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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires


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4 hours ago, Deres said:

https://www.armyrecognition.com/ukraine_-_russia_invasion_conflict_war/ukraine_army_needs_500_ant-itank_and_anti-aircraft_missiles_per_day.html

"The newly updated list features an increased number of FIM-92 Stinger anti-aircraft missiles and FGM-148 Javelin anti-tank missiles, with Ukraine stating that it needs 500 of each per day."

"So far, the United States and other NATO countries have shipped around 17,000 anti-tank missiles and about 2,000 anti-aircraft missiles to Ukraine, ..."

"... the Russian army is said to have lost about 530 tanks ..."

Le Javelin même si surement très efficace semble un peu moins magique soudainement quand on voit ces chiffres.

Au delà du fait qu’on ne sait pas si ces chiffres sont justes, rien ne dit qu’ils ne se servent des javelins que contre les chars.

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il y a 54 minutes, bubzy a dit :

Qu'est ce qui est overkill ?

Ok le missile coûte peut être 10 ou 100 fois le prix du drone. Mais que le drone soit un drone de frappe ou même seulement de reconnaissance, et que l'abattre permet de: 

- ne pas diriger une frappe d'artillerie qui pourrait détruire hommes et véhicules

- ne pas frapper directement ne serait-ce qu'un seul blindé avec un ou deux hommes à l'intérieur

- ne pas pouvoir renseigner efficacement l'ennemi et ne pas lui permettre d'engager une quelconque action efficace.

 

C'est bien connu, toutes les assurances sont beaucoup trop chères, et parfois on s'en servira jamais. Mais si ta maison crame avec ta voiture dedans ? Quel sera le coût pour toi si tu n'avais aucune assurance ?

Rapporté à la guerre, quel est le coût d'un homme ?

 

 

 

Yep

Bon et puis c'est un Strela-10

Soit un Manpad monté sur chenillé

Pas un SAM à plusieurs millions d'eurobrouzoufs

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il y a 4 minutes, Ciders a dit :

Un gros truc aurait pété à Belgorod :

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On dirait bien un dépôt de munitions.

Si c'est le résultat d'une action ukrainienne, c'est (à mon sens) exactement la bonne tactique : continuer à harceler l'armée russe et notamment son ravitaillement en matériel / munition / carburant, tout en ne frappant pas les troupes qui se "replient". Cela permet de maintenir la pression dans ses zones, mais sans apparaitre comme un "traitre" (ne pas négliger le fait qu'il faut que les ukrainiens soient les "gentils garçons")... 


Par contre, est-ce que vous avez vu passer des informations récentes sur la situation dans le sud (regain d'activité ou plutôt dé-escalade) ? 

 

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il y a 13 minutes, Banzinou a dit :

Des sources avancent qu'il s'agirait d'un Tochka-U ukrainien ou de SOF mais bon, ça peut tout à fait être une mauvaise manipulation, il y a beaucoup de dépôt de munitions qui ont explosé en Russie ces dernières années

Le dépôt serait situé du côté d'Oktyabr'skiy à une vingtaine de kilomètres au sud-ouest de Belgorod, et à environ douze bornes au nord-est de la frontière ukrainienne la plus proche. Je n'arrive pas à situer précisément le dépôt sur Google Earth par contre.

Modifié par Ciders
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il y a 2 minutes, Banzinou a dit :

Tu parles de quel endroit ?

J'ai trouvé, c'est une ferme avicole. Mais mon cerveau a eu du mal à connecter le mot oiseau et le mot fabrique. :happy:

il y a 1 minute, jagouille a dit :

Ce ne serait pas du même ordre que le bateau de l'autre jour....

L'explosion... ou plutôt les explosions de Belgorod paraissent plus puissantes. Ca ressemble vraiment à un gros boum dans un stock d'explosifs et de munitions. Mais comme l'a dit @Banzinou, la sécurité dans les dépôts de ce genre en ex-URSS (et même avant 1991) n'a jamais été très assurée. Et un accident est toujours possible.

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https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/face-aux-positions-russes-les-limites-des-contre-offensives-ukrainiennes/ar-AAVDht8?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=680c69ba867546c986dd051a81ae1d84


Face aux positions russes, les limites des contre-offensives ukrainiennes
Nicolas Barotte (Le Figaro)


Le front n’évolue plus depuis plusieurs jours. Pour l’armée russe, la pause - ou la panne - opérationnelle installe l’impasse stratégique. Pour l’Ukraine, la résistance est synonyme de regain d’espoir avec en perspective l’ambition d’une contre-offensive. «Les occupants sont repoussés d’Irpin, repoussés de Kiev», a déclaré le président Volodymyr Zelensky dans un message vidéo lundi soir en commentant les combats au nord-ouest de la capitale. «Cependant, il est trop tôt pour parler de sécurité dans cette partie de notre région. Les combats continuent. Les troupes russes contrôlent le nord de la région de Kiev, disposent de ressources et de main-d’œuvre», a-t-il ajouté. Dans la guerre de l’information, l’ancien acteur est à la manœuvre.
Les états-majors occidentaux observent le front avec plus de prudence. Les Russes conservent toutes leurs capacités à bombarder Kiev. «Nous n’avons pas de preuve formelle sur la situation à Irpin», com«mentait mardi une source militaire française. «Il y a eu des combats et les Ukrainiens cherchent à reprendre la ville. Mais nous ne pouvons pas le vérifier de façon autonome», expliquait-on lundi au Pentagone.


Une résistance efficace
«Il peut y avoir des contre-offensives locales contre des dispositifs assez faibles», poursuit la source militaire française. «Elles ont une réelle efficacité puisqu’elles empêchent l’encerclement de Kiev», dit-on. La même résistance perlée est visible à Kharkiv, dans l’Est, à Izioum dans le centre. La progression russe est partout compliquée par des opérations de sabotage. «La zone arrière russe n’est pas sûre. Dès que les troupes avancent, elles se créent des vulnérabilités», ajoute-t-on. Les forces de Zelensky tentent aussi des actions autour de Kherson, la principale ville conquise par la Russie. «La zone est contestée», dit-on côté américain. Dans ce contexte, la Russie concentre son effort contre Marioupol, où de petites poches de résistance continuent de se défendre, et au centre de l’Ukraine pour tenter d’isoler les forces qui font face au Donbass. C’est là que l’armée ukrainienne est la mieux implantée.

«Le commandement ukrainien est très décentralisé, ce qui lui donne de l’agilité», décrypte-t-on côté français. La manœuvre russe, quant à elle, est lestée par ses unités mécanisées et mal commandée. Munie de capacités antichars de type Javelin, l’infanterie profite de sa mobilité pour attaquer les chars bloqués en zone urbaine, où elle les a attendus. Quelques coups au but suffisent pour stopper la progression d’une colonne. Mais sans la détruire. Contre les chars russes au nord de Kiev, les Ukrainiens ont aussi eu recours à des drones légers, selon un récit du Guardian.

Les états-majors occidentaux observent le front avec plus de prudence. Les Russes conservent toutes leurs capacités à bombarder Kiev. «Nous n’avons pas de preuve formelle sur la situation à Irpin», com«mentait mardi une source militaire française. «Il y a eu des combats et les Ukrainiens cherchent à reprendre la ville. Mais nous ne pouvons pas le vérifier de façon autonome», expliquait-on lundi au Pentagone.

«Le commandement ukrainien est très décentralisé, ce qui lui donne de l’agilité», décrypte-t-on côté français. La manœuvre russe, quant à elle, est lestée par ses unités mécanisées et mal commandée. Munie de capacités antichars de type Javelin, l’infanterie profite de sa mobilité pour attaquer les chars bloqués en zone urbaine, où elle les a attendus. Quelques coups au but suffisent pour stopper la progression d’une colonne. Mais sans la détruire. Contre les chars russes au nord de Kiev, les Ukrainiens ont aussi eu recours à des drones légers, selon un récit du Guardian.

«Le renseignement militaire ukrainien était en ordre de bataille avant l’offensive», explique une autre source militaire. L’encadrement occidental a porté ses fruits ainsi que l’appui apporté depuis le début du conflit. Les forces sont en mesure «de cibler les postes de commandement» russes, ajoute-t-on, pour expliquer les pertes infligées aux officiers généraux adverses: entre 5 et 20 selon les sources. Le nombre paraît important mais il est à rapporter au taux d’encadrement de l’armée russe. «Les Ukrainiens ne sont pas en capacité de mener une contre-offensive générale», estiment les militaires français. Leurs forces sont «trop étirées» sur le terrain. Et si les défenses antiaériennes ukrainiennes tiennent encore, Kiev ne dispose pas d’un appui aérien pour lancer un assaut contre les positions russes. Le chef du renseignement militaire ukrainien, Kyrylo Budanov, a pour sa part prédit le début d’une «guérilla» dans les territoires occupés si Moscou tentait d’imposer une partition au territoire.
Entre une armée incapable d’avancer et une autre dans l’impossibilité de reprendre l’offensive, les positions se gèlent sur le terrain. Mardi, les autorités russes ont annoncé réduire «radicalement» leurs activités militaires en direction de Kiev et Tchernihiv pour «augmenter la confiance mutuelle et créer les conditions nécessaires pour la poursuite des négociations». Manœuvre tactique ou dilatoire? Depuis que l’armée russe a interrompu ses efforts de progression, elle s’emploie à revoir son dispositif pour l’installer dans la durée. «Il n’y a pas de signe d’un désengagement», préviennent les militaires. Le Kremlin n’a pas renoncé à ses objectifs.

Modifié par Métal_Hurlant
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Il y a 3 heures, bubzy a dit :

Qu'est ce qui est overkill ?

Ok le missile coûte peut être 10 ou 100 fois le prix du drone. Mais que le drone soit un drone de frappe ou même seulement de reconnaissance, et que l'abattre permet de: 

- ne pas diriger une frappe d'artillerie qui pourrait détruire hommes et véhicules

- ne pas frapper directement ne serait-ce qu'un seul blindé avec un ou deux hommes à l'intérieur

- ne pas pouvoir renseigner efficacement l'ennemi et ne pas lui permettre d'engager une quelconque action efficace.

 

C'est bien connu, toutes les assurances sont beaucoup trop chères, et parfois on s'en servira jamais. Mais si ta maison crame avec ta voiture dedans ? Quel sera le coût pour toi si tu n'avais aucune assurance ?

Rapporté à la guerre, quel est le coût d'un homme ?

 

 

 

Personnellement, je me poserais plus la question des capacités russes à faire ce genre de choses régulièrement. Leurs stocks de munitions précises comme celles-ci ne sont pas infinis, et les Ukrainiens disposent de tellement de drones civils petits et maniables qu'ils pourraient peut-être même s'en servir comme sacrifices, enregistrer l'endroit de la destruction et en envoyer deux ou trois derrière pour confirmer la présence ennemie et permettre une frappe d'artillerie. 

Modifié par Heorl
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Ça me rappelle mes cours sur la première GM

Phase 1 :

Guerre de mouvement. De août à octobre 1914.

(3 petits mois...) 

Puis 'enlisement' et passage à la

Phase 2 : guerre de positions (des tranchées) 

Jusqu'en octobre 1917 :sad:

3 ans ! 

10 millions de morts (!!!!) 

20 millions de blessés 

Putain de massacre. 

Il y a 5 heures, Métal_Hurlant a dit :

 

Et si c'était une infiltration de FS Ukr ? Pas trop loin de la frontière ça paraît pas si délirant... 

Il y a 5 heures, Métal_Hurlant a dit :

 

Modifié par collectionneur
Doublon
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Il y a 2 heures, Métal_Hurlant a dit :


https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/face-aux-positions-russes-les-limites-des-contre-offensives-ukrainiennes/ar-AAVDht8?ocid=msedgdhp&pc=U531&cvid=680c69ba867546c986dd051a81ae1d84


Face aux positions russes, les limites des contre-offensives ukrainiennes
Nicolas Barotte (Le Figaro)


Le front n’évolue plus depuis plusieurs jours. Pour l’armée russe, la pause - ou la panne - opérationnelle installe l’impasse stratégique. Pour l’Ukraine, la résistance est synonyme de regain d’espoir avec en perspective l’ambition d’une contre-offensive. «Les occupants sont repoussés d’Irpin, repoussés de Kiev», a déclaré le président Volodymyr Zelensky dans un message vidéo lundi soir en commentant les combats au nord-ouest de la capitale. «Cependant, il est trop tôt pour parler de sécurité dans cette partie de notre région. Les combats continuent. Les troupes russes contrôlent le nord de la région de Kiev, disposent de ressources et de main-d’œuvre», a-t-il ajouté. Dans la guerre de l’information, l’ancien acteur est à la manœuvre.
Les états-majors occidentaux observent le front avec plus de prudence. Les Russes conservent toutes leurs capacités à bombarder Kiev. «Nous n’avons pas de preuve formelle sur la situation à Irpin», com«mentait mardi une source militaire française. «Il y a eu des combats et les Ukrainiens cherchent à reprendre la ville. Mais nous ne pouvons pas le vérifier de façon autonome», expliquait-on lundi au Pentagone.


Une résistance efficace
«Il peut y avoir des contre-offensives locales contre des dispositifs assez faibles», poursuit la source militaire française. «Elles ont une réelle efficacité puisqu’elles empêchent l’encerclement de Kiev», dit-on. La même résistance perlée est visible à Kharkiv, dans l’Est, à Izioum dans le centre. La progression russe est partout compliquée par des opérations de sabotage. «La zone arrière russe n’est pas sûre. Dès que les troupes avancent, elles se créent des vulnérabilités», ajoute-t-on. Les forces de Zelensky tentent aussi des actions autour de Kherson, la principale ville conquise par la Russie. «La zone est contestée», dit-on côté américain. Dans ce contexte, la Russie concentre son effort contre Marioupol, où de petites poches de résistance continuent de se défendre, et au centre de l’Ukraine pour tenter d’isoler les forces qui font face au Donbass. C’est là que l’armée ukrainienne est la mieux implantée.

«Le commandement ukrainien est très décentralisé, ce qui lui donne de l’agilité», décrypte-t-on côté français. La manœuvre russe, quant à elle, est lestée par ses unités mécanisées et mal commandée. Munie de capacités antichars de type Javelin, l’infanterie profite de sa mobilité pour attaquer les chars bloqués en zone urbaine, où elle les a attendus. Quelques coups au but suffisent pour stopper la progression d’une colonne. Mais sans la détruire. Contre les chars russes au nord de Kiev, les Ukrainiens ont aussi eu recours à des drones légers, selon un récit du Guardian.

Les états-majors occidentaux observent le front avec plus de prudence. Les Russes conservent toutes leurs capacités à bombarder Kiev. «Nous n’avons pas de preuve formelle sur la situation à Irpin», com«mentait mardi une source militaire française. «Il y a eu des combats et les Ukrainiens cherchent à reprendre la ville. Mais nous ne pouvons pas le vérifier de façon autonome», expliquait-on lundi au Pentagone.

«Le commandement ukrainien est très décentralisé, ce qui lui donne de l’agilité», décrypte-t-on côté français. La manœuvre russe, quant à elle, est lestée par ses unités mécanisées et mal commandée. Munie de capacités antichars de type Javelin, l’infanterie profite de sa mobilité pour attaquer les chars bloqués en zone urbaine, où elle les a attendus. Quelques coups au but suffisent pour stopper la progression d’une colonne. Mais sans la détruire. Contre les chars russes au nord de Kiev, les Ukrainiens ont aussi eu recours à des drones légers, selon un récit du Guardian.

«Le renseignement militaire ukrainien était en ordre de bataille avant l’offensive», explique une autre source militaire. L’encadrement occidental a porté ses fruits ainsi que l’appui apporté depuis le début du conflit. Les forces sont en mesure «de cibler les postes de commandement» russes, ajoute-t-on, pour expliquer les pertes infligées aux officiers généraux adverses: entre 5 et 20 selon les sources. Le nombre paraît important mais il est à rapporter au taux d’encadrement de l’armée russe. «Les Ukrainiens ne sont pas en capacité de mener une contre-offensive générale», estiment les militaires français. Leurs forces sont «trop étirées» sur le terrain. Et si les défenses antiaériennes ukrainiennes tiennent encore, Kiev ne dispose pas d’un appui aérien pour lancer un assaut contre les positions russes. Le chef du renseignement militaire ukrainien, Kyrylo Budanov, a pour sa part prédit le début d’une «guérilla» dans les territoires occupés si Moscou tentait d’imposer une partition au territoire.
Entre une armée incapable d’avancer et une autre dans l’impossibilité de reprendre l’offensive, les positions se gèlent sur le terrain. Mardi, les autorités russes ont annoncé réduire «radicalement» leurs activités militaires en direction de Kiev et Tchernihiv pour «augmenter la confiance mutuelle et créer les conditions nécessaires pour la poursuite des négociations». Manœuvre tactique ou dilatoire? Depuis que l’armée russe a interrompu ses efforts de progression, elle s’emploie à revoir son dispositif pour l’installer dans la durée. «Il n’y a pas de signe d’un désengagement», préviennent les militaires. Le Kremlin n’a pas renoncé à ses objectifs.

 

Je suis assez d'accord avec l'analyse sur les limites des capacités ukrainiennes à contre attaquer.

Par contre, dans la série faut pas être amnésique, je note que l'EM français ( et pour le coup spécifiquement le CEMA ) s'est planté sur la capacité des ukrainiens à tenir (enfin pour l'instant, si ça se trouve, il aura raison avec un peu de retard ).

Tropisme russe au sein de l'EM?

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il y a une heure, Niafron a dit :

 

Je suis assez d'accord avec l'analyse sur les limites des capacités ukrainiennes à contre attaquer.

Par contre, dans la série faut pas être amnésique, je note que l'EM français ( et pour le coup spécifiquement le CEMA ) s'est planté sur la capacité des ukrainiens à tenir (enfin pour l'instant, si ça se trouve, il aura raison avec un peu de retard ).

Tropisme russe au sein de l'EM?

Il a des choses factuelles qui paraissent vraies. Mais, je vois un certain nombre d'officiers aussi perplexes que face au vietminh:  comment est-ce possible? Plus largement la même perplexité face au tonneau des danaïdes des guerres insurrect. "on en tue 50 et il en pousse 100..." 

Voir avec un certain "mépris"  (de caste?) Quoi, une levée en masse au XXI siècle !?  Faut-il rappeler que le brillant officier français théoricien de la "non bataille" a fini dans une impasse de carrière par "irrespect de la doxa".... 

 

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