vraiment blindé et monté sur d'immenses pattes, peut enjamber des obstacles et tellement moche que la phobie instinctive que génèrent les araignées se reportent sur lui. Les blindés alentours sont protégés de ce fait...
    10 points
  3. Il semble que pas totalement en fait..., car l'EPAWSS ne fusionne apparemment pas toutes les fonctions d'autoprotection dans un seul ensemble cohérent et se concentre sur le spectre EM. Par exemple, il ne contient pas de systeme CMWS (départ missile) intégré qui est un systeme annexe. Le spectra lui concentre tous les spectres de detection (EM,IR,UV,Laser) et d'effecteurs (brouilleurs EM,IR, flare ...) avec l'ensemble des techniques de localisations (gonio, interférométrie par defilement, multipoint,...) et tous cela en connexion permanente avec le reste du SNA.
    8 points
  4. Tiré de ton lien : Iron Beam, la version "low cost" du dôme de fer L'Iron Beam (rayon de fer) est la version "low cost" de l'Iron Dome. Plutôt que d'utiliser des missiles à 50.000 dollars pour détruire des roquettes ou de drones de quelques milliers de dollars, Rafael a mis au point un canon laser avec lequel chaque tir coûterait moins de 5 dollars. Ce rayon peut pulvériser obus, roquettes, missiles ou drones en une fraction de seconde seulement. Cette efficacité reste à démontrer puisque ce dispositif est toujours en phase de test => en fait on a les images de l'efficacité de cet outil. Non seulement il n'est pas cher mais en plus il a intercepté au moins 6 ou 7 missiles. Il me reste juste à valider que ces images ont été faite sur le territoire israélien et pas au-dessus de la Jordanie auquel cas çà pourrait être un laser non israélien. En 2022, le ministère israélien de la Défense lançait un plan d'investissement "de centaines de millions de shekels supplémentaires pour achever le processus". L'utilisation d'un laser dans la lutte antidrone est aussi au cœur du programme de protection de JO 2024. Cilas, filiale de d'Ariane, a créé Helma-P, une arme laser capable de détruire drones et minidrone à un kilomètre de distance. Décliné en versions portative ou fixe, cet équipement équipe déjà des unités de l'armée françaises et de la police, comme le RAID. => donc le HELMA-P est arrivé dans les unités
    6 points
  5. J'ai peut être une tendance parano ( va savoir ) mais ce genre d'article n'est pas un état des connaissances au sens propre. C'est un condensé de suppositions, qui sont à un stade plus ou moins avancé ( parfois trés avancé aussi - sans doute ). Quand à la copie du texte que les auteurs ont eu, ça s'appelle un brouillon. Et entre un brouillon et un accord ( quand il existe....Hum ) il peut y avoir de grandes différences. Pour les témoins ( forcément anonymes ) des 2 camps, on ne sait pas trop non plus. Il y a une part d'auto persuasion, une part d'enfumage de l'autre camp, etc...donc la "vérité" et l'état de la connaissance de l'article, ça fait 2. Et d'ailleurs quand ça marche pas, par définition ce que ce n'était pas "convaincant" pour au moins 1 camp, par la force des choses. Pour l'anecdote, ça me fait passer à une histoire perso ( boulot ) qui date. C'était un achat / fusion entre 2 boites ( pas juste un rachat par le plus ou le petit ferme sa gueule, donc un agrmént win / win comparable à de la diplomatie en qq sorte ). Disons qu'il y avait les 2 big boss en première ligne avec le plus d'éléments de décisions ( ce serait les 2 chefs d'état ). Dossier confidentiel vis à vis à de l'extérieur ( en théorie ), j'étais dans le cercle proche ( disons 5 personnes ) d'un des 2 "boss" car à un moment y'a un boulot un peu collectif et un "boss" ne fait pas tout ni tout seul. Le travail était avancé à un point ou le futur organigramme était prêt, et la future orga, etc.... A la machine à café, pendant les repas, ça ne causait que de celà dans les couloirs. Ce que je peux te dire, c'est que les propos qui circulaient comme des infos ( je ne parle pas du cercle des 6 personnes ) n'en était pas, et qu'il y avait 90 % de bullshit et 10 % de tendance à peu prés dans le bon sens. Tout à capoté quasiment la veille de la signature, et pas mal d'années plus tard, seulement les 2 personnes des plus hauts rang ont les éléments complets. J'en ai pas mal, mais probablement pas tout. On m'en a parlé y'a pas si longtemps, et bien ce qui reste dans la "légende" est essentiellement bidon. Quand à la fuite des documents, un truc rigolo. Tu balances une fève, un document avec des inepties. Tu te trompes d'imprimante, hélas, et tu imprimes à l'autre bout du bâtiment. Il te faut du temps pour trouver ton erreur Assez pour que celà soit copié. Dans les heures / demies journées qui suivent, tu tends les oreilles, et tu cherches de quel service vient la fève qui circule. Il ne faut jamais négliger la capacité d'intox, la fuite organisée.
    6 points
  6. La France rappelle son ambassadeur en raison "d'actions unilatérales dommageables pour la relation" entre la France et l'Azerbaïdjan : https://www.francetvinfo.fr/monde/conflit-dans-le-haut-karabakh/la-france-a-rappele-son-ambassadrice-en-azerbaidjan-pour-consultations_6490592.html
    6 points
  7. Assez incompréhensible pour moi je l'admets les gens qui préfèrent le "Kosovo" a la Serbie et/ou la Bosnie. Je pense qu'il s'agit essentiellement de personnes qui sont (gros guillemets) "russophobes" et qui alignent la Serbie dans l'axe Russe. Mais des lors pourquoi ne pas soutenir les initiatives qui desequilibreraient cet axe ? Maintenant pousser l'axe Kosovo/ Bosnie, au delà de ce que ça signifie sur les conséquences régionales dans nos pays leopardisés c'est aussi soutenir l'agenda néo Ottoman qui n'hésite plus a parler de Devchirme. Et ça je n'y vois aucune rationalité... La Turquie étant tout aussi agressive que la Russie, mais avec moins de moyens. Elle est malgré tout allée violer les frontières de Chypre, de la Syrie, et de l'Arménie sans que ça ne semble trop outrer ceux qui sont légitimement outrés pour les Ukrainiens. Reste l'axe Germano Croate, pas besoin d'élaborer. Il suffit juste de choisir ou on place le curseur. 1827? 1945? 1991? Bref, la politique du Rafale, qui est le pendant tristounet de la politique du panda peut a mon sens décaler le barycentre Serbe vers la France et vers l'UE. Me dira t'on que ça signifie potentiellement que nos technologies finiront en Russie ? Mais rassurez vous. Via l'axe Qatari / Turquie // Iran, le Rafale est déjà largement connu. Par contre dans le même temps c'est un levier de plus pour agir sur la diplomatie Serbe voir la neutraliser vis a vis de la Croatie si tant est qu'il leur venait l'idée d'aller chercher des poux au damier. Alors certes ce n'est que douze appareils et désormais on peut cracher dessus. Mais bon.
    5 points
  8. Pas facile de trouver une video avec ces "aerofreins" en action. Au Bourget 87, ils s'ouvrent juste avant le posé des roues et se ferment moins de 5 secondes après.
    5 points
  9. Un fil passionnant de Stéphane Audrand sur le sujet des linter de coton, nécessaires à la production de la charge propulsive des obus. Avec une réflexion en trame de fond sur ce que l'on pourrait faire à l'échelle européenne, et les concepts politiques que ça viendrait secouer (libre échange, marché etc...). Extraits
    5 points
  10. Ah ces US, ils ont succombé aux charmes du spectra... C'est sur que les résultats en exercices/opérations du Rafale, notamment en inde, ont fini par faire tâche d'huile. Quand tu remplis un chasseur ultra compact et discret de seulement 9T à vide avec un systeme EW de plus de 300 kilo géré par des palettes de calculateurs, cela envoie du paté. La guerre électronique ultra intégrée au SNA, gérée avec intelligence et par de puissants traitements avec des mises à jours régulières, ça marche très fort...
    5 points
  11. Il y aurait eu 110 tirs de missiles balistiques dont 7 interceptés par les USA et 94 par le système Arrow (soit un taux d'interception par le système Arrow de l'ordre de 91%): https://www.haaretz.com/israel-news/2024-04-15/ty-article/u-s-sources-half-of-iranian-ballistic-missiles-failed-idf-aircraft-damaged/0000018e-e0d0-d7e5-a1fe-e7d1bf3a0000 Les missiles ont ciblé 2 bases dont celle de Nevatim (5 missiles qui ont touché avec un avion cargo endommagé) et 4 missiles sur une autre base
    4 points
  12. Surtout ne pas oublier le tank bousier, il va pousser une grosse boule de terre devant lui comme protection
    4 points
  13. Grosse actualité pour le F-35 aujourd'hui la mise à jour block4 devrait être restructurée. Ils vont livrer des TR3/bloc4 d'entrainement. Sisi c'est le JPO qui le dit. Notez bien que ce découpage avait été annoncé par @Picdelamirand-oil il y a quelques semaines par comparaison avec le block3F. https://c.newsnow.co.uk/A/1225380557?-42681:29153:nn_topic_latest Le programme F-35 pourrait remanier le plan de mise à niveau à long terme, livrer des jets TR-3 plus tôt sans pleine capacité « Je commence à en avoir assez de trop promettre et de ne pas tenir mes promesses », a déclaré le lieutenant-général Mike Schmidt, chef du programme F-35 de l’armée de l’air. Par MICHAEL MARROWle 16 avril 2024 à 21 :02 Un avion de chasse F-35 de l’armée de l’air royale néerlandaise en action (ministère néerlandais de la Défense) WASHINGTON – Pendant des années, les retards et la croissance des coûts d’une série de mises à niveau du F-35 connues sous le nom de Block 4 ont contrarié le programme Joint Strike Fighter. S’inclinant devant ces problèmes, les responsables ont révélé aujourd’hui qu’ils pourraient devoir « réinventer » ou restructurer complètement l’ensemble du plan de mise à niveau. Bien qu’aucune décision finale n’ait été prise sur la voie à suivre pour le bloc 4, les mêmes défis ont également conduit les responsables du programme à annoncer que tous les jets F-35 livrés pour une autre année ne recevront qu’une version préliminaire du logiciel Technology Refresh 3 (TR-3) qui n’inclura pas une capacité de combat complète. Les deux nouvelles sont venues du chef du programme F-35, le lieutenant-général de l’armée de l’air Mike Schmidt, lors du témoignage d’aujourd’hui devant le sous-comité tactique des forces aériennes et terrestres des forces armées de la Chambre des représentants. Dans des remarques écrites, Schmidt a expliqué qu’un examen indépendant l’année dernière a déterminé que « de nombreuses capacités du bloc 4 ne seront pas livrées avant les années 2030 » – des années plus tard qu’une estimation récente proposée par les auditeurs du Congrès – ce qui a incité le programme à « réimaginer » complètement la mise à niveau du bloc 4. Le nouveau bloc 4 se concentrerait plutôt sur la fourniture de contenu « indispensable », a écrit Schmidt, qui comprendra un « sous-ensemble » non défini de 88 capacités initialement approuvées dans le cadre du plan du bloc 4. « Le bloc 4 réimaginé doit consister en ce que l’industrie peut réellement fournir dans le cadre du programme de défense des années futures (FYDP) », a écrit Schmidt, et consistera probablement en des caractéristiques telles que des capacités de guerre électronique et de communication améliorées. La question n’a pas été tranchée, a écrit Schmidt, et nécessite l’adhésion de tous les membres de l’entreprise F-35. De plus, Schmidt a écrit que le programme F-35 a établi de nouveaux « points de décision capacitaires » (CDP) pour s’assurer que certains matériels et logiciels peuvent être distribués à la flotte, soulignant que les responsables du programme sont « confiants » dans les livraisons du bloc 4 associées à ces CDP. Le programme F-35 présentera la nouvelle approche du bloc 4 dans « un calendrier pertinent pour le combat avec, oui, un sous-ensemble de capacités du programme du bloc 4, mais celles qui nous en donnent le plus pour notre argent », a déclaré Schmidt en réponse à une question du président du sous-comité, le représentant Rob Wittman, R-Va. « Et honnêtement, monsieur, je commence à en avoir assez de trop promettre et de ne pas tenir mes promesses et je dois changer ce récit », a-t-il ajouté. « Je veux qu’il reflète la réalité. Je veux qu’ils comprennent ce qu’ils peuvent faire de manière réaliste », a déclaré Wittman à propos du plan du bloc 4 lors d’une mêlée de presse avec des journalistes après l’audience, soulignant l’utilisation d’outils tels que la conception numérique dans une approche « réinventée ». « Block 4 devrait être une expérience qui peut non seulement nous faire avancer dans la conception logicielle et les mises à niveau du F-35, mais qui devrait également éclairer ce que nous faisons dans la conception numérique et le développement de jumeaux numériques » sur les chasseurs de nouvelle génération, a déclaré Wittman. Livraisons TR-3 Pour exploiter de nombreuses mises à niveau du bloc 4, le F-35 a besoin d’un ensemble de matériel et de logiciels connu sous le nom de Technology Refresh 3 (TR-3). Cela aussi a été retardé à de nombreuses reprises alors que l’avionneur Lockheed Martin a du mal à valider le logiciel TR-3, ce qui a incité le Pentagone à arrêter les livraisons d’avions à réaction nouvellement construits. Lockheed a maintenu dans une dernière projection révisée qu’elle s’attend à commencer à livrer des jets équipés de TR-3 au troisième trimestre de cette année, ou entre juillet et septembre. Aujourd’hui, M. Schmidt a déclaré que ces livraisons pourraient commencer au plus tôt en juillet, bien qu’un examen indépendant ait suggéré qu’août ou septembre pourrait être plus probable. Mais il y a un hic : ces jets ne seraient livrés qu’avec un logiciel « tronqué », ou une version provisoire du TR-3 qui n’inclut pas toutes les capacités, y compris celles qui sont essentielles au combat. C’est un plan dont les responsables discutent depuis des mois, et Schmidt a confirmé aujourd’hui pour la première fois que les partenaires du programme se sont tous entendus sur les critères du plan. « Et si nous remplissons ces conditions, nous tronquerons », a-t-il déclaré à l’issue de l’audience. Dans le cadre du nouveau plan, le logiciel TR-3 serait publié en deux versions distinctes, la première étant la version tronquée, a écrit Schmidt. Une charge logicielle entièrement apte au combat serait ensuite livrée dans une deuxième version qui, selon Schmidt, pourrait arriver plus d’un an plus tard. De nombreux problèmes ont conduit au retard du TR-3, allant des limitations de laboratoire aux projections optimistes, a souligné Schmidt. Plus précisément, Schmidt a déclaré dans des remarques écrites que le TR-3 souffre de problèmes de « maturité de conception matérielle », qui « se manifestent par de faibles rendements de fabrication de pièces nécessaires à la production d’avions ». De plus, le problème du matériel a également conduit les responsables à « utiliser des logiciels pour surmonter les défis de maturité de la conception matérielle ». En conséquence, le DoD a cessé d’accepter de nouveaux F-35 l’été dernier, et le Pentagone a retenu les paiements sur les avions séquestrés, a précédemment rapporté Bloomberg. Lorsqu’on lui a demandé si cet arrangement se poursuivrait dans le cadre du plan de troncature, M. Schmidt a répondu : « Nous négocierons les termes et conditions de la troncature. » À l’issue de l’audience, Wittman a minimisé l’impact de l’absence d’une mise à niveau complète du logiciel, affirmant qu’il est « utile » de livrer des chasseurs sans capacité de combat complète. Il a estimé que les jets peuvent offrir des possibilités d’entraînement et que les avions d’entraînement TR-2 actuels « peuvent facilement être codés et améliorés au combat. « Ensuite, ils vont devoir vraiment se serrer pour s’assurer qu’ils peuvent faire tout ce qu’ils peuvent pour compresser à 12 à 16 mois pour les rendre aptes au combat », a-t-il poursuivi. « Et c’est juste une partie normale du processus. Il n’est donc pas inhabituel pour le TR-3, c’est une partie normale de la mise à niveau logicielle d’un avion,puis de le tester et de le coder au combat. La plus grande préoccupation de Wittman, a-t-il dit, est simplement d’obtenir le livrable logiciel en premier lieu. « Je suis convaincu qu’une fois qu’ils auront livré cela, l’effort de le faire coder au combat ne sera pas si difficile. La difficulté est de faire en sorte que le logiciel soit livré et performant », a-t-il déclaré. Citant la période de calme de la société avant une conférence téléphonique sur les résultats prévue pour le 23 avril, un porte-parole de Lockheed a déclaré que la société ne pouvait pas fournir plus d’informations pour ce rapport.
    4 points
  14. Retour sur l'audition du 27 février à l'AS du MinArm, et beaucoup d'éléments intéressants dans le compte rendu. Je vous passe le blabla sur l'économie de guerre, ce nouveau sujet à la mode "qui passionne tout le monde". Venons en aux faits, avec les enjeux industriels d'abord. MBDA d'abord, une situation hétérogène, bonne sur le Mistral mais dont le travail "commence à peine" sur les Aster. Et après ce constat (dans le premier tweet affiché), un aveu du mur des réalités. Lecornu "J’ai décidé, en janvier 2023, d’en commander beaucoup, pour donner de la visibilité à l’industriel." Sans commentaire. Nexter vise 4 à 5k obus par mois à la fin de l'année 2024 et a noué des partenariats avec des fabricants Ukrainiens de machines agricoles, pour l'entretien des CAESAR. Lecornu toujours: "au fond, le système mécanique et hydraulique d’un canon #CAESAr diffère peu de celui de certains engins agricoles." Le bon sens prévaut. Sur les Mirage 2000, nous en possédons peu (une notion assez subjective et qui rétroagit avec beaucoup de paramètres, mais soit) et la MCO se complique. Lecornu, avec une précision que je trouve surprenante "Nous avons préféré mettre de l’argent et de l’ingénierie pour adapter les bombes AASM, dont nous disposons en grande quantité, aux générations d’avions soviétiques que possèdent les Ukrainiens". Réellement ? Quelqu'un saurait dire combien c'est "grande quantité" ? Un passage HS sur le MGCS et l'Italie, que je ne trouve pas spécialement convainquant, cette guerre ayant surtout (re)démontré l'importance cruciale de maitriser ses chaînes de production, mais passons. Et le meilleur pour la fin, la conclusion politique. Elle est juste et vraie, mais très arrogante pour ce gouvernement. Lecornu: "C’est une réalité qui s’impose à nous tous. On peut toujours avoir la tentation d’aller caresser la gueule du lion qui menace de nous manger pour essayer de l’adoucir, mais l’histoire a montré, avec la Crimée, le #Donbass, la #Syrie – dont on ne parle pas assez –, l’Ukraine et la tentation d’entrer en #Transnistrie depuis Odessa, qu’il ne faut pas faire preuve de naïveté. [...]" Sans rire, est-ce qu'on reparle des efforts du PR actuel pour éviter "d'humilier" le "lion qui menace de nous manger" ? Ca laisse un goût très très amer ce genre de constat, par un gouvernement qui disait pas loin de l'inverse depuis 2017 : il n'y a absolument rien dans ce qu'il déclare qui n'aurait pu être constaté et publiquement assumé dès le 24 février 2022 (surtout après la longue séquence diplomatique d'appels téléphoniques et déplacements à Moscou). On poursuit dans le changement de ton, c'est une bonne chose mais ça veut bien dire que ce que ça veut dire: un changement de ton et rien d'autre, et qui ne fait que corriger la position catastrophique de la diplomatie française à l'encontre de la Russie depuis 2017, et plus encore 2022. Et encore, ça c'est pour les plus sceptiques qui croyaient dur comme fer dans les intentions pacifiques de la Russie (les autres en étaient déjà convaincus depuis 2008). Le MinArm toujours: "Je crois important de le dire clairement et il me semble que mon travail, et peut-être aussi le vôtre, est de préparer notre opinion publique à ce nouveau moment de tension que la Fédération de Russie va faire peser sur nos démocraties." Air Défense attend sa citation...
    4 points
  15. Grosse blague apres des annees de refus categorique sur l’utilite de spectra, les americains valident epawss qui a exactement meme concepte. ils reprennent meme nos arguments sur l’adaptibilite comparé a la furtivité de forme. C’est une declaration de guerre !
    4 points
  16. L'article dit aussi que la moitié environ des missiles balistiques ont dysfonctionné. Le taux d'interception est plus faible du coup (aux alentours de 80% ?)
    3 points
  17. Je pense que j'ai trouvé un truc....( mais peut être ais je sombré dans le complotisme....) Je parle alimentaire, plus loin c'est l'audition de Fesneau de mi décembre dernier. Le passage concerné est à 12'30. La France serait pour un "assouplissement" sur ce qui rentre dans le cadre "OGM" ou n'y rentre pas dans les différentes techniques génomiques d'obtention de matériel ( végétal certainement - j'exclu l'animal par complexité technique accrue et par sensibilité du public ). Celà concerne les règles d'étiquetage ( surtout, en fait ) des produits finaux ( je vous livre la version sous titrée ) Un bon point, il semble chercher le dialogue max avec ses interlocuteurs en Europe. C'est heureux, car un ministre même bruyant dans l'espace médiatique sur un sujet trans national ne peut rien faire tout seul ( faudrait en parler à qq autres qui n'ont pas compris comment ça marche ). Mais voilà, voilà blocage à l'Est sur la vision française, il manque qq pays pour faire la bascule au conseil, donc il allait être nécessaire de les travailler plus au corps. Rappelez vous, de l'été 2023 à fin d'année, la FR ne pouvait pas refuser l'import de produits ukrainien ( dit par Fesneau aux agriculteurs pendant 6 mois ) car celà enverrait un signal malheureux à Kiev sur notre soutien. En janvier, il y a eu les bennes de lisiers aprés 6 mois de palabres plus tranquilles. Et plus récemment ( c'est pas dans la vidéo ) ce point semble moins "bloqué", et la France ( par Manu et Fesneau ) disent qu'on ne peut importer autant et n'importe quoi, d'ailleurs Manu a trouvé les nouveaux quotas sur les produits agri ukrainiens trop élevés...... Ceux qui voulaient des quotas sur les produits ukrainiens depuis un moment, c'était l'Est. Donc là, je renifle une forte odeur d'échange / compromis: quotas contre génomique ( ce qui explique aussi le revirement de situation assez brutal sur le sujet quotas )
    3 points
  18. Vraiment je n'en suis pas certains. Le combat de tank a tank est essentiellement une vue de l'esprit. Hormis peut être dans un certains conflit israélien (centurion vs t-54), l'ennemi du tank c'est l'artillerie, les mines et l'artillerie AC, certainement pas les autres tanks. Et le tank lui même est l'ennemi de l'infanterie et des véhicules légers ainsi que des abris légèrement fortifié.
    3 points
  19. @Bechar06 A déniché un article sur un projet Chinois dans le Sahara qui semble important : https://www.geo.fr/geopolitique/mais-pourquoi-la-chine-construit-elle-un-chemin-de-fer-en-plein-sahara-219669 Avec ce projet qui concerne une mine de fer à Tindouf - 3,5 milliards de tonnes de minerai de fer exploitables, Gara Djebilet est l’une des plus grandes mines de fer du monde. - donc proche de l'ex Sahara espagnol / Sahraoui et du sud Maroc... Et le transport ferroviaire vers le nord en plein Sahara pour export par la Méditerranée : Une entreprise chinoise a débuté la construction de 575 km de voie ferrées en plein milieu du Sahara algérien. Un projet vital pour l'économie de Pékin, avide de minerai de fer, comme pour l'économie algérienne dépendante des hydrocarbures. Sujet déverrouiller mais sera clôturé si les commentaires dérapent...
    3 points
  20. ah le Prêt-bail pour le matériel militaire quel concept juridique merveilleux ! M1Abrams - jamais servi - en location sur 3 ans et à restituer en état identique. Cela me semble un contrat intéressant. L'UE pourrait verser les loyers, les américains supportant le modeste risque sur l'état du matériel...
    3 points
  21. https://www.foreignaffairs.com/ukraine/talks-could-have-ended-war-ukraine (16 avril 2024) Samuel Charap and Sergey Radchenko - The Talks That Could Have Ended the War in Ukraine - A Hidden History of Diplomacy That Came Up Short—but Holds Lessons for Future Negotiations (Les pourparlers qui auraient pu mettre fin à la guerre en Ukraine - L'histoire cachée d'une diplomatie qui n'a pas abouti, mais dont on peut tirer des leçons pour les négociations futures) [suite] Comme [Davyd Arakhamia] l'a déclaré lors d'une interview accordée en novembre 2023 à un programme d'information télévisé ukrainien, la Russie avait "espéré jusqu'au dernier moment qu'ils [pourraient] nous pousser à signer un tel accord, que nous [adopterions] la neutralité. C'était le plus important pour eux. Ils étaient prêts à terminer la guerre si, comme la Finlande [pendant la guerre froide], nous adoptions la neutralité et nous engagions à ne pas rejoindre l'OTAN". La taille et la structure de l'armée ukrainienne ont également fait l'objet d'intenses négociations. Le 15 avril, les deux parties restent très éloignées sur ce point. Les Ukrainiens voulaient une armée de temps de paix de 250 000 personnes ; les Russes insistaient sur un maximum de 85 000 soldats, ce qui était nettement inférieur à l'armée permanente dont disposait l'Ukraine avant l'invasion de 2022. Les Ukrainiens voulaient 800 chars, les Russes n'en voulaient que 342. La différence entre la portée des missiles était encore plus marquée : 280 kilomètres, ou environ 174 miles, (position ukrainienne), et seulement 40 kilomètres, ou environ 25 miles, (position russe). Les discussions ont délibérément évité la question des frontières et des territoires. De toute évidence, l'idée était que Poutine et Zelensky décident de ces questions lors du sommet prévu. Malgré ces désaccords importants, le projet du 15 avril laisse entendre que le traité serait signé dans les deux semaines. Certes, cette date a pu changer, mais elle montre que les deux équipes avaient l'intention d'aller vite. "À la mi-avril 2022, nous étions très près de conclure la guerre par un accord de paix", a déclaré l'un des négociateurs ukrainiens, Oleksandr Chalyi, lors d'une apparition publique en décembre 2023. "Une semaine après le début de l'agression, Poutine a conclu qu'il avait commis une grave erreur et a essayé de faire tout son possible pour conclure un accord avec l'Ukraine". Dès le 30 mars, M. Johnson semblait peu enclin à la diplomatie, déclarant qu'au lieu de cela, "nous devrions continuer à intensifier les sanctions dans le cadre d'un programme évolutif jusqu'à ce que toutes les troupes [de Poutine] aient quitté l'Ukraine". Le 9 avril, M. Johnson s'est rendu à Kiev, premier dirigeant étranger à s'y rendre après le retrait russe de la capitale. Il aurait déclaré à Zelensky qu'il pensait que "tout accord avec Poutine serait passablement sordide". "Tout accord", se souvint-il, "serait une victoire pour lui : si vous lui donnez quelque chose, il le gardera, le mettra en banque et se préparera à son prochain assaut". Dans l'interview de [novembre] 2023, Arakhamia a froissé certains en semblant tenir Johnson pour responsable du résultat. "Lorsque nous sommes rentrés d'Istanbul, Boris Johnson est venu à Kiev et a dit que nous ne signerions rien du tout avec [les Russes] et que nous continuerions à nous battre. Dès la fin du mois d'avril, l'Ukraine avait durci sa position, exigeant un retrait russe du Donbas comme condition préalable à tout traité. Comme l'a déclaré Oleksii Danilov, président du Conseil ukrainien de sécurité nationale et de défense, le 2 mai : "Un traité avec la Russie est impossible - seule la capitulation peut être acceptée". Le 11 avril 2024, Loukachenko, l'intermédiaire précoce des pourparlers de paix russo-ukrainiens, a appelé à un retour au projet de traité du printemps 2022. "C'est une position raisonnable", a-t-il déclaré lors d'une conversation avec Poutine au Kremlin. "C'était également une position acceptable pour l'Ukraine. Ils ont accepté cette position. M. Poutine a renchéri. "Ils ont accepté, bien sûr", a-t-il déclaré. En réalité, les Russes et les Ukrainiens ne sont jamais parvenus à un texte de compromis final. Mais ils sont allés plus loin dans cette direction qu'on ne l'avait cru jusqu'à présent, en parvenant à un cadre général pour un éventuel accord. Après les deux années de carnage qui viennent de s'écouler, tout cela n'est peut-être que de l'eau qui a coulé sous les ponts. Mais cela nous rappelle que Poutine et Zelensky étaient prêts à envisager des compromis extraordinaires pour mettre fin à la guerre. Si Kiev et Moscou reviennent à la table des négociations, ils y trouveront des idées qui pourraient s'avérer utiles à la construction d'une paix durable. Je suis déçu que les auteurs ne commentent pas l'interprétation de Naftali Bennett :
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  22. L'article suivant dresse un état des connaissances sur les négociations russo-ukrainiennes du printemps 2022 : https://www.foreignaffairs.com/ukraine/talks-could-have-ended-war-ukraine (16 avril 2024) Samuel Charap and Sergey Radchenko - The Talks That Could Have Ended the War in Ukraine - A Hidden History of Diplomacy That Came Up Short—but Holds Lessons for Future Negotiations (Les pourparlers qui auraient pu mettre fin à la guerre en Ukraine - L'histoire cachée d'une diplomatie qui n'a pas abouti, mais dont on peut tirer des leçons pour les négociations futures) Pour faire la lumière sur cet épisode souvent négligé mais crucial de la guerre, nous avons examiné les textes des projets d'accords échangés entre les deux parties, dont certains détails n'ont pas été rapportés auparavant. Nous avons également mené des entretiens avec plusieurs participants aux pourparlers ainsi qu'avec des fonctionnaires en poste à l'époque dans des gouvernements occidentaux clés, à qui nous avons accordé l'anonymat afin d'aborder des sujets sensibles. Enfin, nous avons passé en revue de nombreuses interviews et déclarations contemporaines et plus récentes de responsables ukrainiens et russes en poste à l'époque des pourparlers. La plupart de ces documents sont disponibles sur YouTube, mais ils ne sont pas en anglais et ne sont donc pas largement connus en Occident. Enfin, nous avons examiné la chronologie des événements depuis le début de l'invasion jusqu'à la fin du mois de mai, lorsque les pourparlers ont été interrompus. C'est au cours du troisième cycle de négociations que les Russes et les Ukrainiens semblent avoir examiné des projets de textes pour la première fois. Les deux délégations ont poursuivi leurs discussions par vidéoconférence, mais se sont de nouveau rencontrées en personne le 29 mars, cette fois à Istanbul, en Turquie. Elles ont alors semblé avoir fait une percée. À l'issue de la réunion, les parties ont annoncé qu'elles s'étaient mises d'accord sur un communiqué commun. Les termes en ont été largement décrits lors des déclarations à la presse des deux parties à Istanbul. Mais nous avons obtenu une copie du texte intégral du projet de communiqué, intitulé "Principales dispositions du traité sur les garanties de sécurité de l'Ukraine". Selon les participants que nous avons interrogés, les Ukrainiens ont largement rédigé le communiqué et les Russes ont provisoirement accepté l'idée de l'utiliser comme cadre pour un traité. Le traité envisagé dans le communiqué aurait proclamé l'Ukraine comme un État neutre permanent et non nucléaire. L'Ukraine aurait renoncé à toute intention d'adhérer à des alliances militaires ou d'autoriser l'installation de bases militaires ou de troupes étrangères sur son sol. Le communiqué cite comme garants possibles les membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies (y compris la Russie) ainsi que le Canada, l'Allemagne, Israël, l'Italie, la Pologne et la Turquie. Le communiqué indiquait également que si l'Ukraine était attaquée et demandait de l'aide, tous les États garants seraient tenus, après consultation avec l'Ukraine et entre eux, de fournir une assistance à l'Ukraine pour rétablir sa sécurité. Il est remarquable que ces obligations aient été énoncées avec beaucoup plus de précision que l'article 5 de l'OTAN : imposer une zone d'exclusion aérienne, fournir des armes ou intervenir directement avec la propre force militaire de l'État garant. Bien que l'Ukraine soit définitivement neutre dans le cadre proposé, la voie de l'adhésion de Kiev à l'UE resterait ouverte, et les États garants (y compris la Russie) confirmeraient explicitement "leur intention de faciliter l'adhésion de l'Ukraine à l'Union européenne". C'était tout à fait extraordinaire : en 2013, M. Poutine avait exercé une pression intense sur le président ukrainien Viktor Ianoukovitch pour qu'il renonce à un simple accord d'association avec l'UE. Désormais, la Russie acceptait de "faciliter" l'adhésion totale de l'Ukraine à l'UE. Dans les remarques qu'il a faites le 29 mars, immédiatement après la conclusion des pourparlers, Medinsky, le chef de la délégation russe, s'est montré résolument optimiste, expliquant que les discussions sur le traité relatif à la neutralité de l'Ukraine entraient dans la phase pratique et que, compte tenu de toutes les complexités présentées par le fait que le traité comporte de nombreux garants potentiels, il était possible que Poutine et Zelensky le signent lors d'un sommet dans un avenir prévisible. Les parties s'échangeaient activement des textes préliminaires et, semble-t-il, commençaient à les partager avec d'autres parties. (Dans son interview de février 2023, Bennett a déclaré avoir vu 17 ou 18 projets d'accord ; Loukachenko a également déclaré en avoir vu au moins un). Nous avons examiné de près deux de ces projets, l'un daté du 12 avril et l'autre du 15 avril, dont les participants aux pourparlers nous ont dit qu'il s'agissait du dernier projet échangé entre les parties. Ils sont largement similaires mais contiennent des différences importantes, et tous deux montrent que le communiqué n'avait pas résolu certaines questions clés. [à suivre]
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  23. Les ambitions d'activité du f-35 de la RAAF Australie en chute libre : 12500 heures programmées entre juillet 2023 et juin 2024. Le PAES fait apparaitre que seulement 10500 seront réalisées. p44 https://www.defence.gov.au/sites/default/files/2024-02/2023-24_Defence_PAES_00_Complete.pdf Les ambitions pour les années suivantes étaient de 13500 heures pour 25-26 et 27-28 (p68 de ce doc https://www.defence.gov.au/sites/default/files/2023-05/2023-24_defence_pbs_02_defence.pdf). Elles sont réduites à 12000 dans le PAES 23/24. Plusieurs phénomènes doivent être pris en compte : - les livraisons sont stoppée pour une période indéfinie, - les heures par F-35 sont réduites pour limiter le budget de MCO, - les capacités de MCO sont limités actuellement à cause des besoins israéliens. D'après ce document il reste 12 F-35 à livrer : https://www.defence.gov.au/sites/default/files/2023-05/2023-24_defence_pbs_03_appendices.pdf Donc à la date de parution du PAES la RAAF estimait pouvoir faire 10500 heures avec 60 F-35 soit 14,5 heures et 13,9 quand tous les f-35 seront livrés. En 2021 les ambitions de la RAAF étaient de 14900 heures pour 72 F-35 en 2023/24. Soit 17,2 heures par F-35 par mois.https://www.defence.gov.au/sites/default/files/2022-02/2020-21_Defence_PAES_00_Complete.pdf Nous avons donc une RAAF qui a révisé chaque année ses ambition avec une heure activité en moins grâce à sa" maturation de la compréhension du F-35".
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  24. Grosse explosion sur l'aérodrome militaire de Djankoy
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  25. Le reclassement de certaines La Fayette en patrouilleurs n’est plus à l’ordre du jour https://www.meretmarine.com/fr/defense/le-reclassement-de-certaines-la-fayette-en-patrouilleurs-n-est-plus-a-l-ordre-du-jour - Les 2 FLF non modernisées, Surcouf et Guepratte, ne seront pas reclassées en patrouilleurs - Concrètement elles vont garder leurs Exocet MM40 - Les Crotale sont encore bons jusqu’en 2026-27, et sont désormais épaulés pour la lutte anti drone par 2x lanceurs Simbad manuels pour missiles Mistral - Le Surcouf est prévu pour être retiré en 2027 (30 ans) et le Guépratte en 2031, mais MeretMarine estime que ces dates risquent d’être repoussées
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  26. J'ai travaillé 5 ans en Allemagne et j'y ai beaucoup d'amis et de la Famille. Ma femme était prof d'Allemand avant sa retraite et était ravie de se retrouver en Allemagne pour un week end prolongé tous les 15 jours. A nous deux nous avons suffisamment d'amis en Allemagne pour être reçu plusieurs jours dans n'importe quelle partie de l'Allemagne sans problème. Alors germanophobe...
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  27. C'est quand même formidable cette époque où on nous annonce à l'avance des attaques surprises.
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  28. Bon ben y a @Patrick et @Picdelamirand-oil coté Dassault et moi pour essayer de trouver des qualités aux Allemands...Autant dire que je ne suis pas dans une situation d'avenir... Ca me parait être un bon résumé. Helmut est arrivé a la réunion en 83 avec son carton a dessins sous le bras en disant : " Arch les zamis, Ici habe vier ideas : furtivitat und bras de levier, und TVC, und entrées de luft dessous''. Brian a répondu : " Well ca est strange. No." Paolo a ajouté : " Ma qué cosi ? C'est moche. No." Juan a renchéri : "...?" Helmut : " Haber...mais Ich paie mucho geld, dinero Juan, in der project, zo fous zetes oppligé dé prendre eins de mes idées ! Contract ! Contract !" Brian : " Okay mein friend, we are not french, we accept compromise. Je veux bien prendre long harm moment canards. What do you think Paolo ?" Paolo : " Oki ! Va bene ! Et anche je amo aussi entrées d'air sous la machina. Juan ?" Juan : "...?" Helmut : " Wunderbar ! Je fous ai bien eu ! Ich kommt afec 4 idées pour que vous en prendre une, aber fous avez pris zwei idées a moi ! Ah ah ah !" Brian : " Ah ah ah, well done Helmut ! So long harm moment canards and strange intakes it will be. But I don't want entendre parler de side-mounted control stick anymore hein ? Entre les jambes le manche c'est comme ca forever." Paolo : " Si ! Ah ah ah Helmut ! Et lé siege penché non plus hein Helmut ? Lé siege dou pilote c'est droit hein ?" Juan : "...?" Brian : " Well, good job, good compromise. We work well without the frogs ! Well, it's time to déjeuner ! What restaurant ?" Helmut : " Arch, ja, a ze propos j'ai quatre idée pour manger..."
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  29. Ne pas perdre de vue que certes la Chine préoccupe les Aussies mais peut-être pas autant que les 275 millions d'Indonésiens qui campent à leurs portes à moins de 500 km de Darwin ... Et c'est drôle les Indonésiens s'équipent français ...
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  30. Le fonds spécial de soutien à l'Ukraine, créé par le gouvernement, est un fonds où l'Ukraine est priée... d'avancer les fonds. Puis se faire rembourser sur présentation des justificatifs. Après tout, on est Français où on ne l'est pas, même en économie de guerre !
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  31. Alors déjà vu qu'il n'y a pas de filles sur Air-défense, non. Ensuite, je pense plutôt que ça tiendrait d'une expérience vault-tec (https://fallout-wiki.com/Abri#Abris_connus) que d'une mission spatiale.
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  32. Temps : D'ici 2023, les Pays-Bas auront reçu leur 37e avion livré par l'usine d'assemblage en Italie. Le projet a ainsi atteint une condition préalable essentielle pour parvenir à la pleine capacité de déploiement opérationnel (FOC), qui devrait être atteinte d'ici la fin de l'année. Les Pays-Bas atteindront le statut FOC lorsque le F-35 sera capable d'effectuer toutes les tâches du F-16. Deux escadrons de F-35 ont été formés à ce stade et peuvent être déployés. Comme prévu, le déploiement du F-35 en 2022 et en 2023 a affecté la transition. Cela a principalement affecté le personnel déployé, qui a dû former d'autres personnes. Cela a entraîné un retard dans la constitution d'une main-d'œuvre formée. Cet arriéré de personnel devrait être résorbé en 2025. La livraison des 52 avions F-35 se fait progressivement. La figure 2 présente une représentation graphique du calendrier (international) et du calendrier de livraison néerlandais. En raison du retard dans la livraison du logiciel TR-3, le calendrier de livraison prévu a été ajusté sur la base des informations dont nous disposons. Entre-temps, 39 avions ont été livrés : huit d'entre eux se trouvent actuellement sur la base aérienne de Luke à des fins d'entraînement, tandis que les autres se trouvent sur les bases aériennes de Leeuwarden ou de Volkel. On s'attend à ce que trois avions supplémentaires seront livrés dans le courant de l'année, sept avions en 2025 et quatre autres en 2026. En raison de retards dans le développement et les essais du logiciel TR-3, aucun avion TR-3 n'est actuellement en cours de livraison. Ce logiciel sera prêt et testé à la mi-2024, selon le JPO. La livraison des avions néerlandais n'a jusqu'à présent pas été affectée par ce problème de TR-3. En effet, les Pays-Bas ont anticipé cette situation à la fin de 2022 en faisant livrer six appareils néerlandais du lot 15/16 en configuration TR-2 au lieu de la configuration TR-3. Ces appareils seront ultérieurement modifiés en configuration TR-3. Cette mesure de précaution a permis de garantir que les avions néerlandais puissent encore être livrés par l'usine en Italie. Cette mesure s'applique jusqu'à la livraison du 40e avion en mars 2024. La livraison du premier avion néerlandais en configuration TR-3 est prévue pour la fin de l'année 2024. Si le logiciel TR-3 n'est pas disponible d'ici là, il y aura également des retards de livraison pour les avions néerlandais. La pression exercée sur le développement et les essais du logiciel TR-3 limite le risque de ce retard. Si des retards se produisent, ils auront un impact limité sur le calendrier de livraison du troisième escadron déployable, à la mi-2027, pour l'instant. Planification du programme international du F-35 Le programme de vol dans le cadre de la phase dedéveloppement et de démonstration des systèmes (SDD) s'est achevé en 2018. La phase d'essais opérationnels, ou IOT&E ( Initial Operational Test & Evaluation ), qui a officiellement débuté en 2018, s'est achevée au cours de la période couverte par le présent rapport. Le 12 mars 2024, le gouvernement américain a annoncé qu'une étape importante avait été franchie avec le passage à la production à plein régime du programme F-35. Transition F16/F35 Le nombre d'avions néerlandais F-35 entrant en service augmentera progressivement au cours de la période de transition (jusqu'en 2024). Dans le même temps, le nombre de F-16 en service diminuera. Le personnel sera formé au F-35 pendant cette période, ce qui lui permettra de continuer à acquérir des connaissances et de l'expérience avec le nouvel avion. Outre le recyclage, la formation directe des pilotes sur le F-35 est en cours. À la base aérienne de Luke, aux États-Unis, 75 pilotes néerlandais ont été formés jusqu'à présent pour des escadrons aux Pays-Bas et pour des postes d'instructeurs aux États-Unis. Trois classes de mécaniciens ont été formées à l'École royale militaire de la Force aérienne (KMSL) dans le cadre d'un cours accrédité en 2023. La quatrième classe a commencé en septembre 2023. Afin d'accélérer le traitement des arriérés de personnel, la cinquième classe a commencé en janvier 2024 et la sixième classe commencera en mars 2024. En recrutant des instructeurs américains, les cours pourront être dispensés en parallèle au cours de la période à venir. À des fins de planification pour la période de transition, la défense travaille avec les objectifs de déploiement pour le F-16 et le F-35 indiqués dans la déclaration ci-dessous. Activités de préparation à l'OFC La défense se prépare à franchir l'étape FOC dans les délais prévus. À cette fin, diverses activités ont été menées au cours de la période récente. Les principales activités préparatoires ont été les suivantes Former et entraîner le personnel lié au F-35 pour les tâches opérationnelles prévues ; Poursuite du développement des pratiques et procédures issues de la phase IOT&E ; Livraison et passage par une phase d'acceptation - dans l'intervalle - de 39 aéronefs conformément au plan de transition du F-16 au F-35 ; L'installation de maintenance, de réparation, de révision et d'amélioration (MRO&U) de la base aérienne de Woensdrecht a été achevée pour le premier quai de maintenance et est en cours de préparation pour un deuxième et un troisième quai ; Pratique de l'assemblage, de l'armement et de l'éjection des armes du F-35.
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  33. L'annuel rapport sur le programme F35 néerlandais --> https://open.overheid.nl/documenten/72838d01-2ad7-4f42-af49-3e2f2e3d4c33/file Résumé présenté page 4 et 5 : Le projet "Acquisition F-35" (VF-35) vise à assurer l'acquisition et l'introduction du F-35 pour remplacer les avions F-16. Dans le cadre du Livre de la Défense 2022, la Défense a décidé d'acquérir six avions F-35 supplémentaires, ce qui lui permettra de disposer d'un total de 52 avions F-35. La livraison du 52e avion est actuellement prévue pour le premier semestre 2026. Le projet vise à atteindre la pleine capacité de déploiement opérationnel, c'est-à-dire la pleine capacité opérationnelle (FOC) avec 37 avions, dans les délais et le budget impartis, d'ici à 2024. À ce moment-là, le F 35 reprendra toutes les tâches du F-16. Produit D'ici 2023, les Pays-Bas auront reçu leur 37e avion de l'usine d'assemblage en Italie. Dans le monde entier, plus de 990 F-35 auront été produits et auront effectué plus de 775 000 heures de vol d'ici à la fin de 2023. En 2023, 8 avions F-35 néerlandais ont été stationnés en Pologne pendant plusieurs mois dans le cadre de la mission de défense aérienne de l'OTAN. Au cours de cette période, l'armée de l'air a intercepté à plusieurs reprises des avions russes pour protéger l'espace aérien de l'OTAN. Le F-35 a également été déployé aux Pays-Bas en 2024 pour la mission d'alerte de réaction rapide (QRA) afin de protéger l'espace aérien de notre pays et de l'OTAN. Actuellement, le programme international F-35 a interrompu les livraisons de nouveaux avions en raison de retards dans le logiciel dit Tech Refresh-3 (TR-3). Ce logiciel sera testé et prêt à la mi-2024, selon le Joint Project Office (JPO) du F-35. Les Pays-Bas ont anticipé cette situation à la fin de l'année 2022. Par conséquent, la livraison jusqu'au 40e avion inclus pour les Pays-Bas à partir de l'usine en Italie se poursuivra et devrait être livrée en avril 2024. Si le logiciel TR-3 n'est pas disponible à la mi-2024, les livraisons des 12 avions néerlandais restants seront retardées. Dans l'état actuel des choses, cela n'affectera pas le calendrier de livraison de la troisième escadrille. Au cours de cette période, un autre État membre européen, la Roumanie, a fait part de son intention d'acheter le F-35. Avec l'expansion de la flotte mondiale, le programme international F-35 reste axé sur la poursuite du contrôle des coûts de maintenance, la fourniture d'un soutien logistique efficace à la flotte croissante de F-35 et la poursuite du développement des capacités opérationnelles du F-35. Le temps Le projet progresse comme prévu. La dernière étape restante du projet est le déploiement opérationnel complet d'ici 2024. Ce statut FOC est basé sur la livraison de 37 avions et sera atteint cette année. Au milieu de l'année 2024, le troisième escadron de F-35 commencera à se constituer. Avec le passage à ce troisième escadron, la cible de déploiement du F-35 sera élargie. Cet escadron devrait être prêt pour ses premières opérations à la mi-2027. Les Pays-Bas recevront encore 13 appareils pour ce troisième escadron jusqu'en 2026. L'Argent Ce rapport d'avancement présente les estimations et les budgets intégraux pour un total de 52 avions F-35. Lorsque l'estimation de l'investissement est comparée au budget d'investissement disponible, le solde est positif. Les estimations opérationnelles pour les cinq années restantes de la période budgétaire, jusqu'en 2029, s'inscrivent dans le cadre du budget disponible. Les estimations de coûts à plus long terme s'inscrivent également dans le cadre du budget disponible, mais comportent encore des incertitudes, étant donné qu'il s'agit de la durée de vie totale du F-35. Industrie néerlandaise L'un des principaux objectifs dérivés du projet est de faire participer autant que possible l'industrie néerlandaise au développement, à la production et au maintien en service du F-35. La période couverte par ce rapport diffère de la période couverte par le présent rapport d'avancement car les chiffres de l'industrie sont demandés chaque année au mois de juin. C'est donc l'année 2022 qui est désormais prise en compte. L'évolution des accords de production conclus et du chiffre d'affaires réalisé par l'industrie néerlandaise dans le cadre du projet VF-35 a été positive en 2022. Il s'agit d'une poursuite de la tendance observée depuis plusieurs années. En 2022, 46 nouvelles commandes ont été passées auprès d'entreprises néerlandaises, pour une valeur combinée de 255,9 millions de dollars. Cela a porté la valeur totale des accords à la fin de 2022 à environ 2 769,4 millions de dollars. Le chiffre d'affaires total potentiel de la production néerlandaise de F-35 jusqu'à la fin de la période de production, vers 2045, est estimé à plus de 9 milliards de dollars. Il n'y a actuellement aucune raison d'ajuster cette estimation. Autres développements En 2023, le Comité d'audit du réseau de mesure du bruit de la base aérienne de Leeuwarden (AC LWD) a rendu ses conclusions pour la troisième fois, après le rapport de novembre 2022. Ce troisième rapport présente les résultats de la comparaison entre les niveaux de bruit mesurés et calculés du F-35. Les niveaux de bruit mesurés correspondent aux niveaux de bruit calculés, ce qui renforce la confiance dans le calcul des unités de coût appliqué par le laboratoire aérospatial néerlandais (NLR). La défense, en consultation avec les parties prenantes locales, continue d'explorer les options permettant de réduire la pollution sonore tout en assurant une formation adéquate avec le F-35 afin de garantir notre sécurité (inter)nationale. Risques En ce qui concerne les principales étapes des années à venir, les risques liés à la planification sont actuellement jugés faibles. Bien que l'étape FOC en 2024 soit sous pression, principalement en raison d'une dotation qualitative, elle est considérée comme réalisable. Les risques liés aux produits concernent principalement les développements de logiciels (tels que le TR-3) et la maintenance (y compris la pénurie de pièces de rechange dans la chaîne logistique). Avec la poursuite de l'expansion de la flotte, il est crucial que la logistique et le soutien puissent suivre les développements. Les parties impliquées dans le programme F-35 reconnaissent ces risques et de nombreuses mesures ont été prises depuis pour les gérer, telles que les estimations de coûts annuels dans le cadre du modèle de coût du cycle de vie . La réserve de risque maximale calculée pour l'investissement, à la suite des sessions de risque supervisées par l'Organisation néerlandaise pour la recherche scientifique appliquée (TNO), est de 104,9 millions d'euros cette année. Programme de développement du F-35 Comme décrit dans les rapports d'avancement précédents, le F-35 est développé selon le principe C2D2 ( Continuous Capability Development and Delivery ) dans le cadre du programme international. Ce principe C2D2 se traduit par des modifications continues (plus importantes) du F-35 pendant la durée de vie de l'avion. Votre Parlement a récemment été informé de la conception et des cadres du programme (document parlementaire 26 488 n° 475). L'avancement du développement en cours du F-35 ne fait pas partie du projet VF-35. Votre Assemblée en sera informée chaque année dans l'aperçu des projets de défense (DPO).
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  34. Il tire dans le secteur avant 30° de chaque coté environ. Le but c'est d'avoir un canon d'assaut capable d'attirer l'attention des défenseurs et de focaliser les attaques de FPV ... un sorte de "Prowler" terrestre. Un machin plus ou moins immunisé contre les FPVs et qui sert de support à un brouilleur de puissance protégeant le reste du convoi - les engins sont tres proche derriere c'est à noter -. Souvent malgré le brouillage le FPV continu tout droit etr frappe la cible quand meme. Ici ce souci est annulé, la sur-coque rendant cette impact sans conséquence, l'engin peut continuer sa mission, avancer et brouiller. Visiblement il a été utilisé sur un segment du front peu ou mal doté en ATGM ... je suppose que c'est fait exprès aussi. Contre un ATGM la sur-coque ne change pas nécessairement grand chose.
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  35. Joue sur les mots si tu as envie, ça ne change rien à la finalité :) Et ça n’enlève rien au crédit du reste de ces propos.
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  36. Très intéressant. En revanche il dit une petite bêtise sur les aérofreins du Rafale A. Il était bien équipé d’aérofrein, juste devant la dérive. C’est le Rafale C01 qui avait des AF peint en blanc.
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  37. et comme nous n'avons pas tous les elements pour juger, la dispo des equipes et de bassins de carene pour faire le boulot, l'etat reelle des 2 cocques restantes, l'impact sur le financement des EPC/PO qui arrivent, c'est bien illusoire de vouloir tout comprendre. Si des fois on comprend, c'est déjà pas mal ;-)
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  38. Je me suis fait confirmer par un des marins du Jacque Chevalier qu'il y avait bien un espace atelier. Depuis la fin du Jules Verne je 'etais demandé comment cette capacité etait reprise. Est-ce pareil pour les PR hollandais ?
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  39. La Russie n'est pas vraiment au ban des nations, la Chine non plus, l'Éthiopie n'est pas si isolée que ça, l'Azerbaïdjan est toujours bien intégré... Pourtant ces deux dernières années ces quatre pays ont pratiqué un nettoyage ethnique a minima au niveau de l'opération israélienne à Gaza.
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  40. Tant que ce n'est pas "j'ai plus d'employé noir que blanc..."
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  41. Les terres palestiniennes?
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  42. Je me souviens que lors de la publication du livre blanc de la défonce en 2008, il était question de ne pas pouvoir exclure une guerre en Europe de là à 15 ans plus tard... 2008 + 15 = oh put**** Je ne sais pas si on peut célébrer la pérennité imprévue de la production d'A2SM...
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  43. Oui pas convaincant surtout si c'est un noir qui le dit, mais que pense tu de "j'ai plus de copains noirs que de copains blancs" (pour quelqu'un qui n'est pas noir évidemment).
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  44. Elle est passé à l'as car je trouve loufoque d'imaginer que le Hamas sous-estime les morts palestiniens par un facteur 3. Qu'une partie des morts soient in-identifiables, je veux bien le croire, et c'est bien triste pour les familles, mais ça ne change pas le nombre de morts. Et l'article de l'orient le jour ne dit pas l'inverse. Je ne vois pas non plus le lien entre le fait les Israeliens n'assistent pas l'UNWRA, dont certains membres ont participé aux massacres du 7 octobre, et les estimations du Hamas. Juste pour rappel, le Hamas est à ma connaissance la seule source du nombre de morts à Gaza, et ils refusent de distinguer les morts militaires des morts civiles (sans même parler du fait qu'ils ne communiquent pas sur le nombre d'otages tués en captivité, estimé par les US à 70%). Je vois vraiment mal les gus se tirer une balle dans le pied en oubliant de mentionner 2 morts palestiniens sur 3. J'ai peut être raté un truc, et si c'est le cas je m'en excuse et je m'excuserai platement, mais vraiment ça me semble saugrenu.
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  45. Pour ceux que cela intéresse, voilà à quoi ressemble la munition d'un NLAW
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  46. Le FBI a ouvert une enquête criminelle lundi sur le porte-conteneurs qui a fait s'écrouler le pont Francis Scott Key à Baltimore le mois dernier. L'enquête devra examiner si l'équipage a quitté le port en sachant que le navire avait des problèmes mécaniques. https://www.rts.ch/info/monde/2024/article/le-fbi-ouvre-une-enquete-apres-l-effondrement-du-pont-de-baltimore-28471005.html
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  47. Les conseillers fédéraux ne recevront plus d'abonnements aux remontées mécaniques dès 2025. Ils renoncent aussi à utiliser la loge du théâtre municipal de Berne. Le Conseil national a cependant refusé lundi de diminuer le reste des prestations auxquelles ont droit les ministres. https://www.rts.ch/info/suisse/2024/article/ag-rente-a-vie-voiture-de-fonction-les-conseillers-federaux-conservent-leurs-privileges-28471084.html
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  48. Tu dois vivre bien loin de l'occident pour dire ce genre de sottises. Ou alors tu as atteint ta télé en 1950. Ici c'est plutôt auto flagellation, dénigrement permanent, et individualisme forcené. Pas franchement un programme suprématiste.
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  49. Les parlementaires US nous la mettraient ils à l'envers ? Un des développements au parlement US serait de faire de l'aide à l'Ukraine non pas un projet de don (rappelons encore et toujours que le vieux Bradley valorisé puis donné ne créé pas un seul dollar de dette supplémentaire ni ne grève le budget) mais un projet de prêt. Lequel prêt serait garanti par les 300 milliards d'actifs gelés, qui ne sont pas gelés aux US... Devinez qui se va se retrouver cocus de l'Histoire ? Un chantage à l'aide en échange du casse du siècle ? Il devient urgent qu'on prenne une décision dans l'UE au sujet de ces actifs. Qu'on le veuille ou non, nous les avons gelés et nous sommes maintenant au milieu du gué. Soit les Américains finissent le travail et n'ont plus qu'à nous ramasser la mise, et alors nous aurons pris tous les risques politiques pour aucun bénéfice. Soit on se décide à les employer maintenant, sur sol Européen.
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