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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 26/04/2018 dans toutes les zones

  1. Je me permets une intervention de grammar nazi, parce que je vois cette faute de plus en plus souvent sur ce forum, mais pas seulement. Ce n’est pas contre toi, Boule75, les correcteurs orthographiques ne nous aident pas non plus en ce sens, en faisant souvent n’importe quoi. Mais bref, on dit « avoir torT » avec un « t » à la fin, il s’écrit de la même manière que dans « faire du tort », « à tort et à travers », etc. « Tord » est lui la conjugaison du verbe « tordre ». Le moyen mnémotechnique est simple : si on peut remplacer « tord » par « tordait » dans une phrase et qu’elle garde son sens, alors ça se termine par un « d ». Sinon, c’est un « t » qu’il faut mettre à la fin. Fin de l’aparté.
    5 points
  2. http://parlinfo.aph.gov.au/parlInfo/search/display/display.w3p;db=COMMITTEES;id=committees/commjnt/1e36c2f4-7e55-46ed-ab03-e9bd81f4cdb8/0004;query=Id:"committees/commjnt/1e36c2f4-7e55-46ed-ab03-e9bd81f4cdb8/0000" 31 janvier 2018 Commission du renseignement et de la sécurité Audition de Clive Hamilton, auteur du livre "Silent Invasion". Notre mémoire détaille donc une campagne très sophistiquée menée par le Parti communiste chinois pour influencer et infiltrer les institutions australiennes, depuis les parlements et les universités jusqu'aux médias, aux milieux d'affaires et aux organisations culturelles. Son objectif ultime est d'éloigner l'Australie de notre alliance avec les États-Unis et de faire de l'Australie une nation qui respecte les souhaits de Pékin. Basé sur la meilleure analyse internationale, notre mémoire montre que le Parti communiste chinois dispose d'une structure élaborée d'agences conçues pour mettre en œuvre sa stratégie. Ces agences du parti ont un réseau de liens avec des organisations et des individus en Australie, et c'est à travers eux que Pékin exerce son influence. Au cours des 10 ou 15 dernières années, des efforts intensifs ont été déployés pour faire en sorte que toutes les associations ethniques chinoises importantes en Australie, y compris les médias en langue chinoise, adoptent une position politique pro-Pékin, et cette campagne a été couronnée de succès. Au centre du réseau que nous décrivons, il y a le Département du travail du Front uni. Notre mémoire expose en détail son rôle en Australie pour la première fois. Lorsqu'il se concentre sur la communauté chinoise australienne, le travail du Département du travail du front uni comporte de l'intimidation et de la coercition, ainsi que de la persuasion. En conséquence, une grande partie de la communauté chinoise australienne vit avec une peur constante de bas niveau. Ces citoyens australiens sont privés de leur droit démocratique de participer librement à la vie publique de la nation, et je pense que nous devons prendre des mesures pour les libérer de la peur avec laquelle ils vivent et leur permettre de jouir des droits dont jouissent les autres Australiens. C'est ce que le projet de loi vise, entre autres choses. Ces dernières années, Pékin a réorienté l'attention du Département du travail du Front uni vers l'Australie, cultivant des amis et des sympathisants dans toute la gamme des institutions. En fait, certaines de ces institutions ont présenté des mémoires à la présente enquête - certaines demandant des exemptions à ses dispositions. Le train de mesures législatives sur l'ingérence étrangère présenté par le gouvernement Turnbull est indispensable à mon avis si nous voulons commencer à repousser les opérations d'influence clandestine de la Chine populaire. Sans cela, nous sommes en grande partie sans défense. Pourquoi la Chine populaire a-t-elle mis au point ce mécanisme élaboré d'ingérence étrangère - pas seulement en Australie ; exactement le même genre de questions se posent au Canada, en Nouvelle-Zélande, aux États-Unis et, bien sûr, dans toute l'Asie du Sud-Est. Ces derniers temps, et en particulier sous le président Xi Jinping, la Chine se considère comme la puissance hégémonique émergente. C'est un État totalitaire qui exerce un contrôle exceptionnellement étroit sur sa population intérieure, et il prévoit d'étendre son influence dans le monde entier, en particulier dans la région indo-pacifique. Elle a une longue histoire d'opérations du Front uni - il a vu le jour, en fait, dans les années 1930. L'objectif est essentiellement de pacifier d'autres nations, en particulier dans la région indo-pacifique, afin que la Chine puisse devenir la puissance hégémonique, et d'évincer ou même de chasser les États-Unis de cette région et de les remplacer. L'Australie est particulièrement importante parce qu'il ressort des déclarations publiques des représentants de la Chine populaire, mais surtout des documents confidentiels, que l'Australie est considérée comme le maillon faible de l'alliance occidentale. Cette stratégie a été formulée en 2004. Nous le savons grâce au témoignage du transfuge Chen Yonglin, qui est une source d'information extrêmement importante mais, bien sûr, pas la seule. Et depuis lors, nous avons vu une campagne de plus en plus sophistiquée et une pression croissante s'appliquer à l'Australie, exploitant, en particulier, nos relations économiques avec la République populaire de Chine comme un moyen de nous libérer de l'alliance américaine. Une chose que la plupart des gens ne comprennent pas, c'est que les investissements des entreprises chinoises en Australie ont souvent un objectif stratégique aussi bien que commercial. S'il est dans l'intérêt de la Chine populaire et du gouvernement de Pékin qu'une société chinoise investissant en Australie accomplisse une tâche politique ou stratégique, alors ils sont obligés de la faire. On ne discute pas avec Pékin. Le genre de séparation que nous avons dans les démocraties occidentales entre les opérations de l'industrie privée et les préoccupations du gouvernement ne s'applique pas en Chine populaire. Ainsi, maintenant que nous avons permis à des entreprises chinoises de prendre possession d'une partie importante de nos actifs d'électricité, je pense que nous nous sommes exposés à un risque important. C'est pourquoi le gouvernement, par l'intermédiaire du Foreign Investment Review Board, examine de beaucoup plus près ces investissements. J'ai parlé à un assez grand nombre de sino-australiens, y compris certains très critiques à l'égard du Parti communiste chinois ou, plus particulièrement, très critiques à l'égard de l'influence du Parti communiste chinois en Australie, parce qu'ils sont venus ici pour échapper à son influence. Certains d'entre eux m'ont raconté comment ils siégeaient à l'exécutif de diverses organisations professionnelles chinoises et ils ont découvert que soudainement, de nulle part, tout un tas de personnes se sont jointes et lors de la réunion suivante, ils ont été éliminés par un vote et l'organisation est passée d'une position neutre, apolitique ou critique à l'égard du parti communiste chinois, à une position pro-Pékin. Cela s'est produit à maintes reprises dans la communauté chinoise australienne. Nulle part ils [les représentants des universités] n'ont mentionné que le professeur associé Feng Chongyi de l'University of Technology Sydney a été kidnappé par les autorités chinoises alors qu'il faisait des recherches en Chine pendant une semaine et détenu parce que le Parti Communiste chinois n'aimait pas ce qu'il écrivait en Australie. Nulle part ils n'ont mentionné qu'il y a des chercheurs dans les universités australiennes qui travaillent main dans la main avec des scientifiques des universités de l'Armée populaire de libération sur des recherches directement liées au programme militaire de la Chine. Il s'agit là de graves intrusions dans la liberté académique et la liberté d'expression sur les campus australiens et pourtant, les universités se plaignaient simplement de la façon dont ces restrictions [prévues dans le projet de loi] pourraient affecter leurs opérations - et la principale opération étant de recevoir des torrents d'or d'étudiants étrangers, en grande partie d'étudiants chinois. Je pense donc que les universités australiennes ont vraiment perdu le fil de l'intrigue au cours de la dernière décennie et ne comprennent pas vraiment ce que signifie la liberté académique et qu'elles ne sont certainement pas disposées à mettre en péril leurs torrents d'or afin de les protéger. [Les instituts Confucius] C'est un peu gênant pour les universités. Je pense qu'il y a 14 d'entre elles et six du Groupe des Huit [ https://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_des_Huit_(Australie) ]qui ont des instituts Confucius. Comme je l'ai expliqué en détail dans l'annexe au mémoire, il y a des organisations universitaires aux États-Unis et au Canada qui ont écrit des critiques dévastatrices sur le rôle des instituts Confucius dans les universités en Amérique du Nord et qui ont souligné toutes les preuves montrant qu'il s'agit essentiellement d'agences du Parti communiste chinois qui exerce son influence culturelle et intellectuelle dans les universités australiennes et pourtant les universités sont disposées à accepter l'argent, malgré tous les conseils des principales organisations indépendantes qui se sont penchées sur la question. Tant que les universités australiennes accueillent des instituts Confucius, nous avons vraiment un problème parce que les agences du Parti communiste chinois, comme je pense que nous les citons si ce n'est pas dans le mémoire alors certainement dans l'annexe, ont clairement indiqué que les instituts Confucius font partie de la structure de propagande à l'étranger du Parti communiste chinois. C'est ce qu'ils ont dit et pourtant nous les accueillons sur les campus australiens. Les universités qui les accueillent ne veulent vraiment pas en parler. Même si la loi permettra des actions en justice, ce qui sera important, je pense qu'il y a un plus grand avantage à en retirer, qui est d'informer le public australien sur les types de dangers et d'influence, parce que ce n'est pas comme la guerre froide et l'espionnage soviétique. Ce n'est pas du tout comme ça. C'est nouveau, et nous sommes tous aux prises avec ça. Il s'agit d'un nouveau type d'ingérence et d'influence, et je pense que seule une réponse sociale plus large, qui comprend le dialogue avec la communauté sino-australienne - ce qui est absolument crucial - permettra à cette législation d'agir beaucoup plus efficacement que des poursuites judiciaires spécifiques. Je pense que nous devons changer notre compréhension de ce qu'est la Chine populaire, en particulier sous le président Xi Jinping. C'est, comme je l'ai dit, une puissance hégémonique montante qui exercera ses leviers économiques et autres sans pitié. Donc, bien sûr, nous avons besoin d'un dialogue et d'une diplomatie continus, mais nous devons aussi aborder la question en gardant les yeux grands ouverts sur le type de pouvoir qu'elle représente. Je sais que certains députés qui cherchaient à se faire réélire ou à se faire élire ont été vraiment surpris de la manière dont soudainement, il y a eu une campagne très efficace utilisant les médias sociaux en langue chinoise pour mobiliser les Sino-Australiens dans ces électorats. Certains des experts chinois à qui j'ai parlé croient qu'il est trop tard. Dans leur évaluation, le Parti communiste chinois et ses ramifications se sont implantés si profondément dans le sol des institutions australiennes que nous ne pouvons plus en extraire leurs racines. D'autres soutiennent que nous pouvons le faire, mais que le processus prendrait 10 ans. Cela me semble juste, mais cela dépend en premier lieu de la volonté des Australiens de débarrasser notre société de l'influence du Parti Communiste Chinois. Aujourd'hui, si vous comprenez suffisamment les dangers pour sentir que nous devons commencer à prendre des mesures pour retrouver notre indépendance, continuez à le faire, malgré les inévitables représailles. Notre naïveté et notre complaisance sont les atouts les plus forts de Pékin - les boy-scouts face à Don Corleone. Mais, une fois que les Australiens de toutes origines ethniques comprendront le danger, nous pourrons commencer à protéger nos libertés du nouveau totalitarisme.
    4 points
  3. Liens des revues du génie maritime de la marine canadienne ; accès à toutes des revues de 1989 à 2018 via ces liens ; de http://www.cntha.ca/static/documents/rgm/rgm-16.pdf à http://www.cntha.ca/static/documents/rgm/rgm-86.pdf Exemples Problématique lignage ligne d’arbres http://www.cntha.ca/static/documents/rgm/rgm-18.pdf Refonte des Halifax http://www.cntha.ca/static/documents/rgm/rgm-82.pdf
    4 points
  4. Pas sur... des vieux de chez DA, qui ont connu la grande epoque de Tonton Marcel, disent que de son temps jamais l’incident 5x ne se serzit produit. C’est à l’avionneur de s’assurer que le motoriste saura tenir ses specs, et pas de tomber dans le panneau des promesses irréalistes (un moteur tout neuf avec des specs jamais vues developpé en 3 ans)...
    3 points
  5. Au-delà des boutades des économies et du F35, un projet aussi ambitieux (si j'ai bien compris on ne parle pas là que d'un avion, mais de tout un eco-système alliant drones (de différents types), avion de combat, de surveillance, satellites...) qui lie les 2 têtes de l'Europe c'est aussi renforcer l'Europe. Ca devrait permettre de renforcer le couple franco-allemand et pour quoi pas permettre des accords liés directement (la chimère de l'Europe de la défense qui enfin prendrait corps?) ou moins directement liés (partenariats industriels connexes, uniformisation des lois et politiques financières). Bien sûr tout ça à condition que le partenariat soit totalement exempt de frustration pour toutes les parties, ce qui est le challenge des négociations actuelles. Pensée comme ça : et pour quoi nous ne commencerions pas à faire la publicité de l'allemand auprès de nos chères têtes blondes pour que nos ingénieurs de demain sachent parler allemands et que cela facilite les échanges?
    3 points
  6. Je crois surtout qu'il y a une grosse exagération sur l’incapacité des allemands a participer au programme. On a tendance a monter en épingle leurs échecs et a cacher ou minimiser les nôtres. Airbus fabrique plus d'un avion par jours avec une grosse part de boulot fait par des compagnies allemandes, idem pour les hélicos ou encore dans le spatial. Ce n'est pas gagne et ça reste un sujet complexe mais je pense que c'est possible. L’Allemagne a pas mal de poids dans pays d’Europe de l'Est, en Grèce vis a vis des pays nordiques et dans d'autres pays. Et globalement un Binome France/Allemagne (+ d'autres pays de l'UE) aura plus de poids politique et diplomatique pour pousser a la vente de matériel militaire que la France seule. Je comprends qu'on puisse être pessimiste mais je pense pas qu'il faut être fataliste.
    3 points
  7. On dirait des FREMM avec une tiare papale !
    3 points
  8. En même temps s'il ne porte qu'un seul avion, il peut se passer de beaucoup de choses...
    3 points
  9. Une courte vidéo assez intéressante par Xerfi : https://www.capital.fr/economie-politique/contrairement-aux-idees-recues-la-croissance-francaise-nest-pas-a-la-traine-1284693 (dommage que ne soit pas indiquée sur leurs graphiques la valeur du taux de croissance tendanciel d'avant-crise pour les différents pays pris en exemples) Pour une analyse plus poussée, il aurait été intéressant d'avoir également un croisement des déficits, taux d'endettement et taux de croissance (Cf. https://www.cairn.info/revue-economique-2008-3-page-561.htm)
    3 points
  10. il y a un livre http://www.caraktere.com/yamato.htm
    3 points
  11. Ce n'est pas prévu, en revanche la maison sort un deuxième livre sur le ... Bismarck à paraître en juin
    2 points
  12. Le concept de navire de deuxième rang est quand même souvent mal compris ou encore débattu. Le concept de rang 1 est assez simple au fond : ce sont les bâtiments ayant la capacités de faire des missions comme celle que la MN a fait en Syrie : face à d'autres puissances militaires sérieuses (ici la Russie), avoir la capacité de passer outre les menaces et d’exécuter les missions d'agression, de contrôle de zone ou de protection dans un milieu maritime contesté. C'est la raison d'être des Horizon/Fremm/FTI/PA/SNA et dans une certaine mesure des BPC. Armement high-tech requis pour surclasser l'adversaire et mettre en défaut ses menaces. Chaque pays fait en fonction de ses moyens mais il faut être au top niveau, au moins localement. Pour moi, les Gowind Combat sont la solution low-cost pour répondre aux besoins des marines régionales qui ont besoin de bâtiments de ce genre (ex : Malaisie). L'utilité des bâtiments auxiliaires et des patrouilleurs est aussi assez claire (service public, défense de la ZEE contre les pillages et les trafics, faire respecter la réglementation des pêches...) et là aussi l'équipement en découle logiquement (normes civiles ou quasi, armes légères amovibles ou Narwhal au plus, de quoi observer à distance et faire respecter la loi contre des pêcheurs récalcitrants ou des voyous armés, point barre). Le deuxième rang fait débat à mon avis car les missions de ces bâtiments ne sont pas communes à toutes les marines. Leur utilité dépend de nos ambitions (fluctuantes selon nos moyens et notre volonté). Les frégates de surveillance sont une bonne illustration : seule une marine aux ambitions mondiales (comme la Royal Navy ou la Marine Nationale en Europe) a besoin de ce genre de bâtiments intermédiaires. Suffisamment armés pour toiser les marines des pays du tiers monde, exercer notre influence dans des zones contestés et nettoyer des zones de menaces de type pirates ou assimilé. Suffisamment rustiques pour pouvoir patrouiller autour du globe malgré l'absence de train logistique. Suffisamment économiques pour pouvoir faire ces missions malgré l'indigence de nos moyens financiers... Ces bâtiments répondent à une équation complètement différentes des bâtiments de combat de premier rang et ne se réduisent pas (en tout cas c'est ma conviction !) à de "simples" OPV.
    2 points
  13. Aie ! Je ne sais pas si tu as bien pesé cette affirmation... Fais gaffe j'entends déjà le bruit strident du Sturzkampfflugzeug.
    2 points
  14. Il faut arrêter de tout mélanger. Une coopération ne diminue pas les coûts de production, donc il n'est pas du tout pertinent de les inclure dans l'argumentaire, sauf à vouloir faire de la démagogie. En revanche ça permet de diluer les coûts de développement, mais là on parle de 8 millards en ce qui concerne le Rafale, et pour des retombées qui dépassent largement le microcosme Dassault, le tout étalé sur plus de 15 ans. Si on n'a pas les moyens de dépenser 500 millions/an en R&D sur un programme relativement vaste (matériaux, systèmes, armes, avion, moteur, etc), autant arrêter tout de suite. Enfin les multiples étalements du programme ont généré un effet pervers : la nécessité de traiter les obsolescences en développant de nouveaux standards, ce qui aurait dû être fait de toute façon, en même temps que le financement de livraisons qui auraient dû être terminées. On n'est donc pas là non plus sur un problème fondamental, mais bien sur un défaut de gestion. Mieux vaut lire ça que d'être aveugle...
    2 points
  15. C'est inexact et confus : Les Bretons sont des celtes (culture celtique, langue celtique, spiritualité celtique, art celtique) Les Occitans c'est une autre sphère. Idem les Alsaciens, Idem les Corses. Quant aux amazighs, la langue des touareg par exemple présente une identité structurelle et phonétique avec le reste de toutes les variantes de la langue Nord-Africaine. La France est ainsi nommée en mémoire du peuple à l'origine de la matrice unificatrice de cette nation : les Francs. Il s'agit d'une tribu germaine nommée d'après le qualificatif de "Franken" ==> Homme libre. La France très essentiellement résulte de la réunion de 3 peuples (climat et terre ==> agriculture ==> culture ==> langue ==> spiritualité) : Les Celtes Les Germains Les Occitans Ces 3 peuples bataillaient et se massacraient cycliquement, il a donc fallu pour les unifier trouver un socle commun. Un climat et une terre différente donc une agriculture différente donc une culture différente donc une langue différente une spiritualité différente L'unification a donc requis la construction d'un socle commun, dont il a fallu s’arrêter sur la nature. Il se devait d’être le plus inclusif possible. On a donc retenu le curseur spirituel en ce qu'il est le plus dépendant du libre arbitre et de la volonté des hommes. C'est autour d'une spiritualité commune que s'est amorcé le processus laborieux et graduel de l'unification de ces trois peuples constitutifs de la France, dont la seule raison d'exister est : le catholicisme. Ce ne sont pas les peuples qui sont venus à la France, c'est la France, à l'initiative des Francs, qui est venue aux peuples pour les unifier autour d'un socle unique : le catholicisme. La France n'est pas une terre d'immigration, c'est une terre historiquement découpée entre trois peuplades et administrée par un ordre religieux unificateur, donnant alors substance à une nation virtuelle. La France est la terre de trois peuples (celtes, francs, occitans) dotés de tous les déterminants qui font un peuple, et unifiés par des Francs autour du catholicisme. Ps : ceci est une (re)lecture accélérée partiale et très partielle de l'histoire de France, mais globalement, au sens ethno-racial du terme, c'est de ces éléments là qu'est constitué ce que l'on appelle : le peuple français. Je suis loin d’être historien et n'importe quel professeur me détrompera, mais dans une compréhension pragmatique et fonctionnelle de l'histoire, mes propos font tout à fait sens à mes yeux. De très nombreux pays n'ont pas abrogé la peine capitale mais n'ont plus fait état, officiellement, d’exécution de peine, même en cas de condamnation, depuis plus de 10 ans. C'est ce délai de 10 ans qui est retenu, me semble t-il par les instances internationales pour considérer qu'une peine, a défaut d'avoir été abrogée ou interdite, n'est plus en vigueur ou suspendue.
    2 points
  16. Les survivants du Musashi et du Yamato furent mis au secret aux Philippines et au Japon.
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  17. Donc ça peut en soit suffire pour fournir du matériel *non-explosé sur cible * à des fins de propagande. Perso, les différentes couches de propagandes sont impossibles à avaler car contradictoires. Si le centre de recherche était vraiment une activité purement civile, frappée comme *représaille sur potentiel technologique*, alors dans ce cas je ne vois pas pourquoi il aurait bénéficié d'une lourde couverture DCA capable d'abattre des MdC. Je ne doute pas que les MdC soient interceptables, mais vu le fonctionnement de la bête, sauf gros coup de chance / grosse erreur de plannif / fuites d'infos pointues depuis les lanceurs, je ne crois pas en des interceptions *sur le trajet * (ou alors avec du radar aéroporté, mais il n'y en avait apparemment pas dans les airs). Par exemple, si on avait aussi frappé des cibles fortement défendues et que 100% de nos pruneaux y auraient été descendus, ne restant alors ceux sur les cibles dites *civiles/abandonnées*, cela signifierait 100% d'interception terminales sur les sites défendus => pas crédible.
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  18. Au fond on focalise beaucoup sur le transport aérien des canons and Co , mais entre les A400M qui arrivent, nos alliances via l'OTAN ou des accords avec des pays alliés qui possèdent des capacités d'avion de transport lourd, en étant dans l'optique d'échange de bon procédé dans les 2 sens au niveau défense. Cela avec la location auprès d'une boîte ukrainienne on est pas disons bloqué ( il y a eu un pb avec les russes apparemment pour du transport lourd ). Mais sur le fond on reste dans la marge en ayant la possibilité de déployer par voie maritime nos capacités, se qui n'est pour moi un handicap car le déploiement de 155 mm reste toujours un acte fort dans ses crises spécifique avec montée de tension progressive (donc déploiement progressif au travers de la marge tempo de la montée d'une crise). Pour le mortier de 120 mm sur Griffon, j'espère que l'on va au moins opter pour une capacité double fonction, CAD d'avoir un système tube pouvant être remonter sur un train de roulement type mortier de 120 mm tracté. Si cela n'est pas de mise, il faudra absolument garder les mortiers de 120 mm tracté F1 sous la main, car au vu du potentiel de se mortier rustique en terme de transport via un véhicule léger hélicos en mode démonté en soute ( on est super rapide pour le remontage et démontage du mortier de 120) ou sous élingues, très pratique à déployer sur des points isolé en terrain difficile ou pas trop accessible. Ce serait dommage de perdre cette capacité au vu du rapport capacité d'emploi et de déploiement au travers de ses capacités rustique, puissance de feu etc... Moi je pense que ce serait top un côté mortier de 120 double capacité d'emploi, embarqué sur Griffon tout en ayant une capacité d'au moins avoir un tube pouvant se monter sur un train de roulement tracté. Franchement je pense que se côté modulaire embarqué/tracté serait un plus pas négligeable pour la vente aussi. Cela offrant à des clients la possibilité d'avoir la capacité d'acquérir se qui lui est utile par rapport au budget disponible, mais tout en ayant la possibilité de faire évoluer par la suite vers une version embarqué ( ou inverse). Enfin voilà mon sentiment sur le sujet. Edit : en plus il n'y a rien de compliqué au niveau technique à penser et créer la capacité que double emploi que je mets en avant plus haut.
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  19. Coûts: Un système de combat de nouvelle génération cela va coûter un bras, surtout si l'on est un peu ambitieux. Ce sera difficilement supportable par la France seule. C'est logique de vouloir partager les coûts. Et vu que les anglais se sont tire une balle dans le ventre tout seul avec le Brexit les allemands restent un partenaire logique. D'un point de vue commercial cela a du sens, cela donnera plus de poids au programme avec des chances de ventes exports beaucoup plus larges (Moyen Orient pour la France + Europe pour les Allemands) On contre attaque face a hégémonie US en stoppant potentiellement l'achat de F-35 en Allemagne qui serait sûrement l'un dernier clous sur le cercueil d'une industrie européenne forte dans les avions de combats. Les allemands semble vouloir se réveiller un peu en terme de défense donc c'est peut être une opportunité de faire quelque chose. Après il y a beaucoup de problématiques a résoudre car tout le monde sait qu'une coopération de la sorte n'est pas évident et peut mener a de gros problèmes (surcoûts, retards, etc.). Ca commence bien avec la possible prise de leadership de Dassault sur la partie avion de combat (a confirmer officiellement). Mais il reste encore beaucoup de choses a faire. Comme je le comprends, on s'oriente un peut sur un modèle de coopération du Neuron. Avec un programme mis en place par l'Allemagne et la France avec des responsabilités claire. Une fois que l'organisation et les règles du programme seront fixées ce sera ouvert a d'autres partenaires européens qui ne pourront donc qu'accepter une participation encadrée par des règles définies par le couple Franco-Allemand soit ne pas participer.
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  20. Ca fait partie de l'équation L'USAAF admet elle même un taux de perte standard de 3-5% pour ses Toms en opération par perte directionnelle/non détonation/défaut de routage/crash moteur Certaines mauvaises langues parlent plutot de 8 à 10% Sur plus de 70 missiles lancés dans tous les cas ça reste significatif (avec pour une estimation basse au alentour de 3-4 Toms aux fraises ....)
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  21. http://www.scmp.com/news/china/diplomacy-defence/article/2143171/north-koreas-nuclear-test-site-has-collapsed-and-may-be-why-kim-jong-un (25 avril 2018) Deux équipes indépendantes d'universitaires chinois dans deux universités différentes publient des études dont la thèse principale est que le site de test de bombe atomique nord-coréen est non seulement inutilisable, mais pourrait être une source de diffusion de poussières radioactives. À mesure que les ondes de choc déchiquetaient et détachaient davantage de roches, une grande partie de la crête de la montagne, à moins d'un demi-kilomètre (0,3 mille) du sommet, s'est glissée dans la poche vide créée par l'explosion, laissant une cicatrice visible sur les images satellitaires. Wen a conclu que la montagne s'était effondrée après avoir analysé les données recueillies dans près de 2 000 stations sismiques. Les spéculations sur le fait que le site de la Corée du Nord était en difficulté sont allé bon train lorsque Lee Doh-sik, le meilleur géologue nord-coréen, a visité l'institut Zhao environ deux semaines après le test et a rencontré en privé des géologues du gouvernement chinois. Bien que l'objet de la visite de Lee n'ait pas été révélé, deux jours plus tard, Pyongyang a annoncé qu'elle ne procéderait plus à des essais nucléaires terrestres. Guo Qiuju, un professeur de l'Université de Pékin qui a fait partie d'un groupe d'experts qui a conseillé le gouvernement chinois sur les interventions d'urgence en cas de risques radioactifs, a déclaré que si les retombées s'échappaient par les fissures, elles pourraient être transportées par le vent au-delà de la frontière chinoise. "Jusqu'à présent, nous n'avons pas détecté d'augmentation anormale des niveaux de radioactivité ", a déclaré M. Guo. "Mais nous continuerons à surveiller la région environnante avec une grande quantité d'équipement très sensible et à analyser les données dans des laboratoires de pointe." Zhao Guodong, spécialiste du confinement des déchets nucléaires à l'Université de Chine du Sud, a déclaré que le gouvernement nord-coréen devrait permettre aux scientifiques de Chine et d'autres pays d'entrer sur le site d'essai et d'évaluer les dommages.
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  22. Le siège reste une tactique efficace mais qui est discriminatoire.Si hier (dans le Moyen âge) on pouvait assiéger des villes qui comportaient quelques centaines à quelques milliers d'habitants et dont on savait qu'elles ne tiendraient pas longtemps sans ses champs de cultures aux alentours, aujourd'hui les villes se sont des centaines de milliers, voir des millions de personnes. Comme en Syrie, lorsque l'ennemi n'est pas juste une armée ennemi, mais également une partie du peuple, le siège se fait sans sentiments et sans volontés de soumettre l'ennemi et la population, nous le voyons bien, la rupture du siège passe par la déportation massive des combattants et des habitants s'y trouvant, l'objectif est l'élimination des problèmes, mieux vaut hisser le drapeau sur une ville déserte et en ruine que de vouloir triompher auprès de ce qui fait la richesse d'une ville, ses habitants. En Syrie, nous constatons une chose, c'est que les villes, les quartiers et autres qui sont repris par le régime, sont des zones "mortes" qui seront toujours mortes dans 20 ans, tout sera rasé mais rien ne sera reconstruit car il n'y aura plus personne pour y habiter. C'est pour cela que moi, je m'interroge beaucoup sur le devenir de cette Syrie ou on a clairement un gouvernement et ses alliés étrangers qui ne font qu'une stratégie de victoires militaires et ou on a rien pour la reconstruction, pour l'après et je ne parle pas juste de la solution politique autour d'Assad, je parle bien d'un aspect global. D'un autre côté on peut prendre le siège allemand de Leningrad (Saint-Petersbourg), 3 ans de siège de la principale ville russe (avec Moscou), un épisode horrible de famine dans le but non caché d'extermination des soviétiques considérés comme des sous-hommes. Là aussi, l'objectif du siège ne servait pas un dessein militaire, il vise l'élimination d'une population hostile dans une stratégie plus large. C'est un peu comme les juifs, bien qu'au début les allemands n'affichaient pas vraiment une volonté d'éradication, cherchant à les pousser à partir par diverses mesures, puis ensuite ceux qui restaient ou qui étaient dans des pays "capturés" étaient sortis de la masse pour être mis dans des ghettos (qui étaient des quartiers de villes sous un état de siège) puis de ces ghettos dans des camps de concentration, puis dans des camps d'extermination. C'est un enchainement de choses, qui en période de guerre totale font faire des folies. En Syrie c'est également ce genre de choses, il y a une partie de la population, celle qui est hostile au régime, qui est devenue qu'un problème à éliminer, à déporter ou à soumettre.Aux yeux d'Assad et de ses sympathisants, cette partie de la population sont des ennemis auxquels ils ne se reconnaissent pas ou plus, ce n'est plus le même peuple syrien, c'est la stratégie du "tous terroristes" à qui on colle un soutien étranger pour là aussi créer un peu plus le fossé entre ce qu'on veut considérer comme les "vrais syriens" partisans d'Assad et les autres, les traitres, les terroristes, les chiens, les rats ou peu importe comment qu'on va les imager pour mieux les détester. Certains se disent qu'Assad n'a pas besoin d'user d'armes chimiques, mais c'est oublier peut être que si pour nous, le regard est lointain, ceux qui sont sur le terrain, se haïssent ils sont prêts à se tuer n'importe comment et pour eux, ils s'en foutent de ce qu'on pense à Paris ou Washington, si nous ne sommes pas directement face à eux au sol, on reste loin de leurs problèmes quotidien qui sont ceux ou chaque jour peut être le dernier. Dans la guerre (pas la petite intervention militaire limitée) il y a un état d'esprit différent qui se propage du simple soldat jusqu'au chef des armées. Si l'encerclement d'une armée ennemi revêt d'une vraie stratégie militaire, le siège s'impose parfois de lui même, par mépris de l'adversaire et du peuple d'en face, par manque de moyens, par envie d'épargner ses forces et de s'embêter à contrôler une ville ou un quartier hostile qui pourrait se transformer en un nid de guêpes. Donc la pratique du siège est à relativiser en fonction des situations et des ambitions d'une intervention militaire. Si on souhaite intervenir pour faire table rase d'un pays afin de juste contrôler le terrain, là oui, on pourrait faire des sièges de villes.Mais si c'est pour intervenir dans un pays afin d'en chasser une armée ennemie, là non, il faudra investir la rue, car l'immense majorité de la population sera avec vous (même s'il y a toujours des collabos avec l'armée occupante, c'est comme ça partout) et vous n'allez pas faire un siège qui fera de vous un plus grand ennemi (dont les esprits se souviendront longtemps) que l'occupant.D'autant plus que dans ce cas précis, la force occupante qu'on cherche à affaiblir sera la dernière à subir les conséquences d'un siège, elle prendra toutes les réserves, elle pillera les foyers au détriment de la population, c'est donc vraiment contre-productif. La France n'est pas aujourd'hui dans une perspective de conquêtes territoriales et de soumissions de peuples, nous sommes bien plus dans un style d'intervention ou on vient chasser un ennemi qui ne fait pas nos intérêts, mais avec l'ambition de garder la population chez elle afin de construire une chose nouvelle. Mais que les sanguinaires se rassurent, il est toujours plus facile de faire le pire qu'à jongler comme on le fait pour gagner le coeur et les esprits, pour se faire aimer. Raser des villes, affamer une population ne demande aucune expérience, aucune ingéniosité, il n'y a rien à apprendre des autres là dessus. A la suite de mon précédent commentaire parlant des sièges, il convient d'évoquer le combat urbain quand il doit se faire. Tout d'abord, il faut clairement dire les choses, le combat urbain est une affaire d'hommes. Les blindés ont une utilité, mais qui diffère grandement de à quoi ils ont été conçus, c'est à dire la manoeuvre blindé dans des espaces ouverts. Le blindé comme tous les autres véhicules servent (pour simplifier) à avancer rapidement sur le terrain et à percer les défenses adverses. En ZUB, on est clairement à l'opposé, on est dans un environnement confiné ou la progression se fait de maison en maison, de quartiers en quartiers et ce sont bien les hommes qui peuvent faire ce travail, qui peuvent investir les habitations, qui peuvent fouiller des ruines, trouver des tunnels etc... Le blindé, qu'il soit chenillé ou à roue revêt d'un aspect secondaire, il devient un appui à la progression des combattants bien plus qu'il ne va jouer un rôle crucial. Mais qui dit "hommes" dit également "pertes", nos sociétés actuelles ne sont pas prêtes à voir des centaines de français se faire tuer à l'étranger, de même que nos forces armées ne s'engagent pas massivement dans des interventions militaires. C'est donc dans une stratégie ou l'on cherche à épargner nos forces, tant sur les pertes que les objectifs visés. Il n'y a pas à s'imaginer à la place des syriens ou d'autres ailleurs, on ne fera pas des guerres massives, des guerres d'usures comme certains peuvent le faire, il est important de préalablement bien comprendre qui nous sommes, ce que sont nos forces, nos ambitions, nos risques et nos menaces à nous. Personnellement je pense qu'une reconquête d'une zone urbaine par la France se fait d'une manière "soft" mais surtout rapide, sans siège, sans acharnements sur la durée avec du pilonnage massif sur la durée. On reste dans un esprit de guerre éclaire et de fait accomplit contre un ennemi contre lequel on sait la victoire possible et le risque de pertes minimes, certains diront qu'on s'en prend a plus faible que soit, mais qui ne le fait pas? L'art de la guerre c'est aussi de ne pas s'engager dans un combat perdu d'avance ou dans une victoire à la Pyrrhus qui ne rapporte rien. On ne va pas envahir l'Iran juste pour le plaisir de faire une guerre, car nous n'avons pas les moyens d'expédier une telle force la-bas, cette incapacité ne veut pas dire que l'armée iranienne est plus "forte" que l'armée française, car les iraniens eux non plus ne pourraient pas débarquer chez nous et défaire notre armée.Si par le passé on pouvait conquérir un empire avec peu d'hommes, car le monde comportait 1-2 milliards d'habitants, les pays africains qui hier se prenait avec quelques milliers d'hommes, sont aujourd'hui des pays avec des millions d'habitants et demande bien plus d'efforts que par le passé. Cette gestion des masses humaines dans les pays, c'est pour moi ce qui change drastiquement l'interventionnisme militaire, d'autant plus que la prolifération des armes font que tout peut être très vite un bourbier avec une résistance sans fin de la population et à part éliminer la population, ces guerres (comme l'Afghanistan) ne peuvent pas se gagner, peu importe la supériorité militaire. On ne peut donc plus aujourd'hui considérer la guerre comme par la passé, le pure aspect militaire ne tient plus, la guerre asymétrique n'est pas pour moi un style de guerre différent, pour moi c'est juste la guerre moderne en général. Peu importe qu'au début d'une guerre, les acteurs du conflits se battent exclusivement avec des moyens conventionnels, la réalité c'est qu'il n'y a plus de victoires par capitulation à attendre ou toute la population accepte la défaite et les règles du vainqueur, le combat deviendra qu'on le veuille ou non, asymétrique, de résistance et d'oppositions s'armant facilement. On doit nécessairement garder un rôle éloigné, nous ne devons pas occuper le terrain, on doit avoir des forces locales qui font ce travail d'avant garde, y compris dans la zone urbaine. Ce qu'on voit en Syrie, comme à Raqqa ou avec l'intervention russe, je trouve que c'est très révélateurs de l'avenir. On cherche le soutien indirect, on largue les bombes, on supervise, on assiste, on offre les armes, les formations tout en gardant les armes avancées avec nous afin de rester une force essentielle aux locaux. Parfois on utilise le terme de "supplétifs" de "petites mains", la "chair à canon" etc, c'est triste mais c'est un peu cela, l'engagement direct devient partout, de moins en moins évident et tenable dans la durée. Il y a 30 ans, les russes dans l'exemple ukrainien, ils auraient foncés directement au Donbass, sans se cacher, la supériorité militaire ils l'ont, pourtant ils jouent la carte de "rebelles" locaux, quitte à perdre que de se retrouver comme un occupant ou n'importe qui pourra alimenter une opposition locale avec des armes pour faire un remake de l'Afgha.
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  23. Avec le GAA Lanata qui n'oses même pas poser les yeux sur ce "contrat"....
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  24. Normal, c'était la suite logique, c'est à nous de ne pas trop en dépendre ou au moins savoir les compenser. Ces équipements et technologies sont de formidables multiplicateurs de puissance quand ils fonctionnent, dans le cas contraire ils peuvent devenir des boulets malheureusement. Le théâtre syrien nous aura peut-être ouvert les yeux à ce sujet.
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  25. Pure raison administrative le temps de publier les compte-rendus et divers rapports je présume, il en va de même pour tous les bâtiments de la Marine impériale (et je pense qu'il n'y a pas qu'en son sein qu'on pratiquait de la sorte)
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  26. parce que seule le france n'en a plus les moyens, contrairement à ce que pas mal de personnes ont et vont prétendre.
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  27. Pas de quoi en faire tout un plat. Le support logistique hors frontière est encore en rôdage et nécessite des ajustements et quelques précautions afin de ne pas aggraver inutilement les tensions déjà présentes.
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  28. Tagab, base fantôme : http://www.liberation.fr/planete/2018/04/25/afghanistan-tagab-base-fantome_1638384
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  29. On ne va rien faire du tout puisque les dénominations 5G et assimilés sont des appellations commerciales de Lockheed Martin et que Dassault / Airbus ne sont pas Lockheed Martin. Quand à qualifier un avion qui n’est pas encore en service opérationnel d’appartenir au passé alors que "nous" n’avons même pas encore défini une feuille de route pour un éventuel système de combat aérien pour dans 20 ans... Faut pas pousser mémée dans les orties. Si le F-35 appartient au passé, le Rafale appartient au moyen âge et les Mirage F1 à la préhistoire...
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  30. Beaucoup pensent que tout est investi dans l'avion alors que ce n'est pas le cas ! Par exemple : le satellite obligatoire, l'avion ravitailleur, sans aller de type AWAC.
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  31. Croisée au détour d'une visite sur site du Brexitard (oups !) du Telegraph : J'ignore ce que dit l'affiche, mais la présence d'un char français aux couleurs de l'ONU sur la photo d'un article censé illustrer l'emprise iranienne sur les "terroristes" ne peut pas être entièrement innocente. "Sûr qu'y a un message !"
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  32. Effectivement, pb matière de la verrière pour l'IR mais aussi la forme conique problématique pour la voie imagerie. Les hublots plans ont une qualité optique particulière et un traitement. + angle de vue, il faudrait le mettre à la place du HUD donc le pilote ne voit plus rien. Vu aussi le volume, avoir un truc pareil sur les genoux ne serait pas très confortable...
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  33. Disparition du SAN JUAN ; Explications au Congres du Ministre de la défense et présentation /rapport sur circonstances présumées et les recherches effectuées https://www.youtube.com/watch?v=7clQxLVugtY défilement et commentaires des 80 planches de 26’35’’ à 1h32’10 quelques snapshots
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  34. DEFA va vous attacher à un AS30L si vous continuez. Comme dit plus haut, la perche fixe: Est moins chère. Est moins lourde. Est moins complexe. Est plus solide. Permet un débit plus important. Peut-être placée où on le souhaite sans contrainte de place due à son escamotage. Si VRAIMENT elle vous ennuie, on peut l'enlever pour que le Rafale soit plus zoli. Et l'OSF avec:
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  35. Super Dupont, sors de ce corps !
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  36. Foutu dérèglement climatique ;)
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  37. Hier c'était le centenaire du raid de Zeebrugge, effectué par la Royal Navy le 20 avril 1918 dans le but de rendre inutilisable ce port Belge aux Allemands:
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  38. Il est bien notre CEMAT Le choix le plus rationnel c'est Glock. Favoris des FS, et déjà bien présent dans la conventionnelle. L'APX n'est pas encore arrivé à maturité à mon avis. Le Strike One n'est pas fiable, il n'aime pas les éléments, d'où les nouvelles versions, Stryk A et B. Le PPQ est une bonne arme, très bonne détente, dimensions idéales, et fiable, mais surement plus cher que Glock. Le VP9 d'HK n'est pas vraiment "military grade". Idem pour le Steyr M9. Les HS Produkt sont aussi très moyens.
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  39. Apparemment un soldat pakistanais au vue du petit drapeau en insigne sur l'épaule.
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  40. En fait, ce youtubeur est un spécialiste des fusils français ... D'ailleurs il explique souvent que les armes françaises sont très bonnes mais sont incomprises des américains car souvent développés dans un contexte et avec une philosophie différente du leur. Sur cette chaîne, il y a une série de vidéos sur tous les fusils français du 20ème siècle, y compris quasiment une vidéo pour chaque version de la carabine Berthier, et il y en a eu beaucoup !
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  41. taisez-vous Elkabach !
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  42. Chacun sait que Poutine a un "bilan globalement positif " (cf. G. Marchais pour les plus jeunes )
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