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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 14/09/2019 dans toutes les zones

  1. Je m'attendais à ce que l'info soit déjà mentionnée sur le forum, mais je ne crois pas l'avoir vu passer : https://www.lemonde.fr/international/article/2019/09/14/arabie-saoudite-deux-installations-petrolieres-attaquees-par-des-drones_5510368_3210.html Image publiée sur les réseaux sociaux de l’incendie, le 14 septembre, de l’installation d’Aramco à Abqaiq, en Arabie saoudite. VIDEOS OBTAINED BY REUTERS / VIDEOS OBTAINED BY REUTERS
    6 points
  2. Pure calomnie bolchevique, ils n'espionnent ils s'informent pour la sécurité de tous...c'est seulement les méchants qui espionnent
    5 points
  3. Bah pour l'instant, Dassault a produit plus d'appareils de 5ème génération fonctionnels que les trois autres réunis. Mais si tu es intéressé par le maquettisme, oui, il n'a pas le poids par rapport aux US. Je te rassure, nous ne sommes pas arrogants au point de penser que nous pouvons produire plus de maquettes d'avions que LM, si c'est ça qui d'inquiète.
    5 points
  4. Même sur le F-35 quand les US veulent upgrader l'informatique cela signifie qu'il faut changer l'identité du logiciel qui va tourner dessus même si il n'y a pas de nouvelle fonctionnalités avec comme exemple le block 2B qui a exactement les mêmes fonctions que le Block 3I mais qui ne tourne pas sur les mêmes processeurs. Et pour le Block 4 , l'upgrade matériel s'appelle "Technology refresh 3" et cela coûte des milliards. Tandis que sur un Rafale , ceux qui sortent ont des processeurs plus puissants, un peu plus que nécessaire pour les besoins du moment car on cherche à avoir de la marge, alors sur les bases ils prennent une carte du nouveau Rafale qu'il échange avec une carte d'un ancien Rafale et ça marche sur l'ancien comme sur le nouveau. Ça permet d'avoir une puissance satisfaisante et homogène sur tous les Rafale sans avoir rien à acheter. J'espère que tu comprends la différence, ce n'est possible qu'à cause de la virtualisation de l'informatique du Rafale qui permet au logiciel d'être complètement indépendant des caractéristiques du matériel afin de pouvoir changer de type de matériel en fonction des évolutions de la technique. Le prowler (comme le growler) c'est complètement has been. C'est tout bêtement un bruit blanc puissant que tu émets dans toutes les directions. Tu es obligé de faire ça quand tu veux protéger (un peu) des avions qui n'ont pas eux même de brouilleurs et donc pas de traitements intelligents pour brouiller de manière plus discrète. Nous avec le Rafale tous les avions ont des brouilleurs qui peuvent localiser les sources de détection et brouiller uniquement dans la direction de ces sources, avec des traitements intelligents, ce qui est beaucoup plus discret même vis à vis de ceux qui sont brouillés qui ne se rendent, en général, même pas compte qu'ils subissent un brouillage.
    4 points
  5. La fusion de donnée, le calculateur de bord modulaire qui peut être mis à jour au fur et à mesure des progrès techniques sans devoir desosser l'avion et requalifier toute l'avionique de bord pour ça, la solution complète de guerre électronique intégrée, etc.
    4 points
  6. Je me demandais comment un obus pouvait percer sous 30 mètres d'eau, et comment on fait un dépôt de munitions sous l'eau. En fait, selon Wiki germanophone, le dépôt était 30 mètres sous terre, à l'extrémité nord de la baie. https://de.wikipedia.org/wiki/80-cm-Kanone_(E)#Kampfeinsatz et traduction google.
    3 points
  7. 3 points
  8. Pas toujours, mais ça arrive, et ce n'est pas rare. Et même si le pilote a exigé beaucoup du moteur en zone de combat, il est fait pour ça. Ensuite, même en admettant que le pilote ait fait cracher ses tripes au moteur, celui-ci a tout le transit retour pour retrouver un régime normal et constant, plus tout le roulage retour au régime ralenti. Le moteur n'est donc pas à bout de souffle ni en surchauffe au moment de sa coupure, loin de là.
    3 points
  9. Alors je résume: -Développement rapide, -Durée de vie des cellules de 20 ans, -Plateforme stable (et donc peu maniable) pour y intégrer facilement plein de charges diverses. Ok, en fait ils sont en train de concevoir à nouveau le F-105 Thunderchief. Normal !
    3 points
  10. https://www.n-tv.de/politik/Rechnungshof-ruegt-Bundeswehr-Projekt-article21271763.html (13 septembre 2019) Selon un reportage du Spiegel, la Cour des comptes fédérale critique un projet de formation des forces armées allemandes pour les réfugiés syriens. Dans un rapport confidentiel publié début août, les auditeurs ont écrit que le programme de formation initié par la ministre de l'époque, Ursula von der Leyen, avait été "à la fois peu rentable économiquement et inefficace". En 2016 et 2017, 217 réfugiés auraient participé à des cours de formation de quatre semaines sur des sujets tels que la technologie, l'artisanat et les soins médicaux. Le coût : cinq millions d'euros. Pour chaque réfugié, la Bundeswehr a dépensé environ 23 000 euros. Selon le magazine, les programmes similaires de l'Agence fédérale pour l'emploi coûtent environ 1800 euros par participant. Le gaspillage était dû à des erreurs de planification : comme les connaissances des Syriens en allemand étaient pires que prévu, des interprètes ont été engagés pour près de 900 000 euros. Les militaires impliqués ont ainsi occasionné des frais de personnel de 2,4 millions d'euros, et en 2016, il y a eu "plus d'un formateur par élève". A Oldenburg, de nouveaux outils ont été achetés pour plus d'un demi-million d'euros, que les réfugiés n'ont pas été autorisés à utiliser pour des raisons de sécurité. Sur le site de Meppen, les stagiaires étaient contrôlés quotidiennement par des fouilles corporelles et des chiens détecteurs d'explosifs. Bien qu'une enquête interne des forces armées allemandes ait attesté fin 2016 d'un "rapport coûts-avantages malsain" du projet et exigé son abandon, le ministère a ordonné sa poursuite. Selon le rapport, seuls deux des 217 réfugiés ont trouvé un emploi permanent.
    3 points
  11. Bah là il manque quand même le ravitailleur... Blague à part, ce tuyau a une posture qui ébranle mes convictions. Ou alors ce M2000 est en marche arrière, ce qui ne vaut pas mieux...
    2 points
  12. Le site de traitement du brut (géré et possédé par ARAMCO) d'Abqaiq est une installation stratégique pour l'Arabie Saoudite, en effet ce site traite à peu près 75% du brut exporté par l'Arabie Saoudite. Espérons que les dégâts ne soient pas trop importants, sinon ça risque d'impacter le prix du baril... https://en.wikipedia.org/wiki/Abqaiq Rien qu'à voir les effets de l'attaque (inefficace) de 2006 par Al-quaeda:
    2 points
  13. Tu dormais ces derniers mois? Ce fut l'occasion d'un intense débat sur le fil "Luftwaffe". On a noté: La Luftwaffe a reçu un briefing des US présentant le F-18 SH le F-15X et le F-35. Le big boss (ex) de la Luftwaffe a réclamé le F-35. Berlin a mis en avant le F-18 et parlé d'une durée de vie de 20 à 25 ans avant remplacement. Le coût de la prolongation des Tornados a été chiffré à +9 milliards d'€. Le F-35 a été retoqué par Berlin. 33 Eurofighters supposés remplacer les plus anciens T1 ont été commandés, mais pas de nouveaux avions (edit: comprendre "avions surnuméraires par rapport au format prévu initialement"). Le taux de dispo de l'EF est catastrophique, rendant la Luftwaffe proche de son état d'avril 1945 (6 avions dispos sur 128 fin 2018) La tranche 4 de l'Eurofighter est dans les choux. Bisbilles sur fond de Brexit et de guerre au Yémen sur les 48 nouveaux eurofighters saoudiens. Flou total sur la B61-12 en ce qui concerne son intégration au Typhoon avec demande officielle allemande il y a un an, mais ça semble râpé (7 à 10 ans d'attente après la certification sur F-35: http://www.opex360.com/2018/06/23/otan-berlin-demande-pentagone-sil-possible-de-certifier-eurofighter-typhoon-missions-nucleaires/ Dans tous les cas la B61 n'est pas intégrée au F-18. Donc à partir de la pour faire de la prospective... On navigue à vue autant chez les uns que chez les autres. Les options sont: de ressuciter la tranche 4 de l'EF bon an mal an, uniquement des biplaces AESA évolués, de résoudre les problèmes de l'avion au passage à grands coups de milliards (et pourquoi pas d'un aide de Dassault), d'installer les améliorations prévues comme les bidons conformes et ceux de 1800L, et d'obtenir l'intégration de la B61 dessus en y mettant le paquet. Ça va être cher mais c'est un gage d'indépendance relative et PRESQUE aussi bon que le Tornado dans ce rôle, bien que ce dernier ne soit déjà pas un foudre de guerre. D'acheter des F-35 comme le reste du monde en sabordant le SCAF et récupérant du workshare au passage. Oui mais voilà affaire des global hawk pourris et de Trump pas content, et F-35 tout foiré et perclus de problèmes, ce dont n'a pas besoin la Luftwaffe. De renoncer à la B61 et d'acheter un avion US d'intérim pas cher et capable avec plein d'armes déjà intégrées pour faire de la figuration au sein de l'OTAN en bonne place. F-18 ou F-15, avec une centaine de ceux-ci les allemands ne seraient pas ridicules. Mais diraient bye bye à leur indépendance et leur poids industriel sur le SCAF réduit à la portion congrue, si toutefois il se fait. D'autre part garder un avion seulement 20 ans ne colle pas avec les habitudes de la Luftwaffe: Phantom 40+ années de service, Tornado pareil. Pas le budget pour 3 avions de combat en 2045, et mise au rebus des Eurofighters encore plus rapide que prévue ce qui serait un scandale politique immense en Allemagne. Une option même pas évaluée: acheter des Rafale et réclamer un parapluie nucléaire français en Europe contre co-financement des évolutions et pré-positionnement d'armes atomiques françaises en Allemagne. Mais bon, c'est tellement bancal en pratique et nous mettrait dans une telle cagade avec un droit de regard allemand sur notre cuisine interne et une mise sous tutelle française au lieu d'américaine de la dissuasion nucléaire protégeant (?) l'Allemagne (?) que ce n'est pas la peine d'y penser. De plus les allemands ne veulent pas entendre parler du Rafale, par orgueil et fierté. Ce qui résout la question. Dommage car sur le papier ça faisait très "défense européenne", mais les réalités font mal quand on les prend en pleine figure. Voilà.
    2 points
  14. Effectivement, pour les spécialités combattantes "pures" on peut s'interroger sur la rentabilité du coût d'adaptation du système (infrastructures, message négatif pour les personnels masculins, recrutement couteux en effort, aseptisation de la culture de spécialité...) au vu des attendus (quelques personnels féminins érigés en symboles, souvent malgré eux, et qui souvent changent finalement assez rapidement de voie, sans présenter un meilleur niveau que le personnel féminin moyen...). Pour ce qui est des FS, mais aussi des unités de mêlée notamment lorsqu'elles sont engagées dans des cadres contre insurrectionnels, le besoin en personnel féminin existe (en particulier pour ce qui est des fouilles et du renseignement, ce qui n'est pas forcément le cœur de métier de ces unités) et n'a pu être comblé que par un recrutement spécifique (quasi contraint parfois, mais aussi via des unités dédiées) et adapté (tests, parcours...), dont l'exemple le plus abouti est la Norvège évoquée plus haut (je crois que la Russie a également une unité équivalente). C'est la voie finalement suivie par Israël aussi depuis longtemps. Globalement, la féminisation des unités les plus exposées est historiquement un échec qui n'a pu être compensé que par des mesures non efficientes (quotas, adaptation des critères). Les principaux facteurs motivant cette féminisation forcée sont l'idéologie mais aussi le besoin en recrutement... Il est également à noter que les filières très féminisées se trouvent fragilisées, à l'image du service de santé (grossesses, parentalité, fragilité physique et donc vivier projetable reposant sur une minorité vite sur sollicitée).
    2 points
  15. Quoi? Trump est sur Twitter ? Comment se peut-ce? Depuis quand? Première nouvelle !!!! Quelqu'un d'autre avait remarqué ça?
    2 points
  16. Oui et après il y a surtout eu ce tweet-là, qui va faire du bruit:
    2 points
  17. Il y avait également le Fieseler Fi 103 R "Reichenberg", version pilotée de la bombe volante V1. Il était construit avec le fuselage de la V1, du pulsoréacteur, avec un cockpit, un poste de pilotage et de pédales de commandes du gouvernail. Les premières versions étaient instables et tuèrent plusieurs pilotes lors des essais. Ce fut la célèbre aviatrice Hanna Rieitsch qui le testa, trouva la cause du problème (un décentrage) et se blessa grièvement lors de l’atterrissage. Cet engin n’a jamais volé au combat. https://fr.wikipedia.org/wiki/Fieseler_Fi_103R_(Reichenberg) https://fr.wikipedia.org/wiki/Hanna_Reitsch
    2 points
  18. Il s'agissait d'une ile flottante ou aéroport(s) dans l'Atlantique pour la traversée de cet océan sans passer par l’itinéraire Nord (Canada, Groenland, Irlande et Écosse). Il(s) étaient constitués de flotteurs de forme hexagonales en liège de plusieurs mètres de hauteur (fonction des charges des appareils pouvant utiliser cet aéroport). Ils étaient réunis par des tendeurs et une grosse toile formant raidisseur de surface pour qu'à l’atterrissage (et décollage) , le poids de l'appareil repose sur une grande surface. Un petit aéroport à été construit pour tester la validité du système qui ne fut pas entrepris du fait de l'immensité nécessaire pour un trafic important d'avions lourds (bombardiers, transports, etc.) . Des photos existent toujours car celles que je possède sont de 1945/1946 dans diverses revues de l'époque..
    2 points
  19. Dora était un cauchemar logistique mais surement pas un raté. Son rôle a été essentiel pour annihiler la résistance de la forteresse de Sébastopol, considérée comme invulnérable à l'époque. En 9 coups, il a détruit l'entrepôt de munitions le mieux protégé d'URSS, situé sous la baie de Sébastopol (30 m d'eau) et couvert par des mètres de béton et de roche. Aucune autre arme n'aurait pu le faire à cette période (1942), avant l'invention des Tallboys et autres Grand Slam. http://html2.free.fr/canons/dora.htm
    2 points
  20. Europe to conduct its own test flights of the 737 MAX breaking with FAA. http://www.businessinsider.fr/us/europe-737-max-test-flights-faa-split-2019-9 L'Europe va effectuer ses propres vols d'essai du 737 MAX en rupture avec la FAA. Les régulateurs européens disent qu'ils vont tester eux-mêmes le 737 Max réparé, plutôt que de faire confiance aux conclusions de la FAA. David Slotnick 12 Sep 2019, 12:13 L'Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) prévoit d'effectuer ses propres vols d'essai du Boeing 737 Max avant sa remise en service. L'AESA réexamine également certains aspects de la conception de l'avion, suggérant une rupture rare avec la Federal Aviation Administration - une rupture qui pourrait créer un nouveau précédent en matière de certification des avions neufs et actualisés. Bien que les organismes de réglementation mondiaux suivent généralement l'exemple les uns des autres, la FAA a fait l'objet de critiques pour sa façon de gérer le Max.
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  21. Trump Hits the Panic Button https://www.nytimes.com/2019/09/12/opinion/trump-economy.html Traduit avec www.DeepL.com/Translator Trump Appuie sur le bouton de panique Pourquoi demande-t-il des mesures de relance monétaire d'urgence ? Politique. Paul Krugman 12 sept. 2019 Donald Trump a marqué l'anniversaire du 11 septembre en répétant plusieurs mensonges sur ses propres actions ce jour-là. Mais ce n'était pas sa seule préoccupation. Il a également passé une partie de la journée à écrire une série de tweets excoriant les responsables de la Réserve fédérale en tant que "Boneheads" et exigeant qu'ils mettent immédiatement en œuvre des mesures d'urgence pour stimuler l'économie - des mesures d'urgence qui ne sont normalement mises en œuvre que dans un contexte de crise grave. La diatribe de Trump était révélatrice de deux façons. Tout d'abord, il est maintenant clair qu'il est en pleine panique devant l'échec de ses politiques économiques à livrer les résultats promis. Deuxièmement, il ne sait pas pourquoi ses politiques ne fonctionnent pas, ni rien d'autre au sujet de la politique économique. Avant d'en venir à l'économie, parlons d'un indicateur de l'ignorance de Trump : ses remarques sur la dette fédérale. En plus d'exiger que la Fed abaisse les taux d'intérêt sous zéro, Trump a déclaré que " nous devrions alors commencer à refinancer notre dette ", car " les États-Unis devraient toujours payer le taux le plus bas ". Les observateurs se grattaient la tête en se demandant de quoi il parlait. En fait, c'est assez évident. M. Trump pense que la dette fédérale est comme un prêt aux entreprises, que vous pouvez rembourser rapidement pour profiter de taux d'intérêt plus bas. Il ignore clairement que la dette fédérale se compose en fait d'obligations qui ne peuvent être remboursées par anticipation (ce qui explique en partie pourquoi les taux d'intérêt sur la dette fédérale sont toujours plus bas que, disons, ceux des prêts hypothécaires résidentiels). C'est-à-dire qu'il imagine que les finances du gouvernement peuvent être gérées comme si les États-Unis étaient un casino ou un terrain de golf, et il ne lui est jamais venu à l'esprit de demander à qui que ce soit au Trésor si c'est ainsi que ça fonctionne. Mais revenons à l'économie. Pourquoi Trump panique ? Après tout, pendant que l'économie ralentit, nous ne sommes pas en récession, et il n'est pas certain qu'une récession se profile à l'horizon. Il n'y a rien dans les données qui justifierait une relance monétaire radicale - une relance, soit dit en passant, que les républicains, y compris Trump, ont dénoncée pendant les années Obama, lorsque l'économie en avait vraiment besoin. De plus, malgré les affirmations de Trump selon lesquelles la Fed aurait fait quelque chose de fou, la politique monétaire a été plus souple que ce à quoi s'attendait l'équipe économique de Trump lorsqu'elle a fait ses prévisions optimistes. À l'été 2018, les projections économiques de la Maison-Blanche prévoyaient que les taux d'intérêt à trois mois seraient en moyenne de 2,7 % cette année, tandis que les taux à dix ans seraient de 3,2 %. Les taux réels au moment où j'écris ces lignes sont de 1,9 % et 1,7 %, respectivement. Mais bien qu'il n'y ait pas d'urgence économique, Trump pense apparemment qu'il est confronté à une urgence politique. Il s'attendait à ce qu'une économie en plein essor soit son principal enjeu l'an prochain. Si, comme cela semble probable aujourd'hui, la performance économique est au mieux médiocre, il est dans le pétrin. N'oubliez pas que les deux politiques économiques qui ont fait la renommée de Trump sont sa réduction d'impôt en 2017 et sa guerre commerciale avec la Chine qui s'intensifie rapidement. Le premier devait mener à une décennie ou plus de croissance économique rapide, tandis que le second était censé relancer le secteur manufacturier américain. En réalité, toutefois, la réduction d'impôt n'a donné lieu qu'à quelques trimestres de croissance plus élevée. Plus précisément, les énormes allégements fiscaux consentis aux sociétés n'ont pas permis d'obtenir l'augmentation promise des salaires et des investissements des entreprises ; les sociétés ont plutôt profité de la manne pour racheter des actions et verser des dividendes plus élevés. En même temps, la guerre commerciale s'est révélée être un frein majeur à l'économie - plus importante que ce à quoi s'attendaient de nombreuses personnes, dont moi-même. Jusqu'à l'automne dernier, on s'attendait généralement à ce que Trump traite avec la Chine de la même façon qu'il traitait avec le Mexique : apporter quelques changements principalement cosmétiques aux arrangements existants, revendiquer la victoire et passer à autre chose. Une fois qu'il est devenu clair qu'il était vraiment sérieux au sujet de la confrontation, cependant, la confiance des entreprises a commencé à s'effondrer, entraînant avec elle les investissements à la baisse. Et les électeurs l'ont remarqué : La cote d'approbation de M. Trump à l'égard de l'économie, bien qu'elle soit toujours supérieure à son approbation globale, a commencé à diminuer. D'où la panique qui exige de la Fed qu'elle mette tout en œuvre. Mais si Trump se rend compte qu'il a des ennuis, rien n'indique qu'il comprenne pourquoi. Il n'est pas du genre à admettre, même à lui-même, qu'il a fait des erreurs ; son instinct est toujours de blâmer quelqu'un d'autre en doublant ses politiques qui ont échoué. Même des actions qui ressemblent à un léger assouplissement de sa politique, comme l'annonce d'un retard de deux semaines dans la mise en œuvre de certains tarifs douaniers chinois, trahissent une profonde incompréhension du problème - qui a autant à voir avec sa caprices qu'avec les tarifs en soi. Les zigzags politiques, même s'ils impliquent de retarder les tarifs, ne font qu'ajouter à l'incertitude qui pousse les entreprises à suspendre leurs investissements, qu'elles le veuillent ou non. Que se passe-t-il ensuite ? Trump pourrait faire marche arrière et faire ce que la plupart des gens attendaient il y a un an, c'est-à-dire conclure avec la Chine un accord qui rétablirait plus ou moins le statu quo. Mais il s'agirait là d'un aveu de facto de défaite - et à ce stade, il n'est pas clair pourquoi les Chinois lui feraient confiance pour honorer un tel accord après le jour des élections. Le fait est qu'en matière de politique économique, Trump s'est retrouvé dans une mauvaise passe.
    2 points
  22. Tout à fait. Avant ça gueulait trop dès que les coûts et/ou les délais étaient explosés. La référence F-35 démontre que désormais ça passe bien (plus besoin de vaseline).
    2 points
  23. Le mystère des bornes d'écoutes téléphoniques sauvages* à Washington a été résolu. (* alias IMSI catcher / Stingray, permettant d'intercepter les communications ) https://www.politico.com/story/2019/09/12/israel-white-house-spying-devices-1491351 revue de presse : https://news.google.com/stories/CAAqOQgKIjNDQklTSURvSmMzUnZjbmt0TXpZd1NoTUtFUWl4MGRtc2s0QU1FWTZyZmZxRXhCSnRLQUFQAQ?hl=fr&gl=FR&ceid=FR:fr Selon le contre-espionnage US, ces faux relais téléphoniques auraient en fait été posés par les SR ... israéliens (déduits via les composants électroniques, et la filature). Les SR israéliens démentent (mais toute puissance fait de l'écoute : cf les forêts d'antennes sur les toits des ambassades US, chinoises, russes, etc ). De plus, ce type d'espionnage est assez simple, et accessible même à la police et aux détectives privés fortunés (à 150k$ la station d'écoute quand même)... C'est juste qu'il est peu efficace contre un gouvernement compétent et fonctionnel, et qui respecte les consignes de sécurité de base (téléphone blindé et chiffrage des communications). En fait, ce qui étonne les observateurs, c'est que l'administration Trump aurait refusé de prendre la moindre action contre cet espionnage-là (même pas une protestation diplomatique confidentielle, ce que faisait les administrations précédentes).
    2 points
  24. Ravitailleur à peine hors cadre et photo pile à l'instant rupture ?
    1 point
  25. C'est une bien belle, et subtile, manière de se proposer au poste de grand timonier
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  26. « Pourquoi le coût des navires de l'US NAVY a-t-il augmenté? » « Comme l'a souligné l'amiral Vernon Clark, ancien CNO de la Marine, dans son témoignage devant le Congrès, l'escalade des coûts pour les navires de guerre a dépassé la plupart des mesures d'inflation. Notre analyse a révélé que les coûts des navires de guerre ont augmenté de 7 à 11% depuis les années 50. Les mesures courantes de l’inflation au cours de cette période allaient de 4 à 5%; ainsi, les augmentations de coût pour les navires de guerre ont nettement dépassé l'inflation. Une telle augmentation rapide des coûts a des conséquences importantes pour la Marine et la composition de sa flotte, car les budgets de la construction navale ne devraient pas augmenter dans un avenir prévisible. Pour comprendre les causes de cette croissance, nous avons classé la hausse des coûts en facteurs liés à l’économie et ceux liés au client. Les facteurs économiques incluent l’influence des variations de prix largement hors du contrôle du gouvernement. Ces facteurs incluent les taux de main-d’œuvre directs, les autres coûts de main-d’œuvre (avantages, par exemple), les coûts de matériel et d’équipement et la productivité. Les coûts de main-d'œuvre ont augmenté plus rapidement que l'inflation (entraînée par la hausse des coûts indirects), tandis que les coûts de matériel et d'équipement ont augmenté moins que l'inflation. Dans l’ensemble, nous avons constaté que les augmentations de ces facteurs économiques représentaient environ la moitié de l’escalade globale et étaient similaires aux indices communs de l’inflation (par exemple, IPC, PIB et déflateur du DoD). Les facteurs dictés par le client sont ceux que gouvernement fédéral et marine) influence directement. Les capacités et les caractéristiques du navire qui se reflètent dans la complexité (taille, vitesse, production d’énergie, furtivité, capacité de survie, habitabilité et nombre de systèmes de mission et d’armement, par exemple) en sont un exemple. Il existe d’autres facteurs liés à la construction des navires, tels que la sécurité des travailleurs, les cadences de production et les achats. Pourquoi la stratégie de gestion du coût des navires de la marine a-t-elle été échappée, mais elle est régie par la politique du gouvernement fédéral (par exemple, la réglementation OSHA relative aux travailleurs). Nous avons constaté que les facteurs liés aux clients expliquaient la moitié restante de la hausse des coûts du navire. La complexité et les caractéristiques ont été à l’origine de la majeure partie de l’augmentation, tandis que les taux de production et d’autres influences en ont contribué moins. Il convient toutefois de noter que certaines des augmentations de coûts dues à la diminution des taux de production ont été confondues avec des modifications de facteurs économiques (notamment les taux indirects). Nous n’avons pas pu dissocier l’influence du taux de ces facteurs. Nous avons exploré un certain nombre d’options pouvant être envisagées pour réduire ou contenir l’escalade des coûts des navires. Ces options allaient de celles conçues pour contenir la croissance des besoins à celles conçues pour améliorer la productivité de la production. Toutes ces approches nécessitent un certain niveau de compromis ou d'investissement. Aucune solution simple n'existe. Une combinaison de ces efforts, y compris ceux conçus pour limiter les besoins des navires (par exemple, l'approche du type LCS consistant à séparer le navire des systèmes de mission ou la construction de navires axés sur la mission) et certains investissements visant à améliorer l'efficacité de la construction navale, peut être plus approprié. Améliorer la capacité et l’efficacité des navires n’est bien sûr pas une mauvaise chose. Les coûts des navires ont augmenté, mais l'efficacité de notre flotte a également augmenté. Notre supériorité technologique peut décourager et écraser massivement nos adversaires. Lorsque les budgets de la construction navale augmentaient et augmentaient, ces augmentations de coûts ne posaient pas de problème. Maintenant, avec des budgets de construction navale plus serrés et potentiellement décroissants, nous devons faire des choix plus difficiles entre les capacités et le nombre de navires » Google trad https://www.rand.org/content/dam/rand/pubs/monographs/2006/RAND_MG484.pdf
    1 point
  27. Kalligator & Co UBS Grand- Caiman, merci d'avance
    1 point
  28. Sort tes formules de physique et étudie le rapport d'incident du Rafale B325 (site du BEAé, BEAD-air-A-2009-004-I). Tu y trouvera le graphique représentant la courbe de vitesse au décollage dudit Rafale en configuration lourde (2 x 2000L, 2 SCALP et 3 MICA pour une masse au décollage de 21t85).
    1 point
  29. T'exagères la difficulté. En fait certains navires, et y compris militaires, sont protégés lors des passages des détroits. Je n'ai plus les noms en tête, mais il y a quelques mois ou un an, une frégate française, par exemple, a protégé un navire US Navy lors du passage du Bab. Des chasseurs de mines sont régulièrement déployés dans la zone, soit sur le Bab soit sur Ormuz. Ceci dit, sans vouloir me mêler des affaires internes belges ce que dit fjojo n'est pas dénué de sens. Peut-être qu'il vaut mieux un nombre raisonnable de PHM, corvettes (on donne le nom que l'on veut) que deux bateaux un peu témoignage. Sur un A 69, 1400 tpc, on embarquait un paquet d'armements, certains ont même embarqué des exocets. Sur un BAM (Meteoro) tu as de quoi faire.
    1 point
  30. La vache superbe vidéo!!!!!! J'adore! j'en ai pisser dans ma culotte
    1 point
  31. Pour ma part c'était un fait connu, mais pour ceux qui s’intéressent un peu à ça Et pour ceux qui sont (vraiment) intéressés, j'ai gardé en archive un article disparu d'Oryx Blog sur les Su-7 nord-coréens
    1 point
  32. C'est pas grave pour les HS*. On est vendredi après tout ! * Surtout s'ils sont studieux.
    1 point
  33. à quelle adresse on fait parvenir les chèques ?
    1 point
  34. Explique nous plutôt, c'est toujours intéressant d'avoir une explication des gens dont c'est le domaine d'expertise
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  35. Waaaa... Impressionnant... Enfin, je ne sais pas si c'est courant mais c'est la première fois que je vois ça.
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  36. eDonne un ballon à un enfant, t'as l'après midi d'occupé, donne 99 ballons, là ce sera plutôt la guerre. Je te trouve bien aigri sur ce coup là : les ballons à l'hélium. C'est le seul truc qui vole accessible au enfants, un avant goût de la magie. Aprzs si tu preferes ils peuvent aussi juste s'abrutir devant un écran, cgacun le sien, sans jouer entre eux ni se parler...
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  37. Russie / USA ou Chine / USA ; dans les 2 il faudrait aussi examiner les origines du conflits : si les chinois déferlent sur le pacifique comme les jap en 40 ... sans doute qu'il faudrait avoir l'oeil..... et en cas de conflit Russie contre Chine ? .. c'est un cas aussi à examiner.. l'UE aiderait elle la Russie ?
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  38. Voici une étude longue mais riche L’effondrement, parlons-en. Les limites de la collapsologie Je n’ai que commencé à la parcourir, mais je partage déjà quelques points Il me semble qu’il pose beaucoup de remarques justes, notamment – Le centrage sur l’expérience non tellement des « Blancs » mais de l’ensemble des classes moyennes des pays les plus riches – les Japonais et autres Sud-Coréens sont à l’évidence inclus – qui est un point de vue valide en lui-même mais incomplet, limité à environ 20% de la population mondiale – Le risque de « naturalisation » des rapports sociaux c’est-à-dire d’hypothèse explicite ou implicite comme quoi les rapports sociaux, l’acceptabilité de telle ou telle politique aux yeux d’une population ou d’un groupe social, n'ont qu'une souplesse très limitée et ne changeront pas « c’est comme ça et pas autrement » – Le centrage très dangereux en plus d’être désespérant sur l’espoir d’un rebond « après » – après une période d’effondrement qui pourrait durer plusieurs générations – alors que sans parler du coût humain de ce genre de période, un véritable effondrement risquerait de mettre gravement à mal les outils dont nous disposons pour construire une civilisation humaine à la fois durable et vivable pour tous ses membres. Je pense en particulier à l’innovation technologique, et aussi à la capacité à coopérer à l’échelle internationale – En conséquence de cette naturalisation et de ce centrage sur un hypothétique futur rebond, il y a de fait un renoncement à imaginer, décider puis accomplir le genre de transformations qui nous permettrait d’échapper à un effondrement au sens plein du mot Cela dit, il y a une erreur énorme page 28 : l’affirmation comme quoi « plus de 80% des « richesses » produites par la destruction des écosystèmes (êtres humain·e·s compris·e·s) et que l’émission massive de gaz à effet de serre le sont pour satisfaire 1% de la population mondiale ». C’est absolument faux : ce que dit le rapport Oxfam International de janvier 2018, c’est que 82% de l’augmentation du patrimoine mondial est allé aux 1% les plus riches. Or, une augmentation n’est que la différence entre deux valeurs successives de la même quantité – le patrimoine mondial – ce n’est pas cette quantité elle-même, et le patrimoine mondial (dont une bonne partie est financier) est différent de la production, sachant que c’est la production qui est directement liée à l’émission de gaz à effet de serre ! Le problème, c’est que cet énorme contre-sens semble – sans avoir encore lu tout – la base d’une bonne partie de la suite du texte.
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  39. Et ben, l'expérience de l'Eurofighter les a traumatisé... https://aviationweek.com/combat-aircraft/uk-tempest-initiative-draws-allies
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  40. @loki Merci, très intéressant. Si on observe les grosse phase alliés attendue par les allemands, le débarquements en France, on observe que côté allié les équipements contre les gaz, tenue , masques, moyens individuel de détection etc... Sont de mise pour les troupes ayant débarqué le 6 juin. Les uniformes seront traité avec un produit protégeant du chimique. Dans pas mal de témoignage de soldats britannique, US on met en avant l'inconfort qu'occasionné se type de traitement, odeur, irritant sur la peau compliqué par le port de la même tenue durant la phase qui suit le débarquement. Par contre on observera qu'à à un certain moment, les masques à gaz ne seront plus porté sur l'homme, donc je suppose qu'on a du stocker à l'arrière se type de protection. Donc on peut supposer que le renseignement allié avait récupéré de l'info et donc anticipé le risque de la menace. Je pense même que la capacité des alliés a faire de l'intox en terme d'information, leurrer a aussi était je pense se qui offrira cette tension et le doute. Pour les allemands, on verra que le masque à gaz sera aussi en dotation jusqu'à la fin de la guerre. Se qui me fait pensé que les allemands n'ont jamais eu d'infos précise suffisante pour éliminer le risque. Et le jeu de réflexion sur les possibles réactions mettant toujours dans le doute. Sans oublier qu'au début de la guerre, en France comme en GB la distribution de masques à gaz à la population civile sera de mise. D'ailleurs la France était très en pointe en capacité chimique si je me fie à se lien : http://www.guerredesgaz.fr/these/chap13/chap13.htm Donc on peut supposer que la campagne de France sera peut-être le marqueur de l'hésitation à l'emploi de l'Arme chimique au vu de la rapidité à battre l'armée française considéré comme le gros morceau à l'Ouest. Je pense que l'observation des images, films d'époque côté allié montre qu'au niveau des équipements de protection , la présence sur certaines phases majeures et critique du conflit ( phase offensive comme le D-day ) montre que les alliés étaient quand même confiant une fois cette phase passait au vu de l'absence en première ligne d'équipement de protection, se qui aurait était impensable durant la 1ere Guerre Mondiale, d'ailleurs en 1918 il me semble que l'on a pas mal utilisé les gaz dans les phases offensives/défensives des 2 côtés, ou l'optique n'était plus la guerre tranchées mais la guerre de mouvement. Seul côté allemand il y aura une présence de masque à gaz jusqu'à la fin de la guerre pour les unités en 1ère ligne. Alors bien évidement on trouvera des images, films ou le masque à gaz ne sera pas de mise en terme de présence , mais là bien souvent c'est plutôt rare. Je pense que le coût aurait été violent en cas d'emploi en terme de pertes humaine, et vu comment la population civile était bien plus disons susceptible de se retrouver dans les zones de combat. Enfin voilà, merci pour le partage de ces infos @loki.
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  41. Pas une mauvaise idée, comme pour les pailles en plastique, c'est inutile et polluant. Même ceux dits "biodégradables". http://envertetcontretout.ch/2018/03/23/on-arretait-lachers-de-ballons/ C'est quoi la contrepartie? Oh mon dieu Théo et Léa ne pourront plus avoir leur ballon à la fête de l'école ou lors d'une après-midi au parc... Et on pourra plus non plus en lâcher lors des mariages à la con? Et ben on donnera à Théo et Léa d'autres jouets rigolos qui volent fabriqués en matériaux naturels, et on utilisera d'autres artifices lors des mariages comme des cotillons en papier recyclé ou que sais-je. La civilisation occidentale va teeeeeellement souffriiiiir. Je suis le premier à cracher sur les éco-débilos, mais certaines mesures relèvent du bon sens le plus élémentaire.
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  42. Les gars...j’arrive toujours pas à croire que pas le moindre d’entre vous n’a réussi à deviner qui se cache derrière cette conf... Comment n’avez pas reconnu le travail de Richard Nake, Ex gourou marketing et vice président de la Bomb Onanism Light Long Omg Corporation Kaiserslautern (B.O.L.L.O.C.K), qui est la division marketing sécrète de Eurofighter gmbh ? Il a quitté Eurofighter gmbh, suite au refus du board de lui accorder un budget com de 8 milliards d’€ pour mener à bien la campagne média au Canada. MDBA a sauté sur l’occasion pour le recruter. Il est désormais leur Chief head président and senior top manager of Bright Unit Light Linux Subdivisiaries Head International Team (B.U.L.L.S.H.I.T), la nouvelle unité secrète marketing du missilier. Il a entre autre mission, la charge de fourguer du Storm Shadow au Costa Rica, mais d’abord on lui demande de se faire les dents sur l’Egypte. Comment n’avez vous reconnu le génie derrière cette conf ? Pourtant vous êtes tous familier de son travail, souvenez-vous de la photo ci-dessous :
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  43. ils ont peut être cassés leur système de communication ou leur antennes, c'est bête parce si il y a un truc à penser en terme de résilience c'est bien ce truc.
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  44. Je ne trouve plus le sujet sur la cyberdéfense FR. Je pose ça ici: Le MINARM a publié les propositions française sur le droit international appliqué à la cyberguerre. C'est assez légaliste, mais ça clarifie aussi des portions de doctrine de cyberguerre. https://www.defense.gouv.fr/salle-de-presse/communiques/communiques-du-ministere-des-armees/communique_la-france-s-engage-a-promouvoir-un-cyberespace-stable-fonde-sur-la-confiance-et-le-respect-du-droit-international Je n'ai pas eu le temps de le décortiquer ( boulot de fou (c) ), mais selon des observateurs que je recommande, il y aurait des grosses surprises dedans, avec des écarts par rapport à la "référence" occidentale présente (le rapport de Talinn). https://blog.lukaszolejnik.com/french-application-of-international-rules-to-cyberwarfare/ (observateur bossant en France qui, ironiquement écrit beaucoup en anglais) Comme : Même si une cyberattaque isolée reste sous le seuil de représailles armées "cinétiques", l'effet cumulé de plusieurs cyberattaques peut justifier les représailles. Les disruptions / dommages temporaires ou réversibles (comme les attaques de déni de service) comptent aussi. Et pas besoin d'attendre des morts ou des destructions physiques pour décider des représailles. Et peu importe si un dommage collatéral sur les civils n'était pas voulu par l'attaquant : seul le résultat comptera pour les représailles (cf NotPetya, Wannacry, etc. Bref extension au cyber des règles occidentales : c'est à l'attaquant de faire gaffe à ses armes... ). En temps de guerre, les acteurs en cyberguerre sont bien des cibles légitimes d'action "cinétique" (même les développeurs...) Le communiqué de presse rappelle aussi les dernières revues de la doctrine FR (offensive et défensive) ça fait suite à l'appel de Paris sur le cyberespace. https://www.cyberscoop.com/paris-call-for-trust-cybersecurity-framework/ ------------------------------------------------------------------------------ Ca tombe bien, il y a un groupe de travail permanent sur la cyberdéfense en cours à NY (depuis 2014, fondé sur proposition de l'Inde et ... de la Russie) https://www.un.org/disarmament/ict-security/ https://economictimes.indiatimes.com/news/politics-and-nation/united-nations-adopts-two-russia-sponsored-resolutions-backed-by-india-on-international-information-security/articleshow/67298500.cms?from=mdr Et ça se fritte en ce moment: Les criailleries habituelles y sont arrivées (accusations russes d'obstruction US via refus de visa): http://russiaun.ru/en/news/infsec090919 Avis perso : honnêtement, vu les déboires de la bureaucratie US de Homeland Security (qui a refusé plusieurs fois les visas à Shamir, un des meilleurs expert cyber, israélien co-créateur de l'algorithme de crypto RSA quasi-universel) , nul besoin d'invoquer une conspiration. (et dans le sens inverse, il y a des accusations de harcèlement d'occidentaux en Russie bien documentées...)
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  45. Il faut trois générations pour bâtir une entreprise solide, moins d'une pour la détruire.
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  46. Comment les hackers de Pékin ont infiltré Safran https://www.intelligenceonline.fr/renseignement-d-etat/2018/11/14/comment-les-hackers-de-pekin-ont-infiltre-safran,108332310-art
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  47. Yahoo News a un scoop sur les débuts de Stuxnet : https://news.yahoo.com/revealed-how-a-secret-dutch-mole-aided-the-us-israeli-stuxnet-cyber-attack-on-iran-160026018.html;_ylt=AwrXgSOzPW1d41oADijQtDMD;_ylu=X3oDMTByb2lvbXVuBGNvbG8DZ3ExBHBvcwMxBHZ0aWQDBHNlYwNzcg-- En gros : une ingénieur iranien recruté par les services néerlandais travaillant à Natanz a fourni les renseignements nécessaires pour développer Stuxnet, et a ensuite effectué la première infection des systèmes par le virus via une clé USB. (Des versions ultérieures de Stuxnet n'ont pas eu besoin, elles avaient infecté 5 compagnies iraniennes avec une version se propageant automatiquement pour que leurs employés l'apportent involontairement à Natanz.) Le nom de code "Olympic Games" (jeux olympiques) donné à l'opération a été choisi en référence aux cinq anneaux, reflétant l'implication de cinq pays : USA et Israël évidemment, Pays-Bas avec leur taupe, Allemagne qui a donné des infos techniques sur les matériels qui étaient utilisés à Natanz ; le 5e serait la France, qui aurait fait de même que l'Allemagne. Le sort de la taupe néerlandaise est inconnu. En tout cas, ça fait un joli coup d'éclat des Pays-Bas, en plus de celui d'avoir piraté les pirates russes, leur permettant d'être les premiers à avoir sonné l'alerte sur le hack du parti démocrate.
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